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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 09:55

http://www.israel7.com

Le ministre de la Défense, Ehoud Barak, a ordonné de suspendre les pourparlers avec l’AP concernant la restitution de dépouilles de 84 terroristes enterrés en Israël. L’annonce lundi de ce geste envers l’AP, décidé il y plusieurs mois par le Premier ministre Binyamin Netanyahou, avait provoqué pas mal de réactions négatives, notamment parmi les familles endeuillées par le terrorisme, mais aussi de la part de la famille Shalit, qui ne cesse de se demander pourquoi Israël n’utilise pas les leviers qu’elle a en main pour faire pression sur l’AP et le Hamas. Et même si Noam Shalit a déclaré mardi à « Galei Tsahal » « que cette suspension ne serait pas suffisante pour faire pression sur le Hamas », il estime cependant « qu’il n’est pas nécessaire de leur faire des cadeaux au vu de la situation actuelle ». Ehoud Barak justifie sa décision en disant « qu’il ne faudrait pas restituer des corps de terroristes qui pourraient servir de cartes dans les négociations pour la libération de Guilad Shalit ». Et pour bien montrer l’état d’esprit dans lequel se déroulent les pourparlers avec l’AP concernant ces dépouilles, il suffit d’écouter ce que déclarait Hussein A-Sheikh, responsable des Affaire civiles au sein de l’AP et impliqué dans les contacts avce Israël: »En plus de ces 84 corps, il y a encore 102 dépouilles qui ne sont pas identifiées, et les négociations se poursuivent au sujet de leur restitution. Mais il est hors de question qu’Israël recoive quoi que ce soit en échange ». C’est comme cela qu’on « négocie » chez les Arabes palestiniens.

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 09:20

 

 

 

 

Les contribuables européens financent par leurs gourvernements et à leur insu des ONG pro-palestiniennes douteuses, voire terroristes- Les Pays-Bas ripostent !

 

Uri Rosenthal

Uri Rosenthal -

Ministre Hollandais des affaires étrangères

 

Les contribuables européens financent par leurs gourvernements et à leur insu des ONG pro-palestiniennes douteuses voire terroristes- Les Pays-Bas réagissent !

 

Adapté par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info

http://kern.pundicity.com/9851/netherlands-cuts-funding-anti-israel-ngos

 

Lors de la visite de d'Abbas au Pays--Bas

 

Cette flottille, organisée et financée par le 'Hamas, avec les deniers des Occidentaux, aura grâce à l'honnêté de certains militants pacifistes, le mérite de dévoiler beaucoup de dysfonctionnements.

Les gouvernements européens subventionnent toute une liste d'ONG pro-palestiniennes douteuses, avec l'argent de leurs contribuables.


Nous savions déja que les Européens financent, à coup de millions d'euros, l'Autorité palestinienne qui fait la promotion de la délégitimation d'Israël a travers le monde, encourage l'industrie de la haine dans son systeme éducatif, par emploi du double langage, ne cesse de nier le droit à l'existence de l'Etat juif comme écrit dans sa charte, dans les journaux ou les émissions télévisées.

 

D'ailleurs lors de la récente visite d'Abbas au Pays-Bas, Uri Rosenthal, le ministre des affaires étrangères néerlandais lui a fait savoir qu'il ne soutiendrait pas une déclaration unilatérale devant l'assemblée générale des Nations-Unies.

 

Lors de cette même rencontre, plusieurs législateurs qui ont participé à une discussion avec M.Abbas lui ont reproché d'esquiver : 


-"Monsieur Abbas évite de répondre aux questions concernant le terrorisme palestinien – Je pense qu'il est un leader arabe typique qui a deux faces, qui peut être très sympathique en Occident, et très militant dans le monde arabe ! " a déclaré l'un d'entre eux Joël Voordewind, parlementaire du Parti de l'Union chrétienne.

http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/145402 

D'autres ONG, financent les opérations de boycott BDS, ainsi que le terrorisme, sans que les gourvenements ne vérifient la destination des fonds qu'ils allouent.

 

NGO Monitor a répertorié tous ces dysfonctionnements. Je vous recommande encore une fois d'aller sur leur site, ainsi que sur celui de Palwatch de notre ami Itamar Marcus

http://www.ngo-monitor.org/index.php  - http://www.pmw.org.il/

 

Le contribuable européen doit savoir et exiger de son gouvernement qu'il lui fournisse la liste des ONG pro-palestinienne qu'il subventionne entre autre.

Le contribuable européen doit savoir que ces fonds servent aussi a monter des propagandes mensongères qui lui seront resservies à toutes les sauces pour qu'il s'emeuve davantage.

 

INFORMEZ-VOUS ! 

 

Aschkel - Enquête A suivre.......

 

 

 

 

Le Ministre des affaires étrangères néerlandais affirme qu'il mettra en œuvre des mesures radicales pour empêcher le transfert de millions d'euros du contribuable hollandais d'aller vers des organisations "d'aides humanitaires" qui prônent le boycott d'Israël, telles BDS et autres ONG aux objectifs douteux et financements douteux qui nient le droit à Israël d'exister.


Le ministre Uri Rosenthal a découvert que les gouvernements précédents ont alloué pas moins de 10 millions d'euros à des groupe néerlandais douteux de promotion d'activités palestiniennes contre Israël.

 

Le débat sur la question était surchauffé le 15 juin, lorsque les chefs des principales ONG néerlandaises ont été invités à témoigner à une audience spéciale, convoquée par le parlement néerlandais pour discuter de l'activité des ONG en Israël et dans les "territoires palestiniens".

 

Les députés ont entendu les responsables des principales ONG néerlandaises défendre les activités de BDS contre Israël ainsi que le plaidoyer d'une "solution à un état" pour résoudre le conflit palestino-israélien.

 

Pendant l'interrogatoire, le Directeur de l'Organisme catholique pour le Secours et le développement (Cordaid), René Grotenhuis, a défendu BDS comme "légitime" car, dit-il, "Il est important que les gens en "Palestine" cherchent des moyens de résister à l'"occupation" et c'est une manière non-violente de le faire".

 

Le directeur de l'Organisation inter-églises de Coopération au Développement (ICCO), Marius Verweij, a dit qu'il croit que la solution à deux états n'est pas une bonne base pour la paix.

 

Lors de l'audience il est également apparu qu'Oxfam Novib, la filiale néerlandaise d'Oxfam international a fourni des fonds a l'ONG néerlandaise. La fondatrice du groupe anti-israélien, Greta Dusenberg est malheureusement célèbre pour sa déclaration, lors d'une manifestation où elle a ouvertement appelé à ce que les juifs soient gazés. Elle a également accusé les Israéliens de trafic d'organes humains.


L'audience terminée, Johan Driesen, du Parti de la Liberté [de Geert Wilders] hollandais, a déclaré : "C'est la première fois que je me suis assis pour discuter avec les directeurs des groupes d'assistance et j'ai  trouvé leurs propos dégoûtants. Il me semble que le gouvernement hollandais devrait réduire le financement et la promotion des organisateurs de ce programme".


L'ampleur du problème a été documentée dans un rapport publié par ONG Monitor à Jérusalem dans un rapport intitulé >>>>>.  Financement indirect du gouvernement néerlandais ICCO et Cordaid – Appui aux ONG radicales. Cette étude montre que le gouvernement néerlandais accorde des centaines de millions d'euros chaque année à ICCO et Cordaid qui transfèrent les fonds a certaines ONG sur le terrain qui s'avèrent les plus extrémistes et actives dans le conflit.


En conséquence, les contribuables néerlandais financent, sans le savoir, des groupes antisionistes qui font la promotion des activités BDS contre Israël entre autres.

Plusieurs de ces groupes sont en train d'organiser des événements qui se tiendront en Israël en  Juillet, événements de propagande visant à  délégitimer l'Etat d'Israël. Par exemple des militants européens arrivant de toute l'Europe par l'aéroport de Ben Gourion à Lod le 08 juillet veulent tenter de passer en Judée-Samarie une semaine de "solidarité" avec les Palestiniens..Ils ont choisi cette date pour marquer l'anniversaire de la décision de la Cour internationale de la Haye du 09 juillet 2004 déclarant illégale la barrière de sécurité contre le terrorisme.

