Le président iranien Ahmadinejad aurait lui-même coordonné les transferts de fonds, sans que les autorités saoudiennes, au courant de la transaction, ne soient intervenues.
Comme on le découvre à peine, la "crise humanitaire" a été mûrement planifiée de façon à sortir le terrorisme gazaouïte de son isolement temporaire, avec des prêteurs sur gages se relayant de "paradis fiscal pour terroristes" en sociétés off-Shore iranienne, saoudienne, égyptienne, à partir et au cours de ce grand moment spirituel pour l'humanité, le Pélerinage de la Mecque, de façon à atterrir dans les poches pleines de katioushyot de la société-écran Hamas agissant au nom de ses associés-malfaiteurs...
Il faut reparcourir les étapes de cet agenda à l'envers pour faire sans difficulté la démonstration de cette planification de longue date, ses lieux de transaction pendant la prière (le pélerniage dure entre 28 et 30 jours en général, à partir du début décembre cette année), peu de temps avant ou autour des passages d'Uncle Sam en la personne de GW Bush, puis de la France protectrice de la liberté de Cultes, grâce à l'entremise de Sarkozy...