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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 09:40



Dossier Onu et Consorts

 

 

bukova-et-Ashton.jpg

 

Chers Lecteurs,

 

Nous vous parlons souvent de L'ONU, trop souvent même malheureusement, cette organisation s'est fait un devoir de mettre Israël tout en haut de ses préoccupations pour chaque problème concernant le monde.

Une fixation malsaine, qui fait de l'organisme des Nations-Unies, le principal maître d'oeuvre de la déligitimation du seul état démocratique de la région.

Entre, le Conseil des droits de l'homme qui réunit les pires violateurs des droits de l'homme, les conférences de Durban contre le racisme, dont la seule cible est Israël, L'Unrwa, agence onusienne qui entretient le conflit proche-oriental depuis plus de 60 ans, l'Unesco, qui oeuvre depuis des années pour déposséder les juifs de leur patrimoine, les fameux rapports tels que celui de Goldstone.....

En Septembre c'est encore l'ONU qui au mépris des règles qui l'a régisse et du droit international, devra se prononcer au sein de son Assembkée générale (Acquise aux pourfendeurs de l'Etat Juif) sur la déclaration unilatérale d'un "Etat palestinien.".....

L'Unesco quand à elle oeuvre depuis des décennies a nier, déposséder, les juifs de leur histoire millénaire sur la Terre d'Israël, et ne ressent aucune gène à transferer le patrimoine juif à d'autres.

Nous avions découvert sur ce site il y a quelques mois que cet organisme avait fait de Maimonide, un des pilliers du Judaisme, un musulman.....

ALERTE - Un cas de falsification de l'histoire dans le rapport sur la science publié par l'UNESCO.........encore !

Une pétition avait été lancée en partenariat avec Europe-Israël à l'adresse de Mme Irina BUKOVA directrice de l'UNESCO, qui n'a pas daigné répondre

 

Aschkel

 

 

UNESCO - retour sur le "patrimoine" antisémite de l'organisation onusienne.

Par Gulio Meotti

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4097506,00.html

Adapté par Danilette

 

 

L'organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a adopté une décision demandant à Israël de cesser immédiatement tous les travaux archéologiques dans la vieille ville de Jérusalem.

 

L'Unesco, l'un des organismes les plus importants et influents de l'ONU attaque particulièrement la rénovation du Pont des maghrébins qui relie l'esplanade du mur occidental [le mur des lamentations] et le Mont du temple.  

 

La décision, initiée et promue par les états arabes, a été adoptée par un consensus des membres occidentaux de la commission. En effet, ce vote est la dernière initiative antijuive lancée par le bureau de l’ONU, destinée à promouvoir la culture, l’'éducation et la science dans le monde entier. En fait, ces parrains voleurs de l'Unesco sanctifient la campagne mondiale actuelle visant à liquider la légitimité du régime israélien.  

 

En  2009, l 'Unesco a désigné Jérusalem comme « capitale de la culture arabe », en coordination avec les fonctionnaires de l'Autorité palestinienne et les personnalités arabes les plus importantes pour protester contre ce qu'ils décrivaient comme « l'occupation israélienne d’Al Qods,  la Sainte (Jérusalem) ». Les autres villes à avoir reçu ce titre précédemment sont Alger, Hamas, le Caire, Tunis, Amann, Beyrouth et Khartoum.  

   

Les arabes auront des difficultés à être convaincants quand ils décrivent Israël comme usurpateur tant que le monde croit au lien important entre le peuple de  la Bible  et la terre de  la Bible. L'UNESCO  nie ce lien et décrit l'histoire juive du Moyen-Orient comme rien de plus qu’un bref épisode insignifiant de colonisation arrogante.  

 

L'Unesco nie le fait que les racines du Peuple juif en Israël remontent à plus de 4000 ans, ou que 1000 ans avant Jésus-Christ, le roi David avait fait de Jérusalem la ville juive par excellence, qui n'a jamais été totalement abandonnée même dans les périodes de persécutions meurtrières.  

 

La cité de David à Jérusalem, une des principales cibles de la furie antijuive de l'Unesco, est maintenant le site archéologique le plus chaud du monde avec des découvertes de vestiges bibliques, d'anciennes sépultures et de sceaux royaux. Et c’est là que l'Unesco utilise l'archéologie pour frapper Israël et traiter les archéologues israéliens de chicaneurs nationalistes.  

 

Ces dernières années, l'UNESCO a accru sa collaboration avec l'ISESCO, l'organisme culturel de l'Organisation de   la Conférence  Islamique.  Selon la propagande de l'ISESCO, l'histoire biblique et les Temples juifs ne sont que fiction, les monuments juifs sont des trésors islamiques volés par les sionistes et les travaux archéologiques des Israéliens sont des actes criminels contre les Musulmans.

 

L'idéologie de l'Unesco dépeint les Juifs comme des envahisseurs colonisateurs tandis que les musulmans qui ont envahi le pays et l'on ravagé au VIIème siècle sont par un saut dans le temps inexplicable, les descendants de ceux qu'on nomme les « Cananéens autochtones ».

En 2010, l'Unesco a décidé que le tombeau de Rachel et le Caveau des Patriarches à Hébron sont des mosquées musulmanes. Les pays occidentaux n'ont pas bronché. L'Unesco n'a jamais mentionné qu'en plus du fameux Caveau des Patriarches bibliques, Hébron contient aussi le tombeau du premier Juge (Otniel Ben Kenaz), le tombeau des généraux et confidents de Saül et David et les tombeaux de Ruth,  l'arrière-grand-mère de David et de Jesse, le père de celui-ci. L'Unesco ne dit mot non plus du fait que le tombeau de Rachel est unanimement vénéré comme le lieu de sépulture d'une des grandes femmes de la Bible, la femme de Jacob, la matriarche juive bénie.

 

Pendant la deuxième intifada, l'Unesco a condamné Israël pour « la destruction et les dommages causés au patrimoine culturel dans les territoires palestiniens » en tant que « crime contre le patrimoine culturel commun de l'humanité ». Toutefois, l'Unesco est resté silencieuse quand une foule palestinienne a détruit le tombeau de Joseph, un important sanctuaire religieux juif, et quand une mosquée a été construite sur ce même site.

Dès le début de la deuxième intifada, des terroristes palestiniens ont attaqué également le tombeau de Rachel et pendant 41 jours les Juifs en ont été interdits d'accès. Il n'y a pas eu de condamnation de l'Unesco. Récemment, des dizaines de tombes du cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem ont été vandalisées, dans la dernière d'une longue série d'attaques sur le plus vieux cimetière juif ou des Juifs ont été enterrés depuis les temps bibliques. À nouveau, l'Unesco est resté silencieuse.

 

L'Unesco a également promu une longue liste de décisions pour boycotter et isoler l'État juif. Le 7 novembre 1974, l'Unesco a émis un vote excluant Israël de son assistance dans les domaines de l'éducation, de la science et de la culture en raison de l'altération persistante des caractéristiques historiques de Jérusalem ». Le 20 novembre 1974, l'Unesco a émis un vote excluant Israël de son groupe régional européen. Cet ostracisme antijuif n'a été abandonné qu'en 1978 après le gel par les États-Unis de leur versement de 40 millions à l'organisation, comme mesure de protestation.

 

La guerre de l'Unesco contre Israël et l'Occident a continué et a été si flagrante qu'en 1984, les États-Unis, la Grande-Bretagne et d'autres pays occidentaux ont quitté l'organisation. En 1989, l'Unesco a allégué que « l'occupation israélienne de Jérusalem était en train de détruire la ville sainte au moyen d'actes d'ingérence, de destruction et de transformation » (Tedi Kollek, le maire de Jérusalem de l'époque a exprimé « son profond dégoût pour l'attitude de l'Unesco »).

 

En 1990, l'Unesco a attaqué ce qu'elle décrit comme « des modifications irréversibles du patrimoine architectural de Jérusalem résultant de l'occupation israélienne ». Les apparatchiks de l'Unesco ont dénoncé la beauté perdue de la ville. En 1993, le Directeur général de l'Unesco, Frédéric Mayor a boycotté une conférence internationale de la science à Jérusalem en dépit de l'histoire brillante de progrès d'Israël, comme par exemple le plus grand nombre de publications scientifiques et de musées per capita dans le monde.

En 1996, l'Unesco a organisé un symposium sur Jérusalem au siège de l'organisation à Paris. Mais aucun groupe juif ou israélien n'a été invité. Quand, en 1998, une délégation de l'Unesco a visité Jérusalem, elle a refusé de rencontrer les responsables israéliens. Dans le passé, l'Unesco a également appelé à des sanctions financières contre Israël et passé des centaines de résolutions critiquant les activités d'Israël en Judée et Samarie.

 

En 2001, l'Unesco a promu le « document de la déclaration du Caire pour la préservation des antiquités de Jérusalem », qui accuse faussement Israël de détruire des antiquités islamiques sur le Mont du temple et dans la vieille ville de Jérusalem, dans une tentative pour détourner l'attention des crimes palestiniens contre l'archéologie et l'histoire. Lorsque les Nations Unies ont célébré son 50e anniversaire, l'Unesco a refusé de mentionner la Shoah dans sa résolution sur la deuxième Guerre Mondiale, ignorant volontairement la demande d'Israël d'inclure une référence à la destruction du judaïsme européen.