Selon un autre rapport, les contribuables néerlandais versent également des fonds à Electronic intifada, un site internet qui compare les Israéliens aux Nazis et promeut des activités de boycott en tous genres, BDS inclu. Ces sites et groupes sont financés par ICCO, subventionné à 90 % par le gouvernement néerlandais.


Comme documenté par NGO monitor, ICCO joue un rôle central dans la stratégie de Durban et la guerre politique et juridique contre Israël avec des accusations fréquentes d'apartheid, de nettoyage ethnique, de génocide lent. Des articles sur le site d'Electronic Intifada justifient la violence contre les civils israéliens, disent que Gaza est un "camp de concentration", considèrent les pourparlers de paix comme de la "collaboration", tout le vocabulaire employé durant la période nazie est utilisé contre Israël. Des pages entières de soutien a BDS figurent sur le site.


ICCO consacre une page entière à Electronic Intifada (EI), louant son travail comme "une nouvelle source d'engagement sur le terrain, reconnue internationalement" et qui offre une alternative et un contrepoids aux rapports "trop" positifs à propos d'Israël. ICCO renouvelle sa promesse de financement  pour trois ans, et le directeur de l'ICCO Verweij appelle EI "une importante source d'information" (!!!) et insiste : "en aucune manière EI n'est antisémite ou anti-israélien" (ben voyons....).


Selon ONG Monitor, des groupes tels qu'ICCO et Cordaid, ne fournissent pas systématiquement les informations concernant le financement des ONG ou groupes locaux, les listes de partenaires ou bénéficiaires ne sont pas disponibles, et ces organismes ne semblent pas être sous la surveillance et l'évaluation des fonds néerlandais versés de façon indirecte aux ONG douteuses.


Uri Rosenthal, au vu de ces éléments, a décidé de se pencher directement sur la question et déclare : " Si l'ONG ICCO subventionnée par le gouvernement finance Electronic Intifada, alors elle aura un sérieux problème avec moi!". Rosenthal a déclaré, également, qu'il interviendra auprès du Centre d'information et de documentation sur Israël (CIDI) basé à la Haye pour bloquer le financement des groupes faisant la promotion de la campagne "BDS". "Une réévaluation minutieuse des candidats aux subventions est nécessaire, intervention qui aura lieu, également, dans le cas des organismes qui agissent contre la politique néerlandaise" [ils y seront, peu ou prou, assimilés].


Le gouvernement néerlandais a réduit cette année le soutien financier qu'elle accordait à Cordaid de 42%, l'obligeant a se séparer d'un tiers de ses 400 travailleurs. Oxfam-Novib a vu son budget réduit d'un quart, l'amenant a annuler ses opérations enn Amérique latine et Asie centrale. ICCO a perdu plus d'un tiers de ses subventions gouvernementales en 2011.


Le Vice-Premier Ministre Maxime Verhagen a annoncé, pour sa part, qu'il envisageait de nouveaux plans pour renforcer les relations politiques et économiques avec Israël, lors d'un discours au Technion de Haifa, le 14 Juin, il a également annoncé l'inauguration du Conseil de coopération néerlando-israélienne pour Janvier 2012 avec ce slogan : "Investissez plutôt que de boycotter!"


D'autres signaux indiquent un changement radical dans les relations israélo-néerlandaises. En avril le gouvernement néerlandais a sévi contre la filiale néerlandaise de l'organisation terroriste IHH, principale organisatrice des flottilles, en raison de son implication avec le 'Hamas, en la plaçant dans la liste des organisations terroristes. L'IHH transférait régulièrement des fonds à l'IHH en Allemagne (> forte diaspora turque). En Allemagne aussi IHH a été interdite, car elle amassait des fonds pour les terroristes du 'Hamas.


Le Parlement néerlandais a approuvé une décision, en février, décrivant Israël comme état juif démocratique. Elle a entrainé le vote de 113 des membres du parlement sur 150, approuvant Israël comme l'état juif et exhortant l'Union Européenne à ne pas reconnaitre la délcaration unilatérale d'un Etat palestinien.

 

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 08:08

 

 

http://www.postedeveille.ca/2011/07/

Écoutez Zorba le Grec avant le boycott des produits grecs à l'appel des amis du Hamas et du régime iranien qui veulent punir la Grèce d'avoir empêché le départ de la flottille pour Gaza :


_______________

Dans un message à l'ambassadeur de Grèce au Canada, l'Association Canada Palestine menace de lancer un appel au boycott des produits grecs : 

Votre Excellence*

 : 
Le gouvernement grec semble avoir succombé à la pression et au chantage israéliens visant à empêcher la flottille de la liberté de partir de la Grèce. ... Par ce geste,  le gouvernement grec et son pays s'impliquent dans les crimes de guerre et l’apartheid israéliens. ... Nous appellerons à un Boycott des Produits Grecs si vous n'annulez pas immédiatement votre action hostile envers les défenseurs internationaux des droits humains. …

Hanna Kawas

Canada Palestine Association

 

Cette appel au boycott est relayé par le site du chrétien anti-sioniste et pro-khomeyniste britannique Stephen Sizer. Voici comment il est présenté sur The Spittoon, un site de musulmans britanniques libéraux, dans un billet intitulé The Evangelical Intifada (traduction partielle):

Stephen Sizer [photo] est un vicaire anglican et un théologien bien connu qui se présente comme un expert mondial de la théologie extrémiste. Il affirme que la plupart des chrétiens qui soutiennent Israël sont des «sionistes chrétiens» obsédés par la Fin des Temps. Le Dr Anthony McRoy, un théologien évangélique, partage les vues de Sizer et estime que les chrétiens sionistes sont un obstacle à la paix.

En 2007, Sizer a accepté une invitation à donner une série de conférences en Iran. Il avait été invité par Zahra Mostafavi, la fille de l'Ayatollah Khomeiny. Sous le régime de Khomeiny, de nombreux chrétiens ont été arrêtés et même tués pour «hérésie» et pour «avoir insulté Khomeiny». Khomeiny est mort en 1989 mais sa cruelle politique «khomeyniste» survit. Sizer a aligné sa théologie sur la politique khomeyniste. Et McRoy a présenté les commandos suicides khomeynistes comme des gens vertueux.

Sizer et McRoy se montrent très hypocrites en accusant le sionisme chrétien d’être obsédé par la guerre et l’Armageddon au Moyen-Orient, pour ensuite s’allier avec des islamistes mahdistes qui ont théologisé la destruction d’Israël en essayant de provoquer l'apocalypse. Ils ont tiré sur un moucheron et avalé un chameau. En s’alignant sur les khomeynistes, Sizer pourrait mettre en danger de nombreux musulmans et chrétiens iraniens et renforcer leurs persécuteurs khomeynistes.

Lire aussi : Épuration religieuse en Iran: Les minorités persécutées oubliées par l'Occident

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 07:55

 

http://postedeveille.

En annonçant récemment qu'il ouvrait le dialogue avec les Frères musulmans d'Égypte, Obama les renforce à l'étranger et aux USA.

Dans une interview au Figaro, le père Henri Boulad d'Égypte parle du combat de David (les forces démocratiques) contre Goliath (les Frères musulmans) qui se joue actuellement dans son pays. En tendant la main aux Frères musulmans, Obama renforce le camp de Goliath, soit celui des islamistes rétrogrades qui vont faire basculer le pays dans l'obscurantisme et la violence.

Sur sa page Facebook, Tarek Fatah, par ailleurs un chaud partisan d'Obama, fulmine contre sa décision de s'incliner devant les islamistes. Il déplore l'influence de ses proches conseillers inspirés par les Frères musulmans infiltrés à la Maison blanche, dont Huma Abedin, Dalia Mogahed et Rashad Hassan.

Frank Gaffney du Center for Security Policy ne mâche pas ses mots : il accuse Obama de trahir son serment d'office. 

«Allah est notre but. Le prophète est notre guide. Le coran est notre loi. Le jihad est notre voie. Mourir sur le sentier d’allah est notre plus grand espoir» - Devise des Frères musulmans

Lire aussi :

Égypte : les Frères musulmans se rapprochent d'un parti extrémiste pakistanais

Egypte : les Frères musulmans désirent faire appliquer strictement la charia

_______________________

L'administration Obama a choisi la veille de la fête marquant la naissance de notre nation pour reconnaître publiquement une politique menée discrètement depuis longtemps à l’extrême détriment des USA : ses officiels admettent maintenant qu'ils embrassent les Frères musulmans (Ikhwan en arabe ).

