Il ne s’est pas passé un jour, au cours du dernier mois, sans que surviennent de nouvelles révélations, la plupart en provenance de sources du renseignement américain, confirmant que l’Iran a, soit, atteint soit est à portée de main d’obtenir la capacité de produire une arme nucléaire. Dimanche 6 novembre, on révélait que l’Iran devait réaliser des expériences d’implosion, dans un vaste conteneur d’acier, construit comme une capsule destinée aux tests, dans cet objectif, à Parchin. La réalisation de telles expériences serait difficile à expliquer en dehors de tout autre objectif que celui du développement d’armes nucléaires…

 Si l’on doit en croire une dépêche AFP (mais le doit-on ?), le Ministre des Affres étrangères français, Alain Juppé, s’est prononcé pour un renforcement des sanctions contre l’Iran, qui refuse de mettre un terme à son projet, quant à lui, bien « militaire », d’acquisition de l’arme atomique. Il s’est, par contre, élevé, offusqué, contre toute intervention militaire, susceptible de « déstabiliser la région ».

L’Arabie Saoudite n’a pas été surprise, lorsque les autorités américaines ont découvert un complot iranien visant à assassiner l’ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, Abdel al-Jabair. Selon le renseignement saoudien, au cours des derniers mois, Téhéran a lancé une campagne de meurtres en chaine, prenant pour cibles les diplomates saoudiens, afin de déstabiliser la famille royale…

• Au cours des dernières semaines, le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah a tenu une série de rencontres avec le haut niveau de son commandement militaire, autant qu’avec les Commandants de terrain, responsables de la préparation de la guerre avec Israël. Selon une source proche du Hezbollah, la directive opérationnelle de Nasrallah est que, lors du prochain conflit avec Israël, le Hezbollah frappera Tel Aviv avec ses missiles, dès le déclenchement de la guerre, tout en déployant simultanément des forces pour conquérir la Galilée.

• Les forces du Hezbollah sont entraînées à tirer au moins dix mille missiles, dès le déclenchement de la guerre, contre des cibles militaires et stratégiques, telles que les pistes aériennes, les bases militaires, et les infrastructures vitales, y compris les installations maritimes. Cette vague sera suivie par des tirs de roquettes depuis des sites de lancement dont la localisation surviendra sous l’effet de la surprise pour Israël.

• Le plan opérationnel a été formulé en tandem avec des experts stratégiques Iraniens de haute voltige et il comprendra une force de 5000 combattants, récemment entraînés en Iran, dont la mission sera de prendre le contrôle de secteurs désignés dans le nord d’Israël, dont Nahariya, Shlomi et Carmiel.

• On dit aussi que des unités du génie de l’armée iranienne ont miné des zones entières de la vallée à l’Est de la Bekaa, qui sont perçues comme des sites possibles d’atterrissage des forces spéciales israéliennes, et que le Hezbollah s’est équipé de missiles antitanks « légers » iraniens, capables de briser les systèmes de défense des tanks Merkava israéliens.

• La récente escalade de Nasrallah, par des déclarations publiques est à évaluer en fonction des craintes croissantes, au sein d Hezbollah, qu’une attaque israélienne ou/et américaine se dessine dans un avenir proche. En tant que bras stratégique de l’Iran, le Hezbolllah se perçoit comme la première ligne de défense de l’Iran contre Israël…

A vrai dire, la République Islamique n’est qu’une oligarchie despotique et pillarde dont les chefs s’enrichissaient en dépouillant les fonds publics (Bayt al-mal).

Mahmoud Reza KHAVARI, président de la banque nationale d’Iran, la plus grande banque iranienne, s’est enfui au Canada, là ou, lui et sa famille ont obtenu en 2005 en toute discrétion la nationalité Canadienne. Mahmoud Reza KHAVARI  est soupçonné d’une malversation historique, équivalant de trois milliards de dollars, apparemment il est recherché pour être interrogé Téhéran. Il n’ya pas de traité d’extradition entre les deux pays.

KHAVARI, possède…