Voir également : http://blogs.timesofisrael.com/afp-is-once-again-a-willing-accomplice-in-a-hamas-lie/
Agence France-Presse perpetuates a Hamas lie
L'Agence France-Presse se rend, une fois encore, complice d'un mensonge du HAMAS, qu'elle promeut dans le monde entier.
Le Stade de foot de Gaza, d'où sont parties deux missiles de longue portée contre Tel Aviv et Jérusalem.
[ce texte n'est qu'un extrait traduit de l'article plus complet de Mélanie Philips : le brouillard de la Guerre?
On trouve, également, d'excellents articles d'ElderofZiyon, qui démontrent de quelle façon des maisons palestiniennes chauffées au propane, à cause des restrictions d'électricité, se sont enflammées du fait d'éclats d'obus de mortiers ou de qassams stockés par les Palestiniens près de ces habitations, proches de sites d'entrepôts de missiles Fajr-5 iraniens, notamment, dans le quartier de Zeitoun.
L'enfant, Mahmoud Sadallah, âgé de 4 ans, tué, le 16 novembre, durant le premier "cessez-le-feu" de trois heures, accordé par Netanyahou au Premier ministre égyptien en visite, qu'on voit ici -seconde photo du Mirror-, en compagnie d'Ismaïl Haniyeh, est mort des suites de l'explosion prématurée d'un tir de qassam palestinien qui est retombé en territoire palestinien, alors qu'Israël retenait ses coups, en respectant cette première trêve informelle, avant de devoir répliquer à ces provocations. La photo reprise par tous les medias est, évidemment, de l'AFP, qui excelle dans la compliance à l'égard de la propagande du Hamas. Même le "Centre Palestinien pour les Droits de l'Homme", tant décrié pour ses biais pro-Hamas, a reconnu que le tir provenait sûrement d'une roquette palestinienne. Il faut donc être un désinformateur aussi professionnel que Philippe Agret, le chef du bureau AFP de Jérusalem et son acolyte repsonsable de l'édition photo, l'arracheur de dents Marco Longari, pour refuser de corriger ce qui s'avère être de la pure propagande TERRORISTE. 152 tirs de roquettes palestiniennes ont échoué et sont retombés directement sur la tête des Gazaouïs sans quitter leur base de départ, etc. ]
The Fog of War?
Par Melanie Phillips.
Le fait le plus surprenant, concernant la prestation d’Israël, au cours de la guerre de huit jours à Gaza, est relatif à l’idée que ce sont les commentateurs occidentaux qui diffusent le mensonge le plus énorme. Cela concerne la proportion étonnamment faible de victimes civiles palestiniennes.
Ce total correspond à un nombre relativement restreint de morts si on le déduit des 1500 frappes aériennes menées. Il signifie aussi que 57 civils ont été tués, aux côtés de 120 terroristes. Cela donne un ratio de deux terroristes pour chaque civil tué. Si on considère qu’en Afghanistan, le ratio est de trois civils pour chaque combattant tué, et qu’en Irak, il était de quatre civils pour chaque combattant éliminé, on s’aperçoit tout juste de l’exploit stupéfiant, en termes de précision, que les Israéliens sont capables d’accomplir. C’est même encore plus étonnant, étant donné que le Hamas dissimule ses roquettes et munitions en plein milieu de zones d’habitation civile.
Le journaliste américain Anderson Cooper a reconnu, hier, cette précision, lorsqu’il a été interviewé par Wolf Blitzer sur CNN, alors que Cooper revenait en Israël en provenance de Gaza. Reconnaissant que certaines personnes marqueraient leur désaccord avec les faits, Cooper a affirmé qu’il était très clair que Tsahal savait exactement ce qu’il visait. Les Palestiniens le savaient aussi, a-t-il dit : certains d’entre eux sortaient à l’extérieur pour observer les frappes et photographiaient même les attaques, parce qu’ils savaient qu’ils ne constituaient pas les cibles ni ne faisaient l’objet de frappes indiscriminées. Le résultat est que les Israéliens faisaient des efforts évidents pour ne toucher essentiellement que des cibles militaires.
Et la raison de tout cela est qu’ils ont essayé, quelle que soit la difficulté ou l’obstacle civil mis en place par le Hamas, d’éviter de toucher des civils. Aucune autre armée au monde ne va aussi loin dans la tentative d’éviter des victimes civiles ou "dommages collatéraux". Pourtant, aucune autre armée dans le monde n’est accusée comme l'est Tsahal, par les commentateurs occidentaux, non seulement de prendre systématiquement pour cibles des civils, mais surtout des bébés et des enfants – ou, à tout le moins, qu'elle ferait preuve d’une totale indifférence au fait que ses frappes aériennes puissent tuer ces enfants et ces civils.
Des statistiques fiables, concernant le nombre d’enfants tués, ne semblent pas encore avoir été publiées ( et de tels tableaux, sont, pour tout ces évènements, problématiques, puisque les Palestiniens utilisent des adolescents pour perpétrer leurs activités terroristes). Cependant, l’UNICEF (qui n’est pas particulièrement un ami d’Israël), affirme que 22 enfants ont été tués durant les frappes israéliennes. Ce sont 22 morts de trop – mais ce sont encore 22 parmi 177. Etant donné que plus de la moitié de la population de Gaza est constituée de jeunes enfants, cela souligne encore le fait que les Israéliens ont déployé de grands efforts pour éviter de les toucher. Pourtant, les commentateurs occidentaux ont, de façon grotesque, tout fait pour salir les Israéliens et les dépeindre comme des tueurs pathologiques d’enfants.
Parmi ceux qui croient de façon crédule tout ce qu’ils voient et entendent rapporté de Gaza – au Royaume-Uni, sur la BBC, Sky et la Chaîne 4 d’actualité, en particulier [on peut en dire autant de BMF TV, Itele et d'autres chaînes en France, dont on aurait pu attendre une présentation plus balancée, équilibrée/aux médias publics sous la coupe du Quai d'Orsay] – ces accusations modernes de crimes rituels leur ont, sans surprise aucune, arraché des cris de haine passionnelle contre Israël. Les animateurs d’émission ont joué un rôle particulièrement épouvantable dans l’amplification de ces drames, parce que, sans aucun égard pour le nombre infime de victimes enfantines, relativement au grand nombre de frappes aériennes et à la prépondérance de terroristes sur la liste des victimes, la BBC, Sky et la Chaîne 4 d’actualité se sont surtout attardés sur les séquences nouries par la détresse autour des enfants morts. Ils ont ainsi donné la fausse impression que le nombre d’enfants tués était monstrueux, et que les Israéliens sont des brutes épaisses et sans cœur.
Etant donné qu’on peut tirer des expériences passées qu’une couverture médiatique inflammatoire des guerres d’Israël parvient toujours à produire un bond en avant dans la haine des Juifs en Europe et des attaques physiques contre les Juifs, il me semble qu’une couverture aussi malhonnête n’est pas seulement un énorme abus de responsabilité de la part des programmateurs d’émission, mais que cela constitue aussi une forme d’incitation indirecte à la haine raciale. Je pense, par conséquent, que cette question mérite d’être soulevée devant le Parlement, comme un sujet à traiter d’urgence.
Adaptation : Marc Brzustowski