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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 09:20

Envoyé par A.K

http://cidinfo2000.free.fr/index.htm

LES SONDAGES

En faisant un petit tour sur mes sites favoris (www.islamarabe.com, www.palestinefr.net...)

 J''Ai faitune découverte sensationnelle:

Vous aviez peur de l'Iran, de la Corée du Nord ou bien même du Pakistan?

Voyons, vous avez tout faux...vous visez bien trop gros!

Selon Des sondages ayant été effectués sur ces sites,

75% Des lecteurs considèrent IL EST "évident que les sionistes dirigent l'occident",

50% considèrent que Le Mossad Israélien a organisé les attentats de Madrid (on se souvient de l'allocution de l'Imam Abu Hamsa sur TF1 Le soir même en ce sens)...

Concernant Israël, qui EST considéré à 85% comme une "réelle menace pour la paix dans Le monde", 57% Des sondés pensent que saa disparition EST Le meilleur moyen de mettre fin au problème Palestinien, et 18,7% pensent que Le prochain attentat israélien (sic), à l'aide d'une micro-bombe atomique (sic) aura lieu...en France, et tenez vous bien, Le motif EST de taille:

Punir Jaques Chirac, un raisonnement, évidemment typiquement israélien,

Qui appelle régulièrement à punir croisés et infidèles......je me trompe de camp?!

Voici les sondages...




www.islamarabe.com



www.stcom.net



www.palestinefr.net



www.stcom.net



www.stcom.net

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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 09:12
Liban : Réactions, accusations et arrestations à l’issue de l’attentat contre le gén. François Hajj


function mxclightup(imageobject, opacity){ if (navigator.appName.indexOf("Netscape")!=-1 &&parseInt(navigator.appVersion)>=5) imageobject.style.MozOpacity=opacity/100 else if (navigator.appName.indexOf("Microsoft")!= -1 &&parseInt(navigator.appVersion)>=4) imageobject.filters.alpha.opacity=opacity }

 


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general_francois_hajj.jpgLibnanews – 12 décembre – Un attentat perpétré ce mercredi matin à 7h (heure locale) dans la localité de Baabda, siège du palais présidentiel, a coûté la vie à quatre personnes dont un haut responsable de l'armée libanaise le général François Hajj et ses deux gardes du corps.

A la lumière des dernières informations, la charge explosive pesant 20 kilogrammes et était placée dans une voiture de type BMW série 320, qui a explosé au passage de la voiture du général qui se dirigeait vers le ministère de la Défense, à Yarzé, dont le corps a été expulsé à 100 mètres de son véhicule.

De sources médiatiques, des militaires ont arrêté deux suspects à quelques centaines de mètres de l'attentat, dont un homme corpulent portant une barbe touffue et un pardessus beige. Selon un responsable militaire proche du général assassiné, cet attentat ne peut qu’être lié au phénomène de Nahr el-Bared, où l’armée a enregistré à l’issue de trois mois de combats une victoire contre les terroristes du Fatah al-Islam dont le sort de leur chef fuyard Chaker Abssi demeure toujours inconnu.

Le général de brigade François Hajj, directeur des opérations militaires, et responsable des opérations contre le groupuscule islamiste du Fatah al-Islam est un des proches du général Michel Sleimane, candidat consensuel à la présidence du Liban. Le nom du général Hajj était le plus éventuel pour remplacer le général Sleimane à la tête de l'armée libanaise au cas où ce dernier serait nommé à la tête de la magistrature suprême du pays.

Il y a 2 ans, jour pour jour, le Liban perdait l'un de ses fils, le journaliste et député Gebran Tueni, également décédé dans un attentat à la voiture piégée, dans un lieu pas très loin des lieux du crime de ce mercredi 12 décembre 2007.  

 

Réactions des politiciens Libanais

Le chef du bloc parlementaire de la majorité le député Saad Hariri a dénoncé dans un communiqué l’attentat à la voiture piégée qui a coûté  la vie au général de l’armée libanaise chargé de la direction des opérations militaires le général de brigade François el-Hajj ainsi que deux de ses gardes du corps.

Le parti chiite du Hezbollah a émis un communiqué dans lequel il indique que le martyr du général Hajj constitue une grande perte nationale, et appelle à de sérieuses enquêtes afin d’arrêter les criminels derrière ce crime qui doivent payer très cher ce meurtre contre l’institution militaire.

Le ministre des Télécommunications M. Marwan Hamadé a estimé que la nomination du commandant en chef de l’armée libanaise le général Michel Sleimane à la présidence est la raison pour laquelle l’attentat de ce 12 novembre a pris pour cible l’institution militaire au Liban.

Le ministre de l’Information M. Ghazi Aridi a signalé que cet attentat représente un message aux Libanais leur indiquant que la situation demeure précaire au Liban et que la sécurité sera toujours sabotée.

Le chef suprême du parti des Kataëb l’ancien président Amine Gemayel a souligné que l’attentat contre le général François Hajj est un attentat contre le Liban, sa présidence de la République et son armée.

Le général à la retraite Hicham Jaber a déclaré que ce meurtre commis contre le général François Hajj prend pour cible son palmarès brillant au sein de l’institution militaire, vantant son refus de coopération avec l’armée israélienne en raison de son appartenance à la localité de Rmeich au Sud Liban,  ses combats de 1989, et surtout sa direction des opérations militaires contre le groupuscule terroriste à Nahr el-Bared.

Le chef du Rassemblement Démocratique et chef du PSP M. Walid Joumblatt appelle à une rencontre entre l’opposition et la majorité afin d’élire le général Sleimane à la présidence, soulignant que l’armée et la nation sont le pinacle des intérêts, et tout ce qui reste peut être discuté calmement.

Le président du conseil exécutif des Forces Libanaises M. Samir Geagea a indqué qu’il est fort possible que la nomination du général Michel Sleimane ne plaise pas à certain et que cet attentat représente un message indirect au chef de l’armée, ajoutant que ceci doit pousser les responsables libanais à se diriger au plus tôt vers le Parlement afin d’élire le général Sleimane à la présidence.

