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29 décembre 2009 2 29 /12 /décembre /2009 21:57

Brèves

de http://www.mediarabe.info/ 

Iran : Mehdi Karroubi assigné à résidence
Publié le 29 décembre 2009
Selon son fils, le réformateur Mehdi Karroubi a été enfermé dans son domicile et encerclé ce matin par les miliciens Bassidji. Le fils de Mehdi Karroubi affirme que son père est assigné à résidence. Son épouse met le pouvoir en garde contre tout ce qui peut arriver à son mari. Rappelons que les (...)
Selon « Al Arabiya », les forces de l’ordre italiennes ont désamorcé, ce mardi, un engin piégé peu de temps avant son explosion. Par la suite, les autorités aéroportuaires italiennes ont rectifié l’information. La police a bel et bien détruit un engin suspect. Mais les analyses n’ont pas permis d’y (...)
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Iran : affrontements entre les Bassidji et les partisans de l’ayatollah Ali Mohammad Dastgheib
Publié le 29 décembre 2009
Les miliciens du régime iranien encerclent l’ayatollah Ali Mohammad Dastgheib, un membre de l’Assemblée des experts et qui est considéré comme une référence de l’islam chiite, dans une mosquée de Shiraz. Des affrontements opposent en ce moment les partisans de l’ayatollah aux miliciens, affirme la (...)
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Iran : des manifestations et des accrochages à la faculté des Sciences à Téhéran
Publié le 29 décembre 2009
Les manifestations se poursuivent en Iran, notamment dans les universités, où la jeunesse réformiste défie les autorités et leur violence. Ce mardi, une manifestation a été organisée à la faculté des Sciences de Téhéran, mais elle a été réprimée. De violents accrochages sont signalés dans l’enceinte de (...)
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Iran : les Bassidji occupent le bureau du Grand ayatollah Youssef Sanii à Mashhad
Publié le 29 décembre 2009
Selon des sources iraniennes citées par « Al Arabiya », les miliciens du régime de Téhéran, les Bassidji, ont envahi le bureau du Grand Ayatollah Youssef Sani’i à Mashhad. Youssef Sani’i est une référence de l’islam chiite, qui a un rang de Grand Ayatollah (آية الله العظمى يوسف صانعي). Il avait publié une (...)
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Iran : la police encercle la maison de Mehdi Karroubi. Le Guide Khamenaï est prêt au martyre.
Publié le 29 décembre 2009
Selon la télévision « Al Arabiya », des éléments de la sécurité iranienne encerclent en ce moment le domicile du réformiste Mehdi Karroubi, ancien candidat aux présidentielles et l’un des meneurs de la fronde actuelle, avec Mir Hossein Moussavi et l’ancien président Mohamed Khatami. Les forces du régime (...)
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La contestation se radicalise dangereusement en Iran
Delphine Minoui - Correspondante au Moyen-Orient
29/12/2009 | 
http://www.lefigaro.fr/
Un manifestant contre le régime iranien devant une motocyclette de milicien bassidji en flammes à Téhéran, dimanche.
ANALYSE - Ce week-end, les manifestants se sont volontairement attaqués aux «symboles» de la répression.

«Où est mon vote ?» Calligraphié sur des pancartes portées à bout de bras, le slogan flottait, en juin dernier, au-dessus des cortèges pacifiques comme un ultime appel à l'organisation d'un nouveau scrutin présidentiel. De renversement du régime, il n'était pas question. Six mois plus tard, les cris de la rue ont changé. Croulant sous le poids d'une répression massive, les protestataires redressent la tête en faisant preuve d'une étonnante détermination à résister. Et à défier, pour certains, le pouvoir iranien dans son ensemble. «C'est le mois du sang. Yazid est en péril», hurlaient-ils, ce week-end, en marge des festivités religieuses de l'Ashoura, qui commémorent le martyre de l'imam Hossein. Un subtil parallèle entre Yazid, le calife omeyyade, contre lequel batailla ce grand imam chiite, et le guide suprême, l'ayatollah Khamenei, aujourd'hui défié par une partie de l'opposition.

Le scénario est désormais rodé. Dès qu'une occasion se présente, les opposants iraniens cherchent à faire entendre leur voix. Fête nationale, cérémonie religieuse, arrestation de ténors du mouvement réformiste, tout est prétexte à la contestation. «Ces derniers jours, un nouveau cap a été franchi», observe Azadeh Kian, spécialiste de l'Iran et professeur de sciences politiques à l'université Paris-VII. D'abord cantonnée à la capitale, la colère est en train de déteindre sur les provinces. Y compris dans des petites villes traditionnelles.