Cette organisation islamiste internationale a pour objectif explicite la destruction des États-Unis, d’Israël et du reste du monde libre. Jeudi, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a tenté de minimiser l’importance de ce changement majeur de politique en le dépeignant comme suit lors d'une escale à Budapest : «L'administration Obama poursuit son approche de contacts limités avec les Frères musulmans qui ont lieu de manière sporadique depuis environ cinq ou six ans.» En fait, comme le souligne l’ancien procureur fédéral Andrew McCarthy dans une analyse brillante et cinglante, l’équipe Obama, en légitimant les Frères musulmans, marque une rupture radicale du refus historique du gouvernement américain de transiger officiellement avec les Ikhwan. [...]

L’effet absolument prévisible de cette nouvelle politique sera de miner les intérêts américains et ceux de ses alliés au Moyen-Orient et de catalyser davantage la campagne des Frères musulmans en vue d’infiltrer la charia aux États-Unis pour aboutir au remplacement de la constitution par la loi islamique. Par conséquent, les efforts de l'administration Obama pour «dialoguer» avec les Frères musulmans ne sont pas seulement irresponsables. Ils sont totalement incompatibles avec le serment du Président de « préserver, protéger et défendre la constitution des États-Unis», et l’engagement de ses subordonnés au même effet.  [...]

Au lieu de s’appuyer sur les agents et les associés des Frères musulmans, voire de les embaucher, le gouvernement américain devrait fermer les «centres communautaires» qui leur servent de façade ainsi que leurs autres opérations insidieuses d’influence aux États-Unis qui promeuvent la charia et sont des incubateurs à djihad. En reconnaissant ces entreprises pour ce qu'elles sont, à savoir des véhicules permettant aux Frères musulmans de poursuivre les objectifs séditieux de leur djihad civilisationnel, elles peuvent et doivent être traitées comme des organisations subversives passibles de poursuites et non pas comme des organisations religieuses protégées par la constitution américaine. [...]

Source : The Tipping Point: Embracing the Muslim Brotherhood, par Frank Gaffney, Center for Security Policy, 1 juillet 2011. Traduction par Poste de veille

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 12:24

 

 

 

IDF

 

Des Documents Judiciaires Scellent l’Existence des Liens entre la Flottille et le Terrorisme

blogtsahal

 

LIRE AUSSI 

Des Liens Financiers Découverts Entre le Hamas et les Organisateurs de la Flottille (suite)

 


Le Hamas est derrière l’armada jihadiste nommée “Flottille”


L’un des principaux organisateurs de la flottille de 2011 maintient des liens étroits avec certaines organisations terroristes, dont celle du Hamas, comme le prouvent des documents judiciaires révélés lors du procès de la Holy Land Foundation en 2007. 

Amin Abou Ibrahim, également connu sous le nom de Amin Abou Rashed, est l’un des principaux organisateurs de la « Flottille de la Liberté 2 » et le fondateur de l’ECESG (European Campaign to End the Siege of Gaza, ou Campagne Européenne pour Mettre Fin au Siège de Gaza), une organisation centrale dans la préparation de la flottille.

Récemment, le quotidien néerlandais De Telegraaf a qualifié Abou Rashed de « cerveau derrière la flottille », et a noté que, selon le journaliste néerlandais qui avait passé du temps avec les organisateurs de la flottille, le rôle joué par Abou Rashed de principal soutien de la flottille a été gardé secret jusqu’à l’arrivée des bateaux en Grèce. Plus tôt cette année, la Ma’an News Agency l’a qualifié de simple « militant » dans un article sur la prochaine flottille.

Abou Rashed a également pris part activement à la flottille de l’année passée. Son nom a aussi été mentionné lors du procès de la Holy Land Foundation (Fondation de la Terre Sainte en français) par le gouvernement américain en 2007. La Holy Land Foundation a été déclarée illégale par l’Union Européenne en raison de son soutien financier et matériel direct au Hamas. Au cours du procès de la Holy Land Foundation, une lettre écrite par Abou Rashed à Akram Mesham Meshaal   l’un des directeurs de la Holy Land Foundation et un cousin du chef du Hamas Khalid Mashaal, a été rendue publique.

Dans cette lettre, trouvée au siège de la Holy Land Foundation et utilisée comme pièce à conviction par le gouvernement américain, Abou Rashed répertorie les noms, adresses et numéros de compte en banque « d’organisations caritatives œuvrant pour la Palestine en Europe ». Abou Rashed écrivait en qualité de représentant de la Fondation Al-Aqsa, une organisation désignée par le Département du Trésor des États-Unis comme une organisation caritative finançant le terrorisme et « un rouage essentiel de l’infrastructure terroriste soutenant le Hamas. »

Ces « organisations caritatives » citées dans le document d’Abou Rashed ont aussi été accusées par la suite d’être des soutiens aux organisations terroristes (en particulier au Hamas) par le Département du Trésor des États-Unis, et leurs actifs ont par conséquent été gelés.

De nombreuses organisations affiliées au Hamas, comme l’a mis en évidence le Trésor Américain, étaient des organisations dans lesquelles Amin Abou Rashed jouait un rôle actif, pour le moins. A présent, son rôle d’organisateur de la flottille actuelle pour Gaza soulève de sérieuses questions sur les intentions des organisateurs de la flottille et sur les liens de cette dernière avec le Hamas.

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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 08:49

 

Dora Marrache-copie-1

 

GUILAD SHALIT : À QUAND SA LIBÉRATION?

Par Dora Marrache

pour  © 2011 www.aschkel.info

 

Ecouter Dora >>logo radio shalom

Le 25 juin dernier, Israël marquait un triste anniversaire : les  5 ans de détention de Guilad Shalit, qui aura 25 ans le 28 août prochain.  Il a été capturé par un commando palestinien en territoire israélien – on ne le répètera jamais assez-  à la lisière de la bande de Gaza,  Cinq ans, cinq longues années qu’il est détenu à Gaza  par le Hamas dans un endroit tenu secret

Il vit- à supposer qu’il vive encore- totalement coupé du monde. Depuis 2006, le Hamas a rejeté systématiquement toutes les demandes de visite de la Croix- Rouge. Guilad est d’ailleurs sans doute le seul prisonnier au monde à qui on a refusé une visite de la Croix-Rouge, mais aussi le plus jeune.

On n’a même pas, hélas, la certitude qu’il soit vivant. Son père a d’ailleurs lancé un appel demandant qu’on lui fournisse « une preuve de vie indiscutable », la dernière preuve de vie remontant à octobre 2009. Une vidéo d’à peine un peu plus de deux minutes avait été obtenue contre la libération de 19 palestiniennes dont quatre étaient des membres du Hamas.

OTAGE OU PRISONNIER DE GUERRE?

Selon l’article 1 de la Convention internationale contre la prise d’otages, il est clair que Guilad Shalit est un otage puisqu’il a été kidnappé et qu’il est détenu comme monnaie d’échange afin de contraindre l’État d’Israël à libérer des terroristes palestiniens.

Guilad n’est pas un prisonnier de guerre, n’en déplaise aux anti-Israéliens qui se donnent bonne conscience en le considérant comme tel. Il est otage au même titre que l’a été Ingrid Bétancourt pour laquelle la France a remué ciel et terre afin d’obtenir sa libération, au même titre que les journalistes détenus en Afghanistan pour lesquels les journaux télévisés français rappelaient quotidiennement le nombre de jours de détention et qui viennent tout juste d’être libérés.

Mais Khaled Meshaal, chef du bureau politique du Hamas, et ses ravisseurs préfèrent considérer Guilad comme un prisonnier de guerre.

Il ne sont pas les seuls,  se joignent à eux nombre de ces gauchistes attardés qui assimilent Guilad aux Palestiniens détenus dans les geôles israéliennes pour avoir perpétré des attentats. Une idée que partage le journaliste israélien, Ury Avnery, co-fondateur de Gush Shalom, mouvement israélien qui milite en faveur de la création d’un État palestinien. Et pourtant ils savent qu’il n’y a aucune commune mesure entre Guilad et ces prisonniers!

En France, si Thierry Thuillier, directeur de la rédaction de « France Télévision » a déclaré le 13 mai dernier « Je le considère comme prisonnier de guerre, c’est ainsi ce que dit le Quai d’Orsay », en revanche le site du Ministère des Affaires étrangères et Alain Juppé parlent  du soldat franco-israélien comme d’un « otage français ».

