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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 20:04
Roland de Ground Zero
L'AUTEUR
Luc Rosenzweig

Luc Rosenzweig est journaliste.


Ses articles

http://www.causeur.fr/roland-de-ground-zero,8192

Publié le 22 décembre 2010 à 06h01 • 129 réactions • Imprimer

Mots-clés :  · 

Roland Dumas s’est lâché, jeudi 16 décembre chez Frédéric Taddéi : « Le 11 septembre, je n’y crois pas ! » a-t-il lancé sur le plateau de Ce soir ou jamais. Les autres invités, comme Pierre Lellouche, Thérèse Delpech ou Guy Sorman, en sont restés bouche bée, se demandant in petto si l’ancien ministre des affaires étrangères n’avait pas fumé la moquette avant d’entrer dans le studio.

Or ce n’était ni un lapsus, ni un propos de vieillard aux neurones détériorés. Le lendemain, Roland Dumas a enfoncé le clou sur le site islamiste radical « Oumma.com » en déclarant : « Eh bien, je crois qu’on ne peut pas faire plus clair ! Je ne crois pas à ce qui a été raconté à ce sujet (…) Il y a énormément de faits anormaux dans la version officielle. J’ai lu et étudié de nombreuses recherches faites sur la question. Beaucoup d’éléments ne tiennent pas ». En revanche, Roland Dumas croit au père Noël, qui l’a toujours bien pourvu en bottines Berlutti et en statuettes de Giacometti.

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 19:59

Le blog de Danilette

mercredi 22 décembre 2010
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -



Voici le résultat des infos collectées auprès de mes correspondants youtube, surtout ceux qui ont reçu des avertissements ou dont le compte a été supprimé et il y en a énormément ! Ce n’est pas en raison de messages ou commentaires haineux comme le laisse supposer le message très diplomatique que vous allez lire ci-dessous mais parce que des groupes d’activistes musulmans ne tolèrent aucune critique et surtout ne tiennent pas à ce qu’on dévoile au grand jour leurs discours en arabe ! 
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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 12:38

       

 

Banner gurfinkiel

 

 

 

http://www.michelgurfinkiel.com/articles/333-Medias-Letrange-affaire-Wikileaks.html

 

logo wikileaks

 

Médias/ L’étrange affaire Wikileaks

 

Les documents publiés par le « site de fuites » Wikileaks révèlent que tout le monde veut en finir avec l’Iran. Faut-il croire pour autant à une opération du Mossad ?

 

 

PAR MICHEL GURFINKIEL

 

 

Wikileaks a été créé voici quatre ans, en décembre 2006. Un réseau informel de journalistes et de blogueurs, dirigé par un jeune Australien, Julian Assange, décide de diffuser gratuitement, par le biais d’internet, des informations dites « confidentielles » de toute nature, afin de renforcer le débat démocratique là où il existe et de le susciter là où il n’existe pas. Une sorte de Canard Enchaîné planétaire en ligne A l’appui de cette action : l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui affirme : « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. » Mais aussi, aux Etats-Unis, le Premier Amendement de la Constitution, qui garantit et protège le droit à l’expression. 

 

Ce n’est pas le premier site de ce type et ce ne sera pas le seul. Mais c’est, à ce jour, le plus efficace. Dès avril 2007, Wikileaks publie des scoops retentissants sur la corruption au Kenya, qui valent à Assange un prix décerné par Amnesty International. Ce succès appelle le succès : il encourage d’autres informateurs à transmettre des dossiers. En 2009, le site fait voler en éclats le consensus qui entoure le réchauffement climatique : en publiant des e-mails et d’autres documents émanant du Climate Research Unit, un organisme centralisant les recherches sur ce sujet. Ces éléments révèlent en effet que certains scientifiques n’hésitent pas à manipuler ou à falsifier les données dont ils disposent afin de renforcer l’hypothèse selon laquelle le réchauffement serait principalement du aux activités humaines.