 

Régime sur la défensive

 

En parallèle, les slogans se radicalisent. Initialement érigés contre Mahmoud Ahmadinejad, le vainqueur contesté du scrutin du 12 juin dernier, ils s'attaquent désormais directement au guide suprême, jusqu'ici resté intouchable. «Khamenei = w.-c.» ose afficher un des nombreux graffitis qui fleurissent, à la nuit tombée, sur les murs de Téhéran. Derrière les mots, il y a aussi les actes. Ce week-end, les manifestants se sont volontairement attaqués aux «symboles» de la répression, en brûlant des motocyclettes de miliciens bassidjis et en saccageant plusieurs postes de police. Une violence inédite pour un mouvement dont certains partisans se revendiquaient, jusqu'ici, du Mahatma Ghandi.

Dépassé par l'ampleur de la révolte, le noyau dur du régime brandit, lui,l'arme de la terreur. Les arrestations massives se multiplient. Les menaces de mort aussi. Elles visent, plus systématiquement, l'entourage des deux principaux chefs du mouvement, Mehdi Karoubi et Mir Hossein Moussavi. Le neveu de ce dernier aurait, selon certains sites réformistes, reçu plusieurs mises en garde avant de faire l'objet d'un assassinat ciblé, en plein cœur des manifestations de dimanche. L'opposition accuse également le guide suprême et les gardiens de la révolution d'avoir «ouvert la cage aux lions», en laissant le champ libre aux miliciens islamistes pour tirer sur la foule. Mais le recours à la force ne suffit pas à freiner l'élan protestataire. Au contraire. «Ces méthodes sont en train de pousser de nombreuses familles traditionnelles à basculer du côté de l'opposition», prévient, depuis Téhéran, une sociologue qui préfère garder l'anonymat.

Hétéroclite, la contestation ne l'a jamais autant été. Ce ne sont plus les acteurs habituels de la société civile - femmes, étudiants, intellectuels -, fervents défenseurs de la démocratie, qui manifestent. Le mouvement englobe désormais, en son sein, d'ex-politiciens conservateurs, choqués par la brutalité de la répression, notamment le viol, cet été, de plusieurs manifestants arrêtés - dont le fils de l'un d'entre eux. «Ça craque de partout», constate Christian Bromberger, ancien directeur de l'Institut français de recherche en Iran. Et de citer, également, la fronde menée par d'importants ayatollahs réformistes qui multiplient les réquisitoires contre la tournure que prend le système. «Avant, les débats étaient confinés à des réunions à huis clos, à des échanges de courriers. Il y avait toujours ce besoin de sauver les apparences. Aujourd'hui, les divisions sont transparentes et publiques», poursuit-il.

À Téhéran, la rumeur raconte que l'armée pourrait, elle aussi, emboîter le pas aux protestataires. Dans une lettre, néanmoins difficilement authentifiable, et qui fait le tour de l'Internet, de hauts gradés de l'armée régulière osent s'insurger contre la répression en cour. «C'est invérifiable, mais c'est plausible. Car l'armée représente l'enfant pauvre de la révolution. À l'inverse des gardiens de la révolution - l'armée parallèle et idéologique -, elle n'a pas bénéficié de la manne pétrolière. Si elle reçoit l'ordre d'intervenir contre les manifestants, elle n'a, a priori, aucune motivation pour mater dans le sang un soulèvement populaire», remarque Azadeh Kian. Contactés en Iran, plusieurs témoins évoquent, eux, l'essoufflement de certains membres de la police et des forces antiémeute. «Ils sont nombreux à avoir des cousins ou des frères parmi les manifestants. Ils font face à un difficile dilemme», constate un journaliste iranien.

 

Spirale de commémoration des martyres

 

Le cycle de la violence est vicieux. Car il pourrait se retourner contre le régime. D'autant plus que, prise au piège de ses propres traditions chiites, où le culte des morts est important, la République islamique est en train de s'enfoncer dans une spirale interminable de commémoration des martyres de la contestation, donnant lieu à de nouvelles manifestations. «Cette situation n'est pas sans rappeler celle de la révolution de 1979», relève Azadeh Kian.

