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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 12:37

Les jolies oies blanches de l'Occident vont-elles ainsi continuer de se faire plumer, pendant que l'Euro, la Grèce ou d'autres pays prennent l'eau? Et tout cela pour le simple plaisir de financer le terrorisme anti-israélien??? Sacrée bande de "caves"... aurait ajouté Gabin...

L'Autorité palestinienne paie plus de 5 millions de dollars mensuels en salaires versés aux terroristes palestiniens et arabes israéliens emprisonnés. Avec notre argent...

Saeb-EREKAT--Autorite-palestinienne.jpg

Hélène Keller-Lind


http://www.desinfos.com/spip.php?page=article&id_article=26452

mercredi 27 juillet 2011
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -




Le rapport de Palestinian Media Watch dont le Jerusalem Post avait fait sa une en mai dernier a été confirmé par l’Autorité palestinienne:celle-ci paie des salaires aux terroristes condamnés qui purgent des peines de prison en Israël. Si on en reparle aujourd’hui, c’est que le directeur de l’ONG rencontre actuellement aux États-Unis des membres du Congrès américain. Les États-Unis, comme l’UE font partie des donateurs permettant à l’Autorité palestinienne de fonctionner. A court de fonds, celle-ci demande actuellement une rallonge financière...


Un salaire mensuel pour les terroristes condamnés et emprisonnés

« L’Autorité palestinienne a donné en mai dernier dans une loi sa définition concernant quels Palestiniens sont à considérer comme « prisonniers » et « bénéficient donc de « ratib » ou paiement : « Quiconque est emprisonné dans les prisons de l’occupation [Israël] pour avoir participé à la lutte contre l’occupation. »
[Ch. 1 de la Loi sur les Prisonniers, 2004/19, votée et publiée par le Président et le Gouvernement, Décembre 2004. Le Centre des Prisonniers pour les Etudes, www.alasra.ps, vu 9 mai 2011]

 

Autrement dit, tous les Palestiniens qui sont en prison en Israël pour avoir commis des actes terroristes font officiellement partie du personnel de l’Autorité palestinienne. Selon cette définition de la loi de l’Autorité palestinienne les voleurs de voitures qui sont en prison en Israël ne percevront pas de salaire, alors qu’un assassin et terroriste appartenant au Hamas ou au Fatah en percevra un. » .

 
On lit plus loin dans ce rapport : « L’Autorité palestinienne verse également un salaire aux Arabes israéliens condamnés pour avoir commis des actes terroristes contre Israël – le pays dont ils sont citoyens. »

Et on apprend que plus la sentence est longue, plus le dit « salaire » augmente, que les familles des condamnés perçoivent également des versements, que leurs frais légaux sont pris en charge, etc.

Et PMW souligne que, selon l’Autorité palestinienne, les États-Unis, l’UE, la France, la Grande-Bretagne, l’Irlande, la Norvège, le Japon, l’Inde et la Banque Mondiale versent des fonds pour son budget.


Cela est confirmé par l’Autorité palestinienne et représente plus de 5 millions de dollars par mois. Le Congrès américain alerté

Le Jerusalem Post avait repris ce Rapport de PMW en une, à l’époque Et le ministre palestinien chargé des prisonniers avait confirmé l’existence de cette loi, ajoutant qu’il en avait toujours été ainsi et que l’Autorité palestinienne a toujours payé des salaires aux prisonniers. Il ajoutait que ces salaires venaient d’être augmentés

Si l’information est reprise aujourd’hui et que la place qu’elle mérite sodahead.com ou warnewsupdates.blogspot.com ou 

www.militaryphotos.net - commence à lui être donnée aux États-Unis, c’est que le directeur de PMW est actuellement aux États-Unis où il rencontre des membres du Congrès et donne des conférences de presse. Il leur a livré des chiffres, précisant que l’Autorité palestinienne débourse ainsi plus de 5 millions de dollars par mois pour ce poste

Autre précision, trouvée dans le quotidien officiel palestinien Al-Hayat Al-Jadida par PMW : ce sont 5.500 prisonniers qui touchent ainsi de tels salaires. Le « salaire » moyen étant de 3.129 shekels mensuels, - 635 € environ - soit plus que le salaire d’un fonctionnaire palestinien.

Mis à part qu’il est scandaleux que l’argent des contribuables des pays donateurs soit utilisé pour payer des terroristes, l’aspect incitatoire de ces paiements est évident. On se demande si les assassins des 5 membres de la famille Fogel, dont 2 petits enfants et un bébé, reçoivent ainsi un paiement pour leur forfait. Ce qui expliquerait sans doute en partie que l’un de ces assassins se soit réjoui de ses actes après son arrestation...

 

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 11:43

 

 

Gros plan et Vidéo sur la Brigade Kfir spécialisée dans la lutte contre le terrorisme en Judée-Samarie

http://blogtsahal.wordpress.com

La Brigade Kfir, la plus jeune et la plus grande brigade d’infanterie de Tsahal, fut créée officiellement en février 2005 en réponse au besoin urgent d’avoir une force d’infanterie de qualité capable de lutter contre le terrorisme palestinien dans la région de Judée-Samarie. 

Soldats de la Brigade Kfir

La Brigade Kfir (‘Hativat Kfir’, litt. lionceau) est composée de six bataillons qui sont spécialisés dans la lutte antiterroriste et la guérilla, en particulier la guérilla urbaine et la guérilla en terrain compliqué (terrasses, broussailles, etc.). Les soldats effectuent des arrestations de personnes recherchées,  des opérations contre les organisations terroristes et leurs infrastructures et d’autres opérations de sécurité. Chaque bataillon opère sur une zone différente en Judée-Samarie.

