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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 08:37
Les Juifs et les Peuples chrétiens

 

Les relations entre Chrétiens et Juifs ne peuvent être régies par la loi commune [qui s’applique aux] chrétiens, mais seulement par une législation exceptionnelle, qui tient compte du statut théologique du Peuple Juif. L'enseignement de l'Eglise catholique est qu'ils [les Juifs] ne doivent être ni éliminés du milieu de nous (comme le veut l’antisémitisme), ni gratifiés d’une égalité de droits, qui mène à leur supériorité (comme le préconisent le libéralisme ou le philosémitisme).

L'Eglise catholique a toujours eu pour habitude de prier pour le Peuple Juif, qui fut le dépositaire des Promesses Divines jusqu'à la venue de Jésus-Christ, malgré la cécité de ce peuple. Mieux, elle l’a fait à cause de cette cécité même. Gouverné par la même charité, le Siège Apostolique a protégé ce peuple contre des vexations injustes, et de même qu’elle [l’Eglise] réprouve toute haine entre les peuples, elle condamne la haine envers le peuple auparavant choisis par Dieu, cette haine que l’on nomme généralement antisémitisme (extrait du décret du Saint-Office, du 25 mars 1928).

Le Peuple Juif doit vivre parmi les Chrétiens comme un témoin aveugle de la vérité chrétienne, comme une incitation à nous garder fidèles. L'Eglise catholique enseigne qu'il ne doit pas être exterminé (car le Peuple Juif porte la marque de Caïn, donnée par Dieu de sorte que personne ne le tue) ; il ne faut pas le fréquenter (car Dieu met en garde contre le danger [qu’il représente]). Comme ils ont jadis traité le Christ, la persécution du Christianisme est toujours leur préoccupation théologique.

"Or nous, mes frères, sommes, comme le fut Isaac, les enfants de la promesse. Mais, comme lui alors, qui était né selon la chair, persécutait celui qui était [né] selon l'esprit, ainsi en est-il maintenant." (Ga 4, 28-29)

Cette loi théologique est plus forte que tous les plans et expédients humains. Le Peuple Juif réalise cette loi. La loi contenue dans le Talmud, qui régit les juifs, ordonne l'hostilité envers les chrétiens.

Le célèbre rabbin, Paulus L.B. Drach, qui se convertit à l’Eglise catholique, a rédigé un précieux ouvrage sur le Talmud, "De l’harmonie entre l’église et la synagogue (éd. Paul Melier, Paris, 1844). Le Talmud est le corpus de la doctrine juive, auquel les maîtres les plus fiables d'Israël ont contribué à différentes époques. C'est le code civil et religieux complet de la Synagogue. Son objet est d'expliquer la Loi de Moïse conformément à la tradition orale, et il contient les discussions des docteurs. Bien que le lecteur chrétien puisse y être allergique, pour une raison ou pour une autre, il y trouvera des informations importantes qui aident à expliquer des passages obscurs du Nouveau Testament. Dès la captivité de Babylone (586 av. l’ère chrétienne), l'autorité des rabbins a remplacé celle de Moïse et des Prophètes. La réglementation afférente à l’évolution temporelle du peuple est devenue plus importante que celle visant son amélioration  religieuse.

Le Talmud est devenu particulièrement virulent après l’apparition du christianisme. Des infamies insolentes et sacrilèges contre le Christ et les chrétiens y ont été consignées, et c’est pourquoi des exemplaires ont été brûlés sur ordre des princes et des papes chrétiens. En conséquence, un synode juif de Pologne, en 1631 ordonna de supprimer tout ce qui, dans le Talmud, a trait au Christ et aux Chrétiens, en ces termes :

"...quand vous publierez une nouvelle édition de ces livres, laissez vierges les pages se rapportant à Jésus de Nazareth, en y apposant un cercle comme un O ; et tout rabbi ou autre enseignant sera attentif à ne pas enseigner ces passages, si ce n’est de vive voix. Ainsi, les chrétiens instruits n'auront rien à nous reprocher à ce propos, et nous vivrons en paix."

Nous avons déjà traité de la grandeur spirituelle de la nation dont est issu le Christ. Israël est si grand, quoi qu'il fasse, que quand il commet le mal, ce dernier ne peut être qu’aussi aussi grand et perpétré de manière terrible. Nous analyserons quatre de ces manières. Il est d’une lignée consacrée qui, si elle nous sauve en Christ, nous ruine dans l'Antichrist. Cependant, les chrétiens ne peuvent pas le haïr, mais seulement le plaindre. Des auteurs juifs, comme Bernard Lazare, reconnaissent que le Peuple Juif est tel parce qu’il est modelé par l'esprit des rabbins.

"Les rabbins avaient séparé Israël de la communauté des nations; ils en avaient fait un peuple solitaire et sauvage, rebelle à toute la loi, hostile à toute fraternité, fermé à tout idéal beau, noble et généreux ; une petite nation misérable rendue amère par l'isolement, rendue inhumaine par une éducation étroite, démoralisée et corrompue par un orgueil injustifiable (L'Antisémitisme  vol. 1, p. 57).


1. Le Peuple Juif persécute la Chrétienté.

St Paul le dénonce pour sa persécution:

"...car vous avez aussi souffert des mêmes choses de la part de vos compatriotes, comme eux ont souffert de la part des Juifs, qui ont tué tant Jésus que les prophètes, et nous ont persécutés ; ils ne plaisent pas à Dieu et sont hostiles à tous les hommes ils nous empêchent  de parler aux Gentils, pour qu’ils puissent être sauvés, pour mettre le comble à leur péché toujours: mais la colère de Dieu est venue sur eux, pour en finir." (1 Th 2, 14b-16).

Voir également St Justin, dans son dialogue avec le Juif Tryphon (XVI, 133). St Basile affirme que les peuples juif et païen étaient autrefois ennemis, mais ont fait cause commune contre les chrétiens, comme c’est confirmé par Tertullien, Origène, et Grégoire de Nazianze. Voir Leclerc, Les Martyrs (Paris, 1905, vol. 1, p. 103) ; et l'article de J. Vernet, « Juifs et Chrétiens », dans Dictionnaire d'Apologétique.

