Mon Nov 19, 7:00 PM ET
WASHINGTON (AFP) - Al-Qaeda fighters have been pushed toward eastern and northern Iraq where violence is now the highest in the country despite an overall decline in attacks, a senior US officer said Monday.
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"What you see is that the enemy is shifting," Major General Mark Hertling, the new commander of Multi-National Division North, told reporters here via video link from Iraq.
A turnaround by Sunni tribes in the western province of Al-Anbar has pushed Al-Qaeda fighters east, while US successes in securing Baghdad have driven others north from the capital, he said.
"Whereas all types of attacks, but specifically IEDs (improvised explosive devices) have decreased throughout Iraq ... the north has the highest number of attacks in all of Iraq," Hertling said.
The general said bombs account for more than half the attacks in his area of responsibility, but their number has dropped sharply in recent months from 1,830 in June to 900 in October.
"We had 466 as of the 19th of November and for the same period of time last month, as of 19th of October, there were 520," he said.
"The attacks are still much higher than I'd like in the north but they are continuing to decrease in numbers and scale of attack," he said.
Hertling said 200 suspected Al-Qaeda cell members arrested in raids in early November were providing good intelligence.
But he said it will be "a very tough fight" to eliminate Al-Qaeda and other extremist and insurgent groups in the north.
Mais où est donc passée la guerre d’Irak ? (info # 011911/7)
Par Sébastien Castellion © Metula News Agency
La nouvelle stratégie, annoncée par George W. Bush en février et mise en œuvre par le général David Petraeus, est un succès
Non, chers lecteurs, vous n’êtes pas victimes d’une hallucination ; aucun intrus n’a pris possession de la Mena pendant le voyage en Europe du rédacteur en chef. Simplement, dans son édition du 17 novembre, Le Monde, sous la signature de Patrice Claude, publie un court article sous le titre « Al Qaeda ne contrôle plus aucun quartier de Bagdad ». Cet article – pour la première fois, semble-t-il, dans la presse française – reconnaît que la guerre d’Irak a connu depuis trois mois un de ces renversements spectaculaires que montre l’histoire militaire. De même que les communistes, qui avaient pris Séoul en janvier 1951, étaient entièrement chassés de la zone Sud en avril ; de même que l’avancée allemande de mars 1918 en France se transforma en déroute quatre mois plus tard ; de même Al Qaeda en Irak, solidement implanté il y a encore six mois dans les zones sunnites, et premier massacreur de civils irakiens et de soldats alliés, n’a plus de base territoriale en Irak.
En conséquence, le nombre des victimes irakiennes (civils et forces de sécurité combinées) s’est effondré : il est passé de plus de 3 000 en février et en mars dernier à 850 en septembre et 680 en octobre [1]. Les pertes militaires alliées – très majoritairement américaines – ont connu une évolution comparable, passant de 131 en mai à 40 en octobre. La guerre n’est pas finie, mais l’amélioration est assez sensible pour que 46.000 irakiens réfugiés à l’étranger soient, selon le gouvernement de Bagdad, revenus au pays le mois dernier.
Les raisons du progrès peuvent être résumées en une phrase : la nouvelle stratégie, annoncée par George W. Bush en février et mise en œuvre par le général David Petraeus, est un succès.
Petraeus a obtenu du président une augmentation du nombre des troupes au sol. Mais surtout, il a changé la doctrine d’emploi des troupes, en les implantant durablement au sein de la population. Cette présence prolongée permet d’obtenir des renseignements sur l’ennemi et de gagner la confiance des dirigeants tribaux locaux. La nouvelle doctrine a ainsi permis au général d’obtenir des principales tribus sunnites, précédemment alliées à Al Qaeda, qu’elles renversent leur alliance et se battent aux côtés des Américains. En échange, les Américains aident les sunnites à se former au combat – ce qui leur permettra, plus tard, de se sentir plus en sécurité dans un pays majoritairement shiite. Et ils protègent la population contre les bêtes sauvages d’Al Qaeda, qui faisaient régner une terreur aveugle au nom de la Charia chez leurs prétendus alliés.
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