Adapté Par Yéochoua SULTAN
pour Aschkel.info et Lessakele
Nouvelle arnaque médiatique
Les terroristes, avec leur mise en scène de flottille humanitaire, n'ont pas seulement berné l'Europe et les pays démocratiques, mais également le haut-commandement de Tsahal. Le bouclier humain a changé de visage: des civils complaisants sont pris en photo sur le pont, les terroristes attendent cachés derrière eux. Et, en effet, quand les soldats du commando maritime (Hachayéteth) se sont laissé glisser le long d'une corde jusqu'au bateau, afin d'intimer au capitaine l'ordre de mettre le cap vers le port d'Ashdod, ils n'avaient pas les armes à la main.
Approchant du pont du bateau, ils ont été happés par les pieds, et roués de coups de barres de fer. Les meilleurs de nos soldats ont été esquintés par une bande de terroristes extrêmement violents, alors qu'ils s'attendaient à parlementer avec l'équipage, puisqu'il semblait, au départ, que ce dernier était composé de gens bien intentionnés qui ignoraient simplement que les habitants de la bande de Gaza, zone interdite aux Juifs, sont très très bien nourris.
Des soldats témoignent.
Bien qu'il soit pénible de voir nos jeunes risquer leur vie et se retrouver dans cette situation, le gouvernement et Tsahal ont décidé de laisser parler ces soldats blessés qui auraient dort bien pu y laisser leur vie et ne pas en revenir, étant donné la mise en place, une fois encore, d'un énorme mensonge propagé à la vitesse de la lumière, dans le monde entier, et destiné, comme de coutume, à justifier la haine contre Israël et les Juifs:
Un jeune soldat, après avoir reçu les premiers soins, encore sous le coup de l'agression, raconte:
«Nous sommes arrivés au-dessus du bateau, pour y accoster. Nous avons compris que quinze personnes se trouvaient sur le toit. Ils ont attrapé la corde et l'ont attachée sur l'une des antennes. Nous avons utilisé la seconde corde. Et en fait, chaque fois que quelqu'un descendait – nous sommes descendus l'un après l'autre – il s'est retrouvé entouré de trois ou quatre individus qui l'ont explosé de coups. Ils se sont mis à le lyncher. Ils l'ont entraîné de côté. Ils avaient tous des matraques en fer, des couteaux, des frondes, des bouteilles en verre. A un moment donné, on nous a tiré dessus à balles réelles. Je suis descendu parmi les derniers, j'ai vu mes compagnons éparpillés par terre, chacun avec trois ou quatre personnes autour de lui. J'ai vu l'un d'entre nous allongé par terre, avec des gens qui continuaient à l'exploser, je me suis approché pour les décoller de lui. Ils se sont dirigés vers moi et ont commencé à me frapper avec leurs barres de fer. Alors que j'ai levé le bras, pour ne pas recevoir les coups sur la tête, ils me l'ont cassé. Pendant toute cette agression, je n'avais pas d'arme dans ma main. Ceux qui sont descendus le long de la corde l'ont fait sans arme à la main. Les mains découvertes, et l'arme derrière le dos… enfin, cette arme, c'est un fusil spécial, qui sert à disperser les manifestations, à couleur. J'étais sans arme à la main. Ils sont venus à moi et m'ont attaqué. Je suis arrivé à les mettre par terre. J'ai bondi en arrière et me suis emparé de mon arme à peinture, leur tirant en direction des jambes, avec le paintball. Mes assaillants ont frappé le fusil d'un coup de barre de fer et l'ont fait voler en éclats. Je me suis retrouvé les mains nues. J'ai tenté alors de sortir le pistolet que j'avais dans ma poche, mais j'ai senti que mon bras ne répondait plus. J'ai vu deux de mes amis étendus sur le sol. De là, on voyait l'entrée d'un couloir. Des tirs provenaient de ce couloir. On nous a tiré des balles réelles, sans arrêt, avec de vraies armes. Nous avons vu le canon d'une arme. L'un de nous a tiré vers cette arme. Après quelques minutes, nous avons réussi à y arriver, mais le tireur n'y était plus. Nous étions en tout quinze et ils étaient pour finir une trentaine.
Ils sont venus pour faire la guerre. Nous, on est venus pour leur demander de s'aligner, pour parler avec eux et leur demander de descendre du toit. Et eux, ils se sont rués sur chaque homme qui descendait. Ils ont jeté des hommes de l'étage du haut à l'étage inférieur, par-dessus la balustrade. Ils ont jeté des gens à la mer, les ont dépouillés de leur matériel, de leur casque. Ils leur ont fait faire une chute de tout un étage. Il y en a qui ont sauté à l'eau, c'était leur dernière chance.
