Mohsen Fakhrizadeh, l’homme soupçonné d’être au coeur des activités nucléaires iraniennes, vit sous haute protection dans un lieu tenu secret, rapportent des spécialistes du nucléaire.
Mohsen Fakhrizadeh, l’homme soupçonné d’être au coeur des activités nucléaires iraniennes, vit sous haute protection dans un lieu tenu secret, rapportent des spécialistes du nucléaire.
Hier en même temps que deux explosions avaient eu lieu dans deux bases des Pasdaran à 46 kms à l’ouest de Téhéran, le corps d’Ahmad Rezaï, le fils de Mohsen Rezaï, l’ancien commandant des Gardiens de la révolution a été retrouvé mort dans la chambre 23 du dix-huitième étage de l’Hôtel Gloria à Dubaï, (un fils à papa, apparemment considéré comme traître envers le régime Islamique).
La semaine qui s’écoule a apporté son lot de bruit de bottes et rumeurs de guerre. Elle s’achève en apothéose, par des explosions multiples à une portée de roquette de Téhéran et la mise au ban du tyran Assad par la Ligue Arabe. Pas plus, Mahmoud Abbas n’a-t-il reçu l’aubade qu’il espérait, devant le Conseil de Sécurité de l’ONU, malgré sa réussite à l’UNESCO, avec la complicité de la France, hôtesse de l’Institution.
On reportera donc le dernier point aux explications embarrassées de Nicolas Sarkozy, qui dit vouloir rendre visite à son homologue, et signifier en quoi ce dernier serait un « menteur ». Tâchant d’amender son « lapsus », le Président français se fend d’une lettre presque entièrement centrée sur le problème iranien. Il dit vouloir exiger des sanctions plus sévères que jamais, notamment contre la Banque Centrale iranienne, et coordonner une cellule de crise française avec des homologues de Jérusalem. Il tâche donc de compenser son maque de fairplay par des gages d’efficacité. Comment racheter en 6 mois, les 4 précédentes années de duperie élyséenne à l’encontre d’Israël ?…
Quatorze heures après que des explosions consécutives aient frappé deux bases des Gardiens de la Révolution (CGRI), à 46 kms à l’ouest de Téhérna, samedi 12 novembre, les explosions se sont poursuivies et les incendies font rage, révèlent des sources exclusives de Debkafile. Les bases sont situées à Malard, dans le secteur de Shahryar. L’installation de Moadarres a été la première a être touchée, alors qu’une deuxième explosion, bien plus vaste, survenait à Amir al-Mo’menin.
Leur ampleur était telle que le Croissant Rouge iranien a dépêché 45 ambulances vers les deux installations, et 23 bus en supplément, convertis en véhicules de premiers secours, ainsi qu’un hélicoptère, afin d’évacuer les blessés en condition critique. Cependant, il n’y a que six personnels de secours qui ont eu accès à la base de Moadarres et aucun ne s’est vu autorisé à entrer dans Amir-al-Mo’menin, du fait du caractère sensible de l’installation…
Lire la suite: http://www.israel-flash.com/#ixzz1dWWwWQCC
La nature militaire du programme nucléaire iranien se précise et ce processus de prolifération menace l’espace euro-atlantique. Les systèmes antimissiles pourront intercepter quelques engins frustres mais ce bouclier ne saurait se substituer à l’épée nucléaire. La dissuasion globale repose sur l’atome guerrier, des défenses actives et la capacité à frapper avec précision en mode préventif. La voie de l’érémitisme ne pouvant être empruntée par une collectivité politique, les Européens doivent réaffirmer leur présence au monde. ..