Indépendamment du fait que Guilad n’ait pas été capturé lors d’une bataille mais lors d’un raid, le fait qu’il soit détenu dans un endroit tenu secret et qu’on ignore tout de ses conditions de détention, suffit à parler d’otage et non de prisonnier de guerre.

De toute façon, quel que soit le statut qu’on choisisse de lui appliquer, prisonnier de guerre ou otage, conformément aux Conventions de Genève, Guilad Shalit a des droits , notamment celui de recevoir la visite de la Croix-Rouge,  et ses ravisseurs ont des devoirs concernant les conditions de sa détention. Mais ces derniers lui dénient même les droits les plus fondamentaux.

Qui qu’on soit, de quelque allégeance politique qu’on se réclame, il faut se demander objectivement comment réagir contre des détentions arbitraires dont nous pourrions nous-mêmes, un jour,  être victimes.

Qu’importe que le soldat soit israélien, français ou russe, qu’il soit chrétien, juif ou musulman, pouvons-nous rester les bras croisés et nous contenter d’arguments boiteux pour justifier notre inaction face à ce type d’évènements? On ne peut pas être épris de liberté, défendre la démocratie et, en même temps, choisir la neutralité.

 

 

 

QUE FAUT-IL FAIRE?

1. Tsahal?

Bien sûr, c’est la première idée qui  vient à l’esprit de plusieurs d’entre nous sachant que Tsahal a pour principe de ne jamais abandonner ses soldats prisonniers, que son code d’éthique l’oblige à délivrer tout soldat tombé aux mains de l’ennemi ou à rapatrier sa dépouille. Mais, comme l’a confirmé l’ex-chef d'état-major, le général Gaby Ashkenazi,  il est évident que Tsahal est pour l’heure toujours incapable de déterminer l’endroit précis où Guilad est retenu prisonnier et, partant, de lancer une opération de commando.

2. Un échange de prisonniers?

Le Hamas a posé ses exigences : « Nous n'envisagerons de résoudre le cas de Shalit que si le problème des prisonniers palestiniens enfermés dans les geôles de l'occupant (Israël) est réglé", a déclaré un de ses porte-parole.

Certes, la société civile israélienne est plus solidaire que jamais, plus mobilisée que jamais pour obtenir la libération de ce jeune soldat. En Israël sa photo est affichée partout et la campagne de soutien ne s’essouffle jamais. En 2010, 200 000 israéliens ont marché pour la libération de ce jeune soldat. Et plus de 65% des Israéliens sont favorables à un échange, à commencer par le Premier ministre lui-même. D’ailleurs qui ne le serait pas?

Déjà en 2009, on a cru sa libération proche, Israël ayant consenti à libérer un millier de prisonniers, mais les exigences du Hamas quant au choix des prisonniers qu’il voulait voir libérer a fait achopper les négociations.

Si certains, dont la famille Shalit, reprochent au Premier ministre « une inaction totale »dans le dossier de Guilad, un porte-parole du gouvernement allemand vient de confirmer que, comme l’avait déclaré Benjamin Netanyahou, « Israël avait accepté le plan proposé par un médiateur allemand pour un échange de prisonniers », et il a ajouté que « le Hamas l’avait refusé » .

 

Donc un échange, oui, Benjamin Netanyahou y consent, "mais pas à n'importe quel prix". « Les demandes du Hamas pour la libération de Guilad Shalit mettront les Israéliens en danger », a-t-il expliqué.

Pas facile pour Bibi de choisir entre Guilad Shalit dont il souhaite la libération tout autant que les Israéliens, et les risques auxquels il exposerait les civils israéliens au cas où des centaines de prisonniers sécuritaires seraient libérés. C’est sans doute dans un vrai débat de conscience qu’il est plongé et aucun de nous n’aimerait être à sa place.

Je comprends qu’on veuille à tout prix le libérer, que nombreux soient ceux qui soutiennent la demande du Hamas, à savoir la libération de 1000 prisonniers dont 450 « ayant du sang sur les mains. »

Mais je comprends aussi que, compte tenu du danger que présente pour les Israéliens la libération des ces prisonniers, le Premier ministre veuille prendre des risques calculés."L'expérience du passé nous enseigne que des dizaines d'Israéliens ont été tués dans des attentats commis par des terroristes qui avaient été relâchés dans le cadre d'échanges de prisonniers antérieurs", a expliqué Benjamin Netanyahu.  Si un attentat devait entraîner la perte de civils israéliens, nous savons tous qu’il ne se le pardonnerait jamais et que nous ne lui pardonnerions pas.

 

Ecouter Dora>>logo radio shalom

3. La communauté internationale ?

Puisque la prise d’otages est interdite et qu’elle est considérée dans la Convention internationale comme « une violation du droit international humanitaire », il est du devoir de la Communauté internationale d’exiger du Hamas qu’il prenne, comme c’est prévu dans la Convention « toutes les mesures appropriées pour améliorer le sort de l’otage, pour assurer sa libération ». En tant qu’otage, Guilad doit « bénéficier d’une protection ». Or, nous savons que ce n’est pas le cas.   

Certes, on ne peut pas dire que la communauté internationale  n’ait rien fait ou, plus précisément, qu’elle n’ait rien dit.

L’organisme HRW( Human Right Watch) juge que cette détention est cruelle et il a critiqué violemment en 2010 le Hamas dont le comportement est en violation du droit international.

En juin 2010, George Mitchell, l’envoyé spécial américain au Proche-Orient avait déclaré : « Nous condamnons sa captivité et les conditions de sa détention, sans permettre à la Croix-Rouge de lui rendre visite. Nous demandons sa libération immédiate ».

Un an après, le Hamas campe toujours sur ses positions, et ce même si la communauté internationale a multiplié les résolutions exigeant sa libération.

En mars 2010, le Parlement européen s’est intéressé au cas de Guilad Shalit et a voté une résolution.

Cette année, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon a demandé la « libération immédiate » du soldat. La Maison Blanche a fait savoir au Hamas qu’il doit le libérer « immédiatement ».

Quant à la France, son Président a rappelé à maintes reprises que Guilad Shalit est un otage qu’il faut absolument libérer : « Je veux dénoncer de la façon la plus forte la captivité de notre compatriote Guilad Shalit… On ne construira pas la paix ainsi en retenant des otages. » avait-il déclaré en 2008.

Nicolas Sarkozy a même écrit en juin à Guilad Shalit pour lui affirmer que « la France ne l'abandonnerait pas ».Son portrait a par ailleurs été affiché sur la façade de l'Hôtel de Ville de Paris. Et le Quai d’Orsay exige, pour reprendre les termes d’Alain Juppé, « qu’un droit de visite soit accordé au Comité international de la Croix rouge, conformément au droit international”.

Les médias et les journaux télévisés français, à  qui le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme avait reproché de ne pas parler du soldat franco-israélien, s’intéressent à lui maintenant.

Mais est-ce suffisant? Pourquoi se refuse-t-on à faire en France ce qu’on a fait pour Ingrid Bétancourt, l'ex-otage franco-colombienne libérée après plus de six ans de captivité? En 2009, le père de Guilad a d’ailleurs adressé une demande en ce sens au  Président Sarkozy. Il a également déposé au début du mois de juin une plainte à Paris pour« enlèvement et séquestration » soulignant que son fils est “retenu en otage” et qu’il a pu“subir des actes de tortures ou de barbarie”.

Ajoutons que s’il est considéré comme un prisonnier de guerre, il a droit en tant que citoyen français à une défense pleine et entière.

Certes, les exigences de la communauté internationale se font entendre, mais cela suffira-t-il à faire plier le Hamas dont la branche armée a déclaré dans un communiqué, le 27 juin : « Shalit ne verra pas la lumière du jour tant que nos exigences ne seront pas remplies »?

Il est fort à craindre que non parce que,  d’une part, tout porte à croire que toutes les demandes resteront lettre morte comme ce fut le cas par le passé.  Et parce que, d’autre part, aucune sanction n’est prévue dans le cas où le Hamas refuserait d’y répondre. Or, non seulement le Hamas ne se laisse pas intimider par les réclamations qui lui sont adressées , mais mécontent de l’appel lancé par la Croix-Rouge pour obtenir « un signe de vie de l’otage Guilad Shalit détenu depuis cinq ans», il endommage les bureaux de cette organisation.

