<br /> C'est lapidaire, mais jupe!... Juste!<br /> <br /> <br />

<br /> La gangrène!<br /> Tiens, j'ai une anecdote sur Drancy qui témoigne de la pensée de la municipalité Lagarde. C'était en 2004 ou 2005 et l'info avait été reprise par RTL. Drancy est jumelée avec une ville allemande<br /> donc avec des échanges scolaires. Un groupe de jeunes allemands arrive à Drancy. C'est l'été. Les jeunes filles sont en jupes. Elles se font tabasser et caillasser par les "jeunes" locaux.<br /> Justification invoquée auprès des journalistes. "Elles ne respectent pas notre mode de vie." Intervention publique de la municipalité: "Les jeunes doivent apprendre à vivre ensemble et à se<br /> respecter mutuellement." Autrement dit, si le jeune beur doit tolérer la jeune fille, celle-ci doit tolérer la lapidation. One tou trree, viva algérie!<br /> <br /> <br />

<br /> ... Et Aulnay/Bois lui répond en écho...<br /> <br /> <br />

<br /> Lagarde... (ses amis l'appellent Jean-Christophe)est l'expression du mal dont souffre la France. C'est un menteur et il justifie ses mensonges au nom d'une "morale". Politicien... (il n'a jamais<br /> travaillé dans la société civile)sa seule préoccupation est l'élection. 1300 agents communaux ne travaillent qu'à cela. Il a parié sur la population franco-musulmane. La politique urbaine de la<br /> ville vise à l'accueil et la régularisation des populations nord-africaines. La proximité de l'hôpital franco-musulman Avicenne en est propice. Difficile de trouver une ville qui finance plus<br /> d'associations exogènes....<br /> Mensonge, toujours, quand on demande la peine de mort pur les terroristes, effet d'annonce, en sachant que c'est impossible à réaliser!<br /> Un autre exemple de clientélisme: la gratuité des cantines scolaires... quand on connait la particularité de la population de Drancy car qui paye?<br /> Et personne ne trouve à redire à l'édification d'un monument en commémoration de l'esclavagisme français en Afrique qui juxtapose le mémorial du camp de Drancy qui devient le grand fourre-tout de<br /> la culpabilisation pour faire-valoir la (mensongère)sensibilité de ce mec.<br /> La mosquée de Drancy n'est que la partie visible de l'iceberg.<br /> <br /> <br />

<br /> Jean-Christophe Lagarde, un maire controversé, fluctuant, aux alliances élastiques... :<br /> vote contre la loi républicaine sur le voile à l'école et construit une mosquée dans le dos de ses concitoyens-électeurs, veut en faire un site-symbole, qui devient un lieu de pression intégriste<br /> contre l'Imam républicain : l'art de tout mélanger et de créer plus de confusion que de raison?<br /> <br /> <br /> Il milite dès 1987 pour la campagne de Raymond Barre, et en 1989 il est élu conseiller municipal de Drancy sur la liste d'union RPR/UDF. En 1990, il adhère au Centre des démocrates sociaux.<br /> La même année, il devient président des Jeunes démocrates sociaux (JDS) de la Seine-Saint-Denis pour lesquels il va s'investir à fond, jusqu'à délaisser ses études d'histoire. Il rencontre François<br /> Bayrou lors d'un congrès dans les Pyrénées en 1991.<br /> Candidat de l'union UDF/RPR aux élections législatives de 1993 et de 1997, il est battu par le député sortant Jean-Claude Gayssot.<br /> Tête de liste de l'union de l'opposition aux élections municipales à Drancy en 1995, il met pour la première fois de l'histoire locale en ballotage le maire sortant Maurice Nilès, figure du Parti<br /> communiste français et maire de la ville depuis trente-six ans. Celui-ci est cependant réélu dans une triangulaire avec le FN au second tour.<br /> Il est élu président national des JDS en 1996 puis des Jeunes UDF en 1998 et le reste jusqu'en 2001.<br /> En 1998, il est élu conseiller régional d'Île-de-France.