Un responsable important du Foreign Office affirme qu’on a informé les Ministres du gouvernement britannique de s’attendre à une action militaire israélienne, à la suite du rapport de l’observatoire de l’ONU « D’ici Noël ou très tôt au début de la nouvelle année », d’après un reportage du Daily Mail de Londres, mardi 10 novembre. On a expliqué aux Ministres qu’Israël frapperait les sites nucléaires de l’Iran « le plus tôt possible, plutôt que trop tard » -avec « le soutien logistique » des Etats-Unis. Selon le journal britannique, qui a de bonnes relations avec le renseignement et l’armée, à Londres, le Président Barack Obama. « devrait soutenir les Israéliens ou risquer lde perdre le soutien Juif-Américain aux prochaines élections présidentielles ». La préoccupation majeure est que, dès que l’Iran est doté de l’arme nucléaire, il deviendra impossible d’arrêter l’Arabie Saoudite et la Turquie dans le développement de leurs propres armes, même au-delà de tout point d’équilibre de la terreur au Moyen-Orient…
Pour la seconde fois en quatre jours, l’Iran a menacé d’anéantir Israël. Dimanche 6 novembre, Téhéran a déclaré que 4 missiles iraniens frapperont un million d’Israéliens. Mercredi 9 novembre, le Général Massoud Jazayeri, commandant-adjoint des forces armées iraniennes, a affirmé qu’une attaque américaine ou israélienne sur les installations nucléaires iraniennes n’aurait pas seulement pour conséquence l’extinction de l’Etat juif – « Dimona est la cible la plus accessible »- mais qu’elle générerait une réplique qui ne se limiterait pas au Moyen-Orient ».
Les sources militaires de Debkafile interprètent que ce message signifie une attaque de missiles sur les bases américaines en Europe et contre les navires de la sixième flotte US en Méditerranée…
Bushehr, ville-forte !A quoi sert de protéger une centrale nucléaire dont l’usage se veut pacifique par un armement très lourd et sophistiqué ?
Le site de Bushehr est l’une des cinq zones les mieux protégées d’Iran, aussi, nous avons quelques doutes sur l’usage final des barres de combustible que la Russie a livré à l’Iran dans le cadre de la mise en fonctionnement du réacteur à eau légère de la ville.
Voyez plutôt !
L’observatoire nucléaire de l’ONU (AIEA) a commencé à faire circuler son rapport très attend sur l’Iran, mardi soir 8 novembre au Conseil de Sécurité et aux membres du bureau de l’AIEA. Selon les premières révélations, l’Agence n’a aucun doute que l’Iran travaille au développement d’armes atomiques : son ordinateur clandestin de tests simulés et pratiques sur les détonateurs nucléaires, l’enrichissement d’uranium sur un site souterrain à Fordo et des tests d’adaptation de têtes nucléaires pour missiles n’ont pas d’autre explication que celle d’un travail sur les composants d’une arme nucléaire…
Les autorités iraniennes ont présenté leur dernier missile sol-sol lors de la parade militaire du 22 septembre 2011, qui commémore le début de la guerre déclenchée par l’Irak, il y a 31 ans. Le Sajjil 2 est un missile concocté par l’industrie de défense iranienne et mis en œuvre par la composante aérienne des gardiens de la révolution (Pasdarans).
Ce lanceur de deux étages[1], haut de 17 à 19 mètres, pesant environ 26 tonnes, serait capable d’emporter, soit une charge militaire d’une tonne à 2 000 kilomètres, soit une charge de 650 kilos à 2 500 kilomètres. Israël se trouve donc à portée de son rayon d’action.
A tous nos chers lecteurs.
Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?
Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.
En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.
L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.
Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.
La majorité d'entre elle sont trilitères.
Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.
Celle qui nous est demandée chaque jour.
La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.
De cette racine découlent plusieurs mots
Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser
Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges
Sé'hli > intelligent, mental, spirituel
Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre
Si'hloute > appréhension et compréhension
Haskala > Instruction, culture, éducation
Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser
Heschkel > moralité
Si'htanout > rationalisme
Si'hloul > Amélioration, perfectionnement
Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.
Aschkel pour Lessakel.