Vidéo :  Présentation de la Brigade Kfir en images

Le Bataillon Nahshon opère autour de Toulkarem et Qalqilya. Il réalise de nombreuses opérations contre les organisations terroristes, telles que des arrestations, des embuscades, etc. Le bataillon a remporté de nombreux succès en infligeant de lourdes pertes aux infrastructures terroristes. Il tire son nom du personnage biblique Nahshon ben Aminadav qui selon le récit biblique fut le premier à traverser la Mer Rouge lors de la sortie d’Égypte des hébreux durant l’Exode. Ce personnage symbolise l’esprit pionnier et l’héroïsme.

Le Bataillon Samson opère dans la région de Betlhéem. L’unité d’infiltration ‘Samson’ a été créée en 1989 dans les régions de Judée-Samarie et de Gaza. Les soldats de cette unité se déguisaient en arabes pour réaliser des opérations militaires ou collecter des renseignements. Cette unité fut démantelée en 1995, avec le transfert de la ville de Gaza sous autonomie palestinienne. En novembre 1997, il fut décidé de créer un bataillon d’infanterie régulier dédié à la zone de Gaza : il s’agit du bataillon ‘Samson’. Le bataillon tire son nom du héros biblique Samson (ou Shimshon en hébreu), l’un des Juges d’Israël, réputé pour avoir une force gigantesque qui lui venait de sa longue chevelure.

Le bataillon Harouv a été créé en 1995, mais son histoire remonte à 1966. C’est à cette date que l’ancien Chef d’État-major Yithak Rabin eut l’idée de créer l’unité d’élite ‘Harouv’. Cette unité était spécialisée dans l’activité de sécurité de routine le long de la frontière avec la Jordanie. Après avoir été démantelé, le Bataillon ‘Harouv’ a été rétabli en 1995. Aujourd’hui, le bataillon est spécialisé dans le combat en zone urbaine. L’activité principale du bataillon consiste en la réalisation d’arrestations et d’opérations ciblées contre les organisations terroristes. Il est responsable de la ville de Naplouse.

Le Bataillon Douhifat opère à Ramallah. Le bataillon tire ses racines de l’unité d’élite ‘Douhifat’ qui avait été créée au sein de la Brigade Parachutiste. Elle fut démantelée et reconstituée en 1992 en tant que bataillon d’infanterie spécialisé dans la lutte antiterroriste dans la région de Judée-Samarie. Parallèlement, le bataillon combat aux côtés des chars de la 401ème Brigade du Corps Blindé Mécanisé, si nécessaire.

Le Bataillon Lavi opère au sud du Mont Hébron et dans la ville de Hébron. Il a été formé vers la fin des années 1990, en réponse à la volonté de Tsahal d’assigner chaque bataillon à un secteur de manière permanente, afin d’améliorer la connaissance et la spécialisation qu’a chaque bataillon de sa propre zone. Le mot ‘lavi’ est l’un des trois mots signifiant « lion » en hébreu. Le lion est le symbole du Commandement de la Région Centre.

Le Bataillon Netsah Yehouda opère dans la zone de la Vallée du Jourdain ; il est responsable des points de passage de Taisir, Beqaot et Gitit. Il tire son nom du Lion de Juda, symbole de la longévité et de la pérennité du peuple juif. Il a été créé en 1999 dans le cadre d’un projet commun de Tsahal, du Ministère de la Défense et de l’association des rabbins de la communauté juive ultra-orthodoxe, le bataillon a pour fonction d’aider la population juive ultra-orthodoxe à s’intégrer dans la société israélienne par le biais de l’armée. Il apporte une réponse unique aux besoins des soldats qui y servent en matière de religion (nourriture strictement casher, absence de contact avec les femmes, etc.)

Les soldats de cette brigade sont reconnaissables par leur béret couleur militaire, leurs chaussures rouges. Leur fusil d’assaut est le M-16 raccourci, et le profil médical minimum requis pour intégrer la brigade est de 82.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 20:40

L’éditorial de Mediarabe.info

En attendant leurs miracles, le Hezbollah béatifie ses terroristes

http://mediarabe.info/spip.php?article2014

Une nouvelle religion est née, fondée sur la violence, la drogue et les mariages de jouissance... Et des apôtres à la pelle en attendant Judas !!

mardi 26 juillet 2011 - 14h50, par Mediarabe.info - Rome

Logo MédiArabe.Info

Aux abois, le Hezbollah est déboussolé, au point de perdre la direction de la Mecque, de Qum, de Nadjaf et de Karbala, les lieux saints de l’islam et du chiisme plus particulièrement. Ainsi, après avoir prouvé son attachement politique à l’Iran au détriment du Liban, le Parti de Dieu vient d’attester sa perte idéologique en "béatifiant des terroristes". Un acte prohibé par l’islam !

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Mohammed Raad, l’un des responsables du Hezbollah, a réitéré dimanche le refus catégorique de son parti de livrer ses militants suspectés par le Tribunal international pour le Liban d’implications dans les assassinats politiques depuis 2004, notamment dans celui de Rafic Hariri. Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Parti, avait affirmé que « ces militants ne seront arrêtés ni dans 30 jours (conformément au mandat d’arrêt lancé début juillet) ni dans 30 ans, ni dans 300 ans ».