 

En 2010, les scoops s’enchaînent. Et ils sont de plus en plus dévastateurs. Wikileaks révèle que deux photographes de Reuters morts à Bagdad en 2007 ont été tués par l’armée américaine. Il diffuse 91 000 documents secrets relatifs à la guerre d’Afghanistan puis près de 400 000 documents relatifs à la guerre d’Irak. En fin, courant novembre et début décembre, c’est l’affaire des télégrammes diplomatiques, immédiatement baptisée Cablegate : 250 000 courriers internes du Département d’Etat américain, portant en particulier sur deux sujets,  la personnalité des chefs d’Etat ou de gouvernement étrangers et le péril iranien. Cette fois, les plus grands journaux occidentaux n’hésitent plus à reprendre ces informations.

 

Le gouvernement américain ne peut que contre-attaquer face à une telle hémorragie. Le secret est consubstantiel au pouvoir. Sans lui, un Etat ne peut remplir sa fonction par excellence : assurer la sécurité du pays et des citoyens, par la guerre ou la négociation. Mais la publication d’informations confidentielles, en soi, est bel et bien autorisée par la loi aux Etats-Unis et dans beaucoup de pays occidentaux. Les précédents,  à cet égard, ne manquent pas, notamment la publication de documents du Pentagone lors de la guerre du Vietnam, au début des années 1970. En revanche, ce qui peut être tenu pour criminel et relever, le cas échéant, de la haute trahison, c’est l’appropriation de ces informations et leur transfert à un média, y compris un site tel que Wikileaks : un des principaux collaborateurs d’Assange a été arrêté sous ce chef aux Etats-Unis et d’autres inculpations pourraient être décidées à brève échéance.

 

Au delà de cette contre-attaque judiciaire, Washington semble avoir monté une contre-attaque plus directe contre le site, en incitant ses hébergeurs à le fermer, ou en faisant arrêter Assange en Grande-Bretagne dans le cadre d’une affaire de moeurs examinée par la justice suédoise… Assange a été rapidement remis en liberté. Mais les poursuites ne sont pas éteintes pour autant.

 

La question que chacun se pose : Wikileaks travaille-t-il pour quelqu’un ? A-t-il un sponsor, obéit-il à un mentor occulte ? Certains milieux officieux, notamment en France, n’hésitent pas à mentionner Israël, en vertu du vieil adage : Cherchez à qui le crime profite. Le Cablegate révèle que l’Iran est considéré comme un danger absolu par la plupart des dirigeants arabes et une bonne partie des décideurs stratégiques occidentaux ; et accessoirement que les procrastinations de l’administration Obama à ce sujet suscitent beaucoup d’inquiétude dans les mêmes milieux. Rendre publics ces débats entre gouvernements, ou  internes à divers gouvernements, pourrait donc contribuer à créer un consensus, dans l’opinion publique internationale, en faveur d’un blocus de la République islamique, ou d’une opération militaire contre ses installations nucléaires ; ou convaincre le président américain à passer à l’action.

 

Cette interprétation est séduisante mais peu convaincante. Les Israéliens n’ont pu créer Wikileaks dans un tel but. Pour monter et déployer à partir de 2006 une opération complexe devant aboutir en 2010, ils auraient du commencé à travailler, au moins sur le concept, deux ou trois ans plus tôt, vers 2004 ou 2003 : à une époque où internet n’avait pas encore atteint son développement actuel, où des opérateurs « neuronaux » comme Google et Wikipedia n’avaient pas encore acquis leur indépendance, où la blogosphère venait à peine de se constituer, et – last but not least – où les pays arabes n’avaient pas encore pris mesure de la menace iranienne. Absurde.

 

Les Israéliens se seraient-ils « emparés » d’un site qu’ils n’auraient pas créé ? Il aurait fallu, dans cette hypothèse, que les Israéliens organisent le vol de centaines de milliers de documents aux Etats-Unis. Ils ont sans doute la capacité technique d’espionner leurs amis américains. Mais il y a une différence énorme entre se procurer un document secret et le publier : dans la première opération, on se cache ; dans la seconde, on se montre. Toute « fuite » entraine une enquête. Et conduit, presque infailliblement, à la découverte des responsables. Israël ne pouvait se permettre de prendre un tel risque aujourd’hui, après l’affaire Pollard de 1985, cas d’espionnage avéré, et l’affaire Rosen de 2005, qui s’est conclue sur un non-lieu mais a ravivé les trensions et les suspicions, d’autant plus qu’il a besoin, face à un président relativement hostile, du soutien le plus large de la classe politique et de l’opinion américaines.

