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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 19:54

 

 

Attention : à lire avec précaution : difficile de déterminer dans quel sens travaille et pour qui IslamTime?
Reportage : Des avions de l’armée de l’air israélienne ont atterri sur une base saoudienne


Islam Times dévoile qu’un ou des avions de guerre israéliens ont déchargé de l’équipement militaire dans ce pays islamique, en prévision d’une frappe éventuelle en Iran.

 

Photo: Oren Agmon

Dudi Cohen

 

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3909732,00.html

 

Adaptation : Marc Brzustowski

Pour http://lessakele.over-blog.fr et www.aschkel.info

 

Publié le: 

23.06. 10, 17:25 / Israel News

 

 

 Au moins un avion cargo de l’armée de l’air israélienne aurait atterri durant le week-end dernier sur une base militaire d’Arabie Saoudite et déchargé une vaste quantité de matériel militaire, selon un reportage publié, ce mercredi par le site islamique Islam Times.

Le reportage, dont on peut questionner la crédibilité, prétend que ces équipements ont été déchargés sur une base proche de la ville de Tabuk, dans la région nord-ouest du pays, en prévision d’une frappe éventuelle en Iran.

 Ce reportage controversé a également été repris et publié par l’Agence de presse iranienne Fars, sous le titre : “Activité militaire suspecte du Régime sioniste en Arabie Saoudite”.

 

Selon ce reportage, Tsahal a construit une base militaire à approximativement 9 km (5.5 miles) de Tabuk, et lorsque les avions israéliens ont atterri, les 18 et 19 juin, tous les vols civils ont été annulés sur l’aéroport local.

L’un des passagers de Tabuk a remarqué que les civils à l’aéroport n’ont obtenu aucune explication concernant l’annulation des vols, mais qu’ils ont été remboursés par les autorités saoudiennes et hébergés dans des hôtels proches.

 

Plus loin, le reportage poursuit en affirmant que les relations secrètes entre Israël et l’Arabie Saoudite sont devenues le sujet principal des conversations parmi les habitants de la ville.

 

Un autre article, publié il y a deux semaines, prétendait que l’Arabie Saoudite testait ses systèmes de défense anti-missiles, dans le but de permettre aux avions de Tsahal de traverser son espace aérien pour aller bombarder les installations nucléaires en Iran .

 

 

Des members de la sécurité présents dans le Golfe Persique ont confié au Times Magazine basé à Londres que Ryiad avait donné son feu vert à Israël pour voler à travers un couloir aérien étroit dans le nord du pays, de façon à écourter le temps de trajet en direction de la République islamique.

 

Selon le Times, Ryiad a procédé à des tests afin d’être sûr que les systèmes ne s’activent pas si des avions israéliens étaient détectés, de façon à garantir que les jets d’Heyl Ha’avir ne soient pas interceptés par  les missiles de la défense saoudienne. Après que l’avion ait quitté la zone en question, le système reprendra son activité normale. 

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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 11:50

 

 

 

L'Iran multiplie les incursions contre les Kurdes en Irak 
En décembre 2009, des rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan, s'entraînent dans les monts Qandil.
En décembre 2009, des rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan, s'entraînent dans les monts Qandil. Crédits photo : AP

Les victimes collatérales du conflit indépendantiste kurde situé au carrefour de l'Irak, de l'Iran et de la Turquie se chiffrent par milliers.

 


 

Perchée à plus de deux mille mètres d'altitude dans les monts du Qandil, la route qui mène du Kurdistan irakien à l'Iran, traditionnellement connue pour son trafic de contrebande, est désormais ponctuée de camps de réfugiés installés à l'improviste. Situé à une trentaine de kilomètres de la frontière entre les deux pays, le village de Zharawa se démarque du paysage par ses dizaines de tentes de fortune, accueillant des familles qui ont fui les combats entre l'armée iranienne et les rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan.

«Nous étions habitués aux tirs des soldats iraniens, mais la situation est devenue trop dangereuse pour rester», explique Ronak, assise en tailleur au chevet de Kani, sa fillette âgée de trois ans, souffrant de déshydratation aiguë. «Nous avons tout perdu», résume-t-elle, désespérée.