 

Dans une note finale d’un récent rapport de l'Unesco sur la science, le médecin et théologien juif Maïmonide est classé comme musulman sous le nom de "Moussa Ben Maimoun". Donc le Rambam (acronyme pour Rabbi Moshe Ben Maimon) a été contraint de se convertir à l'Islam par les historiens révisionnistes de l'ONU.

Pendant le Moyen Âge, l'inquisition française a confisqué et brûlé les livres de Maïmonide. Depuis les élégants boulevards parisiens, des inquisiteurs de l'Unesco sont donc en train de suivre la même voie terrible afin de rendre l'histoire et la Terre Sainte "judenrein".

 

 

Voici quelques autres articles

 

 

Pont des Maghrébins : L’UNESCO condamne sévèrement Israël

Que se passe-t-il à l’UNESCO ? - Lettre ouverte de Seta Papazian

 Lieux saints juifs transformés en mosquées - A.Palestinienne - Unesco, même combat

ALERTE - Un cas de falsification de l'histoire dans le rapport sur la science publié par l'UNESCO.........encore !

A l’attention de Madame Irina Bokova Directrice générale de l’UNESCO

Le tombeau de Rachel - lieu-saint juif et non une mosquée - Nadav Shragai

De l’UNESCO et ses majorités R. ROSSIN

Tombeau de Rachel - B.Netanyahou à Ban Ki Moon "N'effacez pas 4000 ans d'histoire et ne déformez pas des faits historiques simplement par intérêt "

Quand l’Unesco remonte le temps et change le passé sur 3000 ans??? Alain RUBIN

Tombeau de Rachel, colloque de philosophie à Téhéran : R.Prasquier du CRIF écrit a Irina

Bokova,la directrice générale de l’Unesco

Israël n'a pas rompu avec l'UNESCO, mais n'appliquera pas 5 de ses décrets.

Netanyahou attaque la décision de l’UNESCO

L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le

Saint Sépulcre ?

La honte pour l'Unesco qui veut condamner Israel pour ses sites historiques.

L'OCI appelle l'UNESCO à enquêter sur l'annexion de sites "islamiques"

L'ONU veut faire annexer le tombeau des Patriarches et de Rachel par les Palestiniens

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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 09:11

 

 

 

 

Aide humanitaire -Nourrir un africain affamé, ou mettre de l'essence dans les Mercedes des dirigeants palestiniens ?

 

Par Aschkel -  © 2011 www.aschkel.info

 

elderofziyon

 

 

Une famine alarmante sévit actuellement dans la corne de l'Afrique

Dernier rapport de l'aide humanitaire 2011 - ICI

 

 

Dans l'absolu, le Soudan reçoit un petit plus d'aide que les Palestiniens, mais sur une base per capita, les arabes palestinines reçoivent 9 plus d'aide que le gouvernement soudanais et donc, évidemment, infiniment plus d'aide et ce depuis des décennies que tout autre peuple de la planète

 

Gardez cela en tête

 

Les Arabes palestiniens méritent-ils 40 fois plus qu'un Congolais ?

 

 

L'argent est-il plus utile pour nourrir les affamés africains ou autres ou vaut-il mieux l'utiliser pour construire le 10ème hôtel 5 étoiles à Gaza, ou payer les Mercedes des dirigeants palestiniens ?

 

Par ici les dollars !!! Tant qu'il existera des niais pour mettre la main à la poche !!!!

 

RAMALLAH

 

 

La "PRISON à CIEL OUVERT "GAZA

 

 

 

 

République démocratique du Congo

 

 

 

 

 

 

SOUDAN

 


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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 08:51

 

ONU- Petites surprises onusiennes pour Septembre ! Le Qatar élu président de l'Ass. Générale, - L'Iran un des vice-présidents !

Par Aschkel

lire aussi > Enième farce Onusienne - La Corée du Nord élue à la tête de l'organisme sur le désarmement nucléaire !

La 66e session de l’Assemblée générale s'ouvrira au siège de l'ONU à New York le 13 septembre 2011. L’actuelle session de l’Assemblée générale, la 65e, est présidée par Joseph Deiss.

22 juin 2011 - Un diplomate du Qatar, Nassir Abdulaziz Al-Nasser, a été élu mercredi par acclamation Président de la prochaine session de l'Assemblée générale des Nations Unies par les Etats membres de cette Assemblée.

un.org

 

Le Maroc, élu vice-président de la 66ème session de l'Assemblée générale de l'ONU

 

Le Maroc a été désigné au nom du groupe des Etats d'Afrique.Les Nations Unies ont élu mercredi l'ambassadeur Nassir Abdulaziz Al Nasser, du Qatar, président de la prochaine session de l'Assemblée générale de l'ONU.

 

L'Assemblée générale a, par ailleurs, désigné les 21 Etats membres, dont les cinq membres permanents du Conseil de sécurité -Chine, Etats-Unis, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni-, qui assumeront la vice-présidence de la soixante-sixième session.

Il s'agit de six pays du groupe des Etats d'Afrique (dont le Maroc), quatre des Etats d'Asie, un pays pour le Groupe des Etats d'Europe orientale, trois Etats pour le Groupe d'Amérique latine et des Caraïbes et deux pays pour le Groupe des Etats d'Europe occidentale et autres Etats.

Ainsi élus, le Président et ses Vice-Présidents prendront leurs fonctions au début de la soixante-sixième session de l'Assemblée générale, en septembre prochain

.maroc.ma

L’Iran élu comme vice-président de l’Assemblée générale des Nations Unies


L’assemblée générale des Nations unies a élu mercredi l’ambassadeur de l’Iran auprès de l’ONU, Mohammad Khazaï en tant que vice-président.

L’assemblée générale élit un président et vingt et un vice-présidents trois mois au moins avant l’ouverture de la session qu’ils doivent présider.

Le Président et les vice-présidents ainsi élus ne prennent leurs fonctions qu’au début de la session pour laquelle ils sont élus et restent en fonctions jusqu’à la clôture de cette session.

Les vice-présidents sont élus après l’élection des présidents des six grandes commissions mentionnées à l’article 98, de façon à assurer le caractère représentatif du Bureau.
Répondant aux questions du correspondant de l’Irna, Mohammad Khazaï a décrit les politiques et objectifs stratégiques de l’Assemblée générale des Nations Unies pour l’année prochaine.

Sur l’élection de l’émissaire qatari en tant que président de l’Assemblée, le représentant de l’Iran auprès des Nations unies a déclaré que le Qatar est un pays frère et ami de la République Islamique d’Iran et que Téhéran a soutenu son élection.

Les vice-présidents sont élus après l’élection des présidents des six grandes commissions mentionnées à l’article 98, de façon à assurer le caractère représentatif du Bureau.

Ainsi élus, le Président et ses Vice-Présidents ne prendront leurs fonctions qu’au début de la soixante-sixième session de l’Assemblée générale, en septembre prochain.

aymard

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 08:43


Dossier Onu et Consorts

 

Enième farce Onusienne - La Corée du Nord élue à la tête de l'organisme sur le désarmement nucléaire !

Adapté par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info

http://www.vancouversun.com/news/

Another+oddity+North+Korea+heads+disarmament+body/5026018/story.html

 

ONU-Coree-du-Nord-copie-1.jpg

 

Plus de Farces............

 

Le conseil des droits de l'homme dirigées par les pires violateurs des droits humains de la planète

Le comité des droits de l'homme composé des pires violateurs des droits de l'homme

Les droits de la femme dirigée par l'Arabie Saoudite

L’arabie saoudite élue au conseil de l’onu pour l’égalité des sexes et les droits de la femme

La conférence internationale contre le terrorisme internationale organisée par l'Iran

L’onu revendique son soutien à la conférence « anti-terroriste » organisée en iran

Voici le désarmement nucléaire par la Corée du Nord

ou encore le Pakistan

Le pakistan, le plus grand proliférateur de la planète nommé à la tête du conseil de l'energie…

 

 

Qu'est ce qui pourrait mal tourner à L'ONU ?

 

ONU – La Corée du Nord va assumer la Présidence d'un organe des Nations-Unis sur le désarmement nucléaire.

Cette même semaine L'Onu avait défendu sa décision de soutenir la tenue en Iran une "conférence" internationale de lutte anti-terrorisme, où les participants (tels Omar El Béchir-Soudan) déclaraient que le puissances occidentales étaient les pires terroristes de la planète.

Les responsables de l'ONU soulignent que l'ambassadeur Nord Coréen prend la présidence de la Conférence de Genève sur le désarmement en vertu des règles de la présidence tournante entre les 65 membres et ce dans l'ordre alphabétique.

Des critiques ont été exprimées contre ce choix, car le mandat consiste en partie a faire pression pour le désarmement nucléaire dans le monde et se voit aujourd'hui confié à un des pires renégat nucléaires de la planète

 

"Aucun système ne doit tolérer un tel conflit d'intérêts fondamental" à déclarer Hilel Neuer d'UN WATCH, ayant protesté également la semaine dernière contre l'approbation par l'ONU de la conférence contre le terrorisme en Iran organisée par l'état qui pourvoit le plus le terrorisme.