 

Les Israéliens auraient-ils payé Wikileaks, ou certains de ses dirigeants, pour empêcher la publication de documents pouvant leur nuire ? C’est ce qu’affirme Leah Abramovitch, une « journaliste israélienne », dans des propos diffusés sur internet. Mais cette personne est inconnue dans son pays, et l’adresse électronique qu’elle met en avant ne fonctionne pas. Elle prétend tenir ses informations de Daniel Domscheit-Berg, qui vient de quitter Wikileaks après en avoir été, pendant trois ans, le porte-parole. Mais ce dernier a déclaré au magazine français Le Point : « Non seulement je n’ai parlé à aucune journaliste de ce nom au cours des derniers mois, mais surtout je n’ai jamais rien dit de tel à quiconque. » Enfin, Wikileaks a bel et bien publié des informations défavorables à l’Etat hébreu : par exemple un rapport d’après lequel des « escadrons de la mort » israéliens auraient assassiné près de sept cents scientifiques irakiens.

 

Benjamin Netanyahu, le premier ministre israélien, a sans doute accueilli sans déplaisir la publication de documents fiables montrant que les décideurs occidentaux et arabes sont en fait plus proches d’Israël qu’il ne le disent, notamment sur la question iranienne. Mais cette mise en ligne est une arme à double tranchant. Elle peut renforcer, dans une partie de l’opinion, la volonté de désarmer l’Iran. Mais également susciter, dans une autre partie, un refus plus catégorique de toute « aventure » militaire. A plus forte raison chez les Arabes. Leurs dirigeants ne font pas mystère de leurs sentiments à l’égard de l’Iran dans leurs conversations avec des ambassadeurs américains – le roi d’Arabie Saoudite parle de « couper la tête du serpent » - ;  mais ils n’osent généralement pas adopter la même attitude en public, par crainte de leur propre opinion, où l’anti-occidentalisme est plus fort que l’anti-iranisme. De fait, les agences de presse iraniennes diffusent depuis plusieurs mois des informations exactes sur la coopération militaire triangulaire entre les Etats-Unis, les pays arabes et Israël, dans la mesure où celle-ci peut être considérée comme une « trahison envers la Communauté islamique ». Ces méthodes ressemblent d’assez près au « grand déballage » Wikileaks.

 

Il est assez improbable que Wikileaks travaille pour Israël, n’en déplaise aux excellents journalistes et analystes qui ont avancé cette hypothèse. Il est moins improbable, à tout prendre, que ce site travaille pour l’Iran. Mais l’hypothèse la plus sérieuse, c’est qu’il n’agit que pour sa propre gloire, ou si l’on préfère l’ivresse de se mesurer aux plus grandes puissances du monde. Un comportement humain, trop humain, et plus fréquent qu’on ne croit.

 

© Michel Gurfinkiel, 2010

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 20:13

 

 



Dire qu’il faut boire le sang des Juifs est une incitation à la haine ; mais ce n’est pas Palestinian Media Watch qui le disait en postant des vidéos haineuses et incitatoires sur Youtube. C’est la télévision officielle de l’Autorité palestinienne ou celle du Hamas qui tiennent ce type de discours...Faire taire PMW, c’était donc censurer une information essentielle. La levée de bouclier contre la fermeture du compte de PMW a été telle que le compte a été rouvert....

Palestinian Media Watch est un outil d’information des plus précieux : son équipe arabophone lit, voit, écoute tout ce qui est dit, montré, publié par l’Autorité palestinienne ou avec son aval et par le Hamas. Cela va des gazettes aux programmes culturels ou religieux en passant par les manuels scolaires ou les groupes de rap. Les traductions informent le monde occidental de la réalitéde ce qui se passe sous autorité palestinienne, de l’éducation systématique à la haine d’Israël et des Juifs, que ce soit à Gaza ou dans la partie de Judée Samarie gérée par les soi-disant « modérés » du gouvernement Abbas & Co.