La République islamique est-elle, pour autant, au bord de l'effondrement ? «Faute d'alternative politique, il est difficile d'imaginer un renversement du régime», répond-elle. Avant de poursuivre : «On peut imaginer une solution transitoire dans laquelle le guide suprême serait amené à céder une partie de son pouvoir en acceptant d'être remplacé par un conseil collégial, tandis que d'autres institutions comme le Parlement bénéficieraient d'un rôle plus prépondérant.» Mais encore faudrait-il qu'Ali Khamenei soit prêt à accepter certaines concessions. «Si aucune solution n'est trouvée, le pire est à prévoir», prévient un autre journaliste iranien, qui n'exclut pas la possibilité d'une «guerre civile».

Ce week-end, les combats de rue entre manifestants et miliciens islamistes en ont donné un avant-goût. «L'Iran est pluriethnique et certains membres des minorités comme les Baloutches, les Kurdes et les Arabes pourraient également profiter de la situation pour retourner leurs armes contre le pouvoir central», rappelle Azadeh Kian. Les récents attentats visant, au Sistan-Baloutchistan, d'importants chefs des gardiens de la révolution et l'assassinat, au Kurdistan, d'un membre de la puissante Assemblée des experts ont vite été occultés par l'actualité des manifestations. Mais ils offrent un aperçu des débordements auxquels risque de faire face le régime iranien. 
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29 décembre 2009 2 29 /12 /décembre /2009 21:45

Reuters

mardi 29 décembre 2009, sélectionné par Spyworld
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La Colombie doit renforcer son armement et notamment ses systèmes de défense aérienne pour se protéger contre une menace étrangère dans une région où d’autres pays ont des plans "expansionnistes", affirme une analyse du ministère colombien de la Défense.

L’analyse ne cite aucun pays mais elle est publiée alors qu’un différend politique et commercial oppose la Colombie et le Venezuela.

Le document intitulé "Forces de l’Etat et Défis pour l’Avenir" préconise de mettre davantage l’accent sur la défense de la sécurité nationale en raison du risque posé par des pays aux "aspirations expansionnistes en termes idéologiques et territoriaux".

Le ministre de la Défense, Gabriel Silva, avait dit ce mois-ci qu’après s’être concentrée pendant plusieurs décennies sur la lutte contre la guérilla et contre les trafiquants de cocaïne, la Colombie était pour la première fois depuis plusieurs années confrontée à une menace étrangère.

"La Colombie doit acquérir une capacité crédible de dissuasion pour convaincre un puissant adversaire de ce que le coût de toute agression dépassera tout bénéfice éventuel d’une attaque", dit le document publié lundi sur le site internet du ministère.

L’étude, bouclée en octobre par des analystes du ministère, avait pour objectif de fixer les défis futurs pour les forces armées et de formuler des recommandations sur la manière d’y répondre.

ACHAT D’ARMES

Elle affirme que la Colombie devrait acheter des armes de défense aérienne, des systèmes d’alerte avancée et d’autres armes et qu’elle devrait renforcer ses forces spéciales pour répondre aux risques d’attaques conventionnelles, non conventionnelles ou de guérilla.

Le président vénézuélien Hugo Chavez, qui ne ménage pas ses critiques envers les Etats-Unis, a ordonné aux responsables militaires vénézuéliens de se préparer à une guerre possible et il a réduit les importations colombiennes pour protester contre un projet de Bogota d’élargir l’accès de ses bases militaires aux forces américaines.

L’accord a alimenté des inquiétudes dans la région, en particulier au Venezuela où Chavez affirme que la Colombie pourrait être utilisée comme tremplin à une offensive militaire américaine contre son pays.

Les autorités colombiennes et américaines ont assuré qu’il n’était pas question d’augmenter les effectifs et que les opérations se dérouleraient à l’intérieur du territoire colombien.

"De Colombie, l’empire Yankee prépare, en utilisant des troupes colombiennes, une agression contre le Venezuela", a déclaré lundi Chavez à des soldats lors d’une cérémonie à proximité de la frontière.

Le président Alvaro Uribe a expliqué que l’accord constituait une extension d’une coopération américano-colombienne dans la lutte contre le trafic de drogue et les guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc).

L’offensive colombienne soutenue par les Etats-Unis a considérablement affaibli les Farc, mais la guérilla continue de résister, en particulier dans les régions montagneuses reculées et dans des zones le long de la frontière.

Un conflit ouvert entre la Colombie et le Venezuela est peu probable, mais leur différend accroît les tensions le long d’une frontière de 2.200 km poreuse et mal gardée où opèrent trafiquants et groupes armés.

