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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 16:25

A TALE OF TWO BEGGARS Par: Steven Plaut
 


http://www.jewishpressads.com/pageroute.do/38921


LE CONTE DES DEUX MENDIANTS
Adaptation française de Galila sur : sionisme.xooit.com

 

(pour : http://lessakele.over-blog.fr et www.aschkel.info)



Il était une fois, quelque part dans les steppes d’Europe de l'Est, dans une bourgade peuplée de nombreux juifs, deux mendiants qui erraient . L’un des mendigots était un juif, l'autre un gentil.

Les deux vagabonds étaient des amis et beaucoup trop paresseux pour se maintenir dans un emploi ou fournir un travail rentable. Alors, ils erraient sans soucis, sans but et d’aucune utilité, mendiant quelque nourriture de village en village, collectant parfois des choses jetées qu’ils pouvaient vendre, volant ici et là des œufs ou des fruits des arbres d’une ferme. C'était une vie dure et souvent ils étaient au bord de la famine.


Un jour, que les deux compères étaient à l’affût de quelqu’un à qui mendier un peu de nourriture, ils arrivèrent aux abords d'un shtetl dont tous les habitants s’activaient dans un remue-ménage intense , à recurer les casseroles, nettoyer leur maison et leur cuisine.
Le mendiant juif, tout à coup, réalisa qu'il ne restait que quelques heures avant le commencement de la Pâque juive .

«Nous avons aujourd’hui une chance extraordinaire, dit-il à son camarade. "Ce soir commence la fête de Pessah , une fête juive. A vrai dire , c’est l’une des fêtes les plus gaies de l'année, avec des montagnes de nourriture et de boisson. Donc, voici mon plan. Nous arriverons au village juste avant le soir. Nous resterons dans l'arrière-cour de la synagogue. Nous leur dirons que toi et moi sommes tous les deux des juifs errants, loin de chez eux, voyageant pour le commerce et cherchant à faire fortune. Et les Juifs du coin nous inviteront au banquet le plus merveilleux de notre vie! "
Tout comme le mendiant juif l’avait prédit, le plan marcha comme sur des roulettes. Les gens du pays se disputèrent pour savoir qui aurait l'honneur d'accueillir l'un des mendiants à sa table du Seder. Le soir , après les prières , le mendiant juif se rendit pour célèbrer la fête dans une famille, tandis que son ami Gentil, feignant d'être juif, s'en alla dîner et célébrer la fête dans une autre famille.
Le mendiant Gentil avait déjà l'eau à la bouche en pensant aux mets délicieux qu'il allait ingurgiter. Son ventre grognait d’ impatience. Mais les choses n'allèrent pas comme prévu.
Ses hôtes l’invitèrent à s’asseoir à une grande table sur laquelle se dressaient des bougies et de nombreux plats vides.
Au centre de la table, il ne voyait que des œufs durs minables , quelques feuilles de verdure , et un simple petit os de jarret.
«Ceci est pour toute l'assemblée?" pensa-t-il. Alors, plutôt que de se ruer sur la nourriture, son hôte versa à chacun un minuscule verre de vin .
Les choses ne firent qu'empirer. Les hôtes finirent de boire leur vin et offrirent à tous les convives attablés quelques morceaux de feuilles à mâchonner . Pas même de quoi satisfaire un lapin! Et ils exigèrent même qu’il trempe ces feuilles dans un liquide terriblement salé ce qui le rendit encore plus assoiffé, et désespéré au point de vouloir s’enfiler un vrai grog . Et puis , pour célébrer ce repas "," ils ont commencé à chanter et à rire et cela a duré une heure entière.

Alors qu’il s’attendait à ce qu’on lui serve un dessert, on lui donna à la place un morceau de pain, mais différent de tout ce qu'il avait pu voir auparavant. Il était sec , de toute évidence laissé au soleil pendant une semaine, pour ressembler de loin à du vrai pain. Il était dur et craquelé quand on le mastiquait . En plus, il était servi nature, sans huile ni même de la mélasse ou de la matière grasse.


"Est-ce le festin que mon ami m'avait promis?" Se dit le mendiant en lui-même. «Est-ce la montagne de nourriture que les Juifs mangent pour célébrer ce jour de fête le plus gai?"
Et imaginez l'horreur de ce qui venait ensuite. Chacune des personnes à table reçut une boule de raifort des plus amère et dégoûtante, quelque chose qu'il n'aurait jamais mangé en temps normal , même s'il avait été affamé. Ils ont même béni Dieu quand ils ont avalé cette patée de mauvais goût et d’odeur épouvantable !