L’ironie est que Youtube avait prétexté que le contenu haineux des vidéos palestiniennes diffusées avec sous-titrages par PMWviolait leurs conditions d’utilisation pour les interdire et, n’y allant pas de main-morte, fermer carrément le compte de cette ONG. Les réactions ont été telles que Youtube est revenu sur sa décision.

Les vidéos contestées ont réapparu. Dans l’une d’elle on voit un dignitaire religieux de l’Autorité palestinienne – qui reçoit sans condition des fonds européens, français ou américains et où des représentants français s’enorgueillissent de compter des amis...- particulièrement répugnant inciter son public, surtout les jeunes, au cours d’un prêche à aller se faire exploser parmi les Juifs qualifiés de racaille et de peuple dégoûtant » comparable à un chien, à Hadera, Tel-Aviv, Natanyah C’est ce qu’on appelle des dirigeants «  modérés  » qui, eux, recherchent vraiment la paix...

Pour voir les autres vidéos ayant servi de prétexte pour fermer le compte PMW, et le compte Palwatch Youtube de PMW : voir :http://www.desinfos.com

Il faut visiter le site de PMW – en anglais -http://www.palwatch.org/ Le véritable discours palestinien en arabe, loin des petits-fours et des lambris dorés est édifiant...

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 09:23

 

 

Youtube censure PMW : la vidéo pour laquelle Youtube a fermé le compte

Si vous ne connaissez pas Palestine Media Watch, (PMW), il s’agit d’un site qui tente d’attirer l’attention du monde sur le discours en arabe démentiellement haineux de la télévision palestinienne. 

Les responsables de PMW, monitorisent les deux chaînes de télévision palestiniennes (celle du Fatah et celle du Hamas), et en traduisent des extraits qu’ils postent ensuite sur leur site et sur Youtube. Nous avons ici souvent publié leurs vidéos.

Mais c’est cette dernière vidéo, montrant le message testamentaire d’un terroriste palestinien, qui a provoqué la fermeture par Youtube du compte  PMW et la suppression de toutes leurs vidéos.

 

 Traduction :

Mon message aux juifs detestés : Il n’y a d’autre dieu qu’Allah,

Nous vous pourchasserons partout

Nous sommes un peuple qui boit le sang.

Nous savons qu’il n’y a pas de sang meilleur que celui des juifs.

Nous ne vous laisserons pas tranquilles, tant que notre soif ne sera pas rassasiée de votre sang,

ainsi que la soif de nos enfants,

Nous n’aurons de répit tant que vous n’aurez pas quitté les pays musulmans.

Action urgente : Le site Israellycool qui a pu récuperer cette vidéo, lance un appel et demande de la recopier avant qu’elle ne disparaîsse. Avec la censure qui resserre ses mailles sur le Net, plus il existera de copies, mieux ça vaudra.

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 19:32

93% des votants pensent que les médias mentent sur Israël, un exemple « le Monde en marche »

http://www.europe-israel.org/2010/12/15/93-des-votants-pensent-que-les-medias-mentent-sur-israel-un-exemple-le-monde-en-marche/


Herve-Chabalier

Notre petit sondage sur la question « Pensez vous que les médias européens disent la vérité sur Israël et les Palestiniens ? » a donné les résultats suivants sur 1498 personnes :

  • 93 % des personnes ont répondu NON (1398)
  • 6 % des personnes ont répondu OUI (83 personnes)
  • 1 % des personnes ne se prononcent pas (17 personnes)

Une illustration de cette désinformation :

Hier a été diffusé sur France 5 dans le cadre de l’émission « Le Monde en Marche » de Hervé Chabalier, pseudo Grand Reporter, un reportage appelé « Palestine : l’impossible Etat ».

Ce fût encore une belle illustration des mensonges journalistiques sur Israël et la Palestine !