Version française Nicole Dupont

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29 décembre 2009 2 29 /12 /décembre /2009 20:42

Analyse de Khaled Asmar

Après le Yémen et l’Afrique noire, l’Iran multiplie les efforts pour infiltrer l’Egypte et l’Algérie. Al-Qaïda serait-elle au service de l’Iran ?

Le Centre Nationale Egyptien d’Etudes Sociales met en garde contre les conversions au chiisme


mardi 29 décembre 2009 - 12h37, par Khaled Asmar - Beyrouth

Logo MédiArabe.Info

Au moment où l’Egypte redoute de nouvelles tentatives iraniennes pour convertir les sunnites au chiisme, afin de mieux infiltrer la société égyptienne, le quotidien algérien "Echorouk" estime, le 29 décembre, à une centaine de familles converties au chiisMe dans la seule wilaya de Aïn Temouchent. Le journal dénonce la "Taquia" des chiites qui alimente l’ambition de parvenir à des postes clés pour répandre le chiisme.

Inquiétudes en Egypte

Le Centre National Egyptien d’Etudes Sociales a mis en garde, dans un récent rapport dévoilé le 28 décembre par le site « islammemo.cc », cOntre la multiplication des tentatives d’infiltration iranienne de la société égyptienne, à travers une kyrielle d’organisations généreusement financées, sous différentes formes. Le rapport s’appuie sur l’exemple de la cellule du Hezbollah libanais démantelée récemment, et dont le procès des membres (Egyptiens, Palestiniens, Soudanais et Libanais) a encore été reporté dimanche, pour alerter le pouvoir sur la réalité de ces infiltrations. Celles-ci sont financées par le régime iranien dans le cadre de l’exportation de la révolution chiite.

Le quotidien « almesryoon » a évoqué de son côté le danger des investissements communs entre des chiites égyptiens, qui servent de couverture, et des Chiites expatriés, notamment des Irakiens et des Iraniens, qui injectent des fonds iraniens dans l’économie égyptienne dans le Sinaï et dans la nouvelle ville du 6 octobre, où résident une forte concentration de chiites. Le journal égyptien s’interroge sur la loyauté des ces chiites, et croit savoir qu’ils sont des agents iraniens. En finançant les organisations et autres associations soufies, le régime des mollahs iraniens les exploite contre les sunnites et contre le salafisme wahhabite, comme l’a déclaré Issam Mohieddine, l’un des chefs chiites égyptiens le mois dernier.

Stupéfaction en Algérie

De son côté, le quotidien algérien « Echorouk » souligne, dans son édition du 29 décembre, qu’une centaine de familles chiites de la wilaya de Aïn Temouchent, ont fêté Ashoura en toute discrétion, en organisant les scènes d’autoflagellation dans les domiciles des chefs de la communauté. Depuis plusieurs jours, les chiites de cette wilaya (à l’ouest du pays) ont sorti des tenues noires, en guise de deuil. Ce sont des pratiques importées de Karbala et de Nadjaf, en Irak, souligne le journal.

Le quotidien précise que le chiisme fut introduit en Algérie dans les années 1970 grâce à un médecin qui a converti son entourage et agrandi son cercle. D’abord minime, le nombre des chiites en Algérie a explosé à la faveur de la mobilisation en faveur du Hezbollah libanais, pendant la guerre de l’été 2006. Ensuite, sa « victoire divine » a dopé les conversions des jeunes, attirés par son idéologie, mais également par la générosité de la communauté qui offrait du travail et des aides financières aux nouveaux convertis. « Echorouk », qui avait pourtant été le fer de lance du Hezbollah et son porte-parole durant la crise libanaise des années 2006-2008, critique aujourd’hui l’art de la dissimulation (la Taquia) des chiites. Il affirme qu’ils restent discrets tant qu’ils sont faibles. Pour se renforcer, ils aspirent à occuper des postes clés dans l’administration, notamment dans l’enseignement, pour mieux transmettre leur idéologie à la jeune génération. Rappelons que les autorités d’Alger avaient sanctionné une dizaine de personnels du ministère de l’Education, soupçonnés de prosélytisme chiite, d’enseigner et d’être en contact avec les élèves. Enfin, le journal croit savoir que de nombreux chiites de Aïn Temouchent ont fait le pèlerinage à Karbala et à Nadjaf, grâce aux aides iraniennes estimées à 10 millions de dinars par an. Ces efforts visent à renforcer la présence chiite à Aïn Temouchent, et à l’étendre dans les wilayas de Tiaret et de Mascara.

