Bien que le gouvernement israélien ait refusé de se soumettre à cette parodie d'enquête de l'ONU, sans doute car d'y prêter foi et son concours, c'est déjà se placer en tant qu'accusé, en revanche, l'organisation sioniste mais indépendante NGO Monitor, de l'excellent Pr. Gerald Steinberg a produit une suite de recommandation d'examens à mener, à propos des biais systématiquement introduits par les principales ONG pointant leur doigt vengeur en cachant ces "boucliers humains" qu'un bon "militant, activiste" du Hamas ne saurait reconnaître. Golstone y prêtera t-il seulement un oeil distrait? Ou est-il déjà arrivé sur place convaincu de ce qu'il en ramènerait?
Quoi qu'il en soit, son annonce, hier, qu'il était improbable que son enquête donne lieu à quelque poursuite que ce soit, est en soi, l'aveu que la guerre juridique menée par les ONG (on parle de 936 plaintes tentées en Grande-Bretagne et en Espagne contre Israël) est un volet à part entière de la propagande d'un des deux bélligérants (en l'occurrence, et avec suprise, bien souvent ce n'est pas tant le Hamas qui est derrière ces campagnes, mais bien ce vieux manipulateur de Mahmoud Abbas, champion de la quête du beurre, de l'argent du beurre et de la crémière). Ce volet de "la guerre juridique" a des ramifications déterminantes, puisque suivi, non pas d'inculpations qui, régulièrement, tombent à l'eau, mais de campagnes de boycott, voire de pressions financières intenses sur des sociétés qui, en période de crise économique, ne sont pas toujours dotées des moyens d'y faire face et cèdent à ces campagnes hors-la-loi fondées sur l'insolence et l'abjection pro-terroristes. Récemment, la compagnie française Véolia a subi les assauts de ces ONG, pour un projet de tram. entre Tel Aviv et Jérusalem, reliant notamment certaines implantations isolées quant à leurs infrastructures. Elle a perdu quelques 7 milliards de $, du fait de l'acharnement de pays à l'exclure de ses fonds d'investissement :
Tout ceci ne peut se dérouler qu'avec l'argent du contribuable européen de l'Union, bien souvent, ou d'Etats, comme la Grande-Bretagne qui ont intérêt à nuire à Israël au nom de vieilles rancunes. C'est le cas, également de la Suède, guidée par un mixte de jalousie contemporaine face à un petit Etat qui réussit, et d'un "passé qui ne passe pas", lié à l'intense collaboration aryano-suédoise avec l'Allemagne nazie, les vieux réflexes ne se perdant pas de si tôt.
Donc encore, même si ces ONG ont parfaitement tort du point de vue du droit international et des règles du Bureau International du Travail, des règles de l'OCDE (dans laquelle Israël devrait bientôt entrer), etc., cela ne les empêche pas de réaliser de véritables arnaques commerciales, préjudiciables aux relations au sein du monde libre, à partir d'entorses aux résolutions de l'ONU, notamment concernant la notion de "territoires disputés", encore valable aujourd'hui : Israël ayant été le pays agressé, mais vainqueur, par (et de) 5 pays arabes, il lui revient de fixer les limites qu'il entend observer à toute négociation sur la restitution future ou la conservation de certaines enclaves, dans le cadre d'un accord final avec l'ensemble des belligérants de cette époque (1967 et 1973), et non avec une future entité palestinienne, née longtemps après ces évènements. Aucun accord de ce type n'étant en vue, à l'heure qu'il est, le "business as usual" observé jusqu'à présent reste légalement de rigueur, contrairement à ce qu'essaient de faire croire ces ONG non-qualifiées auprès de leurs interlocuteurs commerciaux qui cherchent surtout à s'attirer le moins d'ennui et de publicité tapageuse que possible. Bref, l'Alsace et la Lorraine ne sont françaises que par l'intérêt stratégique que représentaient ces régions, les Sudètes appartiennent à la Tchéquie parce que l'Allemagne nazie qui y avait implanté de force des populations "aryennes" a été vaincue ; mais la Judée-Samarie, au su de ses profondes racines dans l'Antiquité et des capacités de développement qui y ont été mises en oeuvre au fil des années, devrait être "Judenrein", sans Juifs, comme au bon vieux temps des épurations ethniques, sans quoi, ni l'Amérique ni les pays arabes ne conçoivent aucune paix possible. Ce qui est une requête de poursuite de la guerre par déplacement de populations, faisant office de "règlement pacifique" avec un voisin conçu comme génétiquement infréquentable et intolérable.
Face à ces réelles mises à sac de ce qui marche, pour promouvoir ce qui, jusqu'à présent, n'a pas marché, ces groupements militants ont un impact néfaste et aggravant sur la crise économique dans son ensemble et participent d'un véritable travail de sape et de sabotage. Israël et ses amis doivent se doter de groupements d'avocats internationaux capables de faire pièce à ces tentatives pour démontrer ce que sont les objectifs des boycotteurs, alliés, conscients ou non, de la Syrie et de l'Iran.
NGO Monitor to Judge Goldstone: Reject NGO Warfare
As mandated by the UN Human Rights Council, Judge Richard Goldstone is conducting an investigation, including a “fact-finding mission” to Gaza and public hearings, on alleged “war crimes” violations by Israel during the Gaza War. NGO Monitor has submitted a report to Goldstone, detailing NGO abuses of international law and urging his commission to carefully examine the credibility and biases in NGO claims.
Highlights of NGO Monitor’s submission:
- PCHR’s unsupported civilian casualty statistics and Al Mezan’s demonization of Israel.
- Amnesty biased calls for boycotts and “war crimes” trials, as part of the “Durban Strategy” designed to isolate Israel and prevent self-defense against terror.
- NGO silence on widespread use of human shields by Hamas, in violation of international law
- HRW’s baseless “white phosphorous” campaign.
- The highly biased UN mandate, dealing with “all violations...by the occupying power, Israel (sic), against the Palestinian people.”
- Tendentious NGO reports that influenced the UN Secretary General' report
- “Lawfare” campaigns and “war crimes” trials led by NGOs funded by the EC directed against Israeli officials, under the pretext of “justice for victims.”
Click here to read NGO Monitor’s submission
See also: Anne Herzberg, “NGOs dominate Gaza fact-finding commissions,” Jerusalem Post, June 8, 2009