Les victimes collatérales du conflit indépendantiste kurde situé au carrefour de l'Irak, de l'Iran et de la Turquie se chiffrent par milliers. Derniers exemples en date, quatre membres d'une même famille qui ont trouvé la mort lors du bombardement de leur maison, dans la nuit de samedi à dimanche, par les Forces armées turques (TSK). Si, depuis près de trois décennies, la Turquie mène une lutte sans merci contre les quelque quatre mille rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) retranchés dans les monts du Qandil, la synchronisation des combats semble aujourd'hui démontrer que l'Iran a décidé de soutenir son nouvel allié régional dans l'anéantissement de la rébellion kurde.

 

Menace de riposte 

 

«L'Iran est un pays doté d'une vieille tradition diplomatique et se sert de la Turquie dans ses propres intérêts. Mais, dans le cas où les négociations concernant le nucléaire iranien échoueraient, cette alliance ne ferait pas long feu», estime Ahmet Deniz, le porte-parole du PKK. Depuis plus d'un mois, le regain des incursions terrestres et aériennes des deux plus puissantes armées de la région dans le nord de l'Irak, perçues comme la dernière illustration du rapprochement entre Ankara et Téhéran amorcé sur le dossier nucléaire iranien, inquiète. Il assombrit l'avenir du pays, en pleine crise politique depuis les élections législatives du 7 mars.

Le Gouvernement régional kurde (KRG), responsable du contrôle des frontières du nord de l'Irak avec l'Iran et la Turquie - et à la tête de la région la plus stable du pays -, peine à faire entendre ses appels au calme et au respect de la souveraineté territoriale. Téhéran et Ankara, qui l'accusent de fermer les yeux sur la présence du PJAK et du PKK, ne reconnaissent que Bagdad comme unique interlocuteur sur la question. Une situation d'autant plus difficile à gérer que le vide politique né des difficultés à former le nouveau gouvernement irakien persiste.

Mais, au-delà de ce qui pourrait s'apparenter à une crise diplomatique, les Kurdes soupçonnent l'Iran de vouloir les mettre au pas afin d'ouvrir la voie à l'Alliance nationale chiite, désormais à quelques sièges à peine de la majorité parlementaire.

Alors que les tractations entre les différentes formations politiques continuent, Téhéran voit d'un très mauvais œil un éventuel rapprochement entre la liste du Block irakien d'Iyad Allaoui et l'Alliance kurde, qui permettrait un retour sur la scène politique des sunnites à la tête d'un gouvernement soutenu par les États-Unis. Samedi 19 juin à Bagdad, lors d'une conférence de presse commune avec le général américain Michael Barbero, directeur adjoint des opérations interarmées, le chef d'état-major irakien, Babekir Zebari, s'est voulu menaçant : «Si les Forces iraniennes traversent à nouveau la frontière au Kurdistan, nous répondront à ces attaques afin de défendre la région.»

Un bras de fer dangereux, à quelques semaines du retrait total des troupes de combat américaines prévu fin août.

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 21:52

http://fr.rian.ru/world/20100622/186944761.html

Les missiles antiaériens russes S-300

Le ministre iranien de la Défense, le général Ahmad Wahidi, a déclaré mardi que la livraison de missiles antiaériens russes S-300 à Téhéran n'allait à l'encontre ni des lois russes ni de la législation internationale et a accusé Moscou d'avoir manqué à ses engagements, indique un communiqué mis en ligne sur le site de la chaîne de télévision iranienne Press TV.

"La Russie est responsable du préjudice causé par le non-respect de ses engagements", a-t-il indiqué.

Le général a fait cette déclaration en réponse à la décision de Moscou de geler la livraison de missiles sol-air S-300 tombant sous le coup des nouvelles sanctions décrétées par le Conseil de sécurité de l'ONU contre l'Iran le 9 juin 2010.

Après avoir analysé la résolution du Conseil de sécurité contenant ces sanctions, le Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique a conclu que les mesures restrictives interdisaient la vente des S-300. Cette conclusion a par la suite été confirmée par le ministère russe Affaires étrangères.

En décembre 2005, Téhéran et Moscou ont signé un contrat de livraison de cinq systèmes de missiles S-300. Ce contrat n'a pas été complètement exécuté en raison de la protestation des Etats-Unis et d'Israël contre la vente d'armes à l'Iran. D'après les médias, la Russie a fourni à la partie iranienne des rampes de lancement, mais pas de missiles.

Le système S-300 est destiné à la protection des ouvrages industriels, des centres administratifs, des bases militaires et des postes de commandement. Les S-300 sont capables de détruire les missiles balistiques, d'abattre les avions à une distance de 150 km et à une altitude allant jusqu'à 27 km et d'anéantir des cibles terrestres s'il y a lieu.