Conclusion

Ces tentatives iraniennes confirment ce que « MediArabe.info » avait révélé concernant les conversions inquiétantes en Afrique noire, financées par l’Iran et menées sur le terrain par les expatriés libanais, majoritairement chiites et proches du Hezbollah. Elles attestent également que l’Iran profite de la guerre planétaire menée contre Al-Qaïda sunnite et la pensée salafiste qu’elle véhicule, pour répandre ses propres réseaux en toute discrétion. Au final, les deux branches radicales de l’islam sont complémentaires. Les preuves pour s’en convaincre sont nombreuses : l’Iran héberge la famille de Ben Laden ; soutient les Taliban et Al-Qaïda en Afghanistan ; manipule les terroristes dans le Golfe ; supervise l’alliance entre les rebelles d’Al-Houthi (chiites) et Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique (sunnite) au Yémen ; scelle l’alliance entre le Hezbollah (chiite) et le Hamas palestinien (sunnite)...

De ce qui précède, il n’est pas étonnant de découvrir, un jour, que l’attentat manqué contre l’avion américain reliant Amsterdam à Detroit, le 25 décembre, ait été commandité par Téhéran à l’organisation d’Al-Qaïda au Yémen mais à travers un Nigérian dont le pays est en voie de conversion ! Ces développements accentuent les soupçons sur la disparition du vol d’Air France entre Rio et Paris. Le procédé qui a échoué sur le vol Amsterdam-Detroit aurait dans ce cas réussi sur Rio-Paris. D’autant plus qu’Al-Qaïda cherche en permanence à développer ses techniques pour déjouer les mesures de sécurités dans les aéroports. Après le « suppositoire explosif », elle introduit la poudre indétectable, mais très instable, qui peut faire des ravages.

Pour lire ou relire nos informations sur tous ces sujets, cliquez sur les liens suivants :

Al-Qaïda innove dans la Péninsule arabique et inquiète le reste de la planète avec son « suppositoire explosif » - 12 octobre 2009

L’influence de l’Iran sur l’Afrique ne se dément plus. Téhéran finance les conversions au chiisme - 25 mai 2008

Le Hezbollah complètement mis à nu par l’Egypte. Mais il n’est pas très joli à voir - 15 avril 2009

Entre le Hezbollah de Hassan Nasrallah et Al-Qaïda de Ben Laden et Al-Zawahiri : complémentarité ou concurrence ? 25 mars 2008

Khaled Asmar

© Nos informations, analyses et articles sont à la disposition des lecteurs. Pour toute utilisation, merci de toujours mentionner la source « MediArabe.info »

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29 décembre 2009 2 29 /12 /décembre /2009 12:15
"Nous sommes tous des Iraniens!"

 

 

 

Le démographe Emmanuel Todd, qui a donné au Monde de ce week-end un entretien  alignant tous les dénis à propos de la crise identitaire qui fissure et fragilise la France, voit-il au moins ce qui se passe en Iran? Lui qui vole systématiquement au secours de l'islam sans jamais évoquer les dérives d'une idéologie totalitaire devrait écouter ce que disent de plus en plus clairement les Iraniens qui affrontent le pouvoir des mollahs et qui savent de quoi ils parlent: ils ne veulent plus de cette théocratie islamo-fasciste (bloc-notes du 19 juin). Dimanche, une quinzaine de manifestants ( NDLR : chiffre officiel, en fait il y aurait eu entre 30 et 40 tués) ont une fois de plus été tués par balles à Téhéran, alors qu'ils demandaient à nouveau la destitution du tyran Mahmoud Ahmadinejad. Mais ce que ne veulent entendre Todd ni ceux qui, comme lui, ne voient dans l'islamisme qu'une réponse légitime de nouveaux damnés de la terre en lutte contre l'arrogance occidentale, c'est que ces très nombreux musulmans qui aspirent à la liberté et à la démocratie ont l'Occident comme modèle et singulièrement les Etats-Unis. La haine que porte la dictature iranienne à Israël n'est en rien partagée par ces hommes et ces femmes qui font preuve, depuis cet été, d'un courage extraordinaire. Les opposants iraniens, et symboliquement la jeune Neda tuée dès le mois de juin, sont pour moi les héros de 2009.


