Exclusive: European Union officials hold secret talks with Hamas
Khaled Abu Toameh , THE JERUSALEM POST Aug. 29, 2007
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EU security officials have been conducting secret talks with Hamas leaders in the Gaza Strip over the past few weeks, Palestinian Authority officials told The Jerusalem Post on Tuesday.
The PA officials did not reveal the identity of the visitors, except to say that they belonged to three EU intelligence services.
The Europeans are said to have met with top Hamas leader Mahmoud Zahar, as well as Ahmed Yusef, political adviser to Prime Minister Ismail Haniyeh.
Sources close to Hamas confirmed that EU officials had visited the Gaza Strip recently for talks focusing on security-related issues.
According to the sources, the Hamas leaders urged the EU representatives to work to end the boycott of the Hamas government in the Gaza Strip, and to pressure Israel to reopen the Rafah border crossing between Gaza and Egypt.
"We hope these talks will be the first step toward ending the boycott of Hamas, which came to power in a free and democratic election," the sources told the Post. "There is growing awareness among the Europeans of the fact that Hamas can't be ignored as a major player in the Palestinian arena."
In response, Christina Gallach, spokeswoman for EU Foreign Policy chief Javier Solana, told The Jerusalem Post that she was unaware of any such meetings. On a separate note, she said that Solana was due to visit the region this weekend and would be in Jerusalem, Ramallah and Jordan.
Israeli government officials contacted about this matter Tuesday night said they knew of no EU contacts with Hamas.
One government official reiterated that Israel‚s position was that "Hamas should not be dealt with and should be kept as far away form the game as possible."
The official added that Hamas was a terrorist organization "that continues to do whatever it can to impede any chance for progress."
This is the first time Hamas has confirmed that its representatives have held secret talks with EU security officials.
The Hamas representatives reportedly stressed during the talks that they were not interested in a major confrontation with Israel.
Both Zahar and Yusef denied assertions that Hamas was planning a wave of terrorist attacks in the West Bank to undermine PA Chairman Mamoud Abbas's status ahead of November's Middle East peace conference.
Meanwhile, Abbas has asked Sudan to use its good offices with Hamas to resolve the crisis in the PA. A senior Fatah delegation headed by Azzam al-Ahmed, who is close to Abbas, held talks in Khartoum on Tuesday with Sudanese government officials on ways of ending the Fatah-Hamas dispute.
The Fatah delegation emphasized that Abbas and Fatah were keen on resuming "national dialogue" with the Islamist group.
Herb Keinon and Tovah Lazaroff contributed to this report.
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commentaire :
d'Alon
LACHETE DE BRUXELLES
Ce n'est pas l'Europe qui est morte.Un rejet de la culture du pays
L'Europe, en tant que union politique des nations et peuples d'Europe, l'Europe en tant que cadre économique construisant de quoi faire face aux différents besoins sociaux actuels et destinés à favoriser le progrès social, cette Europe n'est pas encore née. Ce qui existe, c'est une caricature grotesque, un ensemble europoïde, mal joint dirigé par la nomenklatura bruxelloise.
Cette caricature n'est pas morte parce que le maire de Bruxelles interdit la manifestation contre l'introduction de la Charia et autorise la manifestation d'une organisation pro-Hezbollah. Au contraire, c'est son mode d'existence que de démanteler les forces économiques productives en Europe, comme c'est son mode d'existence de réduire la laïcité à un simulacre compatible avec la religion du cimeterre.
Concernant l'introduction de la langue arabe comme troisième langue officielle en Belgique il faut rappeler aux autorités sollicitées que dans les pays ou cette langue est officielle, les autres langues ne sont pas langues officielles, voire sont combattues, quand bien même elles sont langues de fortes minorités et même de majorités. En Algérie et au Maroc, les dialectes berbères- langue Tamazight- ne sont pas reconnus. Les Kabyles et le Chaouchs forment la majorité de la population en Algérie, leur langue, ancienne de plus de deux millénaires, n'est pas admise comme seconde langue officielle. Au Maroc il y a encore quelques années, les populations de l'Atlas, en majorité berbères, restaient berbèrophones et ne pratiquaient qu'un arabe sommaire. Leur langue d'autochtone n'est pas non plus reconnue. En d'autres termes, la langue de la conquête et de la colonisation militaire, politique et religieuse menée par les clans guerriers d'Arabes du désert, ayant répondu à l'invitation du "prophète" d'aller soumettre et convertir à la "vraie religion" les impies d'Égypte et d'Afrique du nord, cette langue dénie toute légitimité aux langues autochtones.
Et elle devrait obtenir un statut égal aux langues nationales des pays accueillant des réfugiés économiques et ou politiques venat de pays de l'aire dite arabo-musulmane?
On constate que la jeune génération, souvent, celle née en Europe, ne parle pas la langue du pays d'accueil comme leurs voisins français ou belges de "souche". C'est fréquemment un sabir, pauvre en vocabulaire et s'exprimant avec un accent n'ayant rien de local.
La situation sociale n'explique rien. C'est un choix délibéré, un rejet signifié de la culture du pays d'accueil. Que resterait-il si l'autorité locale cédait ?
Il se produirait bientôt une nouvelle exigence : arabiser les européens autochtones, pour qu'ils comprennent leurs invités et leur descendance, afin que ces derniers ne soient pas "discriminés".
Ce qui est le plus odieux dans cette affaire bruxelloise, ce n'est pas la tentative d'investissement des islamistes et de leurs comparses locaux. Ce qui est le plus odieux c'est la lâcheté des autorités qui osent taxer de "xénophobie et de racisme" le refus d'aller plier le genou sous les fourches caudines de la dhimmitude.
une affaire à suivre et à faire connaître.---------
Alon GILAD