Le membre du bloc de la Réforme et du Changement le député Ibrahim Kanaan a déclaré que le « diable » est disposé à dépasser toutes les limites et à viser tout le monde, ajoutant que ce phénomène de la violence appel à une reprise de conscience et à un dialogue franc entre tous les dirigeants libanais.

Le membre du bloc de la majorité le député Ali Bazzi a indiqué que ce crime commis contre le général François Hajj invite les Libanais à se poser de sérieuses questions et exhorte les leaders à mettre fin au dossier de la crise politique qui enlise le pays parce les mains criminels sont toujours présentes au Liban.

L’ancien député et membre effectif de l’alliance politique du 14 mars M. Fares Souaid a considéré que le meurtre du général François Hajj constitue une menace contre le commandant en chef de l’armée libanaise le général Michel Sleiman qui vient lui dire que même si les 14 marsistes appuie son élection à la présidence, l’armée dont il tire ses forces est capable d’être une cible facile à atteindre.

Le chef du PNL M. Dory Chamoun a de son côté affirmé que les crimes ne s’arrêteront pas tant qu’il y a une opposition qui s’évertue à torpiller tout accord au Liban.

Le membre du bloc des Forces libanaises le député Antoine Zahra a accusé la Syrie qui est derrière ce crime de vouloir maintenir une mainmise sur le Liban, et a attesté que les forces du 14 mars déploieront tous les efforts nécessaires afin de voir l’élection du général Michel Sleimane à la tête de la présidence de la République libanaise.

Le député Antoine Andraous a également montré du doigt le régime syrien qui doit être responsable de ce crime et de tous les crimes perpétrés au Liban depuis trois ans.

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12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 08:38
Jewish World Review  11 décembre 2007 / 2 Teves 5768

Vous nous devez la réussite  

Par Barry Rubin

Adaptation française de Sentinelle 5768 ©

La distorsion de la politique d’aide aux Palestiniens  

Ma citation favorite de la semaine est : « En demandant la somme record de 5,8 milliards de $ d’aide jusqu’en 2010, les Palestiniens promettent une réforme fiscale ». Karen Laub a écrit à ce sujet pour l’AP, le 5 décembre 2007. La requête vient du «Président palestinien Mahmoud Abbas » de doubler d’aide projetée à l’Autorité Palestinienne (AP).

Ce qui est drôle dans cette déclaration liminaire, c’est que l’AP a reçu tant d’argent auparavant, et l’a dilapidé. Des promesses de réformes ont été faites et trahies depuis plus de 13 ans. Il est difficile de se souvenir que l’AP a existé depuis aussi longtemps avec si peut de réalisations positives. Si les Palestiniens ont une économie si mauvaise, ce n’est pas dû à « l’occupation » ou à Israël, mais à l’avidité des ses propres chefs, à leur incompétence, à leur échec à mettre fin à la violence, à leur incapacité à réaliser un climat d’investissement attractif, et à leur absence de volonté d’imposer la stabilité sur leurs propres territoires. 

Alors, comment l’histoire de l’AP s’accommode-t-elle de l’humour involontaire à l’idée que verser davantage d’argent à l’AP conduirait à un quelconque progrès diplomatique, ou que le régime ferait un meilleur usage  de ces fonds ? Rappelez-vous que dans une large mesure, les gouvernements américain et européens fondent toute leur politique au Moyen-Orient sur cette idée erronée. L’ancien Premier Ministre britannique, Tony Blair a même transformé cela en seconde carrière.

C’est une histoire tellement importante qu’il vaut la peine de l’examiner en détail.

Selon le propre plan de l’AP :

« 70 % de l’aide doit aller au soutien du budget, comprenant 120 millions de $ par mois pour payer les salaires du secteur public surgonflé, et 30 % doit être dépensé pour des projets de développement ».  

Au moins, l’article utilise le mot « surgonflé ». Le soutien au budget n’est pas l’aide au développement, mais paie seulement la note de ceux incapables ou non désireux de payer pour eux-mêmes. Mais l’article ne dit pas cela aux lecteurs, ni que la nature « surgonflée » du secteur public est due à la corruption, au clientélisme pour s’acheter un soutien politique, et à une énorme disproportion de l’appareil policier / militaire. Rester sur le pied de guerre avec Israël est le principal facteur du modèle de l’emploi à l’AP. Ces agences de sécurité ne sont certainement pas utilisées pour arrêter le terrorisme contre les Israéliens, et ils se sont sûrement révélés inefficaces avec le Hamas. Des policiers ont souvent été impliqués individuellement dans des attaques. En grande partie, alors, l’aide soutiendrait la bataille palestinienne contre Israël.

Il y a aussi un autre point non mentionné ici dans l’article. L’AP collecte des impôts, mais elle n’a jamais institué un système d’imposition d’ensemble. Elle a agi comme si c’était le travail d’étrangers, ce qui signifie essentiellement l’Occident, de payer ses dépenses. Cela n’est pas sain psychologiquement ni n’encourage à une action politiquement responsable. Un effet de levier économique n’a certainement pas été utilisé pour pousser l’AP à la paix, encore moins pour donner un coup de pouce pour combattre le terrorisme ou mettre fin à la provocation à la violence anti-israélienne.

L’article, alors, ne reproche certainement pas les problèmes économiques aux Palestiniens eux-mêmes. Tout en ne dénigrant pas Israël, la responsabilité est mise surtout sur Israël, simplement parce que les officiels de l’AP sont autorisés à faire des déclarations à cet effet sans contradiction.

Ainsi, le ministre palestinien du plan, Samir Abdullah dit qu’il a pour objectif un budget équilibré d’ici six ans, poursuit la narration – et cela n’est pas une citation directe de sa part –« peut-être même plus tôt si Israël se décide rapidement à lever des restrictions écrasantes sur le commerce et les déplacements ».