Convaincu que le repas était terminé, le mendiant s’excusa, disant qu'il était appelé ailleurs de toute urgence, et quitta ses hôtes . Furieux , il erra dans les rues du village, à la recherche de son ami juif dans l'intention de le rouer de coups et de le disputer pour lui avoir fait la promesse vide d’un estomac plein et d’un repas fastueux .
.
Quatre heures plus tard, il finit par retrouver son ami juif. Le mendiant juif errait à travers les ruelles, les boutons de chemise prêts a sauter , le ventre trop plein, curetant ses dents et crachant de plaisir. Le Gentil était si affaibli par la faim qu'il était même incapable d'accabler de coups son ami. Le mendiant juif observa avec surprise son camarade affamé .
"C’est cela le festin que tu m’avais promis ? grommela le mendiant non-juif ?. Et alors, il raconta à son ami juif ce qui s'était passé, comment ses hôtes lui avait offert du vin dans un dé à coudre , une misérable poignée de feuilles dans la saumure, une sorte de morceau de pain rassis sans rien dessus, et une espèce de pâte horriblement amère .
«C’est à ce moment que j'ai décidé que c’en était assez», expliqua-t-il, "et je me suis levé pour partir."
Le mendiant juif ne put retenir son rire. "Tu n’as pas compris , dit-il. "C’étaient tout simplement les prémisses au festin. Tu as détourné ta faim de la corne d'abondance! Si tu t’étais détaché de ces bricoles pour quelques minutes de plus seulement, on t’aurait servi le plus somptueux festin de ta vie , un repas de roi , une nourriture qui t’aurait suffit pour toute une semaine d’errance. Mais, tu vois , tu as perdu l’espoir seulement quelques instants trop tôt. Parce que tu étais impatient , tu as tout gâché. "


* * *

L'histoire des deux mendiants n'est ni un conte imaginaire, ni un conte pour enfants. Le mendiant Gentil dans l'histoire, celui qui a gâché tout à cause de son ignorance et de son impatience, c'est l'état d’Israël.

Comme le mendiant qui ne comprenait pas où il était ni ce qui se passait, l'Etat d'Israël était sur le point d'entrer dans la période la plus merveilleuse, la plus florissante et la plus emancipée de son existence au début des années 1990.

S’il avait écouté le mendiant juif, tout se serait bien passé. S’il avait eu la patience et l'endurance nécessaires pour supporter un peu plus les événements, il serait parvenu à ses désirs les plus profonds et aurait réalisé ses aspirations les plus élevées .

En 1990, la première Intifada palestinienne avait été éradiquée, réprimée par les forces armées israéliennes. La violence palestinienne s’amenuisait chaque mois. Elle se serait probablement terminé d’un coup si Israël avait seulement fait pression de façon plus énergique contre elle.


En fait, les Israéliens qui estimaient qu’Israël devait employer plus de force pour mettre fin à la violence surpassait quatre fois en nombre ceux qui préconisaient moins de force. Il avait un consensus écrasant. Les israéliens n'étaient d’aucune humeur à l’apaisement ou à la capitulation.


En 1990, les terroristes palestiniens étaient tellement prêts à tout pour s’armer qu'ils en étaient réduits à inventer des pistolets bricolés à partir de matériaux domestiques et des cocktails Molotov beaucoup plus à même de brûler les lanceurs que les cibles.

Ce que le pire des terroristes pouvait faire dans la plupart des cas, c’était de jeter des pierres sur les soldats israéliens dans la bande de Gaza ou dans des zones de la Cisjordanie, fait désagréable, mais qui ne mettait aucune vie en danger, et qui certainement ne posait aucune menace existentielle pour la survie de l'État. De nombreuses zones de Cisjordanie étaient relativement tranquilles, y compris Bethléem et Jéricho. Les Juifs pouvaient se promener à pied ou rouler en toute sécurité dans de nombreuses zones des territoires «occupés», comme on le pouvait dans tout Israël.