Nous sommes donc venus avec les paintballs, pour leur parler. On nous a dit que s'ils font volteface, de leur tirer sur la plante des pieds. Mais on devait avancer en ligne, retrouver le capitaine et lui intimer l'ordre de prendre le bateau jusqu'à Ashdod. Nous étions préparés et sommes venus dans l'intention de prendre le bateau et de l'amener à Ashdod. Nous n'avons pas pris les armes que nous prenons avec nous habituellement, nous sommes venus pour autre chose, de complètement différent. Premièrement, parler avec eux: "Monsieur, si vous faites obstruction, vous risquez d'être touché". Nous avons répété à l'entrainement cet exercice plusieurs fois. Nous devions, en cas de résistance, viser à titre dissuasif les pieds, pour qu'ils voient qu'on est décidés. Le pistolet, c'était vraiment en cas de dernier recours, et uniquement en cas de menace réelle de danger de mort, ce qui n'aurait absolument pas dû se passer. Vraiment si quelque chose d'absolument anormal arrive. Et finalement, c'est arrivé. Nous étions quinze contre trente.»
Il décrit ce qu'il a découvert en fouillant, par la suite, l'un des terroristes:
«J'ai trouvé deux cutters, un canif, une matraque télescopique, sur une seule personne! Il avait dans sa seconde poche du gaz lacrymogène, et d'autres produits du même genre.»
Le correspondant de Galé Tsahal, la chaîne radiophonique, Tal Lev-Ram, a rapporté les témoignages faisant état d'armes automatiques longues avec lesquels les terroristes, que beaucoup qualifient sans n'avoir rien vérifié d'activistes pour la paix, tiraient depuis les couloirs du bateau. Lev-Ram est une des premières personnes, en dehors des responsables de Tsahal, à avoir vu les caisses entières de couteau à cran d'arrêt, et les nombreuses armes blanches, que transportaient les contrevenants.
Un autre membre du commando, Y., témoigne: «Je suis descendu de l'hélicoptère dans les premiers; au moment où je terminai la descente, un groupe de personnes m'a entouré. Ils m'ont jeté des chaises, frappé avec leurs matraques et des bouteilles en verre. On a trouvé après une quantité incroyable de couteaux. On a réussi à prendre notre pistolet à la main, et nous avons donc tiré sur les pieds des agresseurs. Ceux qui me frappaient, je leur ai appuyé le pistolet sur le pied et j'ai tiré. C'est simple, tous ceux qui prenaient une balle se calmaient. Il n'en fallait pas plus. On n'est pas venu pour tuer des gens, c'est suffisant de les neutraliser. Il n'y a aucun intérêt à tuer pour rien. On est venus pour faire stopper le bateau, c'est tout.»
Le premier poursuit: «Quand on est confrontés à toutes ces barres de fer, on comprend que la mort n'est plus très loin, et on est obligés de réagir. C'est une foule qui s'est jetée sur nous, sans arrêt. Elle a créé la confrontation physique.»
Y. relate la suite des opérations: «Quand nous avons terminé avec le toit, nous sommes passés sur le pont et avons essuyé des tirs. Il y a eu une première rafale qui ne nous a pas touchés. Nous avons eu des échanges de tirs. Nous avons progressé lentement sur le pont, mais nous n'avons pas pu voir qui tirait. Nous devions arrêter le bateau. Quand nous sommes parvenus à l'intérieur, nous avons vu dans l'une des chambres une femme avec une petite fille. Nous l'avons laissée là, elle n'était pas active. Tous les hélicoptères qui sont venus ensuite ont recueilli les blessés. Ils ont soigné aussi les leurs. Les gens qui étaient sur le bateau ont essayé de nous prendre nos armes, notre matériel.»
En ce qui concerne les blessés, les informations sont encore floues. Le premier témoin en parle: «Il me semble que le jeune homme blessé a été tué au milieu de la foule. Ils l'ont brisé et piétiné. Ils ont vraiment fait sur lui un lynchage. On a pu arriver jusqu'à lui, il était désarticulé. Notre commandant a pris une balle dans la jambe: il ya deux orifices, la balle est ressortie ; et un autre jeune homme (soldat) a pris une balle dans le ventre, ses bras sont tout fracturés et son visage complètement éclatée.»
Y. poursuit: «Quelque secondes après mon arrivée, il m'a dit: "J'ai reçu une balle dans le ventre". Mais je n'avais pas d'autre choix que de continuer à combattre.»
Ces propos ont été recueillis par Tsahal et diffusés pour rétablir la vérité vécue sur le terrain. Mais il ne fait aucun doute que la femme assise dans la chambre avec la petite fille aura sa photo dans plus d'un journal avide de propagande avilissante et antijuive.
Les témoignages (en hébreu) et les films montrant la violence inouïe de l'accueil réservé à nos soldats
(צילומי הוידאו והסטילס באדיבות דובר צה"ל)