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 20:56

(cliquez sur le titre, pour plus de détail en anglais). 

   
Dans 16 des 22 pays compris dans l'enquête du Pew Global Attitudes 2010, les enquêtés disent préférer une frappe militaire à la perspective d'un Iran nucléaire.
    
Aux Etats-Unis, 66% optent pour une frappe nucléaire, contre 24% qui objectent.
    
En Egypte, 55% soutiennent une frappe nucléaire sur l'Iran, comparés à 16% seulement qui s'y opposent. En Jordanie, les personnes en faveur d'un frappesur l'Iransont 53% /contre 20% contre.
    
Il n'y a qu'en Turquie qu'une majorité de répondants disent qu'elles s'accommoderaient d'un Iran nucléaire, contre ceux préférant une action militaire. 
(Adaptation succincte : Gad pour http://lessakele.over-blog et www.aschkel.info )
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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 08:39

 

 

Le Brésil, qui soutenait encore récemment la politique de l’Iran, semble à présent changer de cap. Pourtant, le mois dernier, il avait encore proposé une solution de compromis, avec la Turquie, pour permettre à Téhéran de poursuivre son programme nucléaire. A présent, le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim, en visite officielle en Australie, annonce le revirement de son gouvernement.

Lors d’un entretien avec des journalistes, M. Amorim a déclaré lundi soir que son pays ne pouvait plus maintenir ses positions après le vote à l’Onu de nouvelles sanctions contre la république islamiste. « Nous avons fait le maximum, mais il y a des limites aux démarches qu’on peut entreprendre », a-t-il affirmé.

De son côté, l’Iran se montre toujours aussi intransigeant. D’après une information émanant de l’Agence de presse des étudiants de Téhéran, les dirigeants du pays auraient interdit l’accès du pays à deux inspecteurs de l’Agence internationale de l’Energie atomique, sous prétexte qu’ils auraient tronqué leur rapport sur leur programme nucléaire. Mais il est clair que Téhéran réagit en fait aux nouvelles mesures prises contre son régime par les Nations unies.


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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 12:54

 

 

DIMANCHE, JUIN 20, 2010

Bateaux de guerre en partance pour Gaza

 

Victor PEREZ

Selon les informations qui nous parviennent, plusieurs « flottille de la liberté pour Gaza » sont en préparation, voire en route, pour violer le blocus imposé parIsraël. Un blocus empêchant le port de cette bande de terre de devenir un port iranien délivrant missiles et autres armes mortelles pour les citoyens israéliens. Des flottilles, de fait, qui n’ont d’humanitaires que le nom.

Selon 
The Israel Project , un navire iranien, en route pour Gaza, a quitté le port iranien de Khorramchahr le 12 juin et envisage de passer par les eaux territoriales d'Oman, du Yémen et d'Egypte avant d'essayer d'atteindre Gaza. Deux navires iraniens organisés par laSociété de Défense de la Palestine en Iran devraient partir sous peu : l'un se nomme Toward Gaza et devrait prendre la route à partir du port Bandar Abbas, au sud de l'Iran, alors que l'autre quittera ce pays par le nord pour s'arrêter en Turquie avant de se rendre à Gaza.

Deux autres Ongs, libanaises cette fois-ci -
Journalistes sans Frontières et Free Palestine- parrainent le Naji Al Ali, avec au moins 50 journalistes et 25 bénévoles européens à bord, y compris des membres du parlement européen.

Insani Yardim Vakfi, ou " Le Fonds d'Aide Humanitaire " (IHH), le noyau dur du groupe islamiste turc qui a partiellement organisé la flottille précédente incluant le Mavi Marmara, a dit qu'il enverra six autres bateaux à Gaza au mois de juillet.

Une organisation allemande appelée les 
Voix Juives pour une Paix Juste (Jewish Voices for a Just Peace) parraine un navire avec à son bord 14 activistes, dont le départ est prévu pour la mi-juillet.

Free Gaza – le groupe qui a parrainé la flottille a été intercepté parIsraël le 31 mai – et Viva Palestina, un groupe basé au Royaume-Uni, prévoient un autre convoi de 10 à 15 navires, qui devrait partir pourGaza vers le mois d'octobre. Un des principaux organisateurs estIyad el-Sarj, basé en Norvège.