Qui plus est, non seulement le Hamas refuse de se conformer au droit international, mais il n’hésite pas à recourir à un chantage des plus odieux. En 2010, dans un dessin animé en 3D de très mauvais goût et on ne peut plus choquant, le Hamas présente le père vieillissant déambulant dans les rues désertes d’une ville en Israël, et voyant arriver le cercueil de son fils.

« Nous prévenons la société israélienne que le soldat, capturé par les Brigades al-Qassam (la branche armée du Hamas) et d'autres factions palestiniennes, connaîtra le même sort que celui du pilote sioniste Ron Arad, disparu sans laisser de traces », peut-on entendre en hébreu et en arabe.  « Si les Israéliens veulent récupérer Shalit en vie, leur gouvernement doit payer le prix en relâchant les prisonniers palestiniens », ajoute la voix.

Et, il y a quelques jours, le Hamas a diffusé une vidéo dans laquelle il menace l’État d’Israël d'enlever d'autres soldats en l’absence d’un accord.

Et personne, si ce n’est Netanyahou, pour s’indigner de cet abominable chantage !

Puisque le Hamas viole le droit international, puisqu’il n’a cure des protestations de la communauté internationale, il ne faut plus se contenter de mots, il faut des actions concrètes.

Certes, j’entends déjà des voix s’élever pour crier qu’Israël n’a jamais respecté les résolutions de l’ONU. C’est vrai, mais nul n’ignore - pas même les Palestiniens- que ces résolutions ne sont pas dictées par le bon sens, mais par la haine du juif et de l’État d’Israël. Notons également que l’ONU menaçait alors Israël de sanctions économiques, sanctions  qui, il est vrai, n’ont pas été mises à exécution.

DES  ACTIONS CONCRÈTES

1. Israël : Benjamin Netanyahu a promis un durcissement des conditions de détention des prisonniers sécuritaires – ceux qui ont commis des attentats. Mais jusqu’à quel point?

"Nous allons modifier les conditions de détention des terroristes dans nos prisons. Je ne vais pas vous donner la liste détaillée de ces mesures, mais je peux vous dire que la fête est finie", a-t-il assuré. 

Ce à quoi, comble de l’ironie, le Hamas a répondu qu’il s’agit là d’ «une atteinte au droit international » !

Quand on examine les conditions de détention de ces prisonniers sécuritaires, on constate qu’ils jouissent de privilèges invraisemblables que leur envieraient beaucoup d’hommes libres. Ils peuvent étudier, passer le bac, recevoir du courrier et même s’organiser en associations. Ils ont droit à la télé, la radio, les journaux, ils peuvent tous les jours faire leurs prières ainsi qu’une promenade. Et non contents des conditions qui leur sont faites, en 2010 ils ont l’audace d’exiger des améliorations : un ordinateur par prisonnier; suppression de l’uniforme…  Le 28 juin dernier, les détenus les plus durs ont observé une journée de grève pour protester contre le durcissement des conditions de détention.

Quels que soient les changements qu’Israël opère dans les conditions de détention des Palestiniens, cette action aura peu de chances d’être efficace, car le Hamas ne se soucie guère de ses prisonniers comme le fait Israël. En fait, il exige que soient remis en liberté ceux qui sont les plus dangereux, ceux qui ont perpétré des attentats entraînant dans la mort des centaines de victimes israéliennes. Car ce sont des hommes qui peuvent encore servir dans la lutte contre Israël.

En dernier ressort, il faudrait peut-être, hélas, qu’Israël applique, dans tous les cas où la vie d’Israéliens est en danger, la Loi du Talion : ainsi, dans le cas des prisonniers, appliquer aux Palestiniens les mêmes conditions de détention que celles qu’applique le Hamas à Guilad Shalit, donc leur interdire les visites de la Croix-Rouge, mais aussi celles de leurs familles; abroger le droit de recevoir du courrier; etc.

Et si rien ne permet d’aboutir à la libération de Guilad Shalit, pourquoi ne pas envisager une opération militaire à Gaza, sans se soucier des réactions de la communauté internationale ?

2. La communauté internationale : Il faudrait absolument que ses demandes soient assorties de sanctions dans le cas où le Hamas refuserait d’obtempérer- et il refusera. Les sanctions existent et évidemment la plus efficace est d’ordre économique et consisterait à conditionner l’aide internationale à la libération de ce jeune soldat.

Certains pays dont la France pourraient également menacer les Palestiniens de leur retirer, non seulement leur soutien financier, mais aussi leur soutien diplomatique.

Que fait cette France que nous avons tant aimée, cette France « Mère des arts , des armes et des lois », cette France fidèle aux valeurs humanistes? Que ne répond-elle à l’appel de son enfant? Pour être fidèle à l’image qu’elle veut donner d’elle, il lui faut poser des actions concrètes.

CONCLUSION

Il faut à tout prix « ramener à la maison » le jeune Guilad Shalit, c’est le vœu de tous ceux qui défendent la démocratie, Juifs comme non-Juifs.

Il faut croire en son retour. D’ailleurs, si on se fie à l’interprétation du code de la Bible, tout laisse croire qu’il sera libéré par Tsahal, et ce même si aucune date ne peut être fixée.

Son nom apparaît une fois dans le code de la Torah, et sur le site Cahiers de Géopolitique biblique, on peut lire  « Que tout près de Gilad Shalit figure le motShavouï, donc captif. Sur la ligne où Shavouï est mentionné, on distingue aussi, à deux reprises, le mot Shévi, captivité…… Ce qui est d’avantage rassurant c’est que dans la matrice, accolés au nom de Gilad, figurent Goél et Téchoua, soit délivrance, exprimée de deux façons différentes, et qu’au dessus du Tét de Shalit, on peut distinguerTSAHAL, soit l’armée israélienne. »

Alors, il ne nous reste qu’à espérer et à attendre. Ce jour tant attendu se lèvera et le cauchemar de Guilat prendra fin.

Dora Marrache

Chroniqueuse Radio-Shalom Montréal

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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 23:31



Banner Alain Rubin

Pacifiques ? « Faut pas s’y fier » !

par Alain RUBIN

 Pour © 2011 www.aschkel.info

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Mourir pour Gaza... Par Alain Rubin 


Les « journalistes », les hommes politiques, d’anciens responsables de la fédération protestante, le modeste facteur de Neuilly sur scène-en attente d’un exténuant et mal rétribué poste de travail-après avoir cédé la place comme porte-parole du NPA, les écolos confondant la couleur du drapeau du djihad offensif et celle des prairies, les comédiens de la scène et de la politique, bref, tout le petit monde des pirates pro Gaza, est toujours couvé des yeux de Chimène par les principaux médias français.

Jusques à quand, ces connivences débouchant sur la mise en circulation de manuels scolaires réécrivant l’histoire contemporaine, pour la faire cadrer avec des préjugés politiques destinés à faire le réquisitoire exclusivement à charge et le procès d’Israël?

Où s’arrêtera cette connivence avec une action sciemment guerrière motivée par des prétextes inventés ?

Quand au premier ministre, Alain Juppé, il nous prend pour des demeurés ou, au mieux, pour des enfants de cours élémentaire, il veut nous faire tout gober : même que l’autorité politique de ce pays ne peut rien faire. Même qu’elle est aux regrets.

Avec des sanglots dans la voix, il nous fait cette confidence, parce qu’il nous fait confiance, Alain Juppé : il n’aurait aucun pouvoir sur l’administration portuaire, surtout sur l’autorité portuaire en Corse (devenue indépendante ?), sans quoi, foi de Tartarin de Bordeaux...

Quant à l’administration portuaire, elle ne déciderait pas qui entre et qui sort d’un port français... Surtout, de grâce, n’y voyons aucun rapport avec l’affectueuse et ancienne amitié du premier ministre pour le brave Frère musulman recteur de la mosquée de Bordeaux – recteur Obrou qui explique ici et là que respecter la loi du pays, si elle n’est pas conforme à la charia, c’est commettre une faute vis à vis de l’islam, relevant de l’apostasie -... que nenni ! Aucun rapport, je vous dis.

Il ne nous le dit pas, Alain Juppé, mais, c’est certain, cela n’a rien à voir.

Comme il n’y a pas d’embargo autour de Gaza, qui a une frontière commune avec l’Egypte en « révolution arabe », à part celui sur les armes destinées à un pouvoir dictatorial guerrier, certains vont quand même en fabriquer un, sur le papier, un embargo...