Que pensez-vous de ces phrases alternatives :
  • Peut-être même plus tôt si l’AP fait la guerre à la corruption.
  • Peut-être même plus tôt si l’AP essaie de rafler des terroristes et des éléments qui pourrissent la vie et extorquent l’argent de leurs concitoyens sous couvert d’une organisation patriotique.
  • Peut-être même plus tôt si l’AP fait de vrais compromis pour parvenir à un accord de paix avec Israël.
  • Et ainsi de suite.
Au lieu de cela, continue l’article : « cependant, les Palestiniens soumettent une demande d’aide en pente abrupte au moment d’une « fatigue considérable du donateur ». Mais pourquoi les donateurs sont-ils fatigués de donner de l’argent. Selon Laub :

« Depuis le milieu des années 1990, la communauté internationale, conduite par l’Europe, a envoyé des milliards de $ aux territoires palestiniens pour soutenir des efforts de paix, mais les bénéfices ont été largement effacés dans les combats israélo-palestiniens. Des critiques reprochent aussi les énormes sommes siphonnées par les officiels corrompus des régimes précédents ».

Cela est tout simplement malhonnête. Est-ce que les donateurs déclarent qu’ils sont satisfaits de donner de l’argent mais que les « bénéfices » ont été effacés à cause des combats ? Non, ils disent : « Pourquoi devrions-nous donner de l’argent s’il est simplement volé ou mal utilisé ? Ce ne sont pas seulement des critiques mettant en cause la corruption, comme si c’étaient quelques grandes gueules parlant sous couvert d’anonymat. L’AP peut-elle trouver quelqu’un niant cette accusation ? Que pensez-vous de cet écrit :

« Chacun pense que des officiels corrompus ont volé une fraction très importante de l’aide ». Ce point est-il vraiment controversé ? Un point sur lequel il y aurait deux avis ?
De plus, des bénéfices – et il n’y en  a pas eu beaucoup – n’ont pas été effacés seulement dans le combat israélo-palestinien comme si une guerre incontrôlable avait éclaté et s’était déversée sur la pays. Le problème était que Yasser Arafat et ses collègues ont décidé de lancer une guerre durant cinq ans (qu’Arafat l’ait ou non planifiée en avance, ou initiée, il l’a sûrement poursuivie et en a fait sa stratégie). Ce conflit, qui n’apporta absolument aucun bénéfice aux Palestiniens, a détruit leurs infrastructures.

Mais la cerise sur le gâteau est la phrase : les « régimes précédents » étant responsables de la corruption comme si la direction actuelle n’avait rien à voir avec. Le Premier Ministre actuel, économiste professionnel, peut ne pas être corrompu, mais le régime de l’AP d’aujourd’hui est la continuation  de tous les précédents. Le personnel n’a pas beaucoup changé. Qui a autorisé à l’AP à accorder un pardon total à tous ces officiels de l’AP qui ont volé pendant des années et sont toujours en charge ?

Fondamentalement alors, les règles du jeu ressemblent à ceci : Israël peut être blâmé mais les Palestiniens ne peuvent pas l’être. Pas plus que les donateurs ne sont gratifiés de bon sens pour refuser de jeter leur argent dans un puits qui se termine en définitive sur les comptes en banque personnels des officiels de l’AP. Après tout, l’article proclame :

“La décision de la communauté internationale d’imposer des sanctions après la victoire aux élections parlementaires du groupe islamiste militant Hamas en 2006 a provoqué un déclin économique plus profond, parce que l’argent glissait des projets de développement aux dépenses d’assistance sociale ». 
Observez le caractère mensonger de cette déclaration. Bien sûr, les sanctions ont provoqué un déclin économique supplémentaire, mais considérez que :
  • Les Palestiniens ont élu le Hamas, après tout.
  • Si le Hamas se comporte de façon extrémiste et terroriste, alors ce n’était pas la décision de la communauté internationale d’imposer des sanctions, mais plutôt la décision du Hamas de suivre une stratégie politique radicale qui a provoqué un déclin économique supplémentaire.
  • C’est un fantasme de penser que l’argent utilisé pour les « projets de développement » jusqu’à maintenant devaient aller à des « dépenses sociales ». Il allait depuis toujours – et cela comprend des subventions budgétaires – à des dépenses sociales.
  • Mais là se situe le pire. L’argent était réparti avant et pas après la victoire du Hamas. Plus de deux mois avant  que les Européens cessent leur aide à cause de la corruption à l’AP. C’était l’AP, et pas le Hamas, qui dégoûta les donateurs. C’est une affaire de notoriété publique.
  • Et finalement, il y a une question intéressante que cet article n’explore pas vraiment. Après tout, pourquoi l’AP a-t-elle besoin de deux fois plus d’argent pour gouverner seulement environ moitié moins de gens ? La bande Gaza, après tout, est régie par le Hamas.
Cet article souligne :
« On ignore dans quelle mesure Gaza bénéficierait d’une aide étrangère. Le plan à trois ans s’engage seulement à apporte rune assistance humanitaire et des services de base jusqu’à ce que les frontières de Gaza rouvrent, sans doute quand le Hamas n’y sera plus au pouvoir.
« Dans le cadre de l’arrangement actuel, le gouvernement Abbas paie les salaires de 31.000 fonctionnaires à Gaza, qui ne coopèrent pas avec le Hamas, et couvre les dépenses des services publics ».
 
Néanmoins, l’article ne souligne pas explicitement que l’AP demande au fond une augmentation des dons d’aide déjà élevés – parmi les plus élevés dans l’histoire en aide par tête d’habitant – par un facteur multiplicateur 4 (hausse de 400 % demandée) pour la Rive Occidentale* .
 
Le reste de l’article est composé des fantasmes de l’AP, qui est autorisée à présenter sans contradiction son glorieux plan à trois ans. Pourtant, dans cet écrit, Israël est blâmé – de nouveau sans le moindre équilibre – pour tous les problèmes économiques de l’AP, non pas une fois, mais trois :
« Nous sommes déterminés à mettre fin au chaos interne et à la pauvreté, et à l’occupation (israélienne) qui continue d’aggraver cette situation », dit le rapport. « Nous sommes déterminés à renverser l’impact de décennies de conflits et de destruction du développement ». 
« La croissance économique sera étroitement liée à une levée des barrières dans la rive Occidentale, et aux restrictions du commerce, dit le rapport. Israël a imposé les restrictions, commencées en 2000, pour essayer d’empêcher les attaques de militants palestiniens.
« Cependant, si le régime d’occupation en reste au statu quo, les perspectives économiques sont médiocres », dit le rapport, ajoutant qu’un tel scénario conduirait le gouvernement Abbas « à un point d’effondrement institutionnel et fiscal ».