Tous ces navires, qui se disent ‘’humanitaires’’ n’ont, au final, qu’un seul objectif. Celui d’assurer la levée de la tutelle israélienne sur le port de 
Gaza, et ainsi la reprise du conflit entre les criminels duHamas qui maintiennent la population de cette bande de terre dans la plus grande pauvreté et une grande précarité quant à sa sécurité, etIsraël dont l’existence est vue comme un affront. Un conflit qui s’inscrira comme apport aux ‘’frères’’ du nord, Hezbollah, Syrie etIran, qui n’attendent que le moment propice pour son déclenchement.

L’état du peuple juif ne peut, en conséquence, baisser la garde et permettre l’entrée de bateaux sans connaître sa cargaison et ses passagers. D’autant plus, lorsque ceux-ci battent pavillons de pays ennemis.

Israël se doit d’immobiliser ces convois et décourager toutes nouvelles tentatives. Pour ce faire, il lui faut stopper ces navires en eaux internationales par une neutralisation des hélices, ou moyens similaires, et non plus par arraisonnements. L’esprit kamikaze régnant parmi ces ‘’humanitaires’’, le danger est de voir ces ‘’flottilles de la liberté’’ se saborder pour en faire porter la responsabilité àTsahal.

Bloqués, ces navires n’auront de choix que de prendre pour témoins les instances internationales, les autorités de leurs pays respectifs, l’opinion publique internationale, mais devront, bon gré mal gré, se faire remorquer vers leurs ports d’attaches ou d’autres plus proches acceptant de les accueillir pour réparation.

Devant cet affront à leur désir d’atteindre les côtes et crier victoire, devant ces convois n’ayant pas eu de sang versé, l’inutilité de tels convois apparaîtra malgré les condamnations sans effets du machin de l’
Onu.

Ainsi, 
Israël imposera le respect de ses décisions et de ses frontières tout en affaiblissant l’Islam radical. Il ne restera plus qu’à ce camp à affronter « l’entité sioniste » à partir du terrain où il se trouve, et non pas par l’intermédiaire d’idiots utiles, de naïfs ou de quelques sympathisants stupides et prêts pour le ‘’martyr’’.

Ce qui est une toute autre affaire.
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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 23:27

 

 

L'Iran est capable de lancer des "centaines" de missiles contre l'Europe, selon les Etats-Unis

Publié le 18 juin 2010 - 

http://www.rnw.nl/afrique/bulletin/liran-est-capable-de-lancer-des-centaines-de-missiles-contre-leurope-selon-les-etats-unis

L'Iran est capable de lancer une attaque contre l'Europe au moyen de "dizaines ou même de centaines" de missiles, ce qui a conduit les Etats-Unis a revoir son système de défense antimissile, a assuré jeudi le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates.

La Maison Blanche avait décidé en septembre de troquer un projet de bouclier antimissile en Europe centré sur une menace de tirs de missiles iraniens de longue portée, pour un système protégeant plutôt les alliés de l'Otan de tirs balistiques de courte et moyenne portée.

"Un des éléments (fourni par) les renseignements qui a contribué à la décision (de changer de système de défense antimissile) a été de prendre conscience que si l'Iran devait lancer une attaque de missiles contre l'Europe, il ne s'agirait pas de seulement un ou deux missiles ou même d'une poignée", a dit M. Gates lors d'une audition au Sénat.

"Il s'agirait plutôt d'une salve, dans laquelle on aurait potentiellement affaire à des dizaines ou même des centaines de missiles", a-t-il assuré, ajoutant qu'il soutenait le nouveau projet "capable de protéger nos troupes, nos bases, nos installations et nos alliés en Europe".

M. Gates et la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, ont tenté jeudi de convaincre le Sénat que le nouveau traité START de désarmement nucléaire n'affaiblirait pas les plans de défense antimissile des Etats-Unis.

Le nouveau traité START prévoit d'importantes réductions des arsenaux nucléaires des Etats-Unis et de la Russie. Mais cette dernière a dit se réserver le droit de se retirer du traité si Washington poursuit le déploiement de systèmes antimissile en Europe de l'Est d'une manière qui ne conviendrait pas à Moscou.

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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 23:24

http://www.israel7.com/2010/06/

Le président français, Nicolas Sarkozy, en visite en Russie pour la signature d’accords économiques, a déclaré samedi à son homologue Dmitri Medvedev,  que son pays était prêt à entamer des négociations avec l’Iran au sujet de son programme nucléaire. Les contacts seront fondés sur un accord de remplacement signé entre l’Iran, le Brésil et la Turquie. Cet accord, d’après les autorités du régime islamiste, consiste à essayer de faire accepter aux grandes puissances le principe d’un échange d’uranium qui serait effectué en Turquie.

