au cœur du régime Assad.
Le régime Assad a subi un électrochoc, mercredi 16 novembre, quand des déserteurs auto-proclamés « Armée Syrienne Libre » ont tiré avec des lance-roquettes portés à l’épaule et des mitrailleuses lourdes pour frapper son plus grand complexe de sécurité à Harasta, à l’ouest de Damas, sur l’autoroute d’Alep. C’était la première fois qu’une force armée anti-Assad venaient s’en prendre à une cible stratégique essentielle avec de vraies munitions, allant bien au-delà des embuscades de véhicules militaires en mouvement pour tuer de simples soldats. Cela a été le signe de la confiance grandissante de l’opposition en sa capacité de perturber le soutien du haut commandement militaire à Assad…