Mais ni Todd ni ses amis ne viendront en aide à ces résistants-là. Au contraire, le médiatique démographe, qui reproche notamment à Nicolas Sarkozy ses brutalités  contre les "gamins des banlieues" et son hostilité à l'entrée de la Turquie en Europe (au fait, a-t-il entendu aussi, ces jours-ci, le patriarche orthodoxe Bartholomée 1 er estimer que les orthodoxes de Turquie s'y sentent "crucifiés"?), s'interroge : "Je me demande même si la stratégie de confrontation (ndlr : de Sarkozy) avec les pays musulmans - comme en Afghanistan ou sur l'Iran - n'est pas pour lui un élément du jeu intérieur". Oui, pour celui qui ne craint pas d'accuser le gouvernement de dérives fascistes, soutenir les démocrates afghans et iraniens en luttant contre le terrorisme islamique est une autre manière de stigmatiser l'islam, les musulmans et d'attiser "la haine de l'autre". Ainsi raisonne, cul par-dessus tête, une bonne partie de la gauche et la totalité de l'extrême gauche. Il y a un an, cette dernière avait rejoint les islamistes de France dans leurs manifestations en soutien aux palestiniens. "Nous sommes le peuple de France et de Paris, peuple de la résistance, nous sommes tous des Palestiniens !", pouvait-on entendre (bloc-notes du 16 janvier 2009).

Je rêve, pour 2010 à Paris, d'une grande manifestation qui scanderait : "Nous sommes le peuple de France et de Paris, peuple de la résistance, nous sommes tous des Iraniens !". Mais je sais déjà qui n'y participerait pas...

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28 décembre 2009 1 28 /12 /décembre /2009 23:10
Iran : au moins 15 morts dans les affrontements de dimanche
lundi 28 décembre 2009 - 07h20
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Selon la télévision iranienne officielle, les affrontements de dimanche ont fait au moins 15 morts. Jusque dans l’après-midi d’hier, les autorités refusaient de reconnaître l’usage de la répression et l’existence des morts. Dans la soirée, les médias iraniens ont reconnu cinq morts, puis huit. Aujourd’hui, il s’agit de 15 victimes. Il y aurait également des centaines d’arrestations. L’opposition affirmait, depuis hier, que 40 blessés sont dans un état grave, et que l’usage de la force par le régime a produit l’effet inverse. Les opposants, plus que jamais déterminés à poursuivre leur mouvement, affirment que Téhéran a du mal à endiguer la vague humaine déferlante, et le recours à la force ne fait qu’alimenter la contestation, et que de ce fait, le régime peut désormais trembler sur ses bases.

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27 décembre 2009 7 27 /12 /décembre /2009 18:51
Iran : les affrontements se poursuivent. La police iranienne fait usage des armes. Au moins quatre opposants tués
dimanche 27 décembre 2009 - 10h20
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Au moins quatre opposants iraniens ont été tués et un policier blessé dans les affrontements qui se poursuivent en Iran, entre les réformateurs et les partisans de l’ayatollah Montazérie d’un côté, et les forces de l’ordre, les miliciens des Bassidj, les Gardiens de la Révolution et les partisans du régime de l’autre côté. Selon la télévision « Al Arabiya », la police iranienne a fait usage des armes, ce dimanche, et a tiré pour disperser les manifestations qui ont désormais gagné Téhéran. Samedi, les Gardiens de la Révolution avaient pourtant décrété l’état d’urgence et le couvre-feu dans plusieurs grandes villes, pour trois jours, pour étouffer la contestation grandissante et qui allait culminer avec la fête de l’Ashoura. Pourtant, la constitution iranienne ne prévoit pas de couvre-feu, et l’état d’urgence n’a jamais été décrété que ce soit dans la République islamique ou du temps du Shah.

Notons que les miliciens du régime, les bassidji, ont envahi hier la maison de l’Ayatollah Khomeïny, fondateur de la République islamique, où l’ancien président Khatami prononçait un discours. Ils l’ont agressé et frappé les participants et la famille de Khomeïny à coups de pierres. Selon plusieurs sources, la multiplications des agressions et la poursuite de la répression attestent que la fracture iranienne est désormais irréversible.

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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 14:55

 Eh ben, Bon courage !

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad
© RIA Novosti. Sergey Guneev

Le président américain Barack Obama n'a pas répondu aux attentes de la communauté internationale qui espérait voir en lui un leader libéral déterminé à utiliser uniquement des méthodes diplomatiques pour régler les problèmes internationaux, estime le président iranien Mahmoud Ahmadinejad.