En bref, Israël est blâmé quatre fois, et les donateurs occidentaux deux fois pour la mauvaise situation palestinienne. La partie palestinienne ne porte de toute façon aucune responsabilité. 

Il existe donc trois problèmes avec cet article, comme dans tant de couvertures de presse sur les problèmes du Moyen-Orient :
  • Il n’est ni juste, ni équilibré.
  • Il augmente la confusion du lecteur plutôt que sa compréhension des problèmes.
  • Il sabote les tentatives pour régler les problèmes puisque l’AP et les Palestiniens sont exonérés de toute responsabilité : eux-mêmes, et ceux qui tentent de résoudre la situation, peuvent difficilement trouver des solutions puisque personne ne se concentre sur ce qui ne va vraiment pas.
Contributeur de la JWR, Barry Rubin est directeur du Centre “Global Research in International Affairs (GLORIA), Centre interdisciplinaire, et rédacteur en chef de « Middle East Review of International Affairs ».
Son dernier livre est  "The Truth About Syria". [« La vérité sur la Syrie »]

Note du traducteur : *Rive Occidentale, improprement dénommée ‘Cisjordanie’
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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 12:34
Discours à la Knesset de l’ancien Premier Ministre Benjamin Netanyahou

29 Novembre 2007




Adaptation française de Sentinelle 5768 ©
 
La résolution de l’ONU du 29 novembre 1947 reconnaissant un Etat juif a été un moment important de l’histoire de notre nation, et un moment important de l’histoire de toutes les nations.

Depuis lors, nous avons fait la paix avec l’Egypte et la Jordanie, mais l’obstacle à l’élargissement du cercle de la paix demeure ce qu’il a toujours été : le refus des ennemis d’Israël de reconnaître l’Etat juif quelles que soient ses frontières.

Nos ennemis ne veulent pas un Etat arabe à côté d’Israël. Ils veulent un Etat arabe à la place d’Israël.

A plusieurs reprises, on leur a offert un Etat arabe à côté d’Israël : d’abord, avec le plan de partition de 1947 ; puis indirectement, avec les accords d’Oslo ; plus tard, sans équivoque, à Camp David en 2000 ; et enfin, lors des innombrables déclarations depuis aussi bien par les dirigeants israéliens et internationaux qui ont appelé à deux Etats pour deux peuples..

Et comment nos ennemis ont-ils répondu à ces offres ? A plusieurs reprises, ils les ont violemment rejetées. En 1947 ils ont lancé des attaques terroristes, puis une guerre totale pour annihiler l’Etat juif. Pendant le processus des accords d’Oslo, ils ont terrorisé Israël avec des attentats suicide à la bombe ; après Camp David, ils ont orchestré la seconde intifada pendant laquelle plus de 1.000 Israéliens ont été assassinés ; depuis lors, ils ont tiré des milliers de roquettes Katiousha sur la Galilée et des milliers de roquettes Qassam sur le Neguev occidental de façon à , disent-ils, « libérer la Palestine occupée » - en d’autres termes, Haïfa « occupée, Saint-Jean d’Acre « occupé », Sderot « occupée, et Ashkelon « occupée ».

Ce faisant, le Hezbollah et le Hamas  se conforment simplement aux déclarations de Jamal Husseini, cousin du mufti et membre du Haut Comité Arabe, qui déclara quatre jours avant le vote de l’ONU sur la partition : « La Palestine sera submergée de feu et de sang si les Juifs en reçoivent ne fût-ce qu’une parcelle ».

De façon regrettable, même les Palestiniens les plus modérés refusent de contribuer à faire la paix avec Israël en tant qu’Etat juif. Ils soutiennent deux Etats pour un peuple : un Etat palestinien nettoyé des Juifs, et un Etat binational qu’ils espèrent submerger de Palestiniens  suivant ce qu’ils appellent le « droit au retour ».

Jusqu’à ce qu’ils reconnaissent et internalisent vraiment le droit du Peuple juif à son propre Etat et jusqu’à ce que leurs dirigeants s’élèvent au courage du Président Anouar el Sadate d’Egypte et du Roi  Hussein de Jordanie, il est douteux que nous disposions d’un vrai partenaire pour une paix véritable.

Dans ce contexte, nous pouvons comprendre ce qui advint - et ce qui ne se survint pas – avec l’adoption  de la résolution sur la partition de l’ONU de 1947.

La résolution ne régla pas définitivement  les contours d’un règlement définitif entre nous et nos voisins. Après tout, nos voisins rejetaient l’établissement d’un Etat juif et cherchaient à le détruire. Le jour suivant le vote, le mufti lui-même déclara : « ce que l’ONU a écrit à l’encre noire, nous l’écrirons avec du sang rouge ».

Les dirigeants arabes ne peuvent pas venir aujourd’hui, 60 ans après, et exiger de remonter l’horloge du temps comme si rien n’était arrivé. Ils ne peuvent pas exiger que nous acceptions un accord qu’ils ont eux-mêmes déchiré en lambeaux parce que, ayant échoué à détruire Israël, ils en concluent désormais que ses dispositions en appelleraient à la perte d’Israël.

Ben Gourion comprenait parfaitement cela quand il déclara lors de l’un des premiers conseils du gouvernement d’Israël : « Les décisions du 29 novembre sont mortes. Les frontières de la partition sont mortes. Jérusalem en tant que « cité internationale » est un simple fantasme. Il répéta ces idées dans son discours à la Knesset le 12 décembre 1949, quand il déclara que la décision de l’ONU était nulle et dénuée de sens.