Le dossier n’a été présenté « qu’à charge » contre Israël, seul responsable de l’échec des négociations par son gouvernement de coalition de droite et d’extrême droite (ainsi qualifié par Chabalier) intransigeant face aux « gentils négociateurs Palestiniens ». 
Ce pseudo Grand Reporter a fait la place belle à la « cause palestinienne » ! Son parti-pris était flagrant…

Longs interviews d’un négociateur Palestinien qui n’a cessé d’affirmer qu’il voulait la paix et un Etat, que les israéliens au contraire ne voulaient que coloniser chaque jour un peu plus « la Terre Palestinienne »…

Chabalier a même trouvé un israélien francophone, récemment installé en Israël, pour abonder dans son sens et fustiger la politique du gouvernement Israélien. Et comble du bonheur pour ce Grand Reporter, qui souhaite détrôner Charles Enderlin dans la désinformation, il a même interviewé  le réalisateur de « Lebanon », Samuel Maoz, qui est le film israélien le plus anti-israélien produit ces dernières années… sur une jolie page israélienne où l’on aperçoit des israéliens heureux en contraste avec les palestiniens opprimés. Habile contraste des images orienté dans le seul but d’arracher quelques larmes aux spectateurs…

Quid de l’objectivité d’un tel documentaire ?

Chabalier n’a interviewé aucun négociateur israélien. Il n’a interviewé aucun membre du gouvernement.

La seule personne sioniste qui a eu droit aux faveurs de ce prétendu journaliste est l’un des membres d’une association qui achète des maisons aux palestiniens dans les quartiers arabes de Jérusalem pour y implanter des familles juives. 
Là encore Chabalier a choisi délibérément cette personne pour stigmatiser la colonisation israélienne « qui vole » les maisons des « pauvres palestiniens ».

D’ailleurs en parallèle Chabalier nous montrait une pauvre famille arabe expulsée par décisions de justice de leur maison et remplacée par une famille juive, sans que celui-ci nous indique les raisons de cette expulsion. On peut largement imaginer l’impacte de telles images dans le coeur des français sensibles aux injustices… 
Mais l’objectivité aurait voulu que ce soit précisé les raisons de cette expulsion, surement en raison de l’illégalité de l’occupation par cette famille arabe ou de loyers impayés (comme la justice française prononce de la même façon des expulsions).

Quid donc de l’objectivité d’un tel reportage ?

Pas un mot sur l’intransigeance Palestinienne à ne pas vouloir reconnaitre Israël en tant qu’Etat Juif alors que c’est l’objet même du vote de l’ONU en 1947.

Pas un mot sur les folles demandes Palestiniennes sur le prétendu « Droit au retour » de plus de 7 millions de réfugiés ? Rappelons qu’entre 1948, date de la première guerre d’indépendance de l’Etat d’Israël, et 1967, date de la Guerre des Six Jours, il n’y eu que 800 000 réfugiés arabes. Ceux-ci seraient aujourd’hui plus de 7 millions…

A-t-on déjà vu un « Droit au retour » ailleurs sur la planète à l’occasion d’un conflit ? Jamais !
A-t-on déjà vu un « droit de réfugié transmissible » de génération en génération ailleurs ? Jamais !

Dans tous les conflits mondiaux, les réfugiés ont été absorbés par les pays voisins et intégrés dans leurs populations.

C’est ainsi que plus de 1,5 million de Juifs ont été obligés de fuir les pays Arabes dans la même période. Ces 1,5 millions de Juifs dont personne ne parle jamais se sont intégrés en Israël, en France, en Europe et aux USA sans que personne ne s’en émeuve jamais, sans que l’ONU ne crée un département spécial comme il l’a fait pour les 800 000 palestiniens (l’UNWRA).

Monsieur Chabalier vient nous démontrer une fois de plus les orientations pro-palestiniennes de France Télévision qui laisse une fois de plus le mensonge et la désinformation servir la seule cause « politiquement correcte ».

Nous pouvons ainsi décerner à Monsieur Chabalier, avec ce documentaire pour le moins partial, le AWARD 2010 de la désinformation pro-palestinienne !

Jean-Marc MOSKOWICZ


France 5 programme un deuxième numéro du Monde en Marche , ce soir à 20h35. Hervé Chabalier et son équipe de journalistes décrypteront le conflit au Proche-Orient.