"C'est le bons sens qui exige  qu'un organisme sur le désarmement nucléaire ne doit pas être dirigé par un état voyou, tristement célèbre pour ses armes illégales, la prolifération nucléaire, exportateur de savoir faire vers les autres régimes voyous du globe "

La Corée du Nord s'est retirée du traité de non prolifération nucléaire en 2003 après l'avoir violé, puis effectué son premier test de bombe atomique en 2006 et est soupçonnée d'avoir stockée jusqu'à huit têtes nucléaires"

So Se Pyong , l'ambassadeur nord-coréen a déclaré dans un discours "qu'il était très engagé et qu'il irait de l'avant" et qu'il utiliserait ces quatre semaine à la présidence pour trouver des "propositions constructives" qui permettraient de renforcer et accroitre la crédibilité de l'organisme.

 

Anne Bayefsky, du groupe de surveillance Eye on ONU basé à New-York, souligne "Si aller de l'avant pourrait avoir le sens "d'hiver nucléaire" et par constructive " d'éviter tout ce qui pourrait gêner la Corée du Nord"

Evidemment l'Iran à assurer de son plein soutien et sa pleine coopération la Corée du Nord dans sa nouvelle mission félicitant l'ambassadeur – William Hague Ministre des affaires étrangères de Grande Bretagne a affirmé voir l'article >

 



Read more: http://www.canada.com/news/Another+oddity+North+Korea+heads+disarmament+body/5026018/story.html#

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 21:41

 

Encore et encore l'Unesco tente par tous les moyens de déposseder les Juifs de leur patrimoine

 

 

Pont des Maghrébins : L’UNESCO condamne sévèrement Israël
Itamar Eichner – Yediot Aharonot

Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël



La commission du patrimoine mondial de l’UNESCO a adopté hier une décision appelant Israël à cesser immédiatement toutes les fouilles archéologiques dans la vieille ville de Jérusalem et à ne pas démolir le pont provisoire construit sur la rampe des Maghrébins pour le remplacer par un nouveau pont.

Cette décision a été votée à l’initiative de la Jordanie, en collaboration avec l’Egypte, le Bahreïn et l’Irak. Elle a été adoptée par consensus des vingt et un membres de la commission. Quatre pays – l’Australie, la Suisse, le Brésil et le Mexique – ont exprimé de vives réserves face aux contenus anti-israéliens de la décision mais n’ont pas voté contre. Ces pays, ainsi que l’Estonie et la Suède, ont aussi demandé le report du débat sur ce sujet sensible, une demande qui a été rejetée par la majorité. L’ambassadeur d’Israël auprès de l’UNESCO, Noam Barkan, qui a le statut d’observateur au sein de cette commission, a demandé à pouvoir présenter la position israélienne contre la proposition jordanienne, mais les Egyptiens s’y sont opposés et l’ambassadeur israélien n’a pas eu la parole.

Au-delà de sa condamnation sévère d’Israël et de sa demande de cesser immédiatement toute fouille archéologique dans la vieille ville, y compris au Mur occidental, la commission a appelé à envoyer en Israël une délégation d’inspecteurs de l’UNESCO afin de s’assurer que les travaux ont bien été arrêtés. Israël a d’ores et déjà annoncé qu’il ne permettra pas à une telle délégation d’entrer dans le pays.

Des responsables israéliens ont fait part de leur colère face à l’attitude de la Jordanie qui, selon eux, a violé un accord explicite signé la semaine dernière.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 07:43

 

Que se passe-t-il à l’UNESCO ? - Lettre ouverte de Seta Papazian

On se souvient d'une pétition à Madame Bukova qui ne nous avait jamais répondu


Lieux saints juifs transformés en mosquées - A.Palestinienne - Unesco, même combat

ALERTE - Un cas de falsification de l'histoire dans le rapport sur la science publié par l'UNESCO.........encore !

A l’attention de Madame Irina Bokova Directrice générale de l’UNESCO

Le tombeau de Rachel - lieu-saint juif et non une mosquée - Nadav Shragai

De l’UNESCO et ses majorités R. ROSSIN

Tombeau de Rachel - B.Netanyahou à Ban Ki Moon "N'effacez pas 4000 ans d'histoire et ne déformez pas des faits historiques simplement par intérêt "

Quand l’Unesco remonte le temps et change le passé sur 3000 ans??? Alain RUBIN

Tombeau de Rachel, colloque de philosophie à Téhéran : R.Prasquier du CRIF écrit a Irina

Bokova,la directrice générale de l’Unesco

Israël n'a pas rompu avec l'UNESCO, mais n'appliquera pas 5 de ses décrets.

 

Netanyahou attaque la décision de l’UNESCO

L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le

Saint Sépulcre ?

La honte pour l'Unesco qui veut condamner Israel pour ses sites historiques.

L'OCI appelle l'UNESCO à enquêter sur l'annexion de sites "islamiques"

L'ONU veut faire annexer le tombeau des Patriarches et de Rachel par les Palestiniens


 

 


bonjour

Il se passe à l'UNESCO pour les Khatchkars (Arméniens)  et l'Arménie historique ce qui s'est passé il y a quelques mois pour les Hébreux (Juifs) et leur territoire approprié par l'islam. Les sanctuaires juifs cessant pour l'UNESCO, ses "spécialistes" et sa directrice, d'être des sanctuaires juifs...
L'Arménie partiellement rétablie serait condamnée à disparaître, si Israël disparaissait. Comme Israël, elle fait de l'ombre en renaissant sur le "dar es islam". 
L'UNESCO et son directeur se sont inclinés devant le panislamisme culturel et territorial et leurs aspects panturquistes et panarabistes. C'est l'unique raison à l'exigence honteuse, contraire à la recherche de la vérité historique et culturelle, dont vous faite état.
Alain RUBIN

Le 16 juin 2011 23:21, Collectif VAN <contact@collectifvan.org> a écrit :

Que se passe-t-il à l’UNESCO ?  

   

LETTRE OUVERTE  

à Madame Irina Bokova  

Directrice générale de l'UNESCO 
7, place de Fontenoy 75352 Paris 07 SP France

 

 

Issy-les-Moulineaux, le jeudi 16 juin 2011

 

Madame,

 

Ce mercredi 15 juin 2011 à 18h30, le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] a assisté à l’inauguration de l’exposition de photographies de Khatchkars [croix de pierre arméniennes ciselées], co-organisée par l’UNESCO et l’Ambassade d’Arménie, exposition qui se tient jusqu’au 24 juin 2011 au siège de l’UNESCO [1].

 

M. Patrick Donabédian, historien de l’art, maître de conférences à l’Université de Provence, spécialiste des Khatchkars, ancien attaché culturel de l’Ambassade de France à Erevan puis à  Kiev, chercheur au CNRS, a informé l’assistance que, dans l’après-midi du 15 juin, les instances de l’UNESCO avaient exigé que les étiquettes indicatives présentes sous chaque photo, et qui mentionnaient les lieux où se trouvaient ces Khatchkars (Arménie, Turquie, Azerbaïdjan, etc.), soient retirées. Les étiquettes explicatives des photos de Khatchkars ne devaient plus mentionner que des dates, comme nous l’avons constaté de visu.

 

Aucune exposition archéologique ne se dispense de préciser la localisation des monuments ou objets, à la fois par des étiquettes individuelles et par une carte murale.

 

Justement la grande carte géographique indiquant l’emplacement des Khatchkars sur les territoires historiquement peuplés d’Améniens a dû être enlevée, tout comme avait déjà été censuré sur le grand panneau d’accueil le texte de présentation de M. Donabédian qui mentionnait le sort des Khatchkars de Djulfa (Nakhitchevan - Azerbaïdjan) [2].

 

Rappelons que l’UNESCO n’avait pas été aussi prompte à réagir au moment où, de toute part, il était fait appel à elle pour qu’elle intervienne au plus vite pendant que les tanks azerbaïdjanais réduisaient en miettes, sous le regard des caméras, les milliers de Khatchkars du cimetière arménien médiéval de Djulfa [Jugha] au Nakhitchevan. Ces merveilles inestimables avaient pourtant fait l'objet de plusieurs campagnes de destruction successives par l’armée azérie, jusqu’à fin 2005-début 2006 [2].

 

Enfin, un drapeau de votre institution, initialement dressé dans la salle d’exposition ce 15 juin, a été retiré avant l’inauguration au cours de laquelle les représentants de l’UNESCO ont, par ailleurs, brillé par leur absence. 

 

Nous vous demandons de bien vouloir nous expliquer comment et pourquoi un organisme international, financé avec, entre autres, nos impôts, dirigé par une personne - vous, Madame – qui vient de parler de « liberté d’expression » en Suède [3], a décidé de « nettoyer » cette exposition, et de censurer de simples informations historiques et géographiques considérées comme élémentaires dans toute manifestation culturelle de ce type, et même, dans tout devoir de collégien ou de lycéen.  