Ainsi, ni les frontières de la partition, ni l’internationalisation de Jérusalem ne sont les paramètres durables du vote de l’ONU.
Ce qui est durable est la reconnaissance internationale du droit du Peuple juif à son propre Etat, un droit ancré dans la Déclaration Balfour, qui reconnaissait le droit des Juifs à un Foyer National sur la terre d’Israël, et qui fut réaffirmé à la fois lors de la conférence de San Remo en 1920, et par la Société des Nations* en 1922.

Mais le vote de partition de l‘ONU est flétri dans notre mémoire parce que, immédiatement après le vote, la Grande Bretagne commença à quitter le pays, ouvrant la voie à la bataille fatidique qui mit presque fin à notre existence.

Le vote de partition de l’ONU n’établissait pas l’Etat d’Israël. Il reconnaissait simplement le droit historique du Peuple juif au retour dans son foyer, et la restauration de son existence souveraine.

Mais sans l’aspiration millénaire du Peuple juif à la Terre d’Israël, sans la présence continue des Juifs sur place à travers les siècles, et les soixante-dix ans d’implantation intensive sur le territoire qui précédèrent le vote de l’ONU, ce droit historique n’aurait jamais été réalisé.
Et même si cela n’avait pas suffi alors que les fils d’une petite Nation, à la suite de l’horrible Holocauste, avaient levé ‘l’épée des Macchabim’ et avec un héroïsme incomparable, repoussé une attaque arabe qui devait submerger l’Etat naissant,

La croyance persistante en nos droits historiques, l’effort d’implantation qui réalisa ces droits, et la lutte militaire qui les défendait – voilà ce qui établissait l’Etat juif.

Le vote de l’ONU ne faisait que donner à cela une reconnaissance internationale. Pourtant le vote de l’ONU était une décision historique importante, et il est vrai que nous commémorons ce vote aujourd’hui avec les ambassadeurs éminents des pays qui le soutinrent.
Mais songez à ceci : Que serait-il advenu de la décision de l’ONU si nous avions été vaincus lors de la guerre d’Indépendance ?

La clé de l’existence d’Israël s’est toujours enracinée dans le renforcement du sionisme, et notre capacité à nous défendre nous-mêmes. – et cela demeure la clé de notre existence, et la solution pour forger une vraie paix avec tous nos voisins arabes. Ce n’est que lorsque certains d’entre eux reconnurent la permanence d’Israël et son indestructibilité qu’ils se sont réconciliés avec eux-mêmes pour faire la paix avec nous.

C’est pourquoi j’ai été choqué d’entendre le Premier Ministre déclarer à la presse : « S’il n’y a pas deux Etats, c’en est fini d’Israël ».
Mr le Premier Ministre : l’Etat d’Israël ne sera jamais fini ! Notre destinée sera déterminée par nous, et nous seuls !
Notre existence ne dépend pas de la volonté des Palestiniens de faire la paix avec nous. Notre existence est assurée par notre droit de vivre sur cette terre et sur notre capacité à défendre ce droit.

Nous avons construit notre pays pendant 31 ans avant l’accord de paix avec l’Egypte, nous avons continué de le construire pendant encore 16 ans avant l’accord de paix avec la Jordanie, et j’espère que nous n’attendrons pas longtemps avant de pouvoir réaliser un accord de paix avec les Palestiniens et avec d’autres dans le monde arabe.

Mais nous ne conditionnons pas notre existence à leur accord. Cela a été la politique de tous les gouvernements israéliens jusqu’à présent, et doit être la politique de tous les gouvernements israéliens dans l’avenir. Je le répète : Notre destinée sera déterminée par nous, et nous seuls !

Au Moyen-Orient, la paix et la sécurité vont de pair. En fait, la sécurité, qui provient de la force d’Israël, précède la paix et les accords de paix. Celui qui ne le comprend pas restera sans sécurité et sans paix.

Seul un Israël fort, confiant en la justice de sa cause et guidé par une puissante direction, sera capable d’obtenir la paix durable avec nos voisins à laquelle nous aspirons tous.
 
Note du traducteur
*SDN, précurseur de l’ONU avant la seconde guerre mondiale

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 21:57
Why Rice's 'peace' will kill more Jews

Posted: December 6, 2007
1:00 a.m. Eastern

By Aaron Klein

 

In breach of multiple U.S. federal laws, Secretary of State Condoleezza Rice is overseeing the financing and support of international terrorism. Her department's actions have resulted in civilian deaths, and its continued perpetuation of terrorism is bound to kill many more.

On Monday, Rice requested Congress boost aid to Palestinian Authority President Mahmoud Abbas' Fatah organization by another $400 million on top of a $59 million grant she pushed through last April and about $100 million per year provided to Abbas' forces in unregulated shipments of ammunition and high-powered American assault rifles.

A bulk of the proposed new aid package is slated to fund and train Abbas' security forces, particularly his Force 17 presidential guard units and the Preventative Security Services, which serve as Palestinian police officers.

The only problem with this is Fatah's security forces have statistically carried out more terror attacks than any other West Bank terror group.

U.S. policy has long considered Fatah moderate even though its declared military wing, the Al Aqsa Martyrs Brigades, is responsible for more terrorism than Hamas.

The Brigades, labeled a terrorist organization by the State Department, took credit along with the Islamic Jihad terror group for every suicide bombing in Israel the past three years and for thousands of shootings and rocket attacks against Jewish population centers.

So in other words, the U.S. is funding an organization whose military wing is labeled a terror group by our government.

Some may argue the Al Aqsa Martyrs Brigades is a separate entity from Fatah.

But in my new book, "Schmoozing with Terrorists," I extensively document how Al Aqsa Brigades leaders serve openly in U.S.-backed Fatah security forces, how we are training Brigades cells that double as police officers and how these terrorists receive our arms shipments to Fatah, which they use to kill Jews.

Just days before Abbas departed to last week's U.S.-sponsored Annapolis summit, two members of his American-sponsored police forces who double as Al Aqsa Martyrs Brigades members reportedly shot and killed a Jew in the northern West Bank, with Fatah militants declaring they will continue their "resistance" until "all territories" are liberated.