Mais les choses semblent se compliquer pour le Parti de Dieu, qui n’a de Dieu que le nom. La presse libanaise croit savoir que le Tribunal s’apprête à lancer un second mandat visant, cette fois-ci, des responsables politiques et sécuritaires libanais, anciens et actuels, ainsi que des personnalités syriennes très proches du régime de Bachar Al-Assad. Le Tribunal devrait également, toujours selon les mêmes sources, publier l’acte d’accusation détaillé et faire ainsi la lumière sur les implications des uns et des autres dans le terrorisme qui a frappé et décapité la classe politique libanaise et les milieux journalistiques et intellectuels (Marwane Hamadé, Georges Haoui, Antoine Ghanem, Pierre Gemayel, Walid Eido, May Chidiac, Wissam Eïd, Samir Kassir, Gebran Tueini, Samir Chehadé, Samer Hanna...). Le Hezbollah ne pourra alors plus se dédouaner des attentats, les détails étant accablants pour lui et pour ses commanditaires.

Aujourd’hui, la seule défense du Parti s’articule autour de l’attaque, dans un but bien précis : intimider la communauté internationale et la contraindre à cesser la recherche de vérité. C’est dans ce cadre que Mohammed Raad a littéralement « pété les plombs » en annonçant que « plus il y aura de suspects réclamés par la justice internationale, mieux c’est pour le parti ». Car, a-t-il expliqué, « ils seront tous érigés en icônes et placés au rang de saints ». Le Hezbollah veut ainsi béatifier des terroristes qui ont réalisé des miracles en répandant la terreur et la mort au Liban, et qui récidivent aujourd’hui en Syrie.

Mais en voulant faire de ces terroristes vivants des icônes et des Saints, le Hezbollah bat en brèche l’islam dont il se revendique. Car c’est une religion qui ne reconnait aucune icône et aucun Saint. D’ailleurs, les contradictions entre le Hezbollah et l’islam sont légion : il en va des mariages de jouissance tolérés voire encouragés par le Parti ; de la consommation et du commerce de la drogue, alors que le Hezbollah produit et exporte de la drogue pour financer son terrorisme...

Ainsi, le Hezbollah invente un nouveau concept et une nouvelle religion. Fini le temps où la Kabaa de la Mecque en Arabie saoudite, ou le sanctuaire de Qum en Iran, ou encore les villes saintes de Karbala et de Nadjaf en Irak, étaient les références du parti de Dieu. Désormais, le terrorisme, la violence et le mensonge sont les maîtres mots du Hezbollah. Le comble est que des politiciens chrétiens se déclarent les apôtres de cette nouvelle secte et affirment que « la survie du Liban dépend de celle du Hezbollah et de son armement ». Mais heureusement, ces apôtres ont déjà joué le rôle de Judas et ne manqueront pas de récidiver.

En attendant le miracle, les Libanais prient pour en finir avec cette occupation d’un nouveau genre. Ils regrettent qu’après la succession des occupations étrangères (l’OLP de Yasser Arafat, Israël, la Syrie), ils sont aujourd’hui victimes d’une occupation interne menée par une milice armée, défendue par des politiciens opportunistes. A la veille du Ramadan, les vrais miracles se font toujours attendre. Le premier serait le transfert des faux Saints à La Haye.

Mediarabe.info

© Nos informations, analyses et articles sont à la disposition des lecteurs. Pour toute utilisation, merci de toujours mentionner la source« MediArabe.info »

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 20:36
Gaza : Israël accuse le Hamas d’acquérir des armes sophistiquées auprès de Kadhafi
mardi 26 juillet 2011 - 15h37
Logo MédiArabe.Info

Zouhair Andarous, du quotidien « Al Quds Al Arabi », affirme que les autorités israéliennes craignent l’arrivée massive d’armes sophistiquées à Gaza. Des sources bien informées à Tel-Aviv ont en effet révélé hier que d’importantes quantités d’armes, dont des missiles sol-air, ont été introduites dans la Bande de Gaza en provenance de Libye, à la faveur de l’instabilité qui caractérise la frontière avec l’Egypte depuis la chute de Hosni Moubarak. Les tribus du Sinaï contribuent à ce genre de trafic, ajoutent les mêmes sources. La presse israélienne a de son côté affirmé que le Hamas a reçu des missiles anti-chars semblables à celui qui avait visé un car scolaire au sud d’Israël ainsi que des missiles sol-air et des explosifs de forte puissance.

Le quotidien « Al Quds Al Arabi » ajoute que des centaines de missiles Grad de 120 et 122 mm et d’une portée allant jusqu’à 70 km, ont été récupérés en Libye et envoyés à Gaza. Des obus de mortier de 60 mm et d’importantes quantités d’armes automatiques ont également été transférés au Hamas. Israël redoute particulièrement l’introduction de missiles anti-aériens dans le conflit, ce qui pénalisera sérieusement sa suprématie aérienne.

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Voir en ligne : Al Quds Al Arabi

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 14:48

 

ANALYSE-A-LA-UNE

Oslo et l’Europe à l’épreuve des nihilismes, suspendus au-dessus du vide absolu


 

 

par Marc Brzustowski

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info


 

Certains ont voulu s'affronter aux 1518 pages d’autojustification d'Anders Breivik, le « tueur-fou » d’Oslo et de l’île d’Utoya, intitulé « 2083 ». Ils n’en retireront, sans doute, qu’une mixture plus ou moins cohérente, relatant le vide moral et spirituel dans lequel se débat ce meurtrier de masse.

 

« Tueur-fou », entre guillemets, car rien, à cette heure, ne démontre qu’il le soit réellement. En tout cas, pas plus que les 99% de socio ou psychopathes (selon la nomenclature en vigueur) qui s’abritent, dans les sociétés occidentales, derrière la normalité extrême de leurs comportements et de leurs pensées, avant l'éventuel passage à l’acte.