L’Iran remettrait ainsi 1200 kg d’uranium faiblement enrichi, à 3.5%, et recevrait en échange 120kg d’uranium enrichi à 20%, officiellement pour son réacteur de recherche médicale basé à Téhéran. Le président français fait appel aux sociétés représentées au Conseil de sécurité de l’Onu pour qu’elles s’associent aux négociations.

Cette déclaration suit de trois jours à peine la décision prise par l’Union Européenne, France comprise, d’intensifier les sanctions économiques contre l’Iran, et d’interdire la coopération et le soutien économique aux sociétés industrielles et pétrolières iraniennes. Or, pour Sarkozy, les sanctions ont été décidées dans un objectif bien précis: «Ces sanctions ont été prises non pas pour punir l’Iran mais pour convaincre ses dirigeants de reprendre le chemin des négociations.» Pour Sarkozy, les discussions pourraient commencer «sans délai» à Vienne, au siège de l’AIEA.

Sarkozy a tenu le raisonnement suivant: «Maintenant que nous avons les sanctions, il nous manque le dialogue. Il ne nous faut pas trancher entre les sanctions et le dialogue. Bien au contraire, c’est grâce aux sanctions que nous pourrons arriver au dialogue».

Fort de cette devise, le président français a l’intention d’associer à sa démarche l’ensemble du forum des Six, en entraînant, en plus de la France qu’il représente,  les États-Unis, l’Angleterre, le Russie, la Chine et l’Allemagne, pour traiter avec l’Iran de l’ensemble de son dossier nucléaire.

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 15:45

 

Dans le même esprit :  A. Larijani, porte-parole iranien projette de se rendre sur la frontières israélo-gazaouïe

 


Pour Aschkel.info et Lessakele

Benilou 

 

 

PROVOCATION IRANIENNE A  GAZA

Par Jacques Benillouche

 

PROVOCATION IRANIENNE A GAZAECOUTER ICI-copie-1

 

Voir précédent article : V

 

 

 

Les iraniens préparent une nouvelle provocation contre Israël avec Gaza comme point de mire. Les israéliens avaient pourtant tenté d’étouffer dans l’œuf toute velléité d’autres « humanitaires » à rééditer l’épopée de la flottille en sanctionnant avec force le navire turc Marmara qui avait voulu exploiter la couverture médiatique de l’opération. Ils avaient anticipé l’incident en mandatant en Turquie, dans le plus grand secret, une haute personnalité chargée d’informer le premier ministre Tayyip Erdogan sur la détermination d’Israël à arraisonner par la force tout bateau turc qui déciderait de contrevenir à l’interdiction israélienne de forcer le blocus. Mais les conseils n’ont pas été entendus ou ont été volontairement ignorés. Cette mise en garde explique la réaction mitigée de la Turquie qui n’a pas été prise au dépourvu et qui, de ce fait, n’a pas rompu ses relations diplomatiques avec l’Etat juif.

 

Les iraniens s’invitent à Gaza

 

            Ali Larijani, président du Majlis, le parlement iranien, et Alaeddin Bouroujerdi, président de la commission pour la sécurité nationale et la politique extérieure du Majlis se préparent à investir la bande de Gaza, le 19 juin, et envisagent de narguer Tsahal à la frontière israélienne. Téhéran a demandé au Caire des visas pour 200 députés iraniens en intercédant auprès du président Moubarak lui-même pour qu’il autorise cette visite historique.

            Les iraniens ont présenté une demande officielle, le 14 juin, pour faire atterrir sur un aérodrome égyptien un avion civil transportant une importante délégation parlementaire ainsi que des vivres et des produits médicaux à destination de la population de Gaza. Le Caire n’a pas encore donné son accord à cette visite qui, si elle a lieu, serait une grande première puisqu’à ce jour aucune délégation iranienne de haut rang n’a été autorisée à se présenter à la  frontière égypto-israélienne. Le premier ministre Netanyahou pourrait considérer cette initiative comme un casus belli ou, pour le moins, comme une manifestation inamicale de la part des égyptiens.