This is the norm. At the time of my book's printing, an estimated 85 percent of Al Aqsa Martyrs Brigades terrorists, including most of the group's senior leaders, served in Abbas' security forces, according to information I obtained. I list the names of the Brigades chiefs in various major West Bank cities who also serve in Fatah police forces currently slated to be infused with Rice's aid request.

Just last June, Abbas appointed senior Al Aqsa Martyrs Brigades leader Mahmoud Damra as commander of Fatah's Force 17. Damra, who was arrested by Israel last November, was on the Jewish state's most-wanted list of terrorists.

The Al Aqsa Martyrs Brigades are so important to Abbas that when Prime Minister Ehud Olmert several months ago asked the Palestinian leader to outline ways Israel can help boost the PA, one of Abbas' first requests was for all Brigades leaders to receive amnesty.

The new funding package Rice this week asked Congress to approve includes budgets for the training of Fatah forces. Believe it or not, the U.S. has been running bases in the West Bank city of Jericho to train Fatah militias since the late 1990s.

In August, the State Department announced the U.S. will begin new training courses for Fatah militias in an effort to bolster Abbas against Hamas, which took over the Gaza Strip in June when the terror group easily defeated American-backed Fatah forces in the territory.

In "Schmoozing," I document how much of the current senior leadership of the Brigades told me they received U.S. training as Fatah militia members, with some up for future U.S. training.

One Force 17 officer described to me how the U.S. training aided in his group's ability to kill Jews.

"All the methods and techniques that we studied in these trainings, we applied them against the Israelis," said Abu Yousuf, chief of the Al Aqsa Martyrs Brigades in Ramallah and a Force 17 senior officer.

Yousuf is accused of participating in anti-Israel terrorism, including a shooting attack in northern Samaria in December 2000 that killed the leader of the ultra-nationalist Kahane Chai organization, Benyamin Kahane. After the Kahane murder, Yousuf was extended refuge by Yasser Arafat to live in the late PLO leader's Ramallah compound, known as the Muqata.

Yousuf still lives in the compound, where U.S. weapons are regularly delivered to Fatah. The American weapons shipments are reportedly transferred by an Israeli-protected convoy from Jordan into the Muqata in Ramallah. Yousuf is a ranking member of the Palestinian team that receives the American weapons!

Just to reiterate here, Rice's State Department is shipping weapons to a Palestinian compound in which known terrorists live. It's insanity.

Yousuf boasted to me: "I do not think that the operations of the Palestinian resistance would have been so successful and would have killed more than 1,000 Israelis since 2000 and defeated the Israelis in Gaza without [American] trainings."

How directly does Rice's State Department perpetuate terrorism?

It was widely reported that in May 2006 America sent to Fatah militias a cache of 3,000 M-16 assault rifles and over 1 million rounds of ammunition. Olmert told reporters he approved the shipment to aid Abbas.

A few days after the American weapons were received in the Muqata, there was an unusually high number of shootings against Israeli motorists in and near the West Bank carried out by Al Aqsa Brigades terrorists.

Sources close to the Brigades told me the new American assault rifles were used in three separate anti-Israel shooting attacks carried out within weeks of the weapons shipment. One attack killed a 35-year-old Israeli Arab on a major West Bank highway on the outskirts of Jerusalem. Israeli security officials say the shooters likely mistook the victim for a Jew. The second attack occurred June 13 on the same highway, lightly wounding an Israeli.

The third attack was carried out by Abu Yousuf himself against a busload of Israeli schoolgirls. No one was hurt because the bus was armored.

"It is no coincidence that as soon as these American weapons arrived, we were able to carry out these accurate shootings," Abu Yousuf said.

Abu Yousuf told me the U.S. sent weapons to Fatah "for its own political purposes and as part of a conspiracy to generate a civil war between us and Hamas. We are not concerned with the reasons. The weapons will not be used against our brothers, only [against] Israelis."

Indeed, U.S. policy dictates backing Fatah, secular terrorists who kill Jews but who also talk with America and negotiate with Israel for the takeover of strategic territory, against Hamas, religious Islamist terrorists who kill Jews but will not talk to the U.S. or negotiate with Israel.

Let's forget about Hamas. It's Fatah's media that is indoctrinating the next generation of Palestinians on hatred and terrorism. It's Fatah-run schools that teach the destruction of Israel. Just this week, Palestinian Media Watch reported Abbas' radio station glorified Hitler. Abbas, who served as a primary deputy to Arafat, wrote a university thesis denying the Holocaust. And we're about to infuse his forces with a lot of cash.

Incredibly, Rice herself recently admitted the money her State Department provides to Abbas may wind up in the "wrong hands."

The Bush administration in January pledged $86.4 million to strengthen the Fatah forces, but after a series of articles, including several of mine, outlining how Fatah consists of terrorists, Congress blocked the aid pending a clarification from Rice.

During a congressional hearing in March 2007, Rice conceded she can't account for where the aid will go. She said she would request less money.

"I will request less money, precisely because some of the money that I would have requested I did not think I could fully account for. I hope that is a sign for you that we take very seriously our responsibilities. I have no interest in having to come here one day and say, 'you know, this funding did not end up in the right place.' I will do my very best," she told Congress.

Lawmakers caught the State Department red-handed. The U.S. was about to send money Rice admitted may get into the wrong hands. But then Rice simply asked for $59 million instead of $86.5 million to fund the same terror-saturated Fatah militias. And Congress bought it; they unfroze the aid. So instead of sending $86 million to terrorists, that time they only sent $59 million.

And so in the midst of our war on terror, Rice is getting away with funding terrorism in total contravention of U.S. Anti-Terrorism Law. Why are we letting her get away with this madness?

 

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 21:51
Les forces israéliennes de sécurité ont arrêté une cellule terroriste du Fatah
6 décembre 2007 - Centre d’Information sur les Renseignements et le Terrorisme au Centre d’Etudes Spéciales (CES)

Une cellule terroriste composée de trois activistes du Fatah, dont deux membres des services de sécurité palestiniens, responsables de la fusillade ayant visé Ido Zoldan près de Kedumim. Les forces israéliennes de sécurité ont récemment interpellé les terroristes responsables de la fusillade du 19 novembre dernier près du village de Funduq au Sud-Ouest de Kedumim.1 Au cours de cette attaque, Ido Zoldan, 29 ans, père de deux enfants résident de Shavei Shomron, avait été tué.


