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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 14:42
Ecoutez La ballade d'Ilan (Halimi) par CharlElie Couture
Gilles Médioni (L'Express)

CharlElie Couture vient de mettre en ligne sur son MySpace  Ilan ballade qu'il a écrite en hommage à Ilan Halimi. Le procès de Youssouf Fofana et de ses complices présumés du «gang des barbares» s'ouvrira le 29 avril prochain. 

Nicolas Repac est à la programmation et Karim Attouman les guitares .

On peut aussi regarder le livre de photos que le chanteur vient de publier : New York par CharlElie Couture (Ed du Chene).




http://www.myspace.com/charleliecouture
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S
http://docs.google.com/Doc?id=dc2m8p62_148ghtd75db<br /> http://pasta.cantbedone.org/pages/C3Mc5o.htm<br /> Déploiement de forces russes en vue d'une éventuelle opération en Géorgie <br /> Pavel Felgenhauer, Eurasia Daily Monitor, 16 avril 2009, Volume: 6 Issue: 73<br /> <br /> <br /> <br /> La semaine dernière, des partis de l'opposition géorgienne se préparaient à organiser des manifestations de rue pour forcer à la démission le président Mikheïl Saakachvili, alors que les forces russes ont entrepris des exercices militaires dans le Caucase qui pourraient être la préparation directe d’une intervention en Géorgie --à la suite d’une déstabilisation ultérieure du pays. <br /> Les volumineux meetings de l'opposition n'ont pas forcé Saakachvili à céder, et à Tbilissi la tension monte (Eurasia Daily Monitor, 14 avril 2009).<br /> L’éventualité est forte en Géorgie que des éléments radicaux dans les deux camps puissent commettre des violences, tandis que la Russie semble prête à intervenir pour défendre le peuple-frère orthodoxe géorgien contre le régime de Saakachvili, qu'il considère comme l’ennemi numéro un.<br /> Après la guerre contre la Géorgie en août dernier, le président Dmitry Medvedev avait déclaré dans une interview à la télévision italienne RAI :<br /> <br /> "Pour nous, le président Saakachvili n'existe pas, politiquement c’est un cadavre» (www.kremlin.ru, Septembre 2, 2008).<br /> <br /> Alors que dans un interview récent de la BBC, Medvedev réaffirmait : <br /> <br /> « Nous aimons et nous estimons le peuple géorgien.<br /> Je ne veux pas avoir de relations avec le président Saakachvili, et ne communiquerai pas avec lui. Mais si, à la suite de processus démocratiques, le pouvoir change en Géorgie, nous sommes prêts pour des discussions. » <br /> (www.kremlin.ru, Mars 29).<br /> <br /> De la part du chef d'un petit pays voisin que Moscou a officiellement décrit comme un « cadavre politique », il est inconvenant de rester au pouvoir.<br /> Alors que l’opposition géorgienne tentait de se renforcer, les militaires russes étaient déjà en marche. La flotte russe de la mer Noire a quitté en force Sébastopol en Crimée, conduite par son navire amiral le croiseur lance-missiles "Moskva".<br /> <br /> Le ministre des Affaires étrangères géorgien Grigol Vachadzé accusé la Russie de « continuer ses politiques d’agression » en déployant des navires de guerre et renforçant ses troupes en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Vachadzé a exprimé l'espoir que la Russie <br /> <br /> « n’osera pas commettre une nouvelle agression contre la Géorgie, car cela l’opposerait à l’ensemble du monde civilisé » <br /> (Gruzia-Novosti, le 11 avril).<br /> <br /> Des officiels militaires russes ont déclaré que le déploiement de troupes et de navires de guerre ferait partie d'exercices militaires de routine, décrivant la réaction géorgienne comme « hystérique et provocatrice » (RIA-Novosti, les 11 et 13 avril).<br /> <br /> Il est important que l'armée russe ait reconnu sa mobilisation et son déploiement de troupes et de navires. <br /> Pour l’instant, il est impossible de savoir précisément combien d'autres unités de l'armée ont été disposées à portée de la Géorgie. Toutefois, la composition de la force navale qui est partie de Sébastopol n'est pas secrète, puisque les autorités ukrainiennes doivent en être informées. Celle-ci semble plus importante que celle qui avait été lancée contre la Géorgie en août dernier.<br /> Ce sont quatre grands navires de débarquement amphibies qui ont quitté Sébastopol la semaine dernière alors qu’en août 2008, on n’en avait décrit que deux en opérations, pour insérer un régiment de fusiliers marins dans le petit port d’Otchamtchira en Abkhazie, près de la frontière avec la Géorgie (Vlasť, 18 août 2008). Ces fusiliers marins avaient ensuite été utilisés dans l'invasion de la Géorgie occidentale.<br /> <br /> Avant la guerre d’août dernier, la Marine géorgienne était petite, seulement équipée de vieux navires et pas prête pour des opérations sérieuses.<br /> En novembre dernier Batou Koutelia, alors premier secrétaire d’état à la Défense (et maintenant ambassadeur de la Géorgie à Washington) avait dit à Eurasia Daily Monitor que dès le début de la guerre, tous les navires de la Marine géorgienne capables de tenir la mer avaient été transférés à Batoumi dans le sud à partir de leur base principale de Poti.