<br /> Lors des élections municipales du 11 mars 2001, Jean-Christophe Lagarde remporte dès le premier tour les élections municipales de la ville de Drancy avec 50,84 % des voix, une des villes de<br /> l'ancienne banlieue rouge communiste.<br /> Il est élu un an plus tard lors des élections législatives député de Drancy-Bobigny le 16 juin 2002, pour la XIIe législature (2002-2007), dans la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis,<br /> par 22 voix de majorité, ravissant ainsi une circonscription ancrée à gauche depuis plus de 70 ans.<br /> Il fait partie du groupe parlementaire Union pour la démocratie française.<br /> En avril 2004, suite aux attentats de Madrid, il est cosignataire d'un projet de loi présenté par Richard Dell'Agnola visant à « rétablir la peine de mort pour les auteurs d’actes de terrorisme<br /> »1.<br /> Il interpelle le ministre de l'Intérieur Dominique de Villepin, en octobre 2004, au sujet d'un disque de rap distribué par la municipalité de Bobigny qu'il juge offensant pour les forces de<br /> l'ordre. Suite à son initiative, le préfet a porté plainte et deux agents municipaux et un rappeur sont condamnés. La cour d'appel relaxe les agents publics et les artistes (procès en avril 2007)<br /> au tribunal de Bobigny pour cette affaire2,3. La cour d'appel relaxe les agents publics et les artistes. Dans le même temps, il attaque un employé municipal syndicaliste pour diffamation pour un<br /> tract dénonçant la politique de l'emploi dans la ville de Drancy. Il lui demande 15 000 € de dommages et intérêts. La cour d'appel, le 16 avril 2008, relaxe le syndicaliste créant ainsi une<br /> jurisprudence Drancy4.<br /> Pour le référendum sur le TCE de mai 2005, Jean Christophe Lagarde est l'un des rares députés UDF, (avec Jean Lassalle), qui prône un « non » au traité établissant une Constitution pour l'Europe en<br /> dénonçant la fin de la volonté fédéraliste européenne, jugeant ce texte trop timoré et faisant la part trop belle aux partisans d'une Europe seulement économique et interdisant la création d'une<br /> Europe politique5. Les Drancéens donneront une nette majorité (73 %) au « non ». À l'automne 2005, lors des émeutes des banlieues,il n'hésite pas à monter en première ligne[non neutre]6 avec le<br /> maire d'Évry, Manuel Valls7, pour dénoncer la ghettoïsation d'une partie des français et ses conséquences. Son analyse, très différente de celle du Ministre de l'Intérieur de l'époque (Nicolas<br /> Sarkozy ), lui vaut les foudres de l'UMP, Eric Raoult disant de lui qu'il est un « Sarkozy de l'UDF dans le 9-3 », et Roger Karoutchi, patron de l'UMP d'Île-de-France déclarant « C'est un sectaire<br /> qui est en train de mal tourner ». Depuis le 1er décembre 2006, il est devenu le plus jeune vice-président de l'Assemblée nationale.<br /> Pendant la campagne présidentielle 2007, il devient le porte-parole de François Bayrou, dont il dit : « Bayrou veut faire péter le système. Il a raison. Y en a marre de cette monarchie<br /> républicaine. De ces candidats qui promettent tout et ne tiennent rien. Je suis libre. Je ne dois rien à personne. Je dis ce que je pense. »<br /> Il affirme ses divergences avec François Bayrou président du mouvement démocrate lorsque celui-ci esquisse son rapprochement avec Ségolène Royal. Après le 1er tour de l'élection présidentielle de<br /> 2007, il prend ses distances avec lui et se présente en candidat libre, après avoir refusé d'appeler à voter pour Nicolas Sarkozy. Lors des élections législatives de 2007, Jean-Christophe Lagarde<br /> se représente sans étiquette (ses documents de campagne feront mention des deux communes de sa circonscription Bobigny et Drancy en guise de tendance politique) pour un second mandat tout en étant<br /> investi sans l'avoir demandé par l'UDF/Mouvement démocrate[réf. nécessaire]. Il est réélu au second tour le 17 juin avec 59,87 % des voix.