Depuis le XIIe siècle, ces persécutions sont devenues rares en raison de la vigilance de l'Eglise. Mais nous les trouvons alliés au hérétiques, à plusieurs reprises: Cathares, Vaudois, Hussites. Comme le Juif Darmesteter le dit lui-même (Les prophètes d'Israël), tous ceux qui ont l’esprit révolutionnaire vont chercher leurs arguments chez les Juifs.

 

2. Le Peuple Juif conspire contre l'Etat chrétien.

Quelques faits: En Espagne (694), les juifs ont conspiré avec les Juifs d’Afrique pour laisser les Arabes entrer en Espagne; en 711 ils se sont alliés avec les Arabes; en 952, ils ont livré Barcelone. En 854, Bordeaux a été livrée aux Normands par les Juifs; à la fin du XIIe siècle, ils ont fait cause commune avec les Mongols contre les chrétiens de Hongrie.


3. Le Peuple Juif prend le contrôle de la propriété par l’usure.

[Le vice majeur du Peuple des Gentils est sa sensualité. Pour le satisfaire, il se couvre de dettes et doit chercher des prêteurs sur gages. — ED.] Il était interdit aux Juifs de prêter à intérêt à leurs compatriotes.

"Tu ne prêteras pas à intérêt à ton frère, ni du blé, ni quoi que ce soit d’autre: mais à l'étranger [tu pourras prêter à intérêt]. A ton frère, tu prêteras ce qu’il veut sans intérêt..." (Dt 23, 20-21).

St Thomas d’Aquin dit (II-IIae, Q. 78, A. 1) :

"Dieu leur a permis de prêter à usure aux étrangers, non du fait que ce soit légal, mais afin d'éviter un plus grand mal, à savoir que, du fait de l’avarice à laquelle ils étaient enclins (Is 56, 11) ils ne pratiquent l'usure aux dépens de leurs propres concitoyens juifs qui adoraient le vrai Dieu."

Jansen, le grand historien de la Réforme, a écrit:

"Les juifs n’avaient pas seulement monopolisé le change ; la vraie source de leur richesse était l’usure... ils sont graduellement devenus les banquiers et les financiers pour toutes les classes."

Jansen rapporte qu’en 1338, l’Empereur Louis de Bavière permit aux Juifs de pratiquer des taux d'intérêt allant jusqu’à 32½ % sur les citoyens de Francfort, en Allemagne ; et de 43% pour les étrangers de la ville. A Ratisbonne, Augsbourg, et Vienne, l'intérêt légalement autorisé allait jusqu’à 86%. Un des contemporains de Jansen a écrit :

"Les usuriers juifs s'installent maintenant dans des endroits fixes, même dans les plus petites villes ; quand ils avancent cinq florins ils exigent une garantie qui se monte à six fois la valeur de ce qui est prêté ; puis ils réclament l'intérêt et l'intérêt composé, de sorte que le pauvre [emprunteur] est privé de tout ce qu’il possède" (Erasmus d'Erbach, 1487).

La supériorité des prêteurs juifs et la prodigalité excessive des Gentils sont illustrées par le fait que, quand Philippe Auguste expulsa le Peuple Juif de France, au XIIe siècle, ils possédaient un tiers de la terre, et avaient une telle mainmise sur l'argent, que lorsqu’ils partirent, il fut difficile d’en trouver où que ce soit.


4. Il est bien connu que des Juifs tuent des chrétiens

 

St Justin (IIIe siècle) le disait déjà. Le Talmud le permet. L'histoire le confirme. Il est certain que des chrétiens ont été mis à mort : St William d'York, 12 ans (1144); St Richard de Paris (1179) ; St Dominique de Val, crucifié à Saragosse, en Espagne (1250) ; le Bienheureux Henry de Munich (1345); le Bienheureux Siméon (1475) ; les martyres controversés du Frère Thomas de Cangiano et de son assistant à Damas (1840).

Si effroyables qu'elles soient, ces quatre accusations peuvent être documentées à chaque époque et pays où les Juifs vivent avec des chrétiens. A des époques antérieures, les juifs pourraient seulement agir directement contre les chrétiens qui étaient dûment avertis à leur sujet. Mais maintenant que les chrétiens sont déchristianisés, les Juifs poursuivent leur agression avec l'aide des chrétiens eux-mêmes.

 


Jugements de papes concernant le Peuple Juif

 

Il y a au moins 15 documents pontificaux avertissant l'Eglise catholique des dangers que présente le Peuple Juif. La théologie catholique a toujours reconnu que les Juifs sont un peuple saint. En un sens, le Peuple Juif est le Père de l'Eglise, parce que les oracles de Dieu lui ont été donnés ; et si pervers que puisse être un père, on lui doit assistance et respect. L’antisémitisme est condamné parce qu’il constitue une persécution du Peuple Juif, qui ne tient pas compte de son caractère sacré ni des droits qui en découlent. Un extrait de l'un des documents pontificaux concernant le Peuple Juif résume clairement l'enseignement catholique :

"Ils sont les témoins vivants de la vraie foi. Le Chrétien ne doit pas les exterminer ni les opprimer... Nous ne devons pas porter atteinte à l'exercice des privilèges qui leur sont accordés... Lorsqu’ils demandent notre aide, nous les accueillons et les prenons sous notre protection ; et, à la suite de nos prédécesseur, Callixte, Eugène, Alexandre, Clément et Célestin, nous interdisons que l’on baptise un Juif de force, et également qu’on leur nuise de quelque manière que ce soit, ou que l’on prenne leurs biens, etc., ou qu’on viole leurs cimetières et déterre les cadavres pour trouver de l'argent. La sanction pour la désobéissance à ces dispositions est l’excommunication." (Extrait de la Constitution Licet Perfidia Judaeorum,  du pape Innocent III, 1199).

Néanmoins, bien que le Peuple Juif dût être protégé, on reconnaissait qu’il était assez dangereux pour qu’on l’isole dans ses propres quartiers. Etait-ce une atteinte à ses droits humains normaux ? — Non, car ce peuple refuse de s'assimiler dans le pays qui lui donne l'hospitalité, et vit selon les lois talmudiques contrairement au bien commun. La politique de l'Eglise catholique est d’accorder au Peuple Juif la liberté de se développer et de vivre selon ses lois légitimes, tout en préservant cependant les Catholiques de sa domination.

