Les Chrétiens perdent le lieu de naissance de Jésus au profit des Musulmans palestiniens et personne ne proteste…
Marc Brzustowski.
Le comble de la lâcheté est atteint, de la part du Vatican, toujours prompt à requérir « l’Internationalisation » de Jérusalem, capitale indivisible du Peuple Juif, lorsqu’il consent à ce que l’UNESCO classe la Basilique de la Nativité, édifiée sur les lieux supposés de la naissance de Jésus, parmi les « Sites en danger du Patrimoine mondial », au profit des revendications politiques des Palestiniens.
Que l’on se souvienne, la dernière fois que cette église a été « mise en danger », c’était en avril-mai 2002, lorsqu’environ 200 terroristes d’Arafat et du Hamas, entrés par la force des armes, s’étaient retranchés avec des otages, un prêtre et sept religieuses, dans cet édifice. Il fallut alors des tractations qui durèrent 39 jours pour les en déloger et qu’une solution « pacifique », consistant à expulser 13 d’entre eux en Europe et 26 à Gaza, ne finisse par être trouvée.
Les 13 Palestiniens expulsés alors en Europe ont, pour la majeure partie d’entre eux, été impliqués dans des attentats sanglants contre des civils israéliens. Ibrahim Abayat du Fatah est soupçonné d’avoir commandité l’assassinat de l’officier israélien Yaakov Edery et du civil américain Avi Boaz. Jihad Haara également du Fatah a participé aux tirs sur le quartier de Guilo en 2002 à Jérusalem. Ismaël Hamdan est soupçonné d’être impliqué dans le meurtre de trois Israéliens. Nidal Abou Glarif et Mohamed Salem sont impliqués dans deux attentats suicides à Jérusalem. Bassam Hamoud, quant à lui, est l’un des « ingénieurs » de la machine terroriste. Ce sont plusieurs bombes humaines que ce membre du Hamas aurait préparées.
L’UNESCO, organe révisionniste mondial qui a récemment accueilli la « Palestine » comme s’agissant d’un « Etat-membre », vient d’entériner la politisation de ces lieux saints, en les reconnaissant parmi les édifices "menacés" du patrimoine mondial : on se demande bien où réside ce danger, excepté à travers cette dénaturation, cette défiguration officielle de sa vocation de témoignage spirituel pour ceux qui se reconnaissent dans l’exemple donné par ce rabbi galiléen nommé Jésus.
Ce vote s’est affirmé en parfaite opposition usurpatrice de l’avis d’un comité expert de scientifiques, archéologues, historiens, réunis pour évaluer ce « risque » et qui s’est clairement opposé à cette réquisition purement idéologique et… parfaitement anhistorique, illogique.
Lorsque le « danger » n’existe pas, l’organisme imposteur et falsificateur mondial se charge de procéder à ce type de mascarade, lui permettant, au passage, de fustiger l’Etat d’Israël pour des « intentions » ataviques qu’on ne prêterait même pas au Diable en personne.
Les seuls perdants de cette palestinisation de la naissance de l’icône chrétienne sont ses 2 milliards d'adeptes eux-mêmes, dont la seule préoccupation semble être d’adopter profil bas et de ne jamais élever la voix, au risque de froisser le maître de Ramallah, chargé de piloter, à un train d'enfer, pavé de martyrs-suicide, le destin de leurs âmes et de collecter l’obole de 2 millions de visiteurs annuels.
L'AP réalise une belle OPA, toute à son idéologie doloriste, au détriment des racines juives de la Chrétienté.