<br /> Deux jours après son élection, il annonce son adhésion au groupe Nouveau centre, groupe composé d'anciens parlementaires UDF qui avaient soutenu Nicolas Sarkozy entre les deux tours des<br /> présidentielles8,9. Pourtant, le 14 février 2008, il signe, avec 16 autres personnalités politiques de tous bords, l'« Appel du 14 février » pour une vigilance républicaine lancé par l'hebdomadaire<br /> Marianne10.<br /> Suite au refus de la loi rétroactive à l’assemblée nationale, et sur proposition de Jean Christophe Lagarde, le Nouveau centre fait alliance avec le Fetia Api (Financement : 870 000 d’euros pour le<br /> Nouveau Centre et 30 000 euros pour le Fetia Api). Le Fetia Api (« Nouvelle étoile ») est un parti politique de la Polynésie française, proche de l'UDF puis du Nouveau Centre qui le soutient (afin<br /> notamment de pouvoir bénéficier du financement public des partis politiques, plus aisé pour les partis qui se présentent outre-mer). (source rue 89)[non neutre]<br /> En 2008, lors des élections municipales, Jean-Christophe Lagarde remporte à nouveau dès le premier tour les élections municipales de la ville de Drancy avec 69,5 % des voix11.<br /> Il est membre du groupe d'études sur le problème du Tibet de l'Assemblée nationale.12<br /> Positionnement politique [modifier]<br /> <br /> Dans l'émission C dans l'air sur France 5, il s'est prononcé par exemple en faveur de la légalisation du cannabis, estimant que cela poserait certes « des problèmes de santé publique, qui se posent<br /> de toute façon même avec la prohibition » mais que « les gains en termes de sécurité publique seraient considérables, car on pourrait ainsi éviter que se constituent à tous niveaux les mafias de la<br /> drogue »13.<br /> En 2004, il a voté contre la Loi sur les signes religieux dans les écoles publiques, dénonçant à la veille des régionales une manipulation électoraliste qui n'avait pas de réel objet[non neutre],<br /> puisque les cas problématiques se comptaient sur les doigts d'une main.<br /> Pour réaliser une mosquée à Drancy, en évitant que cela ne crée des tensions, il reconnaît avoir menti à un journaliste du Parisien qui lui demandait si la ville avait un tel projet quelques jours<br /> avant les élections municipales de 2008 :<br /> « Oui, je vous ai volontairement caché que ce serait une mosquée. Je voulais montrer la normalité d’un tel projet. Contrairement à tous ces maires qui annoncent dans les médias qu’ils veulent une<br /> mosquée, moi, je l’ai faite. Je n’ai pas voulu l’annoncer à la population car cela aurait forcément créé des tensions. De cette façon, son ouverture n’a fait peur à personne. Comme nous le<br /> voulions, c’est un lieu d’intégration et d’ouverture. La mosquée n’est aux mains d’aucune communauté, assure l’élu. Maghrébins, Pakistanais et Égyptiens, tous prient ensemble et accueillent les<br /> autres communautés religieuse lors de chaque fête. C'est d'ailleurs cette mosquée qui fut choisie par le Président du CRIF pour montrer la capacité d'avoir un dialogue fraternel au sein de la<br /> République entre Juifs et musulmans »<br /> Le journal en ligne Riposte laïque dénonce le mensonge et l’atteinte aux principes de la loi de séparation des Églises et de l’État de 190514. En 2008, Jean-Christophe Lagarde a publié un livre<br /> (Les Hypocrisies Françaises aux éditions du Cherche Midi) dans lequel il revient sur cette décision et où il argumente la nécessité pour l'État de trouver la place de l'Islam en France afin<br /> d'éviter que cette religion ne soit une arme aux mains d’États étrangers. Dans cet ouvrage, il dénonce ce qu’il appelle « les blocages et les illogismes de la société française ».<br /> <br /> <br />