 

La sagesse de l'église

 

L'Eglise catholique est consciente du profond désir du Peuple Juif d'imposer sa supériorité matérielle, et de la culpabilité des catholiques qui recherchent ce peuple pour obtenir des avantages matériels. L'asservissement des Chrétiens et des nations chrétiennes a commencé par la faute des Chrétiens.

Si les chrétiens souhaitent rester libres, qu’ils évitent de se mêler au Peuple Juif. Il domine dans tous les secteurs du commerce et de la finance, dans la philosophie et les universités. Son action est perceptible dans les conséquences de la Révolution française, dans la socialisation des pays socialistes, et dans l'esclavage du Communisme. Si le Peuple des Gentils aspire à une civilisation fondée sur la puissance économique et la vie confortable, dans lesquelles tout se résume à l'organisation et au développement techniques, alors il peut l'avoir, le Peuple Juif étant le maître et tous les autres, les esclaves.

Depuis que le Christ est venu dans le monde, une civilisation où Mammon est roi n’est possible que sous [ltutelle du] Peuple Juif, parce que, comme dit précédemment, le don de domination lui été donné dans tout ce qui est de la chair : le monde.

La théologie dirige l'histoire. L'histoire a une signification, qui est théologique ; parce que Dieu sait comment tirer avantage de tous les succès et les échecs des hommes à réaliser Son plan.

Dieu a donné deux ennemis aux nations qui ont prospéré sous la direction de l'Eglise au Moyen-Âge: un ennemi intérieur, l'esprit de rébellion contre le spirituel pour que la puissance terrestre atteigne ses buts ; et un extérieur, le Peuple Juif, qui vit parmi les chrétiens pour être un aiguillon et un éperon. La Chrétienté, sous les rois et papes saints, a su comment se protéger contre ces dangers. Elle a discerné d’une manière vraiment théologique la domination [qu’exerce] le Peuple Juif sur le monde matériel, c’est pourquoi elle a isolé ce peuple saint mais perfide.

Mais à l’époque de la Renaissance et de la Réforme protestante, les instincts charnels se sont rebellés, et par une nécessité théologique plus forte que les calculs des hommes, l'émancipation du Peuple Juif a nécessairement suivi : une émancipation qui, sous le Capitalisme et le Communisme, s'est transformée en domination.

Il ne faut pas tenir le Peuple Juif pour coupable des maux qui ont atteint la société. Il réalise le programme que, dans le plan de Dieu, il est chargé d’amener à son terme. La faute en incombe aux catholiques qui, infidèles à leur grande vocation, ont cherché, avec son aide,  une supériorité terrestre, matérielle et charnelle – qui finit dans des fleuves de sang chrétien.



Le Peuple Juif et les Peuples déchristianisés

 

La vraie défense de la Chrétienté, ce ne sont des mesures de police, c’est Jésus-Christ. Malheur au monde s’il L'oublie ! À la fin du Moyen-Âge, le Peuple des Gentils a commis de grands péchés, particulièrement le clergé. Ainsi affaibli, ce peuple a succombé à l’intelligence et à l’action de la judaïsation à la Renaissance, lors de la Révolution française, et à l’époque du Communisme. Le Judaïsme devait donner des munitions mentales aux rebelles, par exemple, les sceptiques de la Renaissance et les libertins du XVIIIe siècle. Werner Sombart, l'historien confirmé du Capitalisme, qui n'est ni catholique ni antisémite, montre, dans son livre, Les juifs et la vie économique, comment quelques sectes protestantes, particulièrement les Puritains, sont judaïques. Les relations étroites nouées entre le judaïsme et une partie des sectes de la Réforme et une grande ardeur pour les études hébraïques, ont balayé l'Europe. Dans la seule Angleterre, par exemple, les membres d’une secte nommée les "Niveleurs" [voir Wikiberal (Note du traducteur)], se sont qualifiés de Juifs et ont voulu faire de la Torah le code législatif britannique, Cromwell se vit pressé d’imiter le Sanhédrin en nommant 70 membres au Conseil d'Etat et, en 1629, on proposa au Parlement de célébrer le samedi le culte dominical.

Quelle qu’ait pu être l'influence du judaïsme à l’époque de la Renaissance et à celle de la Réforme, elle a certainement été profitable [aux Juifs]. L'auteur juif, Bernard Lazare, écrit:

"L'esprit juif a triomphé avec le Protestantisme ». (L'Antisémitisme,  X. I, p. 225).

Par la brèche ainsi ouverte dans l’édifice de la Chrétienté, le Peuple Juif espérait utiliser son astuce pour réaliser son rêve antique d'un empire mondial. Ayant rejeté le Christ, il attend le Messie promis dans le Talmud, qui "donnera aux juifs le sceptre du monde".

Pour pénétrer la Chrétienté, les masses doivent être rendues captives et une rébellion fomentée contre ses deux piliers, le pape et le roi. La formule préparée par le Judaïsme pour leur destruction: Liberté, égalité, fraternité, fut d'abord présentée aux mécontents qui formaient les rangs des loges franc-maçonnes. Les loges prônent des programmes inoffensifs concernant l'amélioration de l'humanité, mais leur véritable but est de "détruire tout ce que l'Eglise catholique a fait dans le monde". (Etudes sur la franc-maçonnerie américaine, A. Preuss).

Il y a des preuves solides de leur activité mortelle, consignées dans les archives, particulièrement dans les documents maçonniques confisqués et dans les revendications publiques des Maçons eux-mêmes. L’écrivain juif, Isaac Wise, relatait:

"La maçonnerie est une institution juive, dont histoire, les règles, les devoirs, les directives et les explications sont entièrement juives." (The Israelite,  août 1855).

En vertu de la formule trompeuse, Droits de l'Homme, la société chrétienne est devenue mûre pour la conquête. Premièrement, par le Capitalisme : toute la richesse tombe sous un contrôle centralisé. Deuxièmement, par le Libéralisme et le Socialisme : la compréhension des nations est pervertie, et leur cœur, corrompu. Troisièmement, par le Communisme : toute l'opposition est éliminée, les autres sont soumis à un joug auquel ils ne peuvent échapper.