<br /> La marine russe avait annoncé qu'elle avait coulé un « navire porte-missiles » géorgien au cours d'une confrontation navale, après que celui-ci avait tenté d'attaquer la flottille de la mer Noire (Interfax, 10 août).<br /> <br /> Pour sa part, Koutelia affirme que le ministère de la Défense géorgien nie avoir eu connaissance d'un tel incident. La Géorgie avait bien deux petits navires porteurs de missiles guidés : le Tbilissi, vieux navire soviétique et le Dioskuria construit en France et plus vieux encore. L’un et l’autre avaient été abandonnés à Poti et coulés dans le port par l'armée russe d’occupation. Leur carcasse a été récemment vendue aux enchères pour 61 000 dollars au prix de de la ferraille pour nettoyer le port de Poti (Interfax, le 3 avril).<br /> De l'avis du Ministère géorgien de la Défense, la confrontation navale racontée par la marine russe en août dernier était soit un truc de propagande, soit une pure et simple illusion.<br /> <br /> Après la guerre, la Géorgie a dispersé sa marine, remettant ses navires survivants à la garde-côte locale. La flottille russe conduite par le "Moskva" ne rencontrera pas d'opposition en mer, mais le déploiement d'une grande force amphibie constituée de milliers de fusiliers marins équipés d'armes lourdes est un spectacle menaçant.<br /> Les routes étroites de faible capacité qui mènent de Russie en Géorgie (l’une vers l’Abkhazie et l'autre qui mène en Ossétie du Sud) créent des problèmes immenses de logistique pour transférer rapidement en Géorgie des contingents militaires importants, si Moscou opte pour une « intervention humanitaire » afin d’opérer un « changement de régime ».<br /> <br /> L'insertion en août dernier d'une importante force de fusiliers marins dotés d'armes lourdes a servi pour contourner l’encombrement des voies terrestres, et cela pourrait encore s'avérer important. Les militaires russes connaissaient d'avance le moment exact de leur invasion planifiée, et contrôlaient totalement les provocations antérieures des bandes d'Ossétie du Sud, alors que dans la crise actuelle la situation est beaucoup plus volatile.<br /> <br /> Saakachvili et ses ministres ont exprimé leur confiance que le déploiement militaire actuel des Russes est un jeu de bluff, et que Moscou ne prendra pas le risque d'une attaque qui empêcherait la « réinitialisation » de ses relations avec Washington (Gruzia-Novosti, le 2 avril).<br /> Mais du point de vue de Moscou, seule une acceptation tacite par les États-Unis de la domination par la Russie du Caucase du Sud et de son contrôle des voies de passage de l'énergie de la mer Caspienne et de l’Asie centrale est une condition préalable de toute « remise à zéro » [en soi une concession catastrophique, qu’en plus ils se feraient prier pour accepter ?]. Que Washington accepte la domination de la Russie sur ces régions pourrait être la condition préalable implicite pour une véritable amélioration de leurs relations bilatérales.<br /> <br /> <br /> <br /> http://www.jamestown.org/single/?no_cache=1&tx_ttnews[tt_news]=34862&tx_ttnews[backPid]=7&cHash=ed1ae9941f<br /> Russian Forces Deploying for Possible Action in Georgia<br /> Pavel Felgenhauer, Eurasia Daily Monitor, 16 April 2009, Volume: 6 Issue: 73<br /> <br /> <br /> <br /> Last week Georgian opposition parties prepared to mount street protests to force President Mikhail Saakachvili to resign, while Russian forces began military exercises in the Caucasus that might be a direct preparation for an intervention in Georgia -in response to the country being further destabilized. Massive rallies by opposition supporters have not forced Saakachvili to yield and tension is mounting in Tbilisi (EDM, April 14). The possibility that radical elements on either side of the political divide in Georgia might provoke violence is high, while Russia seems to be ready to intervene to defend a brotherly Christian Orthodox Georgian nation from the Saakachvili regime, which it considers as an ultimate enemy. After the war with Georgia last August, President Dmitry Medvedev declared in an interview with Italian RAI TV, "For us president Saakachvili does not exist, he is a political corpse" (www.kremlin.ru, September 2, 2008). While in a recent BBC interview, Medvedev reiterated: <br /> <br /> "We love and value the Georgian people. I do not want to have any relations with president Saakachvili and will not communicate with him. But if as the result of democratic processes power in Georgia changes, we are ready for discussions"<br /> (www.kremlin.ru, March 29).<br /> <br /> It is inappropriate for a leader of a small neighboring nation, who has been officially pronounced by Moscow as a "political corpse," to remain in power. As the Georgian opposition was gathering force, the Russian military were already on the move. The Russian Black Sea Fleet left Sevastopol, Crimea in force, lead by its flagship missile cruiser "Moskva." The Georgian Foreign Minister Grigol Vashadze accused Russia of "continuing aggressive policies" by deploying warships and reinforcing its troops in Abkhazia and South Ossetia. Vashadze expressed
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  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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