            Ces provocations à répétition ne semblent pas intimider les israéliens et pourraient au contraire les conduire à radicaliser leur position car, selon leur doctrine, ils ne peuvent laisser entrevoir une quelconque faiblesse. La volonté de provocation du président du Majlis ne fait aucun doute puisqu’il envisage de se présenter à la frontière israélienne, accompagné des dirigeants du Hamas, pour délivrer son message de solidarité à l’intention des palestiniens et il veut aussi profiter pour menacer Israël face à ses frontières. L’impact médiatique recherché pourrait avoir un effet bénéfique pour la position de l’Iran au Proche-Orient car il serait perçu par les islamistes comme une preuve de force et de solidarité de la part d’iraniens apparaissant alors comme seuls défenseurs de la cause arabe.

 

Damer le pion aux turcs

 

            Mais l’objectif de cette visite doit cependant s’insérer dans le contexte de compétition ouverte entre la Turquie et l’Iran, deux pays qui cherchent à se hisser à la tête du monde musulman. L’Iran veut prendre de vitesse le premier ministre Tayyip Erdogan qui, candidat au leadership arabe, a suscité et encouragé l’épopée du Marmara arraisonné au large de Gaza. La place est certes libre et tous les moyens sont bons pour s’afficher comme le plus solidaire des palestiniens afin d’acquérir l’aura internationale.

            L’objectif de Larijani est d’être vu entouré de ses parlementaires à la frontière israélienne en train de défier les patrouilles israéliennes qui lui feront face. Il ne pourrait y avoir meilleur provocation tandis qu’un navire iranien a quitté, le 14 juin, le port de Khomanshahr  et qu’un second appareillera le 19 juin pour la même destination. La recherche de l’incident est flagrante et il est douteux qu’Israël accepte pareille manipulation sans réagir.   Dans l’attente de l’autorisation du Caire, quatre parlementaires ont été envoyés en mission de repérage pour traverser la frontière entre Gaza et l’Egypte afin de préparer, dès réception de l’autorisation finale, l’arrivée massive des iraniens auprès du Hamas. La décision de l’Egypte est attendue avec intérêt et inquiétude par les israéliens qui ont déjà fait savoir, par les voies diplomatiques, qu’ils se comporteraient avec les navires iraniens avec plus de fermeté qu’avec les turcs puisque l’Iran, contrairement à la Turquie, est considéré comme ennemi irréductible de l’Etat d’Israël. Ils espèrent donc que l’Egypte  réagira en pays responsable en déniant le droit aux iraniens de provoquer une riposte militaire israélienne. 

 

Mise en garde des militaires israéliens

 

            Cette initiative intervient au moment où le responsable du Shin Bet (sécurité intérieure) met en garde le gouvernement israélien contre une décision d’alléger le blocus de Gaza qui mettrait en danger la sécurité du pays. Il s’oppose au contrôle éventuel des navires entrant à Gaza par des observateurs étrangers car ils n’auraient, selon lui, aucune compétence pour détecter l’introduction d’armes et de matériel stratégique dissimulé dans les cales. Il prend exemple sur le Liban qui est une véritable passoire alors que les Casques bleus ont reçu la mission d’interdire le réarmement du Hezbollah qui se poursuit au vu et au su de tout le monde.

            Ce responsable rappelle que le Hamas ne fait pas mystère de sa volonté de prolonger la guerre contre Israël puisqu’il dispose en stock, malgré le blocus, de plus de 5.000 roquettes et missiles, de portée de 40 kms, qui ont traversé les tunnels creusés entre l’Egypte et Gaza. Il rejoint ainsi tous ceux qui, dans les sphères militaires et stratégiques, critiquent de manière ouverte le ministre de la défense, Ehud Barak, considéré comme « incompétent et mou » puisqu’il s’aligne, selon eux, sur les désidératas des américains. Les stratèges israéliens, et non des moindres, estiment que la suppression du contrôle du blocus réduirait la marge de manœuvre de la marine israélienne en aggravant les conditions de la défense du sud du pays. Ils rappellent les engagements de Netanyahou de ne pas transformer Gaza en un port iranien ou un port turc.

            Les israéliens voient dans cette nouvelle provocation iranienne une volonté de saboter tous les efforts des diplomates dans la recherche de solutions pacifiques au blocus de Gaza et au conflit palestinien en général. Barack Obama avait fait pression sur le premier ministre Netanyahou pour qu’il fasse preuve de moins d’intransigeance dans ses décisions sur Gaza. Mais les israéliens ne s’étonnent plus de constater que chaque avancée politique est systématiquement contrecarrée par des menaces, des obstacles ou des tirs de missiles qui annihilent les effets et qui ont surtout pour but d’envenimer les relations israélo-américaines. L’Iran s’est invité à Gaza alors qu’on ne l’attendait pas. 