 

Capitalisme

 

L'essence du régime capitaliste en vigueur depuis la Révolution Française, qui a donné naissance à la supériorité matérielle du monde moderne, est le régime de la richesse financière comme moteur de toutes les affaires économiques. La puissance financière concentrée dans les banques assure le développement de toute activité commerciale, industrielle et agricole. Au moyen du crédit et du prêt à intérêt, le capital financier mobilise une grande richesse, qui, à son tour, accroît le même capital financier. Les banques s'enrichissent rapidement par le prêt à intérêt. Par le fait qu’il est prêté, l'argent acquiert une puissance magnétique. Le prêt à intérêt, dans un régime de stabilité monétaire, tend à créer deux classes bien définies. La classe capitaliste des prêteurs continue nécessairement à devenir plus riche, parce que l'argent ne peut aller qu’en augmentant. La classe ouvrière doit travailler pour elle-même et pour le prêteur. Le moment vient où le travail effectué ne couvre pas ce qui est dû au prêteur, et alors, il s’endette.

Autre manière par laquelle les banquiers s'enrichissent : les nombreuses opérations de prêts et de remboursement des prêts. C'est une véritable création d'argent à l'usage du banquier. Le crédit est argent, et en le créant, ils deviennent riches.

Il est de notoriété publique que la portion juive de la population - relativement faible comparée à celle des Gentils - qui s’adonne à la création de richesse, contrôle particulièrement la puissance financière qui s’exerce via les banques. Le Sage Salomon nous fait observer, sous la puissance de l’Esprit-Saint :

"Par la paresse un bâtiment s’écroulera, et par la faiblesse des mains, la maison s’effondrera. Pour l’amusement ils font le pain et le vin afin que les vivants puissent festoyer : et tout obéit à l'argent." (Qo 10, 18-19…)

Les banquiers juifs doués ont créé une économie contrôlée dont la finalité est la multiplication de l'argent. Les gouvernements à court d’argent deviennent même leurs obligés. Les gouvernements pourraient briser leurs liens financiers, sauf que, en dépit de beaucoup d'autres circonstances, ces banquiers sont également nationaux ou internationaux à volonté, et peuvent mettre la pression pour peser de pratiquement n'importe quel point du globe. Le judaïsme international a créé le capitalisme international pour engranger une richesse internationale. Le volumineux ouvrage de Werner Sombart (Les juifs et la vie économique, Payot, Paris, 1923 [traduit de l'allemand]), montre comment le judaïsme a créé le capitalisme et ne pourrait être expliqué autrement sans lui.

 

La Corruption Démo-Libérale et le Socialisme

Au delà de son influence financière, la pensée judaïque parvient à dominer les champs culturel et éducatif. Le modèle se répète : Les Juifs accèdent à des postes d'influence et soumettent la société à un haut degré de corruption des manières de penser et d’agir, qui mène à une réaction de l'opinion publique contre eux.

Mais le démo-libéralisme est seulement une étape. La suivante est le socialisme, dont les penseurs créatifs, de Marx à Léon Blum, faisaient partie du Peuple Juif. Le projet du capitalisme et du socialisme, deux forces opposées, est de diviser et de conquérir. Le Capitalisme vole aux chrétiens ce qu'ils possèdent. Le socialisme empoisonne ceux qui n'ont rien, et ainsi commence la lutte des classes. Quant au Catholicisme, qui a construit la Chrétienté, il est confiné aux sacristies et aux couvents.

Les gens sont judaïsés : les riches par le libéralisme, les pauvres par le socialisme. Ils pensent et agissent à la manière du judaïsme. Se croyant libres, ils pensent avec l'esprit judaïsé des médias.

"Le grand idéal du judaïsme est que le monde entier s’imprègne de l'enseignement juif, et que, dans une fraternité universelle des nations — un judaïsme élargi — toutes les races et religions distinctes disparaissent.... Par leur activité dans la littérature et la science, en exprimant leur passion dominante dans tous les secteurs de l'activité publique, ils versent graduellement dans les moules juifs tous les systèmes et idées non juifs." (Jewish World  [Le monde juif], 9 février 1863.

 


Communisme

 

C'est un fait publiquement documenté que le communisme a été financé par l'argent juif. Jacob Schiff et ses associés partenaires banquiers, Felix et Max Warburg, ont financé la propagande révolutionnaire parmi les prisonniers de guerre russes dans différents pays, et aidé Trotsky. Schiff a déclaré publiquement (1917) que la révolution avait réussi grâce à son aide.

Une revue juive a affirmé que le Communisme avait réalisé "l'émancipation des Juifs et le triomphe du Judaïsme", parce qu'il "a été créé, réalisé par les Juifs" (Vu,  avril 1932).

Le Capitalisme n’est qu’une étape transitoire vers le nivellement égalitaire du Communisme. Le fait que le Communisme ait été créé par le Judaïsme ne signifie pas qu'il en ait le contrôle comme il l’avait dans le passé, particulièrement depuis 1947, où l'alliance s'est brisée en deux blocs. En Russie, il y a maintenant un sentiment général d'antijudaïsme, et bien que le Judaïsme favorise encore le communisme, il préfère le voir réalisé d'une autre manière.

Le Peuple Juif réussira-t-il à réaliser ses ambitions? Dans quelle mesure ? Dieu le sait. Il a Ses plans, et Il sait comment combiner des actions humaines pour les promouvoir. L’amalgame des Juifs et de la Gentilité a été catastrophique ; mais Dieu l'a permis de sorte qu’il en sorte quelque chose de bon.