 Téhéran fer de lance d'un nouvel ordre mondial (Ahmadinejad)
Dossier: Nucléaire iranien
Mahmoud Ahmadinejad
Mahmoud Ahmadinejad
19:13 23/12/2009
© RIA Novosti. Sergey Guneev
MOSCOU, 23 décembre - RIA Novosti

Sur fond de déclin des Etats-Unis, le monde a besoin d'un nouvel ordre qui repose sur les valeurs de la révolution islamique et que seul peuple iranien est en mesure d'établir, a annoncé le président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

"Je ne doute point que tout au long de l'histoire le Très-Haut et la famille du prophète Mohammad eussent préparé le peuple iranien à accomplir sa tâche sacrée (établir le nouvel ordre mondial, ndlr), notre peuple progresse sur la bonne voie", a déclaré le dirigeant cité par l'agence d'information iranienne IRNA.

D'après lui, le nouvel ordre doit reposer sur les principes de la révolution islamique qui a eu une influence décisive sur de nombreux Etats.

"Le rôle décisif de la révolution islamique dans la chute du régime marxiste est souvent négligé", a-t-il indiqué avant d'ajouter que "les menaces, les sanctions et la force" étaient les uniques leviers des Etats-Unis pour résoudre les problèmes sur la scène internationale. Selon lui, le choix de la force témoigne de la crise traversée par Washington.

Les accusations de Téhéran contre Washington font suite aux pressions récurrentes de la communauté internationale qui menace d'employer des sanctions afin que Téhéran mette un terme à son programme nucléaire.

Le 29 novembre dernier, les autorités iraniennes ont déclaré leur intention de construire dix nouvelles usines d'enrichissement d'uranium, provoquant la préoccupation de plusieurs pays occidentaux. Menés par les Etats-Unis, plusieurs pays accusent l'Iran de vouloir créer l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire.


Source : http://fr.rian.ru/ 

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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 14:51
34 membres d'Al-Qaïda tués dans un raid
Jeudi 24 décembre 2009 à 16:31

Guysen International News 



L’armée yéménite a tué aujourd’hui 34 membres présumés d'Al-Qaïda, dont des responsables du réseau, dans un raid aérien qui a visé une réunion du groupe dans le centre du Yémen. Cette attaque porte à 68 le nombre des tués parmi les terroristes du mouvement en huit jours, selon des sources de sécurité.
 
"Le raid a été mené au moment où des dizaines de membres d'Al-Qaïda étaient réunis à Wadi Rafadh", une région montagneuse isolée dans la province de Chabwa, à 650 km à l'est de Sanaa, a indiqué à l'AFP une source au sein des services de sécurité.
 
Le chef d'Al-Qaïda dans la Péninsule arabique, Nasser Al-Whaychi, et son adjoint, le Saoudien Saïd al-Chahrani, étaient présents à la réunion, a indiqué la même source, qui n'a pas été en mesure de dire s'ils avaient péri dans le raid.
 
"Les participants à la réunion préparaient des attentats contre des installations économiques au Yémen, en représailles aux opérations de la semaine dernière", a déclaré à l'AFP un responsable yéménite sous couvert d'anonymat.
 
Le 17 décembre, l'armée avait mené un raid contre un camp d'entraînement d'Al-Qaïda dans la province d'Abyane, tuant 30 terroristes. Le même jour, les forces gouvernementales avaient tué quatre autres membres d'Al-Qaïda à Arhab, à 35 km au nord de Sanaa.
 
"La lutte contre le terrorisme et l'éradication de l'extrémisme est une urgence nationale", a déclaré le vice-Premier ministre pour les Affaires de défense et de sécurité, Rached al-Alimi.
 
Le Yémen, pays d'origine d'Oussama ben Laden et allié des Etats-Unis dans leur guerre contre le terrorisme, enverra le 20 janvier à Washington pour des entretiens, axés notamment sur la coopération la coopération "en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme", selon le ministère de la Défense.

 

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 15:45
Cela suffira t'il ?

J'en doute fort



Iran : la Maison Blanche durcit le ton
Par AP 
23.12.09
http://fr.jpost.com/

Réagissant aux propos tenus, mardi, par le président iranien, la Maison Blanche l'a exhorté à considérer de façon plus sérieuse l'ultimatum d'un an fixé sur son programme nucléaire.