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 21:04
La douche froide pour WikiLeaks

par Daniel Pipes


National Review Online
14 décembre 2010


http://fr.danielpipes.org/9188/wikileaks-dirigeants-arabes


Version originale anglaise: Pouring Cold Water on WikiLeaks
Adaptation française: Johan Bourlard

Soyez le premier de vos amis à indiquer que vous aimez ça.

Parmi toutes les révélations faites par WikiLeaks, la plus surprenante de toutes est peut-être celle qui indique que plusieurs dirigeants arabes ont pressé le gouvernement américain d'attaquer les installations nucléaires iraniennes. Comme tout le monde le sait très bien, le roi Abdallah d'Arabie Saoudite a appelé Washington à « couper la tête du serpent. » Selon un consensus quasi universel, ces déclarations dévoilent les véritables objectifs politiques des Saoudiens et d'autres politiciens.

Mais en est-il forcément ainsi ? Il y a deux raisons d'en douter.

Premièrement, il se peut, comme l'observe finement Lee Smith, que les Arabes racontent simplement aux Américains ce que ceux-ci souhaitent entendre : « Nous savons ce que disent les Arabes aux diplomates et aux journalistes au sujet de l'Iran », écrit-il, « mais nous ne savons pas ce qu'ils pensent réellement de leur voisin persan. » Leurs appels pourraient faire partie d'un procédé diplomatique consistant à faire siens les craintes et les désirs de ses alliés. C'est pourquoi, quand les Saoudiens proclament que les Iraniens sont leurs ennemis mortels, les Américains tendent à accepter de façon inconditionnelle cette position qui est aussi la leur ; Smith affirme toutefois que « le discours tenu par les Saoudiens aux diplomates américains est destiné non pas à nous fournir un éclairage sur les intentions royales mais bien à nous manipuler dans le but de servir les intérêts de la monarchie saoudienne. » Comment pourrions-nous être convaincus qu'ils nous disent la vérité simplement parce que nous aimons ce qu'ils disent ?

Gamal Abdel Nasser, l'homme fort de l'Égypte, était excellent pour la duperie…

Deuxièmement, comment jugeons-nous la contradiction entre ce que les dirigeants arabes disent à leurs interlocuteurs occidentaux sotto voce et ce qu'ils braillent devant les masses ? En examinant les différents cas de figure qui se sont présentés depuis les années 1930, j'ai observé dans une étude publiée en 1993 que ce qui est dit tout bas compte moins que ce qui est dit tout haut : « Les déclarations publiques comptent davantage que les communications privées. Et si les unes comme les autres ne constituent pas un révélateur infaillible des mensonges politiques publics ou privés, les premières annoncent ce qui va arriver bien mieux que les secondes. »

Par exemple, le conflit israélo-palestinien se serait terminé depuis bien longtemps à en croire les confidences faites aux Occidentaux. Prenons le cas de Gamal Abdel Nasser, l'homme fort de l'Égypte de 1952 à 1970 et probablement l'homme politique qui a fait sur Israël une fixation au niveau de la politique au Moyen-Orient.

Selon Miles Copeland, agent secret de la CIA qui assurait la liaison avec Nasser, ce dernier considérait la question palestinienne comme « insignifiante. » Publiquement, cependant, Abdel Nasser n'avait de cesse de poursuivre un programme anti-sioniste qui lui avait permis de devenir le dirigeant arabe le plus puissant de son temps. En d'autres termes, les confidences de Nasser à Copeland se sont révélées complètement trompeuses.

Voici un exemple concret d'application de ce cas de figure. En privé, il disait aux diplomates occidentaux qu'il était prêt à négocier avec Israël alors que, quand il s'adressait au monde, il rejetait jusqu'à l'existence même de l'État juif ainsi que tout compromis avec ce dernier. Ainsi, après la guerre des Six-Jours en 1967, Abdel Nasser manifesta secrètement aux Américains sa volonté de signer avec Israël un accord de non-belligérance « avec toutes les conséquences que cela comporte », alors que, publiquement, il rejetait les négociations en martelant que « ce qui a été pris par la force, sera repris par la force. » Comme toujours, les déclarations publiques de Nasser reflétaient ses véritables objectifs politiques.