Un de ces bons effets sera que les nations catholiques expient pour leurs siècles d’infidélité. Ces nations qui, dirigées par la France, auraient dû être les hérauts du Christ pour les peuples d’Orient et d’Occident, ont été, au contraire, des hérauts du péché. Comme le Peuple Juif a été puni en 70 de l’ère chrétienne, ainsi, en sera-t-il du Peuple des Gentils. Pour les peuples chrétiens, hier, c'était la Russie ; demain, ce sera le monde. Tant le Juif que le Gentil méritent un châtiment, parce que tous les deux ont offensé Dieu pendant des siècles et ont besoin d’être purifiés. C’est alors qu’après cela, apparaîtront des hommes de sainteté, pleins de la foi et de la charité catholiques véritables martyrs. Un Catholicisme faible et hypocrite ne sera plus possible. Ce n’est qu’après cette purification que sera possible la réconciliation de Jacob et d'Esaü, du Chrétien et du Juif. St Paul enseigne que quand la connaissance de la foi catholique aura atteint toutes les nations, Israël se convertira en masse. Dans la douleur partagée d’un châtiment commun, tous comprendront que nous sommes frères en Celui Qui a été promis à Abraham, Isaac et Jacob ; en Qui toutes les nations de la terre sont bénies. Il y aura une effusion de l'Esprit de Dieu dans l’affrontement qui vient entre les forces du mal et le petit nombre de ceux peu qui résisteront. Il enflammera les coeurs par les flammes du châtiment matériel. Il entrera chez eux et leur prescrira de se réunir en Lui, Qui est "doux et humble de coeur". Puisque nous avons tous été détruits par l’orgueil et le matérialisme, nous devons être sauvés dans l’humilité du Christ.

 

 

Le mystère de l'Histoire et de l'Eschatologie

 

Le Peuple Juif est d’une importance exceptionnelle pour l'histoire humaine. D'autres peuples ont eu la domination, mais seulement pour un temps. Pour commencer à comprendre le mystère du Peuple Juif dans l'histoire, procédons à quelques réflexions théologiques à propos de l'histoire.

L'histoire commence par la création. Ici, l'initiative fut celle de Dieu. Dieu continue à agir sur l'humanité, pour poursuivre ce qu'il a fait bon au début. Il peut donner l’orientation et la signification aux actes des hommes, qui, autrement, semblent absurdes. L'homme, pourtant, a l'initiative de faire le mal.

En regardant cela d'un point de vue humain, on peut voir deux histoires : l’une écrite par l’intervention de Dieu, l'autre, par l'homme. Dans l'histoire divine de Dieu, le Christ est le centre. L'histoire profane est l'histoire des civilisations successives. Dans l'histoire profane des civilisations, il semble que la volonté de l'homme l’emporte. Cependant, on y voit une forte dose de fatalité [?] par laquelle la Providence divine dirige le progrès des choses humaines pour des buts qu'il ne révèle pas.

En réalité, il y a une seule histoire, celle écrite par Dieu avec la coopération de toutes Ses créatures. C'est un drame magnifique. La Création. Le désordre introduit par le péché humain. Le bienfait [que tire] Dieu de cette faute. L'Incarnation. Le conflit avec le Mal. La Résurrection. Le Christ ressuscité est au centre, et avec Lui, Ses élus. Quand le Corps Mystique du Christ sera complet, toute l'histoire finira. L'histoire profane, écrite par l'homme et ses passions, n’est qu’un élément secondaire dans la grande histoire unique de Dieu.

La clé de cette histoire unique est donnée par St Paul:

"...Tout est à vous … et vous êtes au Christ, et le Christ est à Dieu." (I Co 3, 22b, 23)

Le monde est au bénéfice des fidèles, pour leur enseigner quelque chose, les servir. Les fidèles sont pour le Christ, et le Christ — en tant Homme — est ordonné à Dieu.

Comme le dit St Thomas d’Aquin, le mouvement de l'histoire telle qu’elle est faite par les hommes, n'a pas sa fin en soi, mais en dehors d’elle-même, à savoir : la plénitude du nombre des élus qui amènera le mouvement de toute l'histoire à son terme (De Potentia 3, 10, à 4).

Dieu sait comment faire pour que les desseins pervers des hommes servent exactement à Son dessein. (St Thomas d’Aquin donne l'exemple de Joseph et de ses frères.) L'histoire profane c’est ce que St Augustin met sous la phrase par laquelle il oppose la "Cité de l'Homme" à la "Cité de Dieu." La Bible nous relate l'histoire profane jusqu'à Abram. Après cela, Dieu est aux commandes. C'est l’histoire divine. Il semble que Dieu ait abandonné la Cité de l'Homme à ses dispositions propres. Nous pourrions même nous aventurer à dire que la vie des nations des Gentils est tombée sous [l’emprise du] "Prince de ce monde": non parce qu'elles étaient mauvaises par nature, mais parce que Satan en avait pris possession du fait que l'homme avait cédé à sa suggestion.

St Jean [l’Evangéliste] semble indiquer la logique des grandes lois des civilisations:

Le désir de dominer d'autres nations: "l’orgueil de la vie". Un enrichissement sans limite, avec [pour conséquence] la pauvreté du plus faible: "la concupiscence des yeux". Des rivalités et des jalousies sexuelles: la concupiscence de la chair.

 

St Jean juxtapose histoire divine et histoire profane.

 

"Nous savons que nous sommes de Dieu et que le monde entier gît au pouvoir du Mauvais." (1 Jn 5, 19)

Dans son Epître, St Paul met en opposition la dialectique du monde - c.-à-d., la rivalité entre le Juif et Grec, le Maître et l’Esclave, l'Homme et la Femme — et la Cité de Dieu:

"Car vous êtes tous fils de Dieu, par la foi dans le Christ Jésus. Tous, en effet, vous avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. Il n'y a ni juif ni Grec: ni esclave ni [homme] libre: il n'y a ni mâle ni femelle. Car vous est tous un en Christ Jésus. Et si vous êtes du Christ, alors vous êtes de la semence d'Abraham, héritiers selon la Promesse." (Ga 3, 26-29)

Beaucoup d'auteurs montrent que les civilisations déclinent, qu’il y a des lois de naissance, de croissance et de mort des civilisations. Leur erreur commune est de penser que l'histoire profane des nations est la seule histoire. En fait, l'histoire profane contribue à la véritable histoire divine, parce que cette dernière utilise la première. Elle s’y insère et s’y mêle.

"Et nous savons que, pour ceux qui aiment Dieu, tout concourt au bien, pour ceux qui, selon Son dessein, sont appelés à être saints." (Rm 8, 28)

Commentaires de St Thomas d’Aquin :

"Ce qui arrive aux bons, qui sont la part la plus noble de l'univers, ne bénéficie pas aux autres, mais à eux-mêmes. Les réprouvés et les créatures inférieures sont ordonnées au bien des élus."