 

Ses attitudes –comme le fait de se travestir en policier, symbole de l’ordre moyen- autant que son idéologie, relatent, jusqu’à l’ennui, la préparation mentale d’un sauteur à l’élastique avant le grand balancement dans le vide. Seule ivresse permise, le regain d'adrénaline pour savoir qu'on n'est pas mort.

 

Chrétien auto-déclaré, il fait appel aux Chrétiens « agnostiques et athées » chez qui il reconnaît des « frères en inhumanité », à condition qu’ils partagent le même plus petit dénominateur commun : se reconnaître comme appartenant à la même culture. Mais encore? Celle des « nous aux yeux bleus » contre les « eux » de l’Islam, auquel seul le « Nazisme » apporterait un terreau « créatif ».

 

Il se veut aussi « Templier », à travers son appartenance à la loge maçonnique de « Saint Jean Olaf aux trois colonnes », dont, malheureusement, il n’a été exclu qu’après les faits. Joachim Vélocias (ICI) fait un bon résumé de l’inspiration de cette branche écossaise de la maçonnerie : sa mission serait de venger l’exécution de son Grand Maître, Jacques de Molay, par Clément V en 1314. Les chevaliers dont il se revendique, maniaient le poignard et l’hébreu « Nekam » (vengeance), pour rejeter la divinité du Christ autant que sa preuve chrétienne par la crucifixion.

 

C’est bien ce qu’il faut entendre par « chrétien agnostique » : celui qui se réfère à sa culture occidentale (en d’autres temps, on parla d’Aryanisme), et non à une Eglise ou un corpus de lois et croyances en particulier, censé lui enseigner ce en qui ou quoi il doit croire.

 

Peu importe, donc, le Livre ou la « morale » du « plus petit dénominateur commun » entre la Torah et le Second Testament : l’Amour de son prochain, selon Hillel, au premier siècle, entre « image de D. » et projection au-delà de soi. Ce qui compte est l’amour du crime sanctifié comme « juste » et la désignation de l’ennemi de l’humanité : cette fois, l’Islam, mais 70 ans plus tôt, on aurait pu tout aussi bien en désigner d’autres.

 

On suit donc assez obscurément le fil directeur de la pensée de Breivik qui le conduit de cette référence à l’ordre occulte jusqu’au nazisme, en parfaite cohérence avec lui-même. Au même moment, on est saisi de vertige, sur le fil de la corde raide qui lui permet d’invoquer, aussi bien, Nietzsche que les penseurs  modernes d’Eurabia, dont Bat Ye Or. Car nous avons là tous les ingrédients pour une plongée radicale dans le conspirationisme le plus noir.

 

Le penseur allemand du basculement dans le XXè siècle était tout sauf un antisémite : il fustigeait Wagner, duquel il se sépara, et tous ces penseurs petits-bourgeois allemands qu’il avait en horreur sacrée. Et pourtant, le Nazisme a voulu le récupérer pour excuser la médiocrité de son propre narcissisme racial fondé par un artiste-peintre raté. Il peut en aller de même, à titre du crime de masse comme "oeuvre suprême", chez Breivik. Nietszche et Bat Ye Or l’aident à supporter son propre manque à être, dans une société en déliquescence : celle d’un ciel désespérément vide qui plonge aux fonds des enfers pour tenter d’y puiser du Sens… (avec un double "S" majuscule...).

 

Il n’y a pas antinomie à rejeter la Chrétienté comme spiritualité, tout en empruntant certains canons de la controverse « judéo-chrétienne » du XIIè siècle : comme l’Incarnation de D., qui signe une des divergences multiséculaires les plus remarquables entre Judaïsme et Christianisme… L’essentiel n’est pas la personne de l’Incarné ou son refus, mais simplement, que quelque chose ou quelqu’un ne soit pas et que son évocation enclenche une guerre fratricide mortelle jusqu'à la métaphysique…

 

Pas « d’interférence », non plus, à la reprendre comme « Athéisme culturel » qui ne peut être révélé que par l’extrême de ses actes, tout comme les adeptes du régime nazi ; mais, cette fois, avec le « courage » de l’acte solitaire qui n’est protégé par aucun régime autre que celui du scandale absolu : le meurtre de masse.

 

C’est l’identité de ses victimes, ensuite, qui interroge : toute la tragédie se passe entre Norvégiens : « Templier » drapé dans le sang sacrificiel de son acte, contre société démocrate-chrétienne ou/et socialiste.

 

Un raciste, en tant que tel, va s’en prendre directement, au groupe qu’il rejette. L’acte « rédempteur » de Breivik s’attaque aux deux symboles de son propre gouvernement : les bureaux du Premier Ministre de Norvège, et une île devenue le carrefour de la pensée unique de Norvège : là où on apprend à être un jeune « normal et tolérant » et à haïr, de façon « moyenne », tiède » et sans passion, les « ennemis de la tolérance ». Aujourd'hui, ce seraient les détenteurs d’une identité et d’une terre à défendre - ce qui est inconcevable dans la Norvège de demain- : Israël, par exemple. On sait, désormais, que 48 heures, à peine, avant le drame, ces jeunes victimes se concertaient sur l’utilité du « boycott » contre la seule démocratie du Moyen-Orient. Voilà un défi "socialiste"...

 

On pourrait détecter là une grande lassitude du système pluraliste, dénué de toute exemplarité et de toute transcendance. Pour les jeunes Norvégiens, comme pour Breivik, le ciel est aussi désespérément vide. Aucun modèle ne vaut et s'il marche, alors, il faut trouver les moyens justifiés de le défaire. Le socialisme qu’ils disent défendre est juste froidement humaniste-sélectif, sans souvenir aucun des premiers pionniers et de leurs « petits frères colons » à boycotter définitivement : qu’ils aient incarné le bien suprême hier, ils n’en sont pas moins la marque du mal absolu pour les jeune bourgeois nantis et éduqués dans la naphtaline, d’Oslo.