Ses rugissements constituaient, plus que ses murmures, un indicateur de ses actions. D'ailleurs, Nasser le reconnaissait tacitement quand il disait à John F. Kennedy que « certains politiciens arabes faisaient des déclarations publiques dures concernant la Palestine puis prenaient contact avec le gouvernement américain pour adoucir la dureté de leurs propos en présentant ceux-ci comme étant destinés à la rue arabe. » De cette façon, Nasser ne faisait que décrire son propre comportement.

… tout comme Yasser Arafat, le leader palestinien.

En revanche, il arrive que les dirigeants arabes révèlent la vérité en parlant en privé non pas aux Occidentaux mais aux leurs. Ainsi, on se souvient du leader palestinien Yasser Arafat qui, alors qu'il signait publiquement en 1993 les Accords d'Oslo sur la reconnaissance d'Israël, exprimait en privé ses véritables intentions lorsque, dans une mosquée en Afrique du Sud, il appela les musulmans « à venir combattre et à entreprendre le djihad pour libérer Jérusalem. »

On a tendance à privilégier ce qui est confidentiel et privé par rapport à ce qui est manifeste et public. Cependant, la politique au Moyen-Orient montre régulièrement qu'il est préférable de lire les communiqués de presse et d'écouter les discours que de se fier aux câbles diplomatiques. Les avis confidentiels peuvent être plus sincères mais, comme l'observe Dalia Dassa Kaye de la Rand Corporation, « entre ce que disent les dirigeants arabes aux officiels américains et ce qu'ils sont prêts à faire, il peut y avoir de la marge. » Alors que les masses se laissent diriger, les Occidentaux de haut rang se laissent séduire.

Ce constat empirique, qui explique pourquoi les observateurs éloignés voient souvent ce que les diplomates et journalistes proches ne voient pas, permet aussi d'émettre des doutes sur l'utilité de la fuite de données orchestrée par WikiLeaks. Finalement, il s'agit plus là de nous distraire que de nous éclairer sur ce que nous savons à propos de la politique arabe.

Thèmes connexes:  Société moyen-orientale Il est permis de reposter ou de faire suivre ce texte pour autant qu'il soit présenté dans son intégralité et accompagné de toutes les informations fournies à propos de son auteur, de sa date et son lieu de publication et de son URL originale.

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 20:00

 

 

Par Dominique BOURRA

 

Vaste programme. Il est vrai cependant que Wikileaks, qui sait tout sur tout, est resté jusqu’à présent relativement discret en matière d’ufologie (science des ovnis) et autres manifestations extra-terrestres. Le fondateur du site scandaleux s’est tout de même risqué à une annonce sibylline lors d’une interview donnée début décembre à la presse britannique (ici), il y aurait en effet dans certaines archives non encore divulguées des références aux Ovnis (objets volants non identifiés). Frissons garantis.

Le boss de Wikileaks reconnait en même temps – avec humour – que beaucoup d’excentriques le contactent par mail à ce sujet sans pour autant satisfaire aux règles élémentaires du site ; produire des documents originaux et non fabriqués par ceux qui les envoient. Exit donc les petits hommes verts et les éléphants roses. Pour le moment du moins.

Si Wikileaks fait preuve d’une « certaine déontologie » dans la sélection de ses sources, ce n’est pas encore le cas de la blogosphère qui reste le réceptacle et la caisse de résonnance des canulars les plus échevelés, au grand plaisir des internautes en mal d’émotions fortes. Le dernier en date, est l’approche de 3 gigantesques objets volants  en direction de la terre. Invisibles pour le moment depuis l’hémisphère nord, les 3 ovnis s’approcheraient de notre planète à grande vitesse.  Le contact du troisième type (collision ou invasion) serait prévu pour 2012, fin du calendrier maya. Classique.

En attendant mieux, un lien vers Sky-map (ici) propose un aperçu flouté des mystérieux aéronefs. «L’information» est reprise -souvent pour argent comptant- par des centaines de blogs  et s’appuie sur une pseudo révélation faite par un scientifique fictif travaillant au sein d’un organisme réel: le SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) dont on peut  consulter le site officiel  ici.