L'histoire existe pour donner du temps à la prédication de l’Evangile.

"Cet évangile du Royaume sera prêché dans le monde entier, en témoignage pour toutes les nations. Et alors viendra la fin." (Mt 24, 14).

Mais la prédication de l’Evangile est continuellement handicapée par le judaïsme. Ce fait historique nous est relaté par St Paul, particulièrement dans la 1ère Epître aux Thessaloniciens :

"[Eux] qui ont tué tant Jésus que les prophètes, et nous ont persécutés ; ils ne plaisent pas à Dieu et sont ennemis de tous les hommes ; ils nous empêchent  de parler aux Gentils, pour qu’ils puissent être sauvés, pour mettre le comble à leur péché toujours: mais la colère de Dieu est venue sur eux, pour en finir." (1Th 2, 15-16)

"Or, vous, frères, comme Isaac, vous êtes les enfants de la promesse. Mais, comme alors, celui qui était né de la chair persécutait celui qui était [né] de l'esprit, ainsi en est-il encore maintenant." (Ga 4, 28-29)

Tout en s'opposant au mélange du Peuple Juif avec les Chrétiens, l'Eglise catholique exigeait que les juifs soient traités avec respect, en raison de la grandeur de leurs ancêtres : [car c’est un] peuple saint, mais hostile. Quand la ferveur catholique s’est refroidie et que des influences païennes se sont manifestées, les nations chrétiennes ont imprudemment ouvert leur porte aux juifs. De nos jours, les nations n'ont plus d’ambitions missionnaires ni d’objectifs politiques; elles ne sont motivées que par le bien-être économique, auquel elles ne peuvent parvenir sans dépendance à l’égard des juifs.

 

Le mystère de la tension entre le Peuple Juif et les peuples de la Gentilité


St Paul examine cette dispensation mystérieuse de la Providence, dans sa Lettre au Romains, aux chapitres 9 et 11. Un témoignage supplémentaire de la Sainte Ecriture met en lumière cette tension par rapport à l'histoire.

1. Le Peuple Juif est supérieur au Peuple des Gentils.

"mais gloire, honneur et paix à quiconque fait le bien, au Juif d'abord, et également au Grec." (Rm 2, 9).

"Quel est donc, alors, l’avantage du juif, ou quel profit y a-t-il à être circoncis ? Ils sont grands de toute manière. D'abord, en effet, parce que les paroles de Dieu leur ont été confiées." (Rm 3, 1).

"Et ainsi, Israël sera sauvé, comme il est écrit: Il viendra de Sion, le libérateur, et il chassera l’iniquité de Jacob. Et telle est mon alliance à leur égard: [à savoir, que] j’enlèverai leurs péchés. S’agissant de l’évangile, en effet, ils sont ennemis en raison de vous: mais pour ce qui touche à l'élection, ils sont très chers en raison des pères (Rm 11, 26-28).

2. Mais cette supériorité vient de la foi, pas de la chair. La tentation permanente du Peuple Juif est de penser que cette supériorité vient de la chair. Et, en effet,  il [le peuple juif] est grand, mais seulement parce qu'il devait nous apporter le sauveur.

3. La tension entre Juifs et Gentils et la supériorité du Peuple Juif par rapport au peuple des Gentils prennent fin dans la Chrétienté. Cette fin n'est pas temporelle, mais supra-historique.

"Car vous êtes tous un dans le Christ Jésus." (Ga 3, 28b).

 4. Il y a un mystère concernant le Peuple Juif, à savoir qu'une partie de ce peuple a été rejetée, en sorte que les non-Juifs puissent être sauvés.

"Et Isaïe s’écriait à propos d'Israël: [Même] si le nombre d'enfants d'Israël était comme le sable de la mer, [seul] un reste sera sauvé… comme Isaïe l’a prédit: Si Le Seigneur Sabaoth ne nous avait laissé un germe, nous serions devenus comme Sodome, et nous aurions [eu le sort] de Gomorrhe. Que dire donc ? Que les Gentils, qui n’ont pas suivi [une voie de] justice, ont atteint la justice, mais la justice qui [procède] de la foi." (Rm 9, 27, 29, 30).

"Je dis donc, moi [Paul] : Dieu aurait-il rejeté son peuple ? Dieu nous en garde. Car, moi aussi, je suis Israélite, de la descendance d'Abraham, de la tribu de Benjamin. Dieu n’a pas rejeté son peuple qu’il avait discerné par avance. Ne savez-vous pas ce que l’Ecriture dit d'Elie ; comment il en appelait à Dieu contre Israël ? Seigneur, ils ont assassiné tes prophètes, ils ont abattu tes autels ; et je me retrouve seul, et ils cherchent [à attenter] à ma vie. Mais quelle fut la réponse divine qu’il reçut ? Je me suis réservé sept mille hommes, qui n'ont pas plié les genoux devant Baal. Comme alors, il en est également ainsi au temps présent : il y a un reste sauvé en raison de l'élection par la grâce." (Rm 11, 1-5)

St Paul affirme que les Gentils ont reçu la Foi de manière à provoquer la jalousie du Peuple Juif [qui aspireront] à la recevoir aussi [la foi].

"Je demande donc, [les Juifs] ont-ils trébuché, au point de tomber ? A Dieu ne plaise ! Mais par leur infraction, le salut est advenu aux non-Juifs, de manière à susciter leur émulation à leur égard." (Rm 11, 11).

5. La réprobation d'Israël est permise jusqu'à ce que la plénitude du Peuple des Gentils puisse entrer.

"Car, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, (de peur que vous vous croyiez sages) : une cécité partielle est advenue en Israël, jusqu'à ce qu’entre la plénitude de la Gentilité." (Rm 11, 25).

6. Jusqu'à cette époque, cependant, le Peuple Juif sera jaloux des Chrétiens [issus] de la Gentilité. Malheureusement, cela ne lui inspirera pas [le désir] de chercher le salut dont bénéficient les chrétiens de la Gentilité, mais le provoquera à l'hostilité.