LIre l’article en PDF sur : http://www.terrorism-info.org.il/
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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 16:06

Israël-Liban : Le Hezbollah se repositionne le long de la frontière israélo-libanaise.
Par Mati Ben-Avraham

Pour le commandement de la région militaire nord, le retour du Hezbollah le long de la ligne bleue ne fait aucun doute : mise en place de nouveaux postes d’observation, patrouilles, en civil certes, sans armes apparentes certes, mais les signes ne trompent pas. Le Hezbollah se repositionne. Au mépris de la résolution 1701 du Conseil de sécurité. Au nez et à la barbe de la FINUL et de l’armée libanaise.

Le commandement nord, qui suit avec attention ce regain d’activités, redoute la préparation d’un attentat, dans le style de celui qui a mis le feu aux poudres en juillet dernier.

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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 10:48

AVOCATS SANS FRONTIERES - FRANCE-ISRAËL ALLIANCE GENERAL KOENIG - LA REVUE CONTROVERSES.

Colloque international

MYTHE ET RÉALITE DU "PROCESSUS DE PAIX"
LE ROC DES REFUS PALESTINIENS

Lundi 10 décembre 2007 de 9h à 18h
Inscriptions : contact@france-israel.org

Depuis 40 ans, la communauté internationale a envisagé la solution du conflit du Moyen-Orient sur la base du modèle de «Deux peuples, deux États». Les Accords d’Oslo ont consacré ce principe mais les faits l’ont invalidé. Chaque nouvelle «initiative de paix» – la conférence d’Annapolis étant la dernière en date –, réitère épisodiquement ce critère.

L’échec du retrait de Gaza ne montre-t-il pas que le problème n’est pas l’occupation de territoires mais l’existence d’Israël? La «stratégie par étapes» conduisant à l’élimination d’Israël ne réapparaît-elle pas dans les discours à usage interne? Les médias palestiniens et arabes se feront-ils toujours l’écho d’un discours violent et antisémite? L’enseignement de la haine se perpétuera-t-il dans les écoles de l’Autorité Palestinienne ?

Chaque initiative de paix s’est heurtée à une fin de non recevoir des Palestiniens, depuis le projet de création de deux États par la Commission Peel de 1937. Autant la charte de l’OLP, jamais formellement révisée, que la charte du Hamas consignent officiellement ce refus. Le refus palestinien cessera-t-il dans les années à venir? Peut-on espérer que le réalisme l’emporte et qu’une politique adéquate soit mise en oeuvre?

Le présent colloque a pour ambition de contribuer à renouveler la vision des données fondamentales de la situation au Moyen-Orient.

Lundi 10 décembre 2007
de 9h30 à 18h
Maison du Barreau, 11 place Dauphine, Paris 1er. (Métro: Pont-Neuf, Cité)

Accueil
9h00 - 9h30

Matinée

9h30 - 9h45 Shmuel TRIGANO, Vers un nouveau paradigme de la crise du conflit israélo-arabe

La volonté de paix des Palestiniens à l’épreuve de l’expérience

9h45 - 10h15 Jean-Pierre BENSIMON, La quête d’un partenaire pour la paix dans un contexte de guerre asymétrique

10h15 - 10h45 Itamar MARCUS, L’opinion palestinienne face à Israël

10h45 - 11h00 Débat

11h00 - 11h30 Pascale ZONSZAIN, Le tournant politique des Arabes israéliens

11h30 - 12h00 Menahem MILSON, L’opinion arabe face à Israël

12h00 - 12h30 Débat

Après-midi

Le point de vue du chef de l’opposition israélienne

14h30 - 15h00 Benjamin NETANYAHOU

Les enjeux stratégiques

15h00 - 15h15 Gilles-William GOLDNADEL Le devoir de responsabilité

15h15 - 15h45 Moshé AYALON Les idées fausses de l’Occident face au conflit du Moyen-Orient

15h45 - 16h00 Débat - 16h00 - 16h15 Pause

16h15 - 16h45 Michel GURFINKIEL La perspective américaine

16h45 - 17h15 Yaakov AMIDROR, Un État palestinien : les conséquences stratégiques pour Israël, à la lumière de l’expérience d’Oslo
17h15 - 17h30 Débat

Conclusion
17h30 - 18h00 Gilles-William GOLDNADEL et Shmuel TRIGANO

Les intervenants

Yaakov AMIDROR, major-général (de réserve), 36 ans de service dans Tsahal, directeur de de l’Institute for Contemporary Affairs, ancien directeur du College de défense nationale de l’armée israélienne, ancien chef du département de recherche et d’évaluation de Tsahal, secrétaire militaire du ministère de la Défense. Actuellement, il est vice-président de l’institut Lander de Jérusalem, dirige l’institut pour les Affaires contemporaines (ICA) du Jerusalem Center for Public Affairs. Parmi ses publications, outre de nombreux articles sur la situation stratégique d’Israël, les livres : Réflexions sur l’armée et la sécurité et Intelligence : théorie et pratique.

Jean-Pierre BENSIMON, professeur de sciences sociales, consultant en organisation, président d’une association dédiée à la défense contre la désinformation, membre du Comité de rédaction
de Controverses.

Gilles-William GOLDNADEL, président de « France-Israël », président d’« Avocats sans frontières » et de la « Ligue internationale contre la désinformation ». Auteur d’Une idée certaine de la France, du Nouveau Bréviaire de la haine, des Martyrocrates et de nombreux articles de presse.

Michel GURFINKIEL, écrivain et journaliste, président de l’institut Jean-Jacques Rousseau, correspondant en France de Commentary et Weekly Standard, auteur de Israël, géopolitique d’une paix (1991), La cuisson du homard (2001), Le testament d’Ariel Sharon (2006), à paraître au début 2008 son livre sur l’histoire du sionisme et d’Israël.