 

Le trop plein d’aisance génère, chez les uns et chez l’autre, le même malaise, le même manque à être, sauf à se trouver une identité mythique, chez Adolph ou chez Nietszche, qu’importe ! Et un ennemi à haïr pour combler ce vide.

 

Les pays nordiques détiennent des records de niveau de qualité de vie… et de taux de suicide. Le « croisé » moderne est devenu le spectateur d’une histoire qui se fait sans lui, au Moyen-Orient, mais dont les partis exigent des prises de position, jusqu’à la justification du pire.

 

La « Chrétienté » dont se revendique Breivik ou ses clones passés, contemporains et futurs, d’extrême-droite ou de gauche délavée et compassée des dirigeants actuels de la Norvège, est une enveloppe vide : c’est cette espèce de « socialisme » en creux que Jacques Le Goff détecte dans le Christianisme naissant :

 

Breivik reproche aux siens d’avoir perdu leur amour-propre, pour se consacrer, par excès de tolérance à une forme de « xénophilie ». Lui-même est simplement, carrément xénophobe. Ses justifications consistent à prêter un vague sens quelconque à ses actes, sorte de « suicide » de son vivant, se regarder être condamné aux yeux de la société dans laquelle il vit, comme en un purgatoire sans incarnation.

 

Dans un cas comme dans l’autre, on assiste à un monologue stérile, le discours de l’acteur sur ce qu’il fait ; ou le discours à l’infini de la société sur elle-même et sur le monstre qu’elle a conçu. Une société du bien absolu qui relativise tout, même le sens de la vie et de la mort, et jusque-là : celle des autres. Elle ne sait puiser des forces vives » que dans le sang frais des conflits en miroir que lui renvoie son amour de soi, confortable, bien-pensant et terriblement déréalisant.

 

L'Europe doit, d'urgence, repenser son rapport à la transcendance, c'est-à-dire à soi et aux autres (et peut-être même se chercher un "ailleurs", un "au-delà"?), plutôt que se contenter de radoter la même morale vieillissante et désespérante : celle de la diseuse de leçons, -comme de bonne aventure-, qui occulte l'ôdeur des massacres sur lequel repose sa tranquillité feinte d'aujourd'hui...

 

Le problème n'est pas tant "l'invasion musulmane", même si le fait démographique apparaît "démontré", que l'absence de capacité à construire des valeurs positives à défendre face à l'adversité ou à la colonisation culturelle au nom de la "tolérance" : celle qui consiste à se fondre en l'autre par manque à être ou à se massacrer allègrement entre-soi pour mieux faireentrer l'image de l'autre-"rédempteur", parce que dévastateur, enfin "dérangeant"... 

 

Dans ce cas, un terrorisme en vaut un autre : les moyens, les conséquences et les justifications se valent.

 

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 10:01

 

http://www.israel7.com

Un signe qui ne trompe pas sur l’inquiétude dans les rangs de Tsahal à propos du réarmement du Hamas, est la multiplication des « missions » du Shin Bet dans les milieux palestiniens qui évoluent dans les réseaux de contrebandes d’armes depuis l’Egypte vers la Bande de Gaza. Des sources palestiniennes indiquent « que des agents israéliens téléphonent à des ‘ouvriers’ travaillant dans les souterrains leur proposant de l’argent, des permis de travail en Israël ou de les prévenir avant les bombardements des souterrains, en échange de renseignements sur les approvisionnements d’armes au profit du Hamas. Tous les Palestiniens n’ont pas accepté de collaborer avec Tsahal et ceux qui l’ont fait auraient été mis en prison.
Le Hamas a augmenté récemment le rythme de l’approvisionnement en armes, profitant notamment du laxisme des forces de sécurité égyptiennes dans le Sinaï, dû à la situation floue dans le pays. A Tsahal on craint par exemple que le mouvement terroriste n’ait profité du chaos égyptien pour faire entrer à Gaza de l’armement nouveau et plus sophistiqué qu’auparavant. Mais un officier supérieur admet également de manière laconique « que le Hamas a profité de divers allègements concédés par Israël pour faire entrer d’autres marchandises que la nourriture ou du matériel de construction »…
Toute cette évolution a fait tirer la sonnette d’alarme à Tsvi Fogel, ancien commandant de la région militaire sud, qui écrit un article très audacieux afin de réveiller les consciences des dirigeants israéliens. « Alors que le gouvernement, poussé par la rue et les médias, à déjà les yeux tournés vers les prochaines élections et doit se concentrer sur les nombreux sujets sociaux à l’ordre du jour, nos responsables oublient qu’à nos portes, le Hamas et le Hezbollah se préparent activement au ’Jour J’ où ils ouvriront les hostilités contre notre pays » écrit en substance Tsvi Fogel. Ce dernier critique également « l’euphorie israélienne » face au développement de nouveaux systèmes de défense anti-missiles (« Iron Dome ») alors qu’aucun moyen n’existe actuellement pour protéger hermétiquement le pays face à des pluies incessantes de missiles. « Les prétextes pour ouvrir un front avec Israël sont très nombreux au Hamas, au Hezbollah, à l’AP et même en Syrie » explique l’officier-supérieur, « et d’ici au mois de septembre, Israël risque d’être une nouvelle fois surpris ».
En conclusion de son article très réaliste, Fogel propose une recette qu’Israël utilisait autrefois, mais a hélas abandonnée : prévenir le mal plutôt que tenter de le guérir ensuite. « La sonnette d’alarme retentit depuis un moment, y a-t-il quelqu’un là-haut pour se réveiller ? », s’interroge Fogel.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 08:49