7. Au cours de l'histoire, certains juifs seront sauvés.

8. Un jour, tout Israël convertira. (Voir Ps 147 ; Ps 126).

"Maintenant si leur infraction [celle du Peuple Juif] a fait la richesse du monde, et leur diminution, la richesse de la Gentilité, que ne fera pas leur plénitude." (Rm 11, 12).

"Et ainsi tout Israël sera sauvé... " (Rm 11, 26a).

"Ecoutez la parole du Seigneur, Ô vous, nations, et proclamez-le dans les îles qui sont au loin, et dites: Celui qui a dispersé Israël le rassemblera : et il le gardera comme le berger le fait de son troupeau. Car le Seigneur a racheté Jacob, et l'a délivré de la main d'un plus puissant que lui. Et ils viendront, et ils chanteront des louanges dans Sion : et ils se presseront ensemble vers les biens du Seigneur, le maïs, le vin, et l’huile, l’accroissement du bétail et des troupeaux, et leur âme sera comme un jardin arrosé, et ils n’auront plus faim... Ainsi parle Le Seigneur des armées, Dieu d'Israël :  On dira encore cette parole au pays de Juda et dans ses villes quand je ramènerai leur captivité : Que Le Seigneur te bénisse, toi, beauté de justice, sainte montagne! " (Jr 31, 10-12, 23)

"Car je vous le dis, vous ne me verrez plus dorénavant jusqu'à ce que vous disiez : Béni soit Celui Qui vient au nom du Seigneur." (Mt 23, 39).

"Et ils tomberont sous le fil de l'épée ; et ils seront emmenés captifs dans toutes les nations ; et Jérusalem sera foulée aux pieds par les Gentils ; jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis." (Lc 21, 24).

9. La conversion du Peuple Juif à l’Eglise catholique aura lieu au cours de l'histoire.

10. L'histoire va vers un état eschatologique où le Juif et le Gentil seront un.

"Car c'est lui qui est notre paix, lui qui des deux a fait un, détruisant la barrière qui les séparait, supprimant en sa chair la haine, cette Loi des préceptes avec ses ordonnances, pour créer en sa personne les deux en un seul Homme Nouveau, faire la paix, et les réconcilier avec Dieu, tous deux en un seul Corps, par la Croix: en sa personne il a tué la Haine. Alors il est venu proclamer la paix, paix pour vous qui étiez loin et paix pour ceux qui étaient proches… Car la construction que vous êtes a pour fondations les apôtres et prophètes, et pour pierre d'angle, le Christ Jésus lui-même. En lui toute construction s'ajuste et grandit en un temple saint, dans le Seigneur ; en lui, vous aussi, vous êtes intégrés à la construction pour devenir une demeure de Dieu, dans l'Esprit." (Ep 2, 14-17, 20-22).

 

Le Peuple Juif et la fin des temps

 

Nous devons examiner le rôle du Peuple Juif dans ces derniers événements qui, déjà extérieurs à l’histoire, exercent une attraction gravitationnelle sur toute l'histoire. L'ordre de ces événements semble être:

1. La plénitude des nations (telle que prophétisée par St Paul) qui entrent dans l'Eglise catholique.

2. En même temps, les conversions se multiplient au sein du Peuple Juif. Ces développements rendent furieux le noyau dur central du Judaïsme, et leur propagande intense auprès de la Gentilité est couronnée de succès. Alors, viendra l'Apostasie universelle.

"Que personne ne vous abuse d'aucune manière. Auparavant, doit se produire une rébellion et se révéler l'homme de péché, le fils de perdition, qui s’oppose et s'élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu, ou est adoré, allant jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se présentant lui-même comme s’il était Dieu." (2Th 2, 3, 4).

3. L'Apostasie sera contemporaine de [la manifestation de] l'Antichrist (2 Th 2, 3). Il sera reconnu comme le messie des Juifs et maître des Gentils. Il réussira par la suggestion de Satan.

4. La conversion du Peuple Juif suivra, principalement par la prédication d'Elie (et d'Enoch).

"Voici que je vous enverrai Elie, le prophète, avant la venue du jour du Seigneur, grand et redoutable. Et il tournera le coeur des pères vers les enfants, et le cœur des  enfants vers leurs pères..." (Ml 4, 5, 6).

5. Et, concomitamment à l'Apostasie et à l'Antichrist, viendra la Grande Tribulation annoncée par notre Seigneur.

"Car il y aura alors une grande tribulation, telle qu’il n’y en a pas eu et qu’il n’y en aura pas depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant." (Mt 24, 21)

6. Il s’ensuivra que...

"… le soleil s'obscurcira… Et alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme… et ils verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et grande gloire… Et il enverra ses anges avec une trompette et un grand bruit, et ils rassembleront ses élus des quatre vents, des extrémités des cieux jusqu’à leurs confins. " (Mt 24, 29, 30.31).

7. Puis, le Jugement Général.

"Et quand le fils de l'homme viendra dans sa majesté, et tous les anges avec lui, alors, il s'assiéra sur le siège de sa majesté [jugement]: Et toutes les nations seront rassemblées devant lui, et il les séparera les unes des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs." (Mt 25, 31,32).

8. Mais quand la gloire du Seigneur apparaîtra, les cieux passeront, et la terre se dissoudra.

"Mais le jour du Seigneur viendra comme un voleur, [en ce jour] les cieux se dissiperont avec grande violence, et les éléments se dissoudront dans l’embrasement, et la terre et les œuvres qu’elle contient seront entièrement consumées." (2 P 3, 10).

9. Il y aura un nouveau ciel et une nouvelle terre.

"Mais nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre selon ses promesses, dans lesquelles habitera la justice." (2 P 3, 13).

"Car voici que je crée de nouveaux cieux, et une nouvelle terre: et on ne se souviendra plus des choses anciennes et elles ne remonteront pas à la mémoire." (Is 65, 17).