C’est ainsi que l’UNWRA, une agence des Nations-Unies réservée à l’aide aux « réfugiés »*1 de l’ancienne Palestine sous mandat britannique, -redevenue en 1948, pour une partie, Israël, et pour deux autres parties (Egyptienne à Gaza et Cisjordanienne du Royaume de Jordanie pour les Monts de Judée)- tend un doigt vengeur.

L’UNWRA proteste et s’indigne...

Elle accuse : Israël fait bien un blocus ! La preuve du blocus,  il n’y a pas assez d’écoles et le méchant Etat sioniste ne veut pas que l’opprimé Gaza reçoive les matériaux nécessaires destinés à construire les dizaines, voire les centaines d’écoles qui manqueraient cruellement.

L’UNWRA doit théoriquement disparaître dans moins de trois ans.

Elle commence donc à plaider pour son incontournabilité, pour son utilité absolue. Elle appelle à l’aide : Nous UNWRA, nous aidons à instruire la jeunesse de Palestine. C’est vrai, regardez : Nous lui apprenons même qu’il n’y a rien à faire avec un Juif, sauf à le traquer et le tuer.

Que ferait-on sans nous, pour reproduire des générations élargies de djihadistes ravis d’aller se faire exploser parmi les « Yahoud » et autres « infidèles »?

Alors l’UNWRA, -que nous payons avec nos impôts-, bidonne, comme on dit dans les milieux des médias. Elle nous raconte une fable dramatique. Elle nous affirme qu’on manquerait d’école et surtout, qu’on ne disposerait pas de matériaux pour en construire.

L’UNWRA nous sert la fable du méchant et criminel embargo israélien...

La pauvre UNWRA, 63 ans et déjà victime d’un terrible Alzheimer. Elle réclame des écoles, elle demande du ciment, elle veut des parpaings, elle exige des  fenêtres, des câbles électriques… elle a tout cela, mais elle ne sait pas ce qu’elle en a fait.  Elle est comme le Maréchal Bazaine qui cherchait son armée. Elle n’utilise pas les crédits prévus, ou elle a égaré les produits livrés.

Alors, pour se justifier de son impéritie et de ses complaisances envers les oligarques du Hamas qui n’ont pas permis de construire les écoles, elle réclame et elle accuse Israël d’embargo !

Où ? Où, son ami le bon Hamas, -dont sont membres beaucoup des 23750 fonctionnaires palestiniens qui la composent, pour 95% de ses effectifs que nous rémunérons avec nos impôts d’impies-, où le Hamas les a-t-il mis, tous ces matériaux déjà livrés et fréquemment inutilisés ?

Où ? où se trouvent les matériaux livrés par les camionneurs israéliens, pour des écoles gazaouites  que l’on n’a pas construites ? Où, où, où ???

Elle ne sait pas, elle ne sait plus, cette pauvre UNWRA. Elle ne sait plus qu’une chose,  et une seule, comme un vieux disque usé répétant sans cesse le même fragment de musique et de parole : méchant Israël ! Pas bien Israël ! Méchant Israël ! Pas bien  Israël, méchant Isr...

D’un côté, de celui l’ombre, de celui des 25000 fonctionnaires de l’UNWRA et de celui de ses comparses ou complices, on s’emploie à fabriquer de toutes pièces, sur le papier, les conséquences imaginaires d’un embargo inexistant. C’est fort quand même la politique fiction. Ça nous fabrique même un hologramme d’un embargo israélien n’existant que dans les paroles de ses accusateurs professionnels et de leur public abusé.

Du côté des showbizmen et women, du côté des belles âmes, du côté des irréprochables de la Fédération protestante de France, du côté du NPA et de son chef de file, du côté de l’agonisant PCF, on s’emploie à bourrer la tête du passant et du lecteur d’affiches et de tracts, on le gave des conséquences inventées d’un imaginaire blocus humanitaire.

Mais on ne fait pas que cela...

On se prépare aussi à en découdre.

Les informations filtrent sur les véritables préparatifs des organisateurs IHH*2 de la seconde flottille internationale.

« Pacifique flottille », chante madame Autain de sa voix mélodieuse.

«Pacifique flottille », reprennent en cœur madame Duflot et trois anciens présidents de la fédération protestante suivis par les chefs de la CIMADE. Ces gens ne veulent rien savoir de ce à quoi ils se sont associés. Et demain, ils diront que les soldats d’Israël auraient dû se laisser enduire de souffre et ne pas réagir, même quand les djihadistes craqueront les allumettes.

Pacifique flottille ?

Tellement pacifique, cette flottille et l’action dont elle doit être l’outil, que cette fois, on n’accueillera pas pacifiquement les soldats israéliens à coups de battes de base-ball et de matraques, pas même à coups de poignards, comme en mai 2010.

Cette fois-ci, on fera en effet, pacifiquement, dans l’incendiaire.

Le souffre est pacifiquement mobilisé. En jeter pacifiquement, suffisamment, sur les horribles sionistes de Tsahal pour y mettre pacifiquement le feu, ô que ce sera pacifiquement divin !!

Pacifique, pacifique, répondent en chœur « journaliste » du quotidien le Monde, nouvelle version de la Pravda couvrant les impostures judiciaires du Moscou de 1936.

Pacifique, pacifique, chantent, à la façon des chœurs montagnards, des « socialistes » helvétiques, toujours si prompts à se couvrir du hijab quand ils sont femmes et qu’ils s’en vont causer à Téhéran avec le petit tyran, encore chef pendeur, chaque année, de centaines de citoyens de l’Iran martyrisé depuis 31 ans...

« On fera couler le sang juif »

Ainsi en ont décidé les chefs d’état-major de la pacifique flottille.

Comme l’a fort justement rappelé Le Président du CRIF, l’aide humanitaire, qui serait convoyé par la flottille, représenterait 5000 tonnes d’aides, soit 1000 tonnes de moins qu’une petite journée de l’aide alimentaire, médicale et de moyens de construction transitant par Israël.

On voit bien, en comparant ces chiffres, qu’il s’agit d’une « aide » dérisoire, fictive. L’objectif qu’elle poursuit ne vise pas à aider la population et moins encore à améliorer son sort.

Le but de la flottille est guerrier et stratégique.

L’aide dérisoire qu’elle apporterait est tactique. Déjà, « l’aide » du Marmara1, en mai 2010 était formée de produits médicaux et de vivres dont plus de 50% étaient périmés.

Le but de la flottille 2011 est purement militaire.

C’est un but de guerre qu’elle poursuit. Il s’agit de permettre aux djihadistes de Gaza de disposer enfin de moyens militaires beaucoup plus puissants, des moyens militaires permettant de frapper fort, et partout, la population civile d’Israël.

Volontairement pour certains, involontairement pour d’autres, les passagers de la flottille pirate participent d’une opération strictement militaire, maquillée en « convoi humanitaire ».

En France, -l’associé de fait du Frère musulman Tarek Obrou, son associé dans l’hallalisation des cantines scolaires publiques bordelaises-, le premier ministre Alain Juppé n’est pas inquiet, lui.

Il soutient le rapprochement de l’autorité palestinienne et du Hamas. Quand à la flottille, qu’y puis-je faire répond-il, quand il est questionné sur le sujet.

Le « pôvre », le brave Juppé, il voudrait bien. S’il pouvait, c’est sur, il ferait quelque chose. Mais malheureusement, il nous le dit : il-ne-peut-pas. la-loi-ne lui-en donne-pas les moyens...

Juppé, nouveau Pangloss ! répondront les malveillants, objecteront tous ceux qui ne veulent pas faire confiance au bon berger bordelais : il ne voit rien de ce qui s’écroule autour de lui. Il nous dit que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, alors que tout va de mal en pis.

Souvenez-vous de l’année 1995nous disent-ils, les anti-Fillon-Juppé

N’oubliez pas Juppé. Souvenez-vous de l’arrogant chirurgien du système social, le charcutant en 1995, pour mieux le « sauver » ; l’amenuisant progressivement et endettant le pays pour : « désendetter » une protection sociale collective privée progressivement de ses ressources par toutes sortes de pseudos thérapies économiques.

Quand à sa manière de considérer, et de contribuer, à la « consolidation » de la restauration de l’Etat national du peuple juif : c’est manifestement comme lorsqu’il réduisait les prestations d’assurance maladie, et que c’était ... pour le bien des assurés sociaux qu’il réduisait leurs droits...