Les chefs des terroristes palestiniens se trouvaient loin à Tunis et quelques autres à Damas, des endroits d'où ils ne pouvaient guère montrer leur dépit et leur rage . Le monde - ou tout au moins les États-Unis – s’accordaient avec la position israélienne à savoir que l'OLP n'était pas un partenaire acceptable dans tout pourparler de paix israélo-arabe. La plupart des Palestiniens pouvaient juste espérer n'atteindre qu’une autonomie limitée, sans aucun rôle quel qu’il soit pour l'OLP.

Le nombre d'Israéliens qui pensaient sérieusement que les Palestiniens méritaient leur propre État était relativement faible. Les Israéliens étaient disposés à les considérer comme la branche palestinienne du peuple arabe, habilités peut-être à contrôler leur propre vie et à mener leurs propres affaires locales - mais seulement s’ils se refusaient à de nouvelles violences. Ce fut aussi, en substance, la formule soutenue par la États-Unis.


L'économie israélienne dans le début des années 1990 était en plein essor, surfant sur la vague de la révolution high-tech. Le pays était inondé d'immigrants en provenance des pays de ce qui fut l'empire soviétique. Le niveau de vie en Israël avait atteint le niveau moyen des pays occidentaux en Europe .

Alors que de nombreux Arabes israéliens votaient pour les partis anti-sionistes pour montrer leur solidarité avec les ennemis d’Israël, beaucoup d'autres ne votaient pas ou votaient pour les partis sionistes , tout en maintenant des relations cordiales avec les Juifs.


Dans cette relative tranquillité le processus de paix d’Oslo fit une soudaine éruption , tout comme dans le cas du mendiant ignorant qui ne comprenait pas que le plus grand des festins allait se produire.

Oslo était basé sur l'idée que les intérêts économiques et le consumérisme remplaceraient la puissance militaire comme déterminants des relations internationales dans le monde post-moderne - que les armées sont obsolètes, tout comme le patriotisme ; que l'apaisement des terroristes fascistes est le chemin le plus sûr vers une paix véritable ; que le profil bas des Israéliens serait la plus haute forme de nationalisme juif ; que la lâcheté serait la plus haute forme de bravoure ; que la meilleure façon de mettre fin à la guerre serait de faire comme si elle n’existait pas.


On chercha donc à apaiser les tensions avec les Arabes palestiniens, vaincus dans leur Intifada, en faisant rentrer dans les «territoires occupés» les dirigeants de l'OLP de Tunis et de Damas et par la suite les laissant constituer une armée dans la banlieue de Tel-Aviv et Jérusalem, financée et armée par Israël lui-même.

Et comme le mendiant qui assouvit sa faim de la corne d’abondance, le gouvernement israélien d'Yitzhak Rabin et de Shimon Peres réussit à arracher la défaite des griffes de la victoire.

Peres et Rabin furent convaincus que la voie la plus prometteuse à une paix entière et durable avec tous les voisins d’Israël reposait sur la capitulation israélienne aux exigences arabes et l’apaisement des pires terroristes islamo-fascistes de la planète.


Ils donnèrent des conférences dans tout le pays pour expliquer comment ils envisageaient de réaliser l'état utopique qui n’existait pas encore parce que les Israéliens n’en avaient jamais eu véritablement le é!

L’ère d’Oslo fut définie comme une atteinte profonde à la dignité, au moral et à la confiance d’Israël émanant de ses propres dirigeants et ses élites intellectuelles . Des universitaires israéliens écrivirent des livres et des articles fustigeant le pays pour ses carences , réelles et imaginaires.


De«Nouveaux historiens» et «post-sionistes» zèlés se sont donnés la tâche de réécrire les manuels d'histoire et les programmes scolaires pour démystifier ce qu'ils considéraient comme la propagande israélienne pernicieuse, en encourageant «le récit arabe», à commencer par le péché originel de la fondation d'Israël. Les médias israéliens fortement gauchistes à presque tous les niveaux, ont matraqué le pays au quotidien, favorisant l’opinion palestinienne dans les éditoriaux, les chroniques et même, apparemment, dans les informations .

Cette auto-flagellation engendra une situation telle qu’à chaque atrocité commise par les Arabes répondaient des appels à de nouvelles concessions et gestes d’apaisement de la part d’Israël, lancés par les commentateurs politiques israéliens. Certains, y compris des universitaires titulaires extrémistes, sont allés jusqu'à justifier et célébrer les actes de terreur arabe pour forcer les Israéliens à « revenir à la raison » et à faire la paix selon des conditions favorables aux extrémistes.