 

 

Des parlementaires européens se pressent pour rencontrer les terroristes du 'Hamas

 

Par Aschkel -  © 2011 www.aschkel.info

 

 

http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=407881

http://www.qassam.ps/news-4766-Haniyeh_met_European_parliamentary_delegation.html 

 http://terrorw.wordpress.com/

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-802487,0.html


 

Nous avons quelques photos de 2010 de la "Star" du parti vert Gallois qui est tombée en extase devant Mah'moud Zahar en disant de lui qu'elle a été impressionée par sa générosité et son érudition, et dit d'Ismail Haniyeh qu'il est calme et réfléchi, et accusant Israël de perpétrer des actes de terrorisme dans la bande de Gaza.

 

on l'a voit ici poser 

1. avec Haniyeh et Zahar - 2010

2. Aux cotés de son véhicule portant de logo de l'organisation IHH turque - 2010

3. Portant un drapeau peace et du parti national syrien (inspiré su parti nazi) à Lattaquié en Syrie - 2010

 

 

 

 

 

 

Une délégation de haut parlementaires européens est arrivée Dimanche 24.07.2011 à Gaza par le passage Egyptien de Rafah..

 

Le Conseil européen des relations pour les palestiniens a déclaré dans un communiqué que des membres du parlement européen et des parlements nationaux se rendent à Gaza pour ensuite sensibiliser sur la situation humanitaire, les effets de siège d'Israël et du rôle de l'Egypte à Rafah

 

Cette délégation comprend  le président du Parti travailliste Tony Llyod, et la porte parole libérale démocrate pour le Ministère de la Justice la baronne Faulkner (seule musulmane à la chambre des Lords)



Le groupe se réunira avec des responsable de l'Onu sur place, les autorités locales du (Hamas), des groupes de femmes, visite d'universités et centres culturels sont prévus.

 

Et la visite de tunnels de contrebande

Et la visite des entrepôts d'armes du 'Hamas

Et la visite des hotels, centre commerciaux grands luxe

Et la visite des  superbes villas des dirigeants du 'Hamas 

 

Non !!!

 

Par contre Visite des quartiers pallywod, laissés délabrés à cet effet !

 

 

Ismail Hanyeh a rencontré cette délégation au siège des ministres, les a informé sur les derniers développements de la question palestinienne, en soulignant les violations d'occupation contre le peuple palestinien désarmé, en particulier dans la bande de Gaza, appelant à des efforts concertés pour arrêter les pratiques d'occupation contre le peuple palestinien.

 

Il n'y a plus un juif qui vive dans la Bande de Gaza depuis 2005, sauf Guilad Shalit, déténu et dans quelles conditions ? Pas de visite pour lui.

 

Les responsables sécuritaires insistent sur les capacités renforcées du 'Hamas depuis l'ouverture du Passage de Rafah. Des armes en quantités massives et de plus en plus élaborées transitent par le Sinaï.

http://www.haaretz.com/print-edition/news/israeli-sources-arab-spring-let-palestinians-ramp-up-gaza-arms-smuggling-1.375067 

 

Haniyeh a donné une lettre pour le parlement européen et les parlements du monde, à travailler pour lever le siège sur la bande de Gaza, soulignant la nécessité de se déplacer et de faire cesser toute occupation.

 

Un petit texte pour se rappeler des bonnes oeuvres des anglais

 

L'islam européen, version anglaise
par Xavier Ternisien

LE MONDE | 10.08.2006


La scène était d'anthologie. Le soleil couchant illuminait la Corne d'or. Sur fond de musique ottomane, le gratin de la prédication islamique posait devant le belvédère du palais de Topkapi, le soir du 2 juillet à Istanbul. Le grand mufti de Bosnie, Mustafa Ceric, lisait d'une voix solennelle un texte intitulé "Déclaration de Topkapi". "Le terrorisme sous toutes ses formes est un affront à l'humanité, proclamait l'homme de foi. En aucune circonstance, l'islam ne peut admettre le terrorisme et le meurtre de civils."

Il y avait là le cheikh qatari Yussuf Al-Qaradawi, le grand mufti d'Egypte Ali Gomaa, l'intellectuel musulman suisse Tariq Ramadan, le chef de l'opposition islamiste tunisienne Rachid Ghannouchi et bien d'autres. Les grandes instances représentatives de l'islam dans les pays européens, telles que le Conseil français du culte musulman (CFCM), le Muslim Council of Britain, l'Islamrat et le Zentralrat allemands, étaient présentes. Les quelques jeunes musulmans présents se poussaient du coude pour être pris en photo devant les icônes de l'islam contemporain : Sami Yussuf, un chanteur de pop islamique azéri qui vend des millions d'albums à travers le monde, Amr Khalid, le "télécoraniste" égyptien, coqueluche des classes moyennes musulmanes, Yussuf Islam (alias Cat Stevens) ou encore Hamza Yusuf, un Américain converti qui prêche la réconciliation entre l'Islam et l'Occident...

Discrètement, quelques diplomates du Foreign Office veillaient au bon déroulement de l'opération. Car si cette "conférence des musulmans d'Europe" était officiellement préparée par un "comité d'organisation" composé de personnalités musulmanes, c'étaient bien les Anglais qui étaient à l'initiative de l'événement et le finançaient.