 

La pratique évoquée ici s’apparente, de fait, à du négationnisme par omission et choque d’autant plus que l’UNESCO a inscrit en 2010 l’art des croix de pierre arméniennes [Khatchkars] sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. [4]

 

Nous soulignons que, malgré les efforts visant à l’extermination totale du peuple arménien et de sa culture par les Etats turc et azerbaïdjanais, ce patrimoine « immatériel » a une présence bien matérielle sur les terres ancestrales de peuplement arménien situées en Turquie, en Géorgie, en Azerbaïdjan, en Iran, en plus - bien entendu - de l’actuelle République d’Arménie qui ne représente qu’un dixième des terres historiques. Est-il gênant pour l'UNESCO que des vestiges de la culture arménienne subsistent au-delà des frontières de l'Arménie d’aujourd’hui ?

 

L’UNESCO, qui a pour slogan « Construire la paix dans l’esprit des hommes et des femmes », envisagerait-elle de « construire » cette paix en effaçant toute trace de l’Histoire arménienne de la Mémoire du Monde [3] ?

 

En tant que citoyens français, européens, en tant que contribuables, en tant que descendants d’une nation et d’une culture volontairement anéanties par les Etats qui ont éventuellement fait pression sur vous ; enfin, en tant qu'association luttant contre tous les négationnismes, nous souhaitons une explication précise de votre part et l’assurance d’une remise en état immédiate de l’exposition telle qu’elle était conçue. Nous aimerions en outre une dénonciation claire et sans ambiguïté de l’ethnocide [génocide culturel] qui parachève en Turquie et en Azerbaïdjan le génocide de 1915 dont a été victime le peuple arménien : cela serait conforme à la vocation de l’UNESCO. Nous ne manquerons pas de rendre publique votre position, tout comme cette lettre ouverte.  

Nous adressons ce courrier également à la Représentation de la France auprès de l’UNESCO en espérant avoir une réponse courageuse de Madame Rama Yade avant qu’elle ne quitte ses fonctions, ou de son successeur.

 

Nous vous prions d’agréer, Madame, l’expression de nos salutations distinguées.

 

Séta Papazian

Présidente

Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] 
BP 20083, 92133 Issy-les-Moulineaux - France 
Boîte vocale : 09 50 72 33 46 - Email: 
contact@collectifvan.org 
http://www.collectifvan.org

[1] http://www.unesco.org/new/fr/unesco/events/public-events/?tx_browser_pi1%5BshowUid%5D=4000&cHash=99a4a4c40d 

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=54988

 

[2] http://www.collectifvan.org/article.php?id=44

http://www.collectifvan.org/article.php?id=44

 

[3] http://www.unesco.org/new/fr/unesco/about-us/who-we-are/director-general/

 

[4] http://www.unesco.org/culture/ich/fr/RL/00434

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 10:18



Dossier Onu et Consorts

 

Le rêve et le « machin »

Par Charles-Etienne NEPHTALI

© 2011 www.aschkel.info

 

Prenant hier la parole devant le Comité des Affaires Etrangères et de la Défense de la Knesset, M. Netanyahou déclara que

 

« Personne ne peut empêcher l’Assemblée Générale de l’ONU de reconnaître un état palestinien en septembre prochain ».

 

Et, ironiquement, il ajouta que

 

« l’ONU peut également adopter une résolution disant que le monde est plat ».

 

Mais, au fait, était-ce si ironiquement que cela ? Personnellement, j’avais écrit quelque chose de similaire le 22 septembre 2003 sous le titre « Le rêve et le machin »que je me permets de reproduire ci-dessous.

 

Sans rapport avec ce qui précède et bien que n’ayant pas à m’immiscer dans les affaires intérieures politiques d’Israël, n’étant pas (encore) Israélien, je ne peux que regretter les critiques négatives de Mme Livni vis à vis de M. Netanyahou laissant entendre qu’il « est un va-t-en guerre qui conduira à la dévastation ». Bien au contraire, je pense qu’il s’est particulièrement distingué devant les deux Chambres du Congrès à Washington mardi 24 mai 2011.

 

D’ailleurs, les législateurs américains ne s’y sont pas trompés, eux qui, des dizaines de fois, l’interrompirent par leurs applaudissements.

 

Des commentateurs politiques israéliens allèrent jusqu’à qualifier le discours de M. Netanyahou de « Churchillien » et une grande majorité d’Israéliens se déclarèrent « fiers de lui ». Comme je les comprends !

 

‘Hag Yom Yerushalayim Sameah et amitiés.

 

Charles Etienne NEPHTALI

31 mai 2011

 

Le rêve et le « machin »

 

Est-ce la énième résolution anti-israélienne, ayant un goût de déjà vu ou entendu tel un disque usé, adoptée tout dernièrement par une majorité automatique arabe et pro-arabe à l’O.N.U., toujours est-il que je me suis réveillé en sursaut après avoir fait ce rêve absurde, quoique que………………….

 

« A un Congrès spatial, un ingénieur israélien expliquait que son pays mettait en orbite des satellites d’observation de la terre tournant en sens inverse de la rotation de la terre du fait que les lanceurs étaient orientés vers l’Ouest pour des raisons évidentes de sécurité. Et d’expliquer et démontrer que cette particularité offraient de nombreux avantages du fait de la rotondité de la terre.

 

Un chercheur arabe, n’en pouvant plus de l’intérêt porté à son collègue israélien par l’ensemble de la Communauté scientifique réunie en ce lieu, demanda une suspension de séance et même l’annulation pure et simple du Congrès. Ce qu’il obtînt très facilement du fait d’une certaine majorité automatique arabe et pro-arabe. Il alla même plus loin en demandant à son gouvernement de déposer auprès des Nations Unies une motion spécifiant qu’Israël mentait, que ce n’était que de la propagande sioniste et que la terre…. n’était pas ronde….. mais plate.

 

Sans surprise aucune, la motion fut adoptée à une très écrasante majorité par 133 voix pour (pays arabes et musulmans, Europe et autres pays européens, Asie, pays de l’OPEP, entre autres), 4 contre (Israël, les USA, les Iles Marshall et la Micronésie) et 15 abstentions ».

 

Bien sûr, ce ne fut qu’un rêve, absurde par surcroît. Mais ne pourrait-il pas être prémonitoire, par hasard, tellement ce « systématisme onusien » sévit contre Israël.

 

Ah, qu’il avait raison ce grand homme, lui qui, s’adressant aux Français d’Algérie, leur lança « Je vous ai compris »……………….mais surtout qui comprit très vite que l’ONU était un « machin » !

 

Charles Etienne NEPHTALI

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 11:49

 

 

http://rencontrejfm.blogspot.com/

Bachar al-Assad utilise la manière forte pour venir à bout de la rébellion qui menace son pouvoir. Après avoir fait quelques promesses de réformes et supprimé l’état de siège qui perdurait depuis près de cinquante ans, il fait donner les tanks et tirer à l’arme lourde sur la population civile, qui continue à manifester à mains nues pour plus de démocratie. On compte plusieurs centaines de morts et des milliers de blessés, mais la condamnation ou -l’indignation- reste très mesurée. On hausse le ton, « la situation est devenue inacceptable, on n’envoie pas, face à des manifestants, des chars » a déclaré mardi dernier Nicolas Sarkozy, mais il n’a pas mis directement en cause Bashar al-Assad comme l’a fait Obama qui a accusé le président syrien de placer « ses intérêts personnels au dessus du peuple syrien » et d’avoir demandé l’aide de l’Iran pour mener la répression ». Difficile, en effet, de critiquer trop durement Bashar al-Assad, après lui avoir déroulé le tapis rouge, en le recevant à Paris et lui avoir offert  la place d’honneur dans la tribune officielle au défilé du 14 juillet 2008. Nicolas Sarkozy rompait ainsi avec la politique d’ostracisme que Jacques Chirac exerçait à l’encontre de son homologue syrien, qu’il soupçonnait, sans doute avec raison, d’être responsable de l’assassinat de Rafic Hariri le Premier ministre libanais. Cette réception s’inscrivait dans l’ambitieux projet d’Union pour la Méditerranée dont Nicolas Sarkozy se voulait l’architecte, en s’appuyant sur Moubarak, Ben Ali, Kadhafi, Bashar al-Assad et quelques autres autocrates ou dictateurs. On sait ce qu’il en est advenu. Aujourd’hui, avec Alain Juppé se met en place une nouvelle politique étrangère, la France n’est plus aux côtés des dictatures, « la France est aux côtés des peuples arabes ». Mais si la France est en pointe dans le soutien aux rebelles libyens et participe à l’éviction de  Kadhafi, elle est plus prudente quand il s’agit de condamner le Président syrien qui n’a, pourtant, rien à envier au Président libyen : il massacre sa population avec autant de sauvagerie, mais voilà la Syrie, constituée d’une mosaïque de minorités ethnique ou religieuses, se trouve au cœur du Proche Orient, et ses voisins pour des raisons diverses craignent que la chute de Bashar  al-Assad ne déstabilise la région.
Israël perdrait son meilleur ennemi, il n’y a eu aucun incident de frontière avec la Syrie depuis 1973, le Golan est tranquille ; il y a quand même un hic, elle arme le Hezbollah et le Hamas, mais un nouveau régime n’en ferait il pas autant ? Après tout, Moubarak était le meilleur allié d’Israël, et les dirigeants israéliens auraient bien aimé qu’il restât au pouvoir, alors qu’il laissait se développer en Egypte un antisémitisme officiel et odieux, sans que cela ne les offusque!
L’Irak craint que la minorité alaouite au pouvoir ne soit remplacée par des sunnites, qui pourraient remettre en cause le pouvoir des Chiites en Irak et encourager les Kurdes à prendre leur indépendance, des Kurdes qu’on retrouve aussi en Syrie.
Les Occidentaux, les Américains  craignent les effets dévastateurs de l’instabilité syrienne sur le Liban, même s’il considèrent que cela entraînerait, un affaiblissement de l’Iran et un renforcement de l’Arabie Saoudite.
L’Autorité palestinienne pourrait y trouver un avantage, le Hamas serait affaibli, mais en vérité, personne ne souhaite le départ de Bachar El-Assad. Il le sait et il joue là dessus.
Il y a donc très peu de chances pour qu’une intervention, sous les auspices de l’ONU ou de la Ligue Arabe puisse avoir lieu en Syrie, d’autant que la Russie et la Chine y mettraient leur veto.
 Morale et Politique ne font pas bon ménage, on s’en doutait, que des gouvernements réagissent de cette manière n’a rien d’étonnant ; par contre, je suis frappé par le silence des diverses associations ou personnalités promptes à exprimer leur colère, leur condamnation, leur indignation, à aller manifester quand des Palestiniens sont victimes d’exactions provoquées par les Israéliens !!! On cherche vainement le moindre communiqué, c’est le mutisme complet, alors que ces associations et ces personnalités ne sont soumises à aucune obligation de réserve, qu’elles ne sont pas astreintes à  des contraintes de gestion gouvernementale. Combien leur faudra t’il de morts de blessés, pour qu’elles manifestent leur indignation ? Sans vouloir faire de comptabilité macabre, un seul mort et son auteur est déjà condamnable, il y a eu bien plus de victimes civiles en Libye, et le chiffre ne cesse de s’élever en Syrie qu’à Gaza lors de l’opération « plomb durci ».
L’indignation ne peut pas être sélective, n’est ce pas Monsieur Hessel ?
Gérard Akoun        
Judaïques FM, le 28 avril 2011