La gauche encouragea l'insubordination et la mutinerie chez des soldats israéliens, et nombre de gauchistes approuvèrent le boycott d’Israël par les antisémites d'outre-mer. La presse israélienne adopta la pratique des détracteurs d’Israël de l'étranger qui revendiquaient que les terroristes palestiniens et les bombes humaines, étaient des "activistes" et "militants".


En contrepartie de ses gestes de bonne volonté et de cette ardeur masochiste à vouloir apaiser ses ennemis et l'opinion mondiale, Israël récolta une campagne de haine nazie dirigée par l'Autorité palestinienne elle-même, y compris un négationnisme virulent, s’accompagnant d’une justification de l’ Holocauste (ne cherchez pas la contradiction).

* * *

Pendant 18 ans, les élites israéliennes vivèrent dans un monde imaginaire dans lequel les Juifs étaient responsables de presque tout et les arabes n’étant que l'expression de«la frustration» d’avoir été maltraités pendant tant d'années par les Juifs.


Et la guerre psychologique montée par les élites d’Israël à l’encontre de la fierté nationale, la dignité et le respect de soi - voire contre l'existence nationale - a été accompagnée d’ une serie de décisions diplomatiques exprimant un peu plus l’aversion de soi - des politiques qui en fait, ne laissèrent aucun acte de violence arabe sans sa récompense .

L’époque d’Oslo et du post-Oslo seront connues dans l'histoire comme la période où de toute évidence, un grand nombre d'Israéliens - et presque toute l'élite israélienne - perdit la volonté de survivre en tant que nation.

Après des siècles au cours desquels les Juifs démontrèrent militairement leur assurance de soi, bien que maltraités, méprisés et humiliés, voila que ces israéliens d’aujourd’hui - qui possèdent l'une des plus puissantes armées du monde et un record en matière de réalisations dans différents domaines à faire honte aux pays les plus anciens, les plus riches les plus puissants – ont abandonné tout orgueil pour encourager l'auto-humiliation et l'auto-destruction.

Un Israël qui, pas plus de deux générations après l'Holocauste , était disposé à tenir des pourparlers de paix "avec des gens qui ont toujours nié ce que fut l’Holocauste et qui ont toujours soutenu que les Juifs utilisaient le sang des enfants non-juifs dans la préparation du pain azyme de la Pâque.


Ce peuple qui sut se battre dans des situations des plus dramatiques et qui a remporté des victoires spectaculaires sur les champs de bataille accepta un processus de paix "impliquant des gestes unilatéraux" de la part d’Israël pour le seul échange de la poursuite de la guerre arabe contre les Juifs.


Les dirigeants israéliens choisirent de se comporter comme le mendiant stupide de l'histoire qui n'avait aucune idée de ce qui se passait, et qui laissa sa faim le gagner , claquant d’irritation la porte de la maison, juste un moment avant que les plaisirs de la fête ne commencent .

Pour la seule frustration de quelques gamins palestiniens qui lançaient des pierres sur les troupes israéliennes, Israël a troqué des lanceurs de pierres pour des kamikazes et a fait exterminer des centaines d'enfants juifs et autres civils à Jérusalem et Haïfa.

Et alors que les événements de ces quinzes dernières années ont fait voler en éclat la vision de Rabin et Peres et de tous les autres qui nous ont apporté le désastre d’ Oslo, ne nous leurrons pas : le stupide mendiant est toujours parmi nous.

Mais où est le mendiant juif - celui qui connaissait les rites du Seder et qui connaissait son héritage , celui qui a eu la sagesse d'attendre patiemment et qui réussit ainsi à se remplir délicieusement le ventre d’assouvissement et de prospérité?


Je cherche, mais ne le trouve nulle part. Pouvez-vous me dire où il est passé ?


______________________________

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commentaires

G
<br /> Bien oui, les dirigeants israeliens ont cru avoir a faire a des gens comme eux, des hommes intelligents, soucieux de la vie de leur compatriotes.Ils ont cru voire la paix a porter de main, et ont<br /> traiter, faits des sacrifices, toujours pour arriver à la paix.Malheureusement<br /> en face, on a penser differemment, pour obtenir plus, au détriment des malheurs qui ont continués a s'abattre sur les populations.Israeliennes et palestiniennes.Pour eux, encore une fois, la vie<br /> n'a aucune importance. Tuer des juifs, et allez au paradis<br /> Shabbat shalom Gerard David<br /> <br /> <br />
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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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