La diplomatie britannique a fait de l'islam un axe majeur de son action. Au Foreign Office, une section spéciale, créée après les attentats du 7 juillet 2005, a pour nom "Engaging with the Islamic World". "C'est un instrument de diplomatie publique en direction du monde musulman, explique un diplomate français. Les Britanniques sont soucieux d'améliorer leur image, après leur participation à la guerre en Irak." Cette communication s'adresse également à la communauté musulmane en Grande-Bretagne. Elle vise à montrer que la politique britannique à l'égard du monde musulman ne se résume pas à la question irakienne et que le gouvernement de Sa Majesté considère l'islam avec bienveillance. Le pragmatisme des Anglais les conduit même à entretenir des relations avec des personnalités influentes, mais jugées peu fréquentables en Occident, comme Youssouf Al-Qaradawi, qui soutient les attentats-suicides dans les territoires palestiniens.

La conférence d'Istanbul a été l'occasion de mettre en avant les vertus du modèle d'intégration anglais. Lors de la soirée d'ouverture, une série de photos de Peter Sanders a été projetée aux participants, sous le titre : "L'art de l'intégration. L'islam dans le doux et vert pays britannique." On pouvait y voir une jeune femme aux yeux bleus voilée dans le drapeau anglais, un imam officiant au prestigieux collège d'Eton, le prince Charles visitant une école coranique entre deux petites filles voilées, une église anglicane transformée en mosquée, une styliste dessinant des vêtements islamiques, un chirurgien musulman officiant, avec ce commentaire sous la photo : "Votre coeur est entre ses mains."

Au cours des débats qui ont précédé la déclaration finale, l'interdiction du voile dans les écoles en France a été souvent évoquée comme une forme de discrimination. Visiblement, la loi française n'a pas été suffisamment expliquée dans le monde musulman. Controversé en France, Tariq Ramadan n'en a pas moins défendu le modèle français : "Il ne faut pas comparer les modèles et dire que le britannique est supérieur au français, a-t-il lancé. Il faut juger chaque modèle selon ses propres principes et protester lorsqu'il y a un écart entre les principes et la pratique."

OPÉRATION DE SÉDUCTION

L'opération de séduction menée par la diplomatie britannique s'exerce aussi en France. En mai, une délégation de jeunes musulmans de Grande-Bretagne, qui comprenait la baronne Kishwer Faulkner, l'un des sept membres musulmans de la Chambre des Lords, est venue en France pour un voyage d'études organisé par le Foreign Office. Ils ont visité des mosquées, rencontré des imams, ont été reçus au lycée privé musulman Averroès à Lille.

L'ambassade de Grande-Bretagne multiplie les contacts avec les organisations musulmanes françaises. Lhaj Thami Brèze et Fouad Alaoui, les deux dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), ont des relations régulières avec ses diplomates. Par comparaison, M. Brèze, qui est pourtant président du Conseil régional du culte musulman (CRCM) en Ile-de-France n'a jamais été reçu par le maire de Paris, Bertrand Delanoë.

La politique française de relations avec le monde musulman est plus frileuse. Le gouvernement semble privilégier les relations avec l'islam officiel, étroitement contrôlé par les Etats. Successivement, Jean-Pierre Chevènement, Nicolas Sarkozy, lorsqu'ils étaient ministres de l'intérieur, et Philippe Douste-Blazy, ministre des affaires étrangères, ont rendu visite à l'imam de l'université d'Al-Azhar, au Caire, Mohammed Sayed Tantaoui, dont la représentativité est très contestée par les musulmans. La France aurait pourtant besoin de faire des efforts de communication : d'après un sondage de l'institut américain Pew Research Center, publié en juin, son image s'est beaucoup dégradée dans les pays musulmans, avec par exemple 61 % d'opinions négatives en Turquie. La laïcité à la française n'exclut pas, pourtant, un dialogue avec des responsables religieux : Jacques Chirac a reçu à l'Elysée, le 15 mai, sept patriarches et chefs d'Eglises orientales. A cette occasion, le président de la République a vanté "l'ancienneté et l'étroitesse des liens qui unissent la France" aux communautés chrétiennes d'Orient.

Dans le cadre du "dialogue des civilisations" et de la lutte contre le terrorisme islamiste, plusieurs pays européens entament un dialogue volontariste avec le monde musulman. En avril, l'Autriche a organisé, à Vienne, une conférence européenne des imams. Les musulmans français étaient quasiment absents des débats. A Istanbul, sous l'impulsion des Britanniques, il a été décidé de créer un "forum des organisations musulmanes à l'échelon européen". Un islam d'Europe est en train de voir le jour. Le paradoxe veut que, bien que la France soit le premier pays musulman d'Europe, cet islam s'exprime pour le moment en anglais.

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 19:06


Mer morte - Terroristes en provenance de Jordanie suspectés de trafic d'armes interceptés

 

Par Aschkel -.idf

 

Weapons confiscated from smugglers

Weapons confiscated from smugglers
Israel news photo: IDF

 

 

Les soldats et la police israélienne ont dans la nuit de dimanche,  intercepté un bateau et deux terroristes en provenance de Jordanie par la mer morte  qui tentaient d'introduire des armes

 

Ces suspects ont été attrapés alors que les forces de sécurité enquêtaient sur d'autres terroristes.

La Jordanie et Israël sont cosignataires d'un traité de paix, mais les terroristes essaient de traverser la frontière dés qu'ils en ont l'occasion.

Les palestiniens forment la majorité de la population, mais les bédouins minoritaires qui détiennent les rênes du (le roi lui-même est un bédouin) sont de plus en plus impliqués dans les activités terroristes contre Israël notamment en ce qui concerne le trafic d'armes, et surtout actifs dans la péninsule du Sinaï dans toutes sortes de trafic entre l'Egypte et la Bande de Gaza.