 

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 07:29

 

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Chers Lecteurs à diffuser sans modération

Scandale - L'agence Onusienne l'UNWRA parraine le terrorisme palestinien,

Par MICHAEL S.BERNSTAM

Traduit par Dominique KAHTAN

pour© 2011 www.aschkel.info

http://www.commentarymagazine.com/article/the-palestinian-proletariat/

Décembre 2010

 

David Cameron, le Premier ministre britannique a récemment qualifié  Gaza de "camp de prisonniers". L'ancien président Jimmy Carter, lui, l'a qualifiée  de "cage". Décrire ainsi ce territoire sous la  domination du Hamas peut, au premier abord, passer pour un excès de rhétorique destiné à faire tenir à Israël le rôle du geôlier inique qui impose  un blocus de la bande Gaza.  Cameron et Carter ont tous les deux raison, dans une certaine mesure.  Gaza est un camp paramilitaire totalitaire en guerre avec ses voisins et  avec d'autres palestiniens, aussi. C'est un camp paramilitaire,  étant un camp de réfugiés d'un modèle tout particulier. Huit camps de réfugiés palestiniens, bien distincts, entourés aussi de quelques douzaines de ghettos, ont été établis aux confins étroits des 360.01 kms2 de la province de la Bande de Gaza, bordée par Israël au nord et à l'est, par l'Egypte au sud et par la Méditerranée à l'ouest. Pris dans leur ensemble, ils présentent les caractérisitiques  d'un camp de refugiés et d'un camp miltaire, qui coupé du reste du monde ressemble d'ne certaine manière aux cages auxquelles Carter faisait allusion.

Depuis leur établissement en 1949, ces camps ont été financés par l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNWRA). Or au lieu d'aider les résidents à se construire une vie à Gaza ou ailleurs, nouvelle et meilleure, l'UNWRA finance ces millions de réfugiés, prolongeant  ainsi leur statut de réfugiés, d'une génération à l'autre, réfugiés qui attendent, espèrent  leur rapatriment forcé sur des terres à l'intérieur d’Israël.

Bien que les experts et les spécialistes en politique extérieure se concentrent  sur la question des implantations et sur le niveau d'échauffement  actuel des négociations entre Israël et les palestiniens, l'UNWRA, en institutionnalisant des camps de réfugiés-militaires, représente, à  mon avis.  l'obstacle principal à la paix au Moyen-Orient. Tant que l'UNWRA continuera, de fait,  de financer le cycle de violence auto-destructeur palestinien, une guerre fratricide et une guerre perpétuelle contre Israël, les chances de paix et de sécurité au Moyen-Orient resteront infimes..

Le phénomène que l'on pourrait qualifier de » réfugisme », une sorte d’"industrie du réfugié", représente le problème principal. Pendant ces dernières soixante années, L'UNWRA a financé quatre génerations de palestiniens pour qu'ils restent des réfugiés, les encourageant ainsi à rester tels et à donner  naissance à plus de réfugiés encore et à vivre dans des camps de réfugiés. C'est bien l'UNWRA qui les a placés dans ces cages de réfugiés tout en y observant l'accroissement de leurs  habitants. La population de réfugiés palestiniens en Jordanie, au Liban, en Syrie, en Judée-Samarie et Gaza a connu une explosion démographique,  passant de 726,000 en 1950 à 4,8 millions en 2010. 95% environ dépendent de  l'UNWRA financièrement. La nature sans précédent de cette tutelle prend racine dans la nature peu commune de cette institution. L'UNWRA est un Etat-Providence (de protection sociale) supranational qui encourage  ses résidents à ne pas créer leur propre état-nation. Le créer entraînerait la perte de leur  statut de réfugiés ainsi que leurs droits à des paiements en espèces, à un gîte, aux soins médicaux, à une éducation, à un crédit  et autres largesses. Ce sont ces avantages illogiques et extravagants qui ont entravé les efforts pour améliorer le sort du peuple palestinien, telles les mesures prises par Salam Fayyad, le premier ministre de l'autorité palestinienne et le gouvernement israélien pour pronouvoir le dévelopement économique en Judée-Samarie. Si la communauté internationale tient vraiment à venir en aide aux palestiniens et à améliorer leur sort, elle devra, en premier lieu, abolir l’UNWRA

 

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Dans "l'Idéologie Allemande", leur  pamphlet publié en 1845, Karl Marx et Friedrich Engels,  ont inventé l'expression "Lumpenproletariat" (NDT:Mot à mot: prolétariat en haillons.). Plus tard, Marx la définira ainsi: "des ouvriers ou paysans sans salaire", "des élements déclassés", "des mendiants, des demandeurs d'aumône, d'allocation de chômage, des misérables et des vagabonds." En 1949, Joseph Stalin, qui connaissait bien "son" Marx, donna l'ordre à son délégué aux Nations- Unies de s'opposer à la création d'une agence pour réfugiés qui répondrait  aux seuls besoins des arabes palestiniens. Il écrivit:"nous ne devons pas voter en faveur de l'UNWRA. Nous devrions avoir pour objectif d'aider les réfugiés à retrouver un travail normal et productif, leur permettant de travailler pour vivre. Il nous faut une classe ouvrière palestinienne consciencieuse et non un lumpenprolétariat (prolétariat en haillons) parasitaire. »

 

Et pourtant, le 8 décembre 1949,  l'ONU a voté à une majorité écrasante la création de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient. Les U.S.A, l'Europe Occidentale, les états arabes et même Israël ont voté pour. Et depuis, l'UNWRA fait partie des organisations humanitaires les plus insolites de l'hisoire humaine. Un effort de secours aux réfugiés. Le terme de réfugiés, qui devrait décrire des personnes en fuite devant un péril imminent, prend ici un tout autre sens, puiqu'il inclut  non seulement les  réfugiés mais aussi leur descendance.

 

L'UNWRA est unique en son genre. Alors que toutes les autres personnes réfugiées ou déplacées tombent sous la juridiction et la tutelle de l'Agence du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), les Palestiniens, eux, sont sous la tutelle de l’UNWRA.

D'aprés le HCR, seuls les vrais réfugiés peuvent bénéficier d'une aide et ce, pendant une courte période seulement. Ce qui crée une ligne de démarcation bien nette entre les réfugiés en tant que tels et les diasporas ethniques diverses et variées. Le HCR a pour mandat de réinstaller  et d'intégrer tous les réfugiés, soit dans leurs patries d'origine, soit dans de nouveaux pays d'accueil, pour les  ramener au statut de "non-réfugiés" pour ainsi dire. L'aide que l'ONU a apportée aux Palestiniens est différente de celle qu'elle a accordée aux millions de réfugiés et de personnes déplacées suite à la deuxième guerre mondiale,  et plus tard aussi,  tels  les Allemands, Polonais, Hongrois, Finlandais, Russes, Ukrainiens, Japonais, Indiens, Pakistanais, Juifs, Turcs, Chinois, Koréens, Algériens, Cubains, Viétnamiens, Cambodiens et bien d'autres encore.