Aujourd’hui, c’est pour le bien du peuple juif que ce bon et brave Juppé défend l’idée : qu’il faudra entériner l’expulsion de 1948, qu’il faudra légitimer l’expulsion des milliers de Juifs de la vieille cité de Jérusalem par la Légion arabe commandée par des officiers supérieurs britanniques.

En réclamant de donner la ville de David, -dont le siège et le sac de l’an 70 par les légions romaines coûteront presque un million de vies juives et iduménnes*3, c’est pour le bien d’Israël qu’agit notre bon Juppé.

En 1948, pas en l’an 70, Jérusalem, était entièrement redevenue la capitale du Foyer national du peuple juif. Il y était redevenu majoritaire, depuis pas loin de quatre siècles. Détail, détail, détail, nous répond le premier ministre des potions amères.

Monsieur Juppé ne peut s’empêcher de nous raconter baliverne sur baliverne.

Nous avons affaire à un homme dont les ambitions paraissent le déterminer à justifier tous les renoncements.

C’est ainsi qu’il nous sert celle-ci : l’autorité gouvernementale et l’autorité portuaire françaises ne pourraient, ni l’une ni l’autre, s’opposer à l’appareillage, depuis un port français, d’un navire pirate décidant d’aller mener une guerre privée baptisée par antiphrase, action humanitaire ?

Faut-il croire Juppé ? Faut-il le laisser raconter ces nouvelles et sinistres fables des mille et une nuits ?

Alain Rubin

 

*1 je voudrai brièvement raconter ici une histoire familiale. Notre arrière-grand-père Zelman Rubin représentera des firmes allemandes, dans l’empire ottoman. C’était au milieu de la dernière décennie du 19ème siècle.

La tradition familiale, qui m’a été transmise par une des sœurs de mon père, voudrait que Zelman ait, à cette époque, acheté des terrains, dans un des trois sandjaks dont une partie formera la « Palestine mandataire », vingt trois ans plus tard.

Dans une vieille Bible protestante éditée en 1927, déchiffrant une carte de la « terre sainte » comprise dans l’empire ottoman, je trouverai, juste à l’embouchure du fleuve Sorek, au sud de l’actuelle Rishon Letzion alors inexistante, un endroit nommé « N. Rubin ». Je penserai pour cela à un lieu qui devait être « Na’hal Rubin ». Tiens,  me dis-je, ça doit être là que Zelman a acquis ses terrains, et en quantités suffisantes pour que cela devienne un lieu-dit portant son nom, N.Rubin.

Je me trompais, le N. Rubin ne se rapportait pas à un lieu-dit « rivière Rubin » mais signifiait depuis le 15ème siècle et surement plus avant dans le passé : « Nabi al-Rûbin ». En effet, au 15ème siècle, les autorités ottomanes décideront que c’était là, à cet endroit, que se trouvait la tombe de Reuven, vieille de près de trois millénaires. Reuven, « le prophète », le « nabi » en arabe, hanavi en hébreux, Reuven/Rûbin en arabe fut décrété reposer à cet endroit. Ce Reuven/Rûbin était le fils ainé de Jacob/Israël, dont une des douze tribus d’Hébreux est issue.

Consultant, il y a quelques jours, par un de ces hasards apparents de l’Internet, une page palestinienne consacrée aux réfugiés « chassés » en 1948 par ces méchants sionistes, j’apprendrai que le lieu, Nabi al-Rûbin, faisait l’objet d’un populaire pèlerinage fréquenté chaque année par des foules musulmanes.

J’apprendrais aussi, qu’en 1930, un clan de Bédouins du Sinaï se fixera autour du sanctuaire de Reuven/Rûbin et y érigera un village « palestinien ».

Ce clan de Bédouins du Sinaï, formé de nostalgiques du fils aîné de l’hébreu Jacob, réfugiés en 1948, deviendra « Palestinien » en 1967.

En 1948, ces quelques centaines de Bédouins du Sinaï, installés en 1930 autour du tombeau de Reuven, comprenaient 1420 personnes, hommes, femmes et enfants. En 1998, cinquante ans plus tard, le « génocide » sioniste avait laissé le clan bédouin, qui serait devenu « palestinien » entre 1930 et 1948, fort de plus de 11000 âmes.

On entend accuser Israël de crime « génocide », à l’encontre du peuple « palestinien ».

Une « shoah » serait même mise en œuvre par Israël, contre ce peuple. Etrange shoah, que cette « shoah » là qui multiplie le nombre des personnes appartenant la population sensée être victime d’une extermination méthodique.

Question : Si les Juifs avaient subis une « shoah », comme celle qu’Israël est accusé de perpétrer contre les « palestiniens », le peuple Juif comprendrait aujourd’hui pas loin de quatre-vingt millions d’âmes… au lieu de douze millions.

2* l’IHH avait préparé l’équipage humanitaire du Marmara1 à l’attaque des soldats de Tsahal, au moyen de matraques, de fils électriques, de battes de base-ball, et de poignards. Elle avait prévu de s’emparer des armes des militaires devant venir contrôler le contenu de sa cargaison.

L’agence Reuter, soutien indéfectible de la juste et noble cause palestinienne, ira jusqu’à reprendre la grande tradition de la presse et de l’historiographie staliniennes, gommant une photo-fort heureusement publiée en Turquie sans être truquée. En effet, sur ce cliché, on voyait qu’un des malheureux et pacifistes Turcs, victimes des moyens israéliens disproportionnés, était armé d’un grand poignard, qu’il tenait manifestement pour s’en servir, au-dessus d’un soldat en train d’être lynché par d’autres « pacifistes » du Marmara1.

3* les Iduméens étaient un groupe de sémites, proches des hébreux par la géographie, la langue et la culture. Ils vivaient au sud de l’actuel Israël.

Le roi Hérode le Grand était iduméen, par un de ses parents. Les Iduméens avaient été judaïsé, au plan religieux et politique. Ils participeront même à la révolte contre Rome, ainsi qu’à la défense de Jérusalem contre les légions de Titus, alors que les Samaritains étaient restés loyaux envers Rome et que les Arabes participaient à la guerre romaine, en qualité de combattants dans les légions romaines.

Al-Rûbin
Dossier -Flotille - propagandistes de la terreur logo unwra
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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 15:50


DEBKAfile  Reportage spécial  30 juin2011, 6:58 PM (GMT+02:00)

Adapté par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

 

http://www.debka.com/article/21078/

Tags:  Hariri tribunal-SLT      Lebanon    Syria    Bashar Assad    Hizballah 

 

La main de Damas fera t-elle l’objet d’une enquête dans le meurtre d’Hariri?

 

La capitale libanaise n’était pas le seul, si ce n’est le premier arrêt pour la délégation du Tribunal pour le Liban mise en place par l’ONU pour enquêter dans l’assassinat de l’ancien Premier Ministre libanais, Rafiq Hariri, en 2005. Jeudi 30 juin, le groupe est arrivé à Beyrouth et a présenté 4 mandats d’arrêt contre des officiers supérieurs du Hezbollah. Sa prochaine destination pourrait être Damas, pour y soumettre un second lot de mandats d’arrêt contre des responsables syriens soupçonnés d’avoir téléguidé le groupe d’attaque du Hezbollah, lors de la commandite du meurtre.

 

Les autorités libanaises disposent de 30 jours pour procéder aux arrestations. Le Hezbollah n’a donné aucune réponse à ces inculpations, mais la sécurité a été renforcée dans les rues de Beyrouth. µLes trois membres du Hezbollah recherchés ont été désignés comme : Sami Issa et Salim Ayyash, officiers supérieurs de l’appareil sécuritaire du Hezbollah et proches associés du Secrétaire Général Hassan Nasrallah, et Mustapha Badreddine, le beau-frère de feu le Commandant de sa branche terroriste, Imad Moughnieh, mort dans un attentat à la bombe à Damas. Le Quatrième inculpé est Hussein Anaissi.