 

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 15:31

 

http://www.realite-eu.org/site/apps/nlnet/content3.aspx?c=9dJBLLNkGiF&b=2331129&ct=8445785

L’UE adopte de nouvelles sanctions contre l’Iran 

 

 

 

Liste d'experts

Le 9 juin 2010, le Conseil de sécurité de l'ONU a accepté d'imposer à l'Iran sa quatrième série de sanctions en raison de son refus d'appliquer les précédentes réglementations concernant son programme nucléaire. [1] L'UE envisage actuellement de renforcer les sanctions sur l'Iran au-delà de celles imposées par l'ONU afin d'augmenter la pression sur Téhéran. L'UE veut en particulier interdire de nouveaux investissements, transferts de technologies, équipements et services dans le secteur du pétrole et du gaz. Le détail des mesures doit être déterminé en juillet[2].Les gouvernements européens sont plus que jamais déterminés à augmenter la pression sur l'Iran.[3]

Les diplomates de l'UE ont déclaré que de nouvelles sanctions de l'ONU sont inévitables puisque l'Iran n'a pas respecté les sanctions et les résolutions précédentes de l'ONU, des Etats-Unis et de l'UE. Les ministres de l'UE devraient cibler les marchandises à double usage, c'est-à-dire celles utilisées à la fois à des fins civiles et militaires. Ils augmenteront également les restrictions sur l'assurance commerciale, le secteur bancaire et d'autres banques iraniennes. Ils visent également à interdire de nouveaux investissements dans l'industrie du gaz et du pétrole, et les transferts de technologies. Les sanctions de l'UE cibleront probablement la compagnie maritime de la République d'Iran, air cargo.  Ils élargiront probablement les interdictions de visas et gèleront les avoirs d'officiels iraniens. [4]

Pour maximiser l'impact des sanctions iraniennes, des experts financiers et commerciaux de l'UE recommandent des mesures ciblant les secteurs de l'énergie et des finances, où le régime est particulièrement vulnérable. [5] La résolution de l'UE nécessite l'accord unanime des 27 états membres de l'UE.

La France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie, le Danemark et les Pays-Bas sont sur la même longueur d’onde. Certains états membres, dont la Suède, s'opposent aux propositions de sanctions de l'UE. [6] Le secrétaire britannique des affaires étrangères,  William Hague, a dit que l'UE devait montrer une " position ferme " sur la question iranienne en " prenant des mesures parallèles et supplémentaires. "  Le ministre des Affaires étrangères italien, Franco Frattini, a dit : " L'Europe doit renforcer les sanctions (de l'ONU) en particulier sur la technologie de l'extraction de gaz et de pétrole. " [7]

Carl Bildt, le ministre suédois des Affaires étrangères, est perçu comme étant le plus fermement opposé à d'autres sanctions pour mettre fin au programme iranien de développement d'armes nucléaires. [8]  " Personne ne croit vraiment que des sanctions vont résoudre ce problème ou qu'elles auront un effet politique quelconque, " a dit Carl Bildt. [9] On pense que la Suède va rejeter des sanctions sur le secteur de l'énergie iranien puisque les sociétés suédoises vendent de l'équipement et des pièces détachées à l'industrie du pétrole de la République Islamique. La Grèce, Chypre et Malte ont des " réserves " sur la limitation de l'accès des navires iraniens aux ports européens. [10]

Des diplomates mettent l'accent sur le fait que de nouvelles sanctions de l'ONU seront les premières imposées à l'Iran depuis les élections présidentielles contestées du mois de juin 2009. [11]

Les précédentes sanctions de l'UE

L'UE a imposé des interdictions de visas aux principaux officiels y compris contre le chef des Gardiens de la Révolution, Mohammad Ali Jafari, et l'ancien responsable de l'énergie atomique Gholamreza Aghazadeh.[12]

En juin 2009, le Royaume-Uni a dit que les avoirs iraniens gelés au Royaume-Uni à la suite des sanctions de l'UE et de l'ONU s'élevaient à 1.4 milliards de dollars. En octobre 2009, le Royaume-Uni a annoncé qu'il gelait les relations commerciales avec la Banque Mellat iranienne et les compagnies maritimes de la République d'Iran. [13]