Itamar MARCUS, spécialiste de l’analyse du contre-terrorisme, fondateur et directeur de l’Observatoire des médias palestiniens (Palestinian Media Watch). Les travaux de cet institut ont porté à la connaissance du monde entier ce qui se trame dans l’opinon de la société palestinienne. Ses recherches ont porté sur les livres de classe de l’Autorité palestinienne, de la Syrie et de la Jordanie. En 2007, il a présenté les résultats d’une enquête sur les récents manuels de l’Autorité palestinienne.

Menahem MILSON, professeur de littérature arabe à l’université hébraïque, spécialiste de l’antisémitisme et de l’intégrisme dans le monde arabe, auteur notamment de Najib Mahfuz : The Novelist Philosopher of Cairo (1988). Il fut l’aide de camp du président Sadate lors de sa visite à Jérusalem en novembre 1977. Anciennement doyen de la Faculté des Humanités et de l’École internationale Rothberg à l’université hébraïque, il est le cofondateur et le président de l’Institut de recherche sur les médias du Moyen Orient (MEMRI), basé à Washington.

Moshé YAALON, directeur de recherches à l’Institut Adelson pour les études stratégiques du Centre Shalem (Jérusalem). 17e chef d’État major de Tsahal (2002 à 2005), victorieux de la deuxième Intifada, il a été directeur de recherche à l’Institut pour la politique du Proche Orient de Washington (2005) et est actuellement président du Centre de Beit Morasha pour la culture et l’identité juives, président de Shekel, organisation au service des handicapés.

Shmuel TRIGANO, professeur des Universités, président de l’Observatoire du monde juif et directeur de la revue Controverses, parmi ses livres L’idéal démocratique à l’épreuve de la Shoa (1999), L’ébranlement d’Israël, philosophie de l’histoire juive (2002), Les frontières d’Auschwitz, le dérapage du devoir de mémoire (2005).

Pascale ZONSZAIN, journaliste et juriste. Correspondante de plusieurs médias francophones, elle suit depuis 1994 le processus diplomatique israélo-palestinien et ses effets sur la société israélienne.

Renseignements et inscriptions: Alliance France-Israël
Tel : 01 47 20 79 50
ou en cliquant sur contact@france-israel.org
P.A.F. : 15 € - étudiants, chomeurs : 8 €

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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 10:17
What was agreed to at Annapolis will destroy Israel

Ted Belman explains at Israpundit "Why I hate Annapolis":

Let me count the ways;

1. Israel consented to being castrated. [That says it all but I’ll continue anyway.]
2. The Bush administration agreed to physically separate the Jews from the Arabs at the Annapolis conference in a manner that aligns with the apartheid policies of the Arab world which prohibit Israelis from setting foot on Arab soil.
3. In accordance with Saudi demands, the Americans prohibited Israeli representatives from entering the hall through the same door as the Arabs.
4. Israel gave up all protection afforded by the Roadmap including
a) agreed to discuss final status issues (core issues) before Arab compliance with
Stage I of Roadmap
b) agreed to accept US rulings as to performance by Israel and the PA
5. Olmert retreated from his promise that he would never agree to any document that would not recognize Israel, first and foremost, as a Jewish state.
6. Israel agreed to negotiate even though Arabs insisted on “right of return”
7. Israel agreed to accept a narrow limits for negotiation such as ‘67 borders and sharing of Jerusalem
8. Israel compromised their fight against terror by agreeing to additional “gestures”
9. Israel put off indefinitely their anti-terror operation in Gaza leaving Sderot exposed.
10 Israel closed a deal with a Palestinian partner that cannot deliver
[...]
25 As a result of Annapolis, Israel is no longer a sovereign nation.

There are 25 points. Read it all.

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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 09:52
IDF arrests cell that murdered Israeli in West Bank

Palestinian policemen behind shooting of Ido Zoldan two weeks ago apprehended by Israel, Palestinian security forces. 'We told the settler's family that we would reach every cell member – and so we did,' IDF official says

Efrat Weiss

Published:  12.03.07, 00:06 / Israel News

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Terror Attack
Reproduction photo: Yossi Dagan, Homesh First headquarters

The IDF arrested members of a cell responsible for the murder of Ido Zoldan two weeks ago close to the northern West Bank settlement of Kedumim, it was cleared for publication on Sunday.

 

According to army officials, the arrested men are Palestinian policemen from the nearby village of Qadum.
Settler's Death
 
Israeli killed in West Bank terror attack / Efrat Weiss
 
Ido Zoldan, 29, of Shavei Shomron shot Monday night near Arab village by West Bank settlement of Kedumim, dies of his wounds short while later. Defense Minister Barak: Heighten alert level ahead of Annapolis
Full Story
 

 

The IDF reported that two of the men, Abdullah Braham and Jafar Braham, were arrested on the night of the murder. A third terrorist, Fadi Jama'a, was apprehended by Palestinian security forces. The cell members are all 22 years of age.

 

Security sources said that during their interrogation by Shin Bet the men admitted to committing the murder, and even disclosed the weapon used in the shooting.

They said that on the night of the murder they waited by the side of the road for an Israeli car to pass. The gunmen then proceeded to follow Zoltan's vehicle, then opened fire as they went driving passed it.

 

The attack occurred on November 20 at around 11:30 pm near the Palestinian village of Funduk. Magen David Adom paramedics who were called to the site attempted to revive Zoldan, a resident of Shavei Shomron, but pronounced him dead a short while later.

 

An IDF official told Ynet after the cell was captured "Immediately following the murder we told Zoldan's family that and the residents that we would reach every cell member – and so we did. The IDF will continue to hunt down terrorists."

 

Shortly after the attack, the al-Aqsa Martyrs Brigades, Fatah's military wing, announced that it was assuming responsibility for event. A spokesman for the organization said that the terror attack was "an act of protest against the Annapolis conference and a response to Israeli crimes".

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Zoldan was survived by his wife Tehila and his two small children, three-year-old Aharon and one-year-old Rachel.

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Présentation

  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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