Le Président iranien, Mahmoud Ahmadinejad. 
PHOTO: AP , JPOST

Le président américain Barack Obama veut en effet entendre une réponse positive, de la part de Téhéran, à son offre de dialogue sur le nucléaire.
Sinon, prévient-il, Washington et ses alliés entreprendront de nouvelles sanctions plus sévères contre la République islamique.

"C'est une véritable date butoir pour la communauté internationale", même si Ahmadinejad ne la reconnaît pas comme telle, a prévenu le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs.
Le président de la République islamique Mahmoud Ahmadinejad a rejeté d'un revers de main la date butoir fixée par Washington, en ajoutant que son gouvernement était "dix fois plus fort aujourd'hui que l'an passé".

Ahmadinejad a également accusé les Etats-Unis d'avoir fabriqué un faux document secret révélant que l'Iran serait en train de développer la bombe atomique.

Les remarques du président de la République islamique mettent en lumière le défi de l'Iran face au nucléaire et viennent porter l'image d'un gouvernement sorti indemne des émeutes qui ont suivi les élections controversées de juin dernier. 


Par Reuters, publié le 24/12/2009 à 07:37

LONDRES - Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a tourné mercredi en dérision les soupçons répétés des Occidentaux sur le programme nucléaire de son pays et a ironisé sur la "main tendue" de Barack Obama.

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a tourné mercredi en dérision les soupçons répétés des Occidentaux sur le programme nucléaire de son pays et a ironisé sur la main tendue de Barack Obama. (Reuters/Raheb Homavandi)

 

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a tourné mercredi en dérision les soupçons répétés des Occidentaux sur le programme nucléaire de son pays et a ironisé sur la "main tendue" de Barack Obama. (Reuters/Raheb Homavandi)

Le président américain avait manifesté sa volonté de rompre avec la politique de confrontation de son prédécesseur George Bush. Mais le monde est désenchanté, a estimé Ahmadinejad dans un entretien donné à la chaîne britannique Channel Four.

Il a de nouveau rejeté l'ultimatum fixé par les puissances mondiales pour que l'Iran accepte leur proposition sur le nucléaire, estimant que celle-ci n'avait "pas de sens", et la menace de sanctions s'il ne répond pas d'ici la fin de l'année.

Le projet présenté sous l'égide de l'Onu par Washington, Paris et Moscou prévoyait le transfert de la majorité de l'uranium iranien faiblement enrichi en Russie puis en France pour qu'il y soit converti en combustible destiné à la centrale de recherche médicale de Téhéran.

Pour Ahmadinejad, l'Iran a donné une réponse et le projet ne prévoyait pas d'autres conditions qu'un transfert de matières.

"Mais ils insistent pour mettre des conditions à la livraison du carburant - des conditions politiques, j'entends - alors que l'échange de carburant est un procédé technique. Je n'entends encore personne qui a lancé un ultimatum là-dessus parce que ça n'a pas de sens", a-t-il dit à Channel Four.

L'Iran assure avoir pour seul objectif de produire de l'électricité, mais les Occidentaux le soupçonnent de chercher à se doter d'un arsenal atomique.

"Je pense que c'est devenu une vieille rengaine de parler du programme nucléaire", a ironisé Ahmadinejad. "L'histoire de ces affirmations des Etats-Unis et de leurs alliés tourne au feuilleton télévisé."

Il a en outre rappelé que Téhéran ne céderait pas à une politique "d'intimidation et d'agression" américaine et a jugé que les grandes puissances méprisait sa volonté de coopérer.

"Quand on coopère les réactions sont négatives", a-t-il dit.

"Qu'est-ce que cela signifie ? Cela veut-il dire que nous ne devrions pas coopérer du tout ? Nous sommes ouverts à une relation amicale avec tous. Mais la base de jugement et de coopération est une base légale."

Il a enfin tourné en dérision les propos d'Obama qui avait déclaré, au début de son mandat, que "si les pays comme l'Iran (avaient) la volonté de desserrer leur poing, ils trouver(aient) notre main tendue".

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 15:40
Le Liban adhère au Conseil de sécurité de l'Onu



A vous de juger !!!!



Nouveau cadeau pour l'Iran : le Liban deviendra à partir du 1er janvier 2010 membre non-permanent du Conseil de sécurité de l'Onu pour 2 ans. Le Hezbollah, membre du gouvernement libanais, et son allié iranien, auront donc dans quelques jours un accès au Conseil. Ceci ne facilitera pas la tâche desUSA qui comptaient faire adopter de nouvelles sanctions contre l'Iran.

Guysen international news 
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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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