 

Rostom Ghazalé, l'homme fort d'Assad, derrière le théâtre d'ombres dirigeant le Liban 

 

Les sources anti-terroristes de Debkafile révèlent que les responsables syriens les plus souvent mentionnés comme recherchés par le Tribunal, sont : le général Asif Showqat, beau-frère du Président Bachar al-Assad, ancien chef du renseignement militaire et actuel chef d’Etat-Major syrien ; et Rostom Ghazalé, l’homme fort syrien derrière le gouvernement libanais à l’époque du meurtre. Aujourd’hui, il est le bras droit d’Assad dans la répression contre le soulèvement dans le Sud et l’Est de la Syrie. Depuis six ans, le Liban boîte d’une crise politique sur une autre, sous l’ombre au tableau produite par cet assassinat de l’homme politique et dirigeant sunnite libanais, Rafiq Hariri aux côtés de 23 autres victimes.

 

 

Le Tribunal Spécial sur le Liban a été instauré pour enquêter sur ce crime et définir les culpabilités, et ainsi clore le chapitre sur un assassinat dont les répercussions s’étendent loin et profondément, jusqu’à ce jour. Les enquêtes de la Cour ont découvert chaque phase du cheminement parcouru par le Hezbollah, la Syrie et l’Iran.

 

Le gouvernement pro-occidental conduit par son fils, Saad Hariri a été renversé en janvier dernier, après qu’il ait refuse de renoncer à la tenue de ce procès. Le Guide Suprême en Iran, l’Ayatollah Khamenei est intervenu depuis, au nom des intérêts du Hezbollah chi’ite, supplétif de Téhéran. Il a rejeté toute accusation du TSL comme « nulle et non-avenue », le dénonçant comme un instrument de l’Occident et d’Israël visant à discréditer le Hezbollah et à briser l’alliance entre l’Iran, la Syrie et le Hezbollah.

 

 

Dès lors, Téhéran et Damas ont joint leurs forces pour remplacer le Gouvernement Hariri par un régime croupion dirigée par la mascotte du Hezbollah, Najib Mikati. Après six mois de dispute, il est quand même parvenu, un peu plus tôt, ce mois-ci à former un gouvernement « d’unité » qui met en selle le Hezbollah et ses soutiens iraniens et syriens.


Saad Hariri a opté pour demeurer dans l’opposition.

 

 

Dès que les actes d’accusation ont été scellés et transis jeudi au procureur général du Liban, Mikati a donné une conférence de presse dans laquelle il a clairement cherché à gagner du temps pour éviter d’avoir à obéir aux mandats d’arrêt et d’extradition des quatre suspects du Hezbollah vers la Hollande.

 

Mikati a déclaré que personne n’avait le dernier mot, à propos de qui avait tué l’ancien Premier Ministre : « Les mises en examen ne sont pas des verdicts », a-t-il expliqué, et tous les suspects restent innocents jusqu’à ce qu’il soit prouvé qu’ils sont coupables. Cela dit, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts du Moyen-Orient, depuis a été choisi pour la mission d’invalider le Tribunal International. Aujourd’hui, le « printemps arabe » souffle de toute sa fureur en Syrie, laissant Bachar al Assad, le plus proche allié de Téhéran, suspendu au pouvoir par un fil, dans son propre pays.

 

Au beau milieu de la tempête de protestations contre son régime, le tyran syrien pourrait décider de refuser l’accès de Damas à l’équipe du TSL et ainsi esquiver un acte d’accusation inculpant ses sbires comme les scénaristes du meurtre d’Hariri, une étape qui réduirait le rôle du Hezbollah à celui d’accessoire.


L’impact d’une telle tournure des évènements sur le régime déjà bien secoué d’Assad serait potentiellement explosive, selon les sources militaires et moyen-orientales de Debkafile – Ceci allant de pair avec les effets déstabilisants de l’assassinat d’Hariri sur le Liban, au cours des six dernières années.


Si, comme on s’y attend, Damas et Beyrouth bafouent les actes d’accusation du Tribunal et refusent d’extrader les suspects et témoins qui sont convoqués, ils s’exposeraient à l’application, par la Cour, de la demande de sanctions au Conseil de Sécurité, contre les deux gouvernements ensemble, de façon à les contraindre à obtempérer. Pas plus la Russie que la Chine ne sont fondés à voter contre de telles motions, sans apparaître au grand jour comme ceux qui soutiennent le terrorisme d’état et l’assassinat politique.

 

Par conséquent, si Assad n’est pas renversé par son propre peuple, lui-même, sa famille proche et leurs comparses pourraient se retrouver à devoir endosser ces deux accusations. D’une manière ou d’une autre, il rejoint la liste des dirigeants arabes à dégager en priorité, pour les  Etats-Unis et l’Europe. 

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 14:48



 

 

Des Liens Financiers Découverts Entre le Hamas et les Organisateurs de la Flottille (suite)

 

Poursuivons donc la petite enquête de ce matin quelques autres éléments pour corroborer l'article de ce matin > 

Le Hamas est derrière l’armada jihadiste nommée “Flottille”

Selon les renseignements militaires israéliens, l’organisation terroriste du Hamas et plusieurs organisations qui se trouvent derrière la flottille pour Gaza de 2011 ont des sources de financement similaires. blogtsahal

Le Sfendoni 8000, un bateau de l'ECESG qui avait participé à la flottille de 2010. Photo : IHH

 

Trois fonds de bienfaisance islamiques de la Charity Coalition financent directement le Hamas ainsi que certaines des organisations liée à la flottille pour Gaza de 2011. La Charity Coalition, également appelée Union of Good (Ittilaf al-Kheir en arabe), est un regroupement d’associations de bienfaisance affiliées au Hamas et aux Frères Musulmans créé en 2001 dans le but de stimuler les flux de trésorerie à destination du Hamas.

Voici la liste des organisations concernées :

L’ECESG (the European Campaign to End the Siege of Gaza, ou la Campagne Européenne pour Mettre Fin au Siège de Gaza)

L’ECESG, l’un des principaux organisateurs de la flottille, est une organisation parapluie basée au Royaume-Uni qui regroupe plus de 30 organisations basées en Europe sous son égide ; l’ECESG soutient ouvertement le Hamas. La plupart de ses organisations – créées en tant que branches des Frères Musulmans en Europe – participent à la flottille pour Gaza de 2011. Des sources militaires israéliennes ont découvert que certaines de ces organisations financent l’activité terroriste du Hamas dans la bande de Gaza

Le Président de l’ECESG, le Dr. Arafat Madi Mahmoud Shukri, officie également en tant que Président du Palestinian Return Centre (PRC ; en français : Centre pour le Retour des Palestiniens). En raison des liens flagrants qui existent entre le PRC et le Hamas, il a été déclaré illégal en Israël.

Droit Pour Tous et ABSPP

En plus de l’ECESG, l’organisation Droit Pour Tous basée en Suisse et le groupe ABSPP basé en Italie sont ouvertement et intimement liés à l’effort de bienfaisance en faveur du Hamas ainsi qu’à la tentative illégale de briser le blocus maritime imposé sur la bande de Gaza.

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 14:43

MEMRI Middle East Media Research Institute

Dépêche fr. n° 262


La réalisatrice tunisienne de "Ni dieu ni maître" Nadia El-Fani : "Y´en a marre de se cacher"


Ci-dessous des extraits d´une interview de la réalisatrice tunisienne Nadia El Fani, diffusée sur la télévision tunisienne Hanibal, puis sur Youtube, le 5 mai 2011. L´entretien a eu lieu après l´attentat perpétré par des islamistes dans une salle de cinéma du centre de Tunis, en raison de la projection de son film sur la laïcité "Ni dieu ni maître".



Voir les extraits vidéo sur MEMRI TV : http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3006.htm


Journaliste : Vous dites que vous ne faites pas la guerre aux islamistes, aux intégristes qui ne sont pas contre vos idées. Mais vous m´avez dit, avant l´interview, qu´il faut accepter l´autre tel qu´il est. Je ne comprends pas.


Nadia El-Fani : J´accepte les autres tels qu´ils sont. Mais quand un islamiste, un intégriste, veut m´imposer une loi divine que moi, je ne reconnais pas, j´estime… Effectivement, c´est un terme philosophique de dire que je suis en guerre contre lui. Mais dans ce sens-là, oui, je suis en guerre contre lui, parce que j´estime qu´il m´impose sa religion. Sa religion, c´est entre lui et son dieu. C´est son histoire. Moi, je ne crois pas en Dieu et j´ai le courage de le dire. Je sais que c´est très culotté de le dire, mais j´estime que… y´en a marre de se cacher.


Pour adresser un email au MEMRI ou faire une donation, écrire à : memri@memrieurope.org.


Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french.


Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source.

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  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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