Face à la recrudescence des témoignages fantasques, le ministère de la défense britannique a d’ailleurs annoncé l’an dernier la fermeture de sa hotline et de son département dédié aux signalements d’ovnis. Plus de 10 000 témoignages auraient ainsi été recueillis au fil des années selon le « Télégraph » (ici).

Le communiqué publié sur le site du ministère de la défense  (ici) est un petit bijou d’humour british, digne  des « Monty Python ». On apprend ainsi que le ministère n’a pas d’opinion arrêtée quant à la vie extra-terrestre. Qu’en 50 ans aucun signalement d’ovni n’a révélé une menace quelconque pour le Royaume Uni.

Que le ministère de la défense n’a,  en tout état de cause,  pas les capacités d’identifier la nature des phénomènes observés. Que tout cela ne présente d’ailleurs aucun intérêt pour les questions de défense. On comprend que le ministère n’a pas que cela à faire de répondre au téléphone et aux courriers puis d’enquêter sur tous les cas signalés (en augmentation sensible).  En conséquence, la hotline et le serveur mail dédié aux témoignages sur les ovnis ont été suspendus au 1er décembre 2009.

Les cas inexpliqués dûment constatés par le ministère de la défense seront néanmoins transmis comme avant aux archives nationales. Et  pas besoin de Wikileaks pour les consulter; les signalements d’ovnis, recueillis au cours des dix dernières années, sont en ligne  ici sur le site officiel du ministère de la défense britannique, ce n’est pas un canular cette fois.

 

DB.

Copyrights Nanojv: http://nanojv.com


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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 15:50

MEMRI Middle East Media Research Institute

Dépêche fr. n° 212

 

Ibrahim Farhat, de la télévision Al-Manar du Hezbollah : on s´est servi des clips du MEMRI pour nous attaquer en justice en France

 

Ci-dessous des extraits d´une interview d´Ibrahim Farhat, chargé de communication de la télévision Al-Manar du Hezbollah. Es extraits sont passés sur la chaîne Al-Alam, le 5 décembre 2010

 

Voir les extraits-vidéo sous-titrés en anglais sur MEMRI TV :

http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/2719.htm

 

Ibrahim Farhat : En Occident, il existe des institutions importantes qui opèrent la veille des médias arabes. Il s´agit notamment d´institutions israéliennes, localisées dans des pays étrangers, et en particulier aux Etats-Unis. Elles effectuent en direct et sans interruption la veille des médias arabes. Le MEMRI en fait partie. Quand nous avons été attaqués en justice en France, dans l´affaire Al-Manar, ils se sont servis des enregistrement s de cet institut [le MEMRI].

 

Les médias occidentaux ne sont pas uniquement composés de chaînes satellitaires ; c´est un système général. Les médias arabes n´ont pas encore mis en place un système de ce type pour se défendre.

 

[…]

 

 

 

Pour adresser un email au MEMRI ou faire une donation, écrire à : memri@memrieurope.org.

 

Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french.

 

Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source.

 

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 18:46

 

Israël bashing: l'affaire al Doura dans un manuel scolaire en Belgique !

 

 http://philosemitismeblog.blogspot.com/2010/12/israel-bashing-laffaire-al-doura-dans.html


On nous signale que les élèves flamands (âgés de 16 à 17 ans) étudient leur langue maternelle, le néerlandais, dans un manuel scolaire où l'un des thèmes est l'affaire al Doura. Le manuel est publié par la très sérieuse maison d'éditions Uitgeverij Pelckman, spécialisée dans les livres scolaires.

Titre du chapitre: "La violence comme fondement de la nation"

Au-dessus de la photo: "La vérité sort du canon d'un fusil", Mao Zedong

Légende de la photo: "La violence comme fondement de la nation [!]. Une attaque israélienne sur un camp de refugiés [!] palestinien: un père protège son enfant avec son propre corps. Il est quand-même tué [!] par des tirs (2002 [!])."
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  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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