La Charte de l'UNWRA spécifiait que les Palestiniens qui vivaient  sur le territoire de  la Palestine sous le  Mandat Britannique dans les années 1946,1947 et 1948 et qui avaient fui en 1948-1949 avaient droit au  statut de réfugiés, accordé aussi à toute leur descendance. Ce terme de réfugiés s'applique aux générations futures puisque indéterminé dans le temps de par sa définition-même. Les bénéficiaires reçoivent  logis, services, soins médicaux, éducation, allocations, assistance financière en cas d'urgence, crédit, travaux publics et services sociaux qui leur sont accordés du berceau à la tombe, nombre de berceaux en fait, voire  des milliers de berceaux, ceux  des petits- et arrière-petits enfants! Ce qui signifie que dans la pratique, les camps de réfugiés et les ghettos de Jordanie, du Liban, de la  Syrie, de la  Judée-Samarie et de Gaza  accueillent générations après générations.  Près d'un tiers des réfugiés actuels, 1,4million environ, vivent dans 59 camps de réfugiés. Ni le mandat  de l'UNRWA, ni son programme  ne lui permettent  d'appliquer une politique de réimplantation et d'intégration. C'est en 1959 que L'UNWRA a définitivement abandonné les derniers vestiges de ces programmes.

Le mandat de l'UNWRA a, de ce fait créé, une situation de dépendance pour tout un peuple, de génération en génération,  et est devenu un état-providence  de réfugiés, permanent et supranational. Avoir mis la plupart des Palestiniens au chômage international a tout simplement éliminé toute motivation au travail et à l'investissement. Ce fut une réussite parfaite avec, pour conséquences,  l’entrave au dévelopement économique, la ruine de toute chance de paix, et la  création au passage, au propre comme au figuré, d’un foyer du terrorisme international. Les arrière-petits- enfants des réfugiés de la Prusse Orientale ne font pas exploser des bombes dans  les pizzérias  de Kaliningrad,  ville russe maintenant,   leur Koenigsberg d'antan. Or les arrière-petits-enfants  des premiers  réfugiés  sous le mandat de l'UNWRA, eux, font exploser leurs bombes dans  les pizzérias de Jérusalem.

C'est ce  statut de réfugiés, à durée inderterminée, qui  permet  forcément d'envisager  un retour victorieux dans la partie israélienne de l'ancienne Palestine Mandataire, tout en mettant  du pain sur la table de logis exempts de loyer avec toute une gamme de services sociaux à l'appui.

Seul le retour triomphal des petits-enfants et des arrière-petits-enfants sur la terre ancestrale mettra un terme à cette idéologie. En attendant, à état- providence qui perdure, guerre qui perdure.Il ne s'agit plus  du modèle  de la dichotomie "état de guerre-état-providence" chère à  Clement Attlee, l'ancien premier ministre britannique: nous devons faire face aux deux: état-providence et état-de-guerre.

Le statut de réfugié permanent dans un état-providence, perpétué par l'UNWRA, encourage la revendication toute particulière du droit au retour qui attise et envenime cet état de guerre permanent - Point précis de cette revendication:les palestiniens, selon eux,  devraient recevoir les titres de propriété du pays qu'ils occupaient avant l'indépendance d'Israël-.

Pour bien concevoir  le vrai sens et les conséquences  pernicieuses, démographiques et physiques de cette revendication, ll faut d'abord en  comprendre la nature, ce qu'elle n'est pas, d'abord  et, ce qu'elle est réellement  ensuite. Premièrement, il ne s’agit pas du droit au retour des réfugiés du moment  (et non de  leur descendance) établi par les conventions internationales depuis 1948 afin d’empêcher les déportations et pour améliorer les conditions de vie des flux de réfugiés ayant fui les ravages de la guerre. Il ne s'agit pas non plus du droit au retour  de diasporas historiques de communautés éthniques dans leurs états-nations d'origine tel celui accordé par l'Allemagne  à tous les allemands, par l'Arménie à tous les arméniens, la Grèce à tous les hellènes et par Israël à tous les juifs. Il ne s'agit pas non plus de l'établissement  de nouveaux états-nations là où ils n'existaient pas, tel le partage de la Palestine mandataire en états juif et arabe ou le partage du Raj britannique en Inde et Pakistan. Non, il faut voir, dans la revendication du droit au retour palestinien, la volonté de la  diaspora  ethnique historique des descendants de réfugiés perpétuels de venir repeupler Israël, l'état-nation actuel d'un autre peuple.

Il ne s'agit pas du droit au retour dans un pays mais du droit au retour de tout un  pays, d'une  reconquête suite à une guerre perdue. En Europe, l'application d'une telle revendication signifierait que la Tchéquie devrait rendre le  Pays des  Sudètes aux allemands, la Pologne devrait leur rendre  la Poméranie Orientale et la Silésie, et la Russie, la Prusse Orientale. En Asie, Les Pakistanais pourraient revendiquer certaines régions de l'Inde.

Ce n'est pas le droit au retour; c'est la  revendication du droit de reprendre un pays. Dans l'univers des diasporas historico- ethniques, le droit au retour avec reprise de possession ne peut que provoquer une guerre hobbesienne, " la guerre de tous contre tous.". Ce droit s'applique au détriment d'Israël  mais pire encore, il a un effet dévastateur sur les Palestiniens, en accordant un avantage à des groupes belliqueux tel le Hamas, empêchant ainsi la réunification des deux états-nations palestiniens en puissance. Ce qui aurait dû être un droit civil s’est transformé en guerre civile en sus de la guerre contre Israël.

 

Aprés le retrait complet d'Israël de Gaza, en août 2005, toutes les conditions se trouvaient réunies pour l'établissement d'un état-nation palestinien. L'Autorité Palestinienne aurait pu exploiter l'infrastructure physique de l’UNWRA, ses services de soutien ainsi que ses services sociaux. Or peu après, on assista à une main mise violente du Hamas, à une guerre fratricide contre d'autres factions palestiennes et à une escalade de la guerre palestinienne contre Israël. Cette guerre prit une dimension internationale, suite à l'envoi des flotilles envoyées par les organisations étrangères pour briser les blocus israélien et égyptien contre le régime terroriste bien implanté à Gaza.

Le fait, que les palestiniens n’aient pas réussi à tirer parti du retrait d'Israël pour améliorer leur sort, nous remet en mémoire la vieille histoire russe qui se gaussait de l'incapacité soviétique à construire des ordinateurs personnels. La chute de l'histoire? Malgré tous les plans dérobés à l'Occident, les Russes se retrouvaient encore et toujours avec une mitrailleuse. De même, le "réfugisme" sempiternel de l'UNWRA, état-providence et guerrier, produit  toujours le même résultat: des formations paramilitaires, un état de guerre permanent et le terrorisme.

De fait, l'UNWRA parraine le terrorisme de deux manières, l'une générale, l'autre plus particulière; d'une manière générale par cette guerre permanente, corollaire du statut de refugié, et aussi par la revendication concomitante du droit de reprise de possession. James G.Lindsay,  le conseiller juridique et l’avocat général de l'UNWRA, de 2002 à 2007, a résumé ainsi son expérience:"L'UNWRA encourageait les Palestiniens qui voulaient retourner à des combats perdus depuis lontemps déjà, et décourageaient ceux qui penchaient en faveur de la paix, contribuant ainsi à nourrir ce fléau des conflits que connaissent les Palestiniens depuis des décennies."

Le Haut-Commissaire des Nations-Unies pour les Réfugiés disqualifie toute personne qui, jouissant du statut de réfugié,  se rend coupable  de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et d’actes menaçant la paix. L'UNWRA ne l'exclut nullement.

James Lindsay, dans la place, décrivit ainsi la situation: « l'UNWRA n'a pris que  

très peu de mesures pour repérer et éliminer les terroristes au sein de son  personnel ou de ses bénéficiaires, et aucune  pour empêcher  les membres d'organisations telles le Hamas de rejoindre les rangs du personnel.» Il ajouta :"l'Agence ne fait aucun effort pour décourager les sympathisants du Hamas ou d'autres groupes terrroristes  et de leurs militants de rejoindre les rangs de son personnel." De fait, des quelques 30,000 employés de l'UNWRA, moins de 200 sont des employés internationaux, les autres sont des recrues palestiniennes qui, pour la plupart, mettent les installations et l'équipement de l'UNWRA au service des organisations terroristes. Comme la revendication du droit de reprendre qui accompagne le statut de réfugié et d'assisté permanent, se trouve renforcée par  le terrorisme et  la guerre, il semble que, en définitive, les intérêts du personnel de l'UNWRA convergent avec ceux des organisations paramilitaires terroristes. Un choix tout naturel en quelque sorte!

 

Linday tire et cite de nombreux exemples du passé historique de l'agence, son ancien employeur. De 1975 à 1982, le Centre de Vocation Professionnelle de Siblin, géré par  l'UNWRA  au Liban, a servi de dépôt d'armes, d'hébergement aux combattants  et d'atelier de réparation et de modification d'équipement militaire. Dans cet établissement, éducation, endoctrinement militaire et recrutement se rejoignaient. Les manuels scolaires de l'UNWRA suivent  un programme que Lindsay qualifie

d' "enseignement de la guerre". Depuis 1987, les écoles de l'UNWRA  affichent des posters à la gloire des militants et des kamikazes palestiniens et servent, de fait, de centres de recrutement.

