Carnage palestinien: 1 bébé, 2 enfants et leurs parents assassinés en Israël
Dans la nuit de vendredi à samedi, vers une heure du matin, un terroriste palestinien a découpé la grille de sécurité qui protège le village d’Itamar en Judée-Samarie. Après avoir choisi une maison au hasard, il est entré en fracturant la porte.
Une fois à l’intérieur, il a tué à coup de couteau deux enfants -un de trois ans et l’autre de 11 ans-, avant de trouver la chambre des parents.
Toujours de sang froid, il a poignardé ou égorgé les deux parents qui dormaient paisiblement… Avec à côté d’eux un nouveau né. Lui aussi assassiné par ce palestinien.
Pendant ce temps, les 3 autres enfants du couple ont réussi à s’achapper de la maison. Ultra-choqués, ils sont aujourd’hui orphelins de leurs parlents. Et de leurs frères et soeurs.
Sur les lieux du crime, le sang s’est mêlé aux jouets de bambins. Israël est sous le choc. Israël pleure. La télévision diffuse des flashs en direct pour parler de la situation. Beaucoup demandent des actions de rétorsions. Oeil pour oeil, dent pour dent. D’autres demandent de laisser faire les enquêteurs. Enfin, les derniers affirment que cet exemple devrait suffire à expliquer pourquoi, il faut construire le plus rapidement possible dans ces localités juives de Judée-Samarie.
20 minutes après le drame, des dizaines de soldats et de policiers étaient sur les lieux. L’Israel Air Force était également dans la région pour tenter de retrouver les traces de l’assassin, toujours en fuite à l’heure ou nous publions ces lignes.
Comme on pouvait s’en douter, il n’y a toujours aucune condamnation internationale de ce terrible acte terroriste. L’Autorité Palestinienne n’a pas encore pris le micro (ce qu’elle fera certainement, en anglais, après avoir reçu des pressions par téléphone des leaders occidentaux. Mais d’ici quelques années, le terroriste sera célébré en héros, tout comme Dalal Moughrabi, kamikaze-suicide palestinienne qui est aujourd’hui une héroïne dont plusieurs stades et écoles portent le nom) refuse encore de commenter et de dénoncer l’évènement. L’Europe n’a pas dit un mot. Personne n’ose parler. L’ONU n’a pas réagit non plus. Ban Ki Moon préfère peut-être préparé son communiqué ou il dira “c’est triste. Mais Israël n’a pas le droit de répondre par la force”. En fait, Israël n’a jamais le droit de se défendre. Ce sera certainement encore le cas aujourd’hui.
Pour ceux qui dénoncent le “mur de séparation”, cet exemple devrait servir à montrer qu’Israël à eu raison de le construire. Car ce mur, qui est en fait une barrière, protège tous les habitants de l’Etat Juif, les chrétiens, les musulmans et les juifs, de la barbarie palestinienne.Grâce à cette barrière, plus un seul attentat du genre n’a pu être perpétré dans les frontières reconnues internationalement comme appartenant à Israël.
Par contre, dans les petites villes et les petits villages comme Itamar, au coeur de la Judée ou de la Samarie, quand un simple fil de fer fait office de protection, les terroristes passent paisiblement et commettent leurs forfaits sans problème. En 2002 à Itamar, une maman et 3 de ses enfants avaient déjà étaient tuées par des palestiniens.
Jerusalem Post - desinfos
samedi 12 mars 2011
Le Ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a chargé samedi la délégation israélienne à l’ONU de déposer une sévère plainte suite à l’attaque terroriste dans l’implantation d’Itamar , qui a fait cinq morts, membres d’une même famille.
Lieberman a ajouté que le fait que l’Autorité palestinienne n’a pas encore de condamner l’attaque », en dit plus sur la vraie nature de quelqu’un qui est censé être le partenaire de négociations."
Lieberman a souligné qu’Israël s’attend à entendre une ferme condamnation des pays démocratiques dans le sillage de l’attaque.
Le président du Conseil Yesha Danny Dayan après l’attaque a déclaré samedi que l’armée ne fournit pas une protection suffisante pour les établissements.
"L’équipe d’urgence est la seule responsable du maintien de la sécurité dans l’implantation, les faits montrent que les FDI pourraient et devraient aider", a déclaré Edouard Dayan.
Il a poursuivi en disant « Certaines des exigences de sécurité des résidents n’ont pas été abordées, et ces mesures auraient pu empêché l’attaque."
Le Maj.-Gen. Avi Mizrahi du OC Central Command a également réagi à l’attaque et a exprimé ses condoléances après l’attentat terroriste à Itamar. "Une famille entière a été tuée par des assassins ignobles et lâches qui ont assassiné des enfants et des parents sans aucune raison, dit-il.
Mizrahi a laissé entendre que le service de renseignement de la sécurité avait une idée sur l’identité des terroristes : ". Nous sommes en train de poursuivre les terroristes et je crois que l’on va les attraper très bientôt"