Liste d'experts

Dr. Sami Al Faraj, (Koweït) 
Président du Centre pour les Etudes Stratégiques du Koweït 
Tél. : +965 974 2002
E-mail : kuwaitcss@yahoo

Frederic Encel, Doctorat (France)
Consultant, auteur et expert des questions Moyen-Orientales
Tél. +33 660 616 767
Email: fredencel@hotmail.com  

Dr. Matthias Küntzel, Doctorat (Allemagne) 
Tél. : +49 453 320 4533
E-mail : MatKuentzel@aol.com  
Site web : http://matthiaskuentzel.de   

Simon Henderson (Etats-Unis) 
Membre du Washington Institute et directeur du programme de la politique sur le Golfe et l'Energie de l'Institut 
Tél. : +1 202-452-0650 
Tél. : +1 202-452-0650 poste : 344
E-mail : shenderson@washingtoninstitute.org

Mark Fitzpatrick, (Royaume-Uni)
Membre senior pour la non-prolifération, l'Institut International pour les Etudes Stratégiques (IISS
E-mail : http://www.iiss.org/about-us/staffexpertise/list-experts-by-name/mark-fitzpatrick/contact-mark-fitzpatrick/ 
Site web : http://www.iiss.org/  

Dr. Victor Mizin, (Russie) 
Vice-président du Centre d'Evaluations Stratégiques basé à Moscou 
E-mail : drvmizin@hotmail.com

Emanuele Ottolenghi, (Belgique)
Fondation Européenne pour la Démocratie (EFD
E-mail : emanuele@defenddemocracy.org   

 


Références

 

[1] “EU’s Ashton invites Iran for nuclear talks,” Agence France Presse, June 14, 2010,http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ge30K5Y12fW5Hry1slmDlfxc1Fhw

[2] “Iran: l'UE décide des sanctions plus sévères que celles de l'ONU” Agence France Presse, June 17, 2010,http://www.lemonde.fr/depeches/2010/06/17/iran-l-ue-decide-des-sanctions-plus-severes-que-celles-de-l-onu_3214_236_42749833.html

[3] Schlamp, Hans-Jürgen: “EU Plans Massive Sanctions Against Iran,” Der Spiegel, February 23, 2010,http://www.spiegel.de/international/europe/0,1518,679853,00.html

[4] Cahill, Ann: “EU to step up Iran sanctions over nuclear fears,” Irish Examiner, June 12, 2010, http://www.irishexaminer.com/world/eu-to-step-up-iran-sanctions-over-nuclear-fears-122256.html

[5] Schlamp, Hans-Jürgen: “EU Plans Massive Sanctions Against Iran,” Der Spiegel, February 23, 2010,http://www.spiegel.de/international/europe/0,1518,679853,00.html

[6] Ravid, Barak: “EU to debate launching its own sanctions against Iran,” Haaretz, June 14, 2010, http://www.haaretz.com/print-edition/news/eu-to-debate-launching-its-own-sanctions-against-iran-1.295968

[7] “EU’s Ashton invites Iran for nuclear talks,” Agence France Presse, June 14, 2010,http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ge30K5Y12fW5Hry1slmDlfxc1Fhw 

[8] Ravid, Barak: “EU to debate launching its own sanctions against Iran,” Haaretz, June 14, 2010, http://www.haaretz.com/print-edition/news/eu-to-debate-launching-its-own-sanctions-against-iran-1.295968

[9] “EU’s Ashton invites Iran for nuclear talks,” Agence France Presse, June 14, 2010,http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ge30K5Y12fW5Hry1slmDlfxc1Fhw

[10] Ravid, Barak: “EU to debate launching its own sanctions against Iran,” Haaretz, June 14, 2010, http://www.haaretz.com/print-edition/news/eu-to-debate-launching-its-own-sanctions-against-iran-1.295968

[11] Black, Ian: “UN approves new Iran sanctions,” The Guardian ., June 9, 2010, http://www.guardian.co.uk/world/2010/jun/09/iran-sanctions-united-nations-nuclear

[12] “Factbox: U.N., U.S. and EU sanctions on Iran,” Reuters, June 9, 2010, http://www.reuters.com/article/idUSTRE6583ZR20100609

[13] “Factbox: U.N., U.S. and EU sanctions on Iran,” Reuters, June 9, 2010, http://www.reuters.com/article/idUSTRE6583ZR20100609

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  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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