 

En 2000-2001, les enfants palestiniens ont suivi un entraînement militaire dans des colonies de vacances militarisées. Périodiquement, des véhicules de l'UNWRA et leurs chauffeurs transportent des combattants et leurs armes. La transformation des ambulances, le service humanitaire le plus important, en une force meurtrière, illustre de façon saisissante le changement d'usage des installations de l'Agence. Les ambulances de l'UNWRA, en parallèle avec celles de Gaza et de la Judée-Samarie, servent régulièrement au transport des combattants palestiniens et des combattants  blessés au cours des hostilités avec Israël. Il s’agit bien des troupes sanitaires d'un des deux camps engagés dans cette guerre. Ajoutons à cela que les membres du Hamas ont été employés comme chauffeurs des ambulances de l'UNWRA pour transporter les combattants, les armes et les explosifs tout aussi bien en Judée-Samarie que dans la Bande de Gaza.

 

Ce n’est pas le fait que des terroristes se soient infiltrés dans les rangs de l’UNWRA, mais bien le fait que l’UNWRA soit devenue une organisation  parraine du terrorisme, conséquence logique du changement progressif interne de cette institution et ceci, indépendamment même des pratiques de certains directeurs venus de l’Occident.

 

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Ce n'est évidemment pas ce que les Etat-Unis, l'Europe Occidentale  et Israël avaient prévu en votant en faveur de la création de l'UNWRA (ni même Staline et ses laquais en s'abstenant). Mais les institutions évoluent, en général, selon une  logique qui leur est propre, une logique intrinsèque et diabolique, et  dépassent de loin les intentions de leurs fondateurs. Malthus, dans son célèbre traité sur  la population, a fait remarquer que les lois anglaises relatives aux  pauvres  n'allègent nullement la pauvreté mais bien au contraire la cultivent, la multiplient et la perpétuent. En subventionnant la pauvreté, ces lois ont crée une demande en pauvres que la démographie ne manqua pas de combler. Il en résulta une sous-classe multigénérationnelle que Marx surnomma  plus tard le "Lumpenproletariat", le prolérariat en haillons. Ce même modèle de l'offre démographique à la demande caractérisa l'évolution aux Etats-Unis du programme d'aide sociale aux familles avec enfants à charge (AFDC, Aid to Families with Dependent Children). l'AFDC, dispositif  d’aide complémentaire aux prestations de la Sécurité Sociale,  fut mise en place en 1935,  lors de  la Grande Dépression.  Comme son nom l'indique, cette mesure avait été conçue  en tant qu'aide  aux familles préexistantes avec  des enfants mineurs  et qui avaient  perdu leur soutien de famille. Elle s’adressait  principalement aux veuves de travailleurs et  d'âge mûr, telles les veuves des mineurs des mines de charbon des Appalaches. Le programme se transforma en un programme de dépendance multigénérationnelle pour les jeunes filles-mères, souvent encore adolescentes, des classes sous-privilégiées perdurantes. C'est ainsi que le sénateur  Edward.M.Kennedy décrit ainsi le processus:"Nous allons trouver  une jeune fille, une enfant âgée de 18, 16 ans, plus jeune même, et voilà ce que nous lui déclarons:"Abandonnez tout espoir. Vous ne trouverez jamais un emploi décent.Vous habiterez toujours des quartiers en proie au chômage permanent et  à la violence aussi. Puis nous disons à cette enfant: attendez, il existe une solution, la seule, l’unique: nous vous donnerons un appartement et le meublerons. Nous vous donnerons un poste de télévision et vous  installerons  le téléphone.Nous vous fournirons des vêtements ainsi qu'une alimentation bon marché, des soins médicaux gratuits et de  l'argent de poche en sus. Et en échange, vous n'aurez qu'une seule chose à faire: faites un enfant."  Ce n'est qu'en 1996, aprés le vote  de la loi sur la réforme de l'aide sociale, que l'on assista à un retournement de situation.

 

La Rome ancienne fut la première à avoir à faire face au problème posé par le prolétariat, et ce, aprés avoir créé un état-providence en 58 av.J.C. Selon Arnold Jones, l'historien britannique, il avait été créé au départ pour les 220.000 plébéiens qui s'étaient retrouvés en perte de vitesse face à l'augmentation générale du niveau de vie. Cette politique sociale débuta avec une allocation de grains. Mais comme les bénéficiaires ne tenaient nullement à fabriquer leur pain, l'allocation de grains devint une allocation en pain. Le droit à l'assistance sociale devint héréditaire, et dés 284 ap.J.C. on pouvait compter plus de plusieurs millions de bénéficiaires. Des tablettes de bronze, tenant lieu de  tickets d'alimentation, furent distribuées aux ayants droit afin de pouvoir contrôler le régistre des bénéficiaires de l'aide sociale. N.S.Gill nous rappelle que le mot "prolétariat" dérive du latin "proles", signifiant "rejeton". Le prolétariat était donc "producteur de rejetons."

 

Au dernier décompte, il existe plus de 250 hypothèses quant à la cause du déclin de l'Empire Romain: la déchéance morale, la faillite budgétaire, l'inflation, le chômage, des guerres perpétuelles, l'assaut des barbares, etc...la 250 et unième hypothèse est toute aussi valable et fait la synthèse de toutes les autres: La  Rome toute puissante ne pouvait mener de front la  guerre et la  protection sociale.     

 

Mais l'UNWRA toute puissante, elle,  le peut, et ce indéfiniment puisque financée par  les USA et l'Europe.

 

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L'UNWRA  représente l'une des expériences les plus inhumaines  dans  l'histoire de l'humanité. L'UNWRA encourage  la guerre et défavorise la paix, contribuant ainsi à la misère des palestiniens et à leur sous-dévelopement économique. Une réforme s'avèrant impossible, il faut donc dissoudre l'UNWRA. Il est nécessaire de transformer le système d'aide aux Palestiniens pour arriver à la paix et à l'indépendance. La souveraineté palestinienne ne se fera qu'une fois libérée de l'UNWRA. Sans cette libération, il n'y aura ni souveraineté ni paix. Il faut donc, en premier, démanteler l'UNWRA, cet état à la fois "état- providence" et "état-guerrier". Ce n'est qu'alors que le futur état palestinien, la Cisjordanie du moins, sera en mesure de rejoindre la famille des Etats-nations prospères. Il suffirait d'ouvrir la cage pour accéder au monde du Président Carter juxtaposé à celui du dernier chant de l'Enfer de Dante.

 

Mais comment arriver à une telle fin, vu le problème et son caractère épineux  et vu le solide appui que  la communauté internationale prête à ce programme destructeur?

On pourrait envisager, comme premier pas, de fusionner l'UNWRA et le Haut Commissariat pour les Réfugiés. Une telle mesure permettrait de dissoudre l'UNWRA immédiatement. Si la nouvelle agence ainsi formée adoptait un programme d’aide sociale limitée dans le temps, elle marquerait  le début de la fin  du soutien global de la pérénnisation de la souffrance des Palestiniens. Une autre solution serait de dissoudre l'UNWRA progressivement, sur une période de 3 ans environ.

 

La méthode n'est pas importante. L'important, c'est le changement de mission.  

Selon le nouveau mandat, les réfugiés devraient bénéficier d'une assistance à la réinstallation, l'intégration locale  et la naturalisation ou bien du moins

les deux premières ou ces deux dernières, avec  l'intégration comme condition « sine qua non". Il s'agit donc de transformer 4.8 millions de réfugiés assistés et d'en faire des citoyens productifs.

 

Une autre solution serait de disposer des fonds de l'UNWRA qui deviendraient des subventions internationales destinées exclusivement au programme de réinstallation, d'intégration et de naturalisation. Les fonds pourraient être utilisés dans les pays de résidence actuelle ( pour embourser aussi les frais de ces pays), dans les lieux placés sous la juridiction de l'Autorité Palestinienne ou dans  tout autre pays qui accueille des réfugiés de façon individuelle. Israël ne peut bien entendu figurer sur la liste des pays offrant la réinstallation, l'intégration y étant impossible; un tel plan serait contraire à l'objectif -même projet.

 

Plus important encore, le transfert des fonds de l'UNWRA à l'Autorité Palestinienne et aux autorités locales mettrait fin à l'institution-même des camps de réfugiés. Ces derniers, une fois leur statut de camps de réfugiés aboli, se verraient transformés en quartiers d'habitats normaux. L'intégration dans ces quartiers se ferait  plus facilement  sans ce stigmate de réfugiés. Les écoles de l'UNWRA, ses installations médicales, ses institutions financières et ses services sociaux pourraient être immédiatement transférés à l'Autorité Palestinienne, ce qui augmenterait son prestige, son rayon d'action et son pouvoir en tant que gouvernement souverain d'un nouvel état-nation et transférés aussi, ailleurs,  à d'autres gouvernements locaux.

 

 

En vérité, le démantèlement de l'UNWRA à lui seul faciliterait et accélérerait l'effort de réinstallation, d'intégration et de naturalisation. Ce processus a été entravé en plusieurs endroits par la seule existence de l'UNWRA et par l'appellation "réfugiés" des Palestiniens.