Les forces de sécurité ont saisi des kalachnikovs, des munitions et autre matériel.

Ailleurs en Galilée, Dimanche, les forces de sécurité ont découvert dans un village arabe, 6 grenades assourdissantes et arrêté un suspect de 42 ans.

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 23:14

Les forces françaises et afghanes ont infligé de lourdes pertes aux insurgés en Kapisa

http://www.opex360.com

21 juillet 2011 – 14:16

En organisant un attentat suicide au cours duquel 5 militaires français ont été tués, la semaine passée, les insurgés afghans ont obtenu une victoire médiatique en donnant l’impression qu’ils pouvaient frapper là où ils voulaient. D’où les commentaires défaitistes de certains journalistes et éditorialistes disant que les taliban étaient en train de gagner la partie.

Pourtant, au-delà de l’émotion légitime suscitée par la perte totale de 7 soldats français en trois jours, les insurgés reçoivent eux-aussi des coups qui portent. Il conviendrait de ne pas l’oublier et cela expliquerait d’ailleurs, en partie, leur recours aux attentats suicides, signe de leur impuissance à s’imposer dans une région stratégique pour eux.

Ainsi, du 1er au 11 juillet, les forces de sécurité afghanes et les militaires de la brigade La Fayette ont conduit une importante opération, appelée Shamshir, dans la vallée d’Alasay, en Kapisa, avec pour objectif d’occuper un secteur disputé par les insurgés.

La même zone avait été auparavant le théâtre d’une reconnaissance offensive menée du 30 mai au 2 juin par le Groupement tactique interarmes (GTIA) Raptor, principalement armé par le 1er Régiment de Chasseurs parachutistes (RCP) de Pamiers. Ce dernier avait été notamment accroché dans les villages d’Adizai et d’Etaman.

Ce sont donc 700 soldat et policiers afghans et autant de militaires français qui ont été engagés dans l’opération Shamsir. Outre ceux du GTIA Raptor mobilisés pour cette mission, des éléments du GTIA Quinze-Deux, armé par le 152e Régiment d’Infanterie de Colmar, ont appuyé le dispositif sur son flan sud.

Au cours de ces 10 jours d’opération, plusieurs villages ont été ratissés, ce qui a permis de mettre la main sur de nombreuses caches d’armes. Pendant ce temps, la police afghane a procédé à des interpellations d’insurgés – ou de soutiens à l’insurrection – présumés.

Les accrochages avec les combattants taliban n’ont pas manqué. Et selon l’Etat-major des armées (EMA), une quarantaine d’entre eux ont été « neutralisés » (compendre tués) lors de ces combats. Et une dizaine d’autres ont été faits prisonniers.

L’autre enseignement de l’opération Shamshir, du moins selon l’EMA, est la bonne coordination de la compagnie A du GTIA Raptor et le Kandak 33 de la 3e Brigade de l’Armée nationale afghane (ANA), lesquels ont manoeuvré et traité les même objectifs en commun.

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 23:07

Plus de 50 combattants du réseau Haqqani tués en Afghanistan

23 juillet 2011 – 16:25

http://www.opex360.com

Au début du mois de juillet, la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF) avait indiqué avoir tué Ismaïl Jan, un responsable du réseau Haqqani, au cours d’une frappe aérienne dans la province de Paktya (est de l’Afghanistan).

Ce chef du groupe terroriste était très probablement le responsable de l’attaque suicide contre l’hôtel Intercontinental de Kaboul, commise quelques jours plus tôt et au cours de laquelle 12 personnes avaient trouvé la mort.

Le réseau Haqqani, qui a établi sa base arrière dans le Nord-Waziristan (Pakistan), est très actif dans les zones frontalières de l’est afghan. Fondé par Jalaluddin Haqqani, qui a combattu les forces soviétiques dans les années 1990, ce mouvement est soupçonné d’être aidé en sous-main par des éléments avec l’Inter-Service Intelligence (ISI), le service de renseignement de l’armée pakistanaise, et d’avoir commis plusieurs attaques à Kaboul au cours de ces dernières années, dont celle ayant visé l’ambassade d’Inde en juillet 2008 (60 tués).

Aussi, avec le mouvement taleb, c’est l’un des groupes d’insurgés le plus actif en Afghanistan. Et après la perte d’un de ses commandants, il vient de subir un nouveau revers important, le 22 juillet. Selon l’ISAF, plus de 50 de ses combattants ont en effet été éliminés lors de l’attaque d’un camp d’entraînement, situé dans la partie orientale de la province de Paktika.

« Le campement accueillait des membres d’Haqqani et des combattants étrangers. Ces combattants entraient dans le pays grâce aux insurgés Haqqani, qui les utilisaient pour mener des attaques en Afghanistan » a précisé le communiqué de l’ISAF.

L’opération ayant conduit à ce résultat avait été lancée dès le 20 juillet au soir par les forces spéciales afghanes et des militaires de la coalition internationale. Comme l’ISAF ne donne jamais les nationalités des troupes engagées, il s’agit probablement des éléments appartenant à l’armée américaine.

Quoi qu’il en soit, la mission a duré jusqu’à l’aube du 22 juillet. Les forces afghanes et internationales ont été accrochées par plusieurs groupes insurgés, au point que des appuis aériens ont été nécessaires.

Outre les pertes infligées au réseau Haqqani, l’opération a permis de mettre la main sur un très important stock d’armes (mortiers, AK-47, lance-grenades, munitions, RPG).

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  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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