"Et je vis vu un nouveau ciel et une nouvelle terre. Car le premier ciel et la première terre s’en sont allés, et de mer, il n’y en a plus. Et [moi, Jean] je vis la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, descendant du ciel de Dieu, parée comme une jeune mariée pour son époux." (Ap 21, 1, 2)

10. Un banquet éternel dans les cieux.

"Pour que puissiez manger et boire à ma table, dans mon royaume: et que vous puissiez siéger sur des trônes, pour juger les douze tribus d'Israël." (Lc 22, 30)

Tout comme Israël a une mission primordiale dans le temps historique, ainsi en a-t-il une lors des événements eschatologiques. Le Peuple Juif est triplement grand: par son nom d’Israël donné par Dieu, par les avantages reçus de Dieu, et parce qu’il a donné chair à Jésus-Christ. Le Peuple des Gentils, greffé sur cet olivier, a aussi une mission à accomplir dans le plan de Dieu : hâter (à son insu) l'évangélisation du monde.

Mais à la fin, quand les nations seront entrées dans le royaume messianique, Israël, à nouveau inséré dans l'Olivier (c.-à-d., l'Eglise catholique), dont il a été partiellement détaché, annoncera, par sa conversion à l’Eglise catholique, le point de départ des grands événements qui prépareront le Second Avènement du Fils de l’Homme. Et lors de l’accomplissement final de l'eschatologie, dans le banquet éternel de la contemplation divine, appelés de l'Orient et de l’Occident [cf. Ba 4, 37], "ils viendront s’asseoir avec Abraham, Isaac, et Jacob dans le Royaume des Cieux." [cf. Lc 13, 28, 29].

 

 

Epilogue

 

Le Peuple Juif est le porteur du salut en Christ. On ne peut évaluer adéquatement le peuple qui nous a donné Marie et Jésus. Avec eux, nous touchons le Divin. Le Peuple Juif aurait dû reconnaître sa petitesse par rapport à eux. Mais une partie d'Israël a été dévorée d’orgueil. Pour des raisons erronées, elle s'est crue plus grande que toutes les autres races, plus grande même que Jésus-Christ et la Bienheureuse Vierge Marie. Se croyant supérieur à tous, [le Peuple Juif] a édifié une barrière autour de lui pour empêcher la contamination par d'autres, et s’est employé à les dominer. Dans le système de grandeur charnelle temporelle qu'ils ont édifié avec les peuples déchristianisés, les Juifs sont les maîtres, et aucun pouvoir ne semble capable de résister à leur puissance cachée.

Alors, les peuples chrétiens doivent-ils se résigner à un esclavage dégradant ? En aucun cas.

La vie catholique peut se récapituler de la manière suivante :

"Jésus lui dit: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C'est le plus grand et le premier commandement. Et le second lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Mt 22, 37-39).

Aimer signifie chercher le bien de ceux que nous aimons, à savoir, le bien de Dieu, qui est que Son Nom soit glorifié par l’accomplissement de Sa volonté, et le bien de l'homme, qui est que lui soient donnés tous les droits qui lui sont nécessaires pour obtenir son bien-être temporel et éternel. Les infractions à ces "biens" doivent être empêchées et/ou punies par l’autorité responsable. La charité, rappelons-le, n’est pas de la sentimentalité. Elle doit chercher le vrai bien des autres et détester le mal.

Si l’on a compris cela, on peut faire obstacle aux ambitions du Peuple Juif de deux manières simultanément. Premièrement, la vie catholique des nations de la Gentilité doit être raffermie. Puisqu'il y a une loi théologique prouvée par l'histoire, selon laquelle la déchristianisation permet la suprématie du Judaïsme, la restauration de l'esprit catholique dans la vie privée et publique est la seule manière de garantir son déclin [celui du judaïsme]. Deuxièmement, il faut résister aux actes d'agression du Judaïsme. Une stratégie caractéristique du Judaïsme est d’agir de manière mensongère.

"Vous êtes de votre père, le diable, et vous accomplirez les désirs de votre père. Il était meurtrier depuis le commencement, et il ne s'est pas maintenu dans la vérité ; parce que la vérité n'était pas en lui. Quand il profère un mensonge, il parle de son propre fond: car c’est un menteur, et il [est] le père [du mensonge]." (Jn 8, 44).

Les chrétiens de la Gentilité sont éradiqués, sous prétexte de sécurité, asservis au nom de la liberté, méprisés, sous prétexte de fraternité, tenus en sujétion, sous l'apparence de l'égalité (de démocratie), volés, sous prétexte de leur accorder un crédit, enténébrés sous prétexte de les éclairer.

Il est impensable, pour des catholiques, que le Peuple Juif soient réprimé simplement du fait qu’il est Juif. L'argumentation catholique n'est pas hostile à la Judéité en tant que telle. C'est plutôt une défense du véritable héritage juif, dont la gloire est Jésus-Christ et la Bienheureuse Vierge bénie Marie.

"Les juifs ne doivent pas être persécutés ni poursuivis comme des bêtes... Ils sont les preuves vivantes qui nous rappellent la Passion de notre Seigneur. En outre, ils sont dispersés dans le monde de telle sorte que, tout en payant pour un tel crime, ils puissent être les témoins de notre rédemption." (St Bernard de Clairvaux, Lettre 363)

"L'Eglise [catholique] triomphe des Juifs, de manière plus noble, en leur montrant leurs erreurs, ou en les convertissant, qu'en les tuant. Ce n'est pas en vain que l'Eglise a des prières pour les juifs incrédules: car il serait vain de prier pour eux si nous n'espérions pas qu'ils puissent en venir à croire." (St Bernard de Clairvaux, Lettre 365)

L'église catholique défend le véritable legs juif, à savoir, les principes du christianisme, en proscrivant son infection par le pharisaïsme. C'est la prière de l'Eglise catholique que les vrais Israélites comprennent qu'ils ne peuvent pas parvenir à la véritable grandeur de leur peuple, tant qu'ils ne prendront pas eux-mêmes les armes pour éliminer du milieu d’eux le levain des Pharisiens qui les pervertit, et n’adhèreront pas à Celui qui est venu pour sauver tous les hommes.

 

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commentaires

G
Et oui, Metouka Aschkele shéli, <br /> mais tu sais bien comment ils seraient reçus par certains de nos "amis"... Donc, on en reste à du quasi-confidentiel pour ne pas brouiller des relations et surtout, surtout, ne rien changer au fond de la doctrine.
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A
Merci Gad pour avoir fait passer ces deux textes
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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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