 

La  Jordanie a environ 2 millions de réfugiés déclarés; plus d'1.8 de ces réfugiés sont déjà naturalisés jordaniens. C'est avec justesse que Lindsay les dénomme "citoyens réfugiés oxymores". 170.000 autres réfugiés se sont vus accordés un droit de résidence permanent. Citoyens et résidents permanents ont intégré le marché du travail et le secteur du commerce mais sont "en cage" pour reprendre le terme du président Carter, tenus à l'écart des autres jordaniens, toujours à cause de ce  stigmate  "réfugié permanent". Ces palestiniens jordaniens  ou jordaniens palestiniens préfèrent envoyer leurs enfants dans les écoles jordaniennes  qui enseignent l'anglais et l'informatique plutôt que  dans celles de l'UNRWA qui enseignent une mythologie historique et font usage de cartes géographiques faisant abstraction d'Israël.

 

En Syrie, depuis 1957, les résidents palestiniens jouissent des mêmes droits que les citoyens dans les secteurs de l'emploi, du commerce et des services sociaux. Ils ne jouissent ni de la citoyenneté reconnue ni du droit absolu à la propriété, Le governement syrien ayant signé un concordat avec l'UNWRA  qui l'engageait  à "préserver leur nationalité d'origine"et qui les enchaînait à leur statut  de réfugiés éternels  et donc à la revendication du droit de reprendre Israël. Sans l'UNWRA, cet obstacle à l'intégration deviendrait moindre, même si l'hostilité syrienne envers Israël demeurait telle.

 

Le Liban présente le  problème le plus sérieux. Des 414.000 réfugiés déclarés, seuls 70.000 jouissent du statut de citoyens. Les autres n'ont droit ni à l'emploi, ni à la propriété foncière. Ils ne peuvent  bénéficier ni de l'éducation publique, ni de la santé publique, ni d'une aide de l'état. Or un transfert de la gamme des services sociaux et financiers de l'UNWRA aux autorités libanaises faciliteraient l'intégration et la création d'emplois.

 

Tous les Palestiniens jordaniens, syriens et libanais dans l'impossibilité de s'intégrer dans ces pays, pourraient être réinstallés dans l'état-nation palestinien naissant qui, une fois libéré du joug de l'UNWRA, jouirait d'une plus grande souveraineté.

 

La fin de l’UNWRA annulerait automatiquement la question pernicieuse du droit au retour avec repossession.

 

L'UNWRA ne permet pas de résoudre le problème que ce droit représente ;  l'appliquer aurait pour conséquence le repeuplement d'Israël par une force paramilitaire de millions de réfugiés éternels. Toutefois, ce statut de réfugié permanent prendra fin dés la disparition de l'UNWRA, soit immédiatement, soit aprés une période de transition, et on ne parlera plus du  droit au retour vus les besoins immédiats et pressants voire urgents.

 

Bien que  les défenseurs de cette agence puissent  accuser  ses critiques d'être mal intentionnés ou de manquer d'obectivité à l'égard des palestiniens, il n'en est pas moins vrai que la disparition progressive  de l'UNWRA ne  reste  pas seulement    le seul espoir de ces derniers de façonner un avenir viable, elle reste aussi l'espoir du Premier Ministre Salam Fayyad de créer un état viable et indépendant. Et même si les sympathisants des palestiniens et certains amis d'Israël aussi en sont arrivés à croire que l'UNWRA est indispensable,  une nation ne peut se construire que de l'intérieur. Au lieu de pérenniser l'état-providence international et sa  voie sans issue pour les palestiniens, il faudrait mettre fin au régne de l'UNWRA, un terme  à ces six décennies épouvantables, créeant ainsi  instantanément les conditions requises pour la mise en marche d'un processus de paix au Moyen-Orient, un processus honnête, viable et valable.

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 07:27

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GOLDSTONE: le Conseil des droits de l’homme pris à son propre jeu

Par Fabio Rafael FIALLO

Fabio raphael Fiallo

 

Publié sur letemps , envoyé et autorisé à la publication sur aschkel.info par l'auteur

Fabio Rafael Fiallo est économiste et écrivain, ancien fonctionnaire à l’ONU. 

Son article précédent >LE PRINTEMPS ARABE, LA DÉMOCRATIE ET ISRAËL- Fabio Rafael Fiallo

 

 

 


Le revirement du juge Goldstone fait beaucoup de bruit. C’est en réalité un autogoal cuisant pour le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, qui avait commandité l’enquête sur l’opération «Plomb durci». Libres propos de Fabio Rafael Fiallo, ancien fonctionnaire à l’ONU

 

Il est des revirements qui ne sauraient rester sans lendemain, tellement ils mettent à mal les habitudes, les inerties, les préjugés. Le travail de l’ONU en matière de droits de l’homme est en train de vivre un de ces moments. La cause: un rapport que le Conseil des droits de l’homme de cette institution avait commissionné à un groupe de juristes présidé par le juge sud-africain Richard Goldstone (ancien procureur auprès du Tribunal international pour l’ex-Yougoslavie et de celui pour le Rwanda) vient d’être désavoué – excusez du peu! – par le juge Goldstone lui-même.

Pour comprendre l’enjeu, il convient de faire un bref historique du cas qui nous occupe.

Suite à l’incursion militaire de trois semaines menée fin 2008 par les troupes israéliennes sur le territoire de Gaza – incursion intervenue en réponse aux milliers de roquettes lancées par le Hamas sur Israël –, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU décide de confier au juge Goldstone la présidence d’une commission qui serait chargée d’enquêter sur les «violations massives des droits humains» perpétrées par «la puissance occupante, Israël, contre le peuple palestinien».

L’Etat d’Israël était donc déjà coupable, et qui plus est le seul à être pointé du doigt. Ce ne fut qu’à la demande du juge Goldstone que le Conseil autorisa la commission à couvrir aussi les exactions éventuelles perpétrées par le Hamas. On ne peut cependant s’empêcher de voir dans cette permission une tentative de la dernière minute ayant pour but de donner un semblant d’impartialité à une enquête tenue de rendre de toute façon un verdict défavorable à Israël.

La composition de la mission laissait elle aussi présager une condamnation d’Israël: dans une lettre publiée dans le Times de Londres avant même la création de la commission, l’un des quatre membres de celle-ci, Mme Christine Chinkin, avait déjà accusé Israël d’«agressions» et de «violations du droit international».

Aussi bien le mandat que la composition de la commission s’inscrivaient dans la droite ligne du parti pris anti-israélien qui prévaut dans un Conseil des droits de l’homme où les pires dictatures de ce monde (Iran, Cuba, Libye, Syrie) s’en sortent à merveille, alors que l’Etat hébreu est constamment mis au banc des accusés. Est-il normal que depuis sa création en 2006, le Conseil ait adopté plus de résolutions contre Israël que contre le reste des Etats de la planète réunis? Est-il normal que, chaque année, le Conseil ait un point de son ordre du jour consacré à condamner Israël, et Israël seulement, alors que le reste des pays de la planète ont droit à un point pour eux tous? Est-il normal, enfin, que ni le Hamas ni le Hezbollah n’aient jamais été l’objet d’une quelconque condamnation du Conseil*.

Comme on pouvait s’y attendre, les conclusions du rapport accablèrent Israël, accusé d’avoir délibérément visé la population civile, et donc d’avoir commis des crimes de guerre, et possiblement des crimes contre l’humanité.

Or, voilà qu’un scoop vient troubler la marche tranquille du rapport en question. Charge de conscience aidant, le juge Gold­stone désavoue le document dont lui-même avait dirigé la rédaction et déclare que, sur la base de ce qu’il sait maintenant, il n’aurait jamais affirmé que des civils avaient été ciblés volontairement par les troupes israéliennes. L’accusation de crimes de guerre portée contre Israël s’effondre ainsi comme un château de cartes.

Ce n’est pas la première fois qu’une accusation de ce genre contre l’Etat juif fait un flop. Il suffit de rappeler le prétendu «massacre de Jénine» du printemps 2002, où des milliers de Palestiniens auraient été tués de sang-froid par l’armée israélienne. Il ne prit pas plus de quelques mois aux médias du monde entier pour constater le caractère fallacieux de ces allégations.

Cette fois-ci le fiasco est tout de même plus grave, car les accusations émanent d’une commission nommée par l’ONU.

Après la rétractation du juge Goldstone, l’ONU se doit de revoir de fond en comble la manière d’opérer de son Conseil en vue de rendre celui-ci efficace, sobre et impartial.

Le contexte international appelle à une réforme en profondeur de cette enceinte. A l’heure où l’on se bat au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, ailleurs aussi, pour la liberté et la démocratie, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU ne peut continuer à servir de caisse de résonance à des régimes répudiés par leurs propres peuples au prix de nombreuses vies. A l’heure où l’ONU autorise à mettre en œuvre la responsabilité de protéger des civils innocents face à leurs propres gouvernants (en Libye, en Côte d’Ivoire), le Conseil des droits de l’homme de cette même ONU ne peut permettre à des despotes et autres autocrates de l’utiliser pour faire adopter en permanence des résolutions contre Israël au nom des droits qu’ils s’amusent à bafouer dans leurs pays.

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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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