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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 16:45

MEMRI    Middle East Media Research Institute

Dépêche spéciale n° 2125

 

Les opposants au régime syrien sous haute surveillance au Liban

 

Suite à l´annonce de l´instauration de relations diplomatiques entre le Liban et la Syrie, les autorités libanaises auraient consenti à restreindre les activités des opposants au régime syrien actifs dans le pays.

 

Selon le quotidien libanais Al-Akhbar, la Syrie a demandé au Liban de surveiller les activités des opposants afin de rétablir la confiance entre le Liban et la Syrie. Afin de satisfaire ces exigences, les services de sécurité libanais auraient demandé aux opposants au régime syrien de choisir entre cesser les activités contestataires et quitter le pays. Ces derniers auraient été avertis que s´ils poursuivaient leurs agissements sur le sol libanais, les services de sécurité pourraient ne plus être en mesure d´assurer leur sécurité face aux alliés de  

Le quotidien libanais Al-Safir rapporte, citant une source libanaise officielle, que le Liban a assuré la Syrie que des mesures seraient prises contre les opposants au régime syrien – "ces mêmes mesures prises contre toute groupe qui tente de porter atteinte à un pays arabe, ainsi que le stipulent les accords et engagements entre Etats arabes." (2)

 

La récente décision de l´opposant au régime syrien Mamoun Al-Homsi, ancien député syrien, de quitter le Liban pour aller s´installer à Washington, atteste de la situation difficile que traversent les adversaires du régime syrien. Ce dernier explique qu´il a été contraint de quitter le Liban, où il résidait depuis deux ans, après avoir découvert que les services de sécurité syriens avaient projeté de l´assassiner. (3)

 

Ci-dessous des extraits d´une déclaration publiée par Al-Homsi et d´un article de l´opposant au régime syrien Jihad Saleh, établi au Liban, sur la situation des opposants au régime syrien dans le pays.

 

Al-Homsi : j´ai survécu à un complot des forces syriennes de l´obscurité

 

Dans une déclaration publiée le 13 octobre 2008, Mamoun Al-Homsi explique : "J´ai choisi de vivre au Liban parce que c´était, entre les griffes de la dictature (syrienne), un oasis de démocratie perdant chaque jour du sang dans sa lutte pour empêcher le renouveau de la mainmise syrienne (…)

 

La décision de rester au Liban fut difficile à prendre vu que, comme le monde entier le sait, le régime d´Assad ne faisait que nuire à la sécurité et la stabilité (du pays) (…) Je considérais toutefois que mon devoir de citoyen était de rester (sur place) en dépit des dangers et des inquiétudes qui me guettaient. Mon moral n´a jamais fléchi et je n´ai jamais craint la dictature (syrienne), ayant même publié des déclarations et (exprimé) mon opinion en prison, m´exposant ainsi à des tortures brutales et dépravées et à un traitement inhumain.

 

Mais il y a quelques jours, les forces de l´oppression m´ont trouvé et tendu une embuscade, avec l´aide d´un (agent syrien) infiltré dans un média anti-syrien. Grâce à Allah le Tout-puissant, j´ai survécu au complot mais me suis trouvé face à un choix difficile : quitter (le Liban, ou mettre ma vie en danger). Je suis (parti), non par peur, mais afin de poursuivre mon noble devoir vis-à-vis de notre précieux pays et de notre peuple bien-aimé et tourmenté.

 

Je remercie le peuple libanais, que j´aime et qui mérite liberté et indépendance, et je suis profondément reconnaissant à l´ambassade des Etats-Unis au Liban, qui m´a aidé à partir pour Washington en toute sécurité." (4)

 

Un opposant au régime syrien : le mal syrien est revenu au Liban sous couvert de diplomatie

 

Dans un article paru sur le site d´opposition au régime syrien www.thisissyria.net, le journaliste syrien et militant pour les Droits de l´Homme Jihad Saleh proteste contre la persécution des opposants au régime syrien au Liban, se déclarant affligé par le fait que certains Libanais jouent le rôle d´ambassadeurs du régime syrien. Il écrit :

 

"Avec le cirque du rapprochement entre le régime syrien (…) et le nouveau gouvernement libanais, et les préparatifs à un échange d´ambassadeurs et d´ambassades (…), certains politiciens libanais ont pris les devants et sont (déjà) en train de charger armes et fusils, qu´ils pointent sur les opposants au régime syrien de Beyrouth (…)

 

Les services de sécurité syriens et certains dirigeants libanais concoctent ensemble un accord de sécurité (devant servir de base à l´instauration de) relations exemplaires (entre les deux pays). Le premier (acte) de ce nouveau cirque syrien consiste à expulser du Liban l´(opposition) démocratique non violente au régime syrien, qui se bat contre la culture et la tyrannie du (parti) Baath. (Les opposants au régime syrien) ont été contraints de s´exiler au Liban, ou se sont enfuis là-bas, pour se protéger de l´oppression et des arrestations (en Syrie) (…) Ils espéraient trouver une nouvelle patrie, un havre de sûreté où ils bénéficieraient d´un certain degré de liberté.

 

(Toutefois), certaines forces au Liban (…) se préparent à solliciter le retour des Syriens (au Liban), sous couvert de diplomatie. Cherchant à plaire et à obtenir l´amour de la famille au pouvoir à Damas, ils se sont mis à pointer leurs flèches vers les opposants au régime syrien résidant au Liban. (Les forces pro-syriennes au Liban) ont créé un lien entre (opposants au régime syrien) et terroristes armés (5) – mesure dépravée visant à nuire aux adversaires du régime syrien en présentant leurs activités libres, démocratiques et non violentes comme du terrorisme menaçant la paix (entre les différentes factions libanaises) (…)

 

Il s´agit, bien évidemment, ´d´une tempête dans une tasse de thé´, vu que l´Etat et le peuple libanais connaissent la véritable nature des activités des intellectuels syriens, qui ne font qu´exprimer franchement leur opinion face à la politique que mène le régime syrien contre le peuple et la patrie (de Syrie) et les violations criminelles des droits humains en Syrie. Les (activités) des opposants au régime syrien (au Liban) se font au grand jour et en toute transparence, en accord avec les principes de justice et de non-violence, sur la base de la liberté d´expression. Ils n´enfreignent aucune loi régionale, internationale ou libanaise (…)

 

Les Libanais savent bien que les militants pour la liberté et la démocratie en Syrie appuient les aspirations du Liban à la démocratie, l´indépendance et la souveraineté. Les déclarations de Damas et Beyrouth (6) témoignent clairement de la noble solidarité des Syriens vis-à-vis de leurs frères libanais, et de leur condamnation de la présence militaire du régime (syrien) tout au long des trente années de mainmise et d´occupation.

 

La plupart des intellectuels, aussi bien en Syrie qu´en dehors de ses frontières, (veulent) la démocratie en Syrie et l´indépendance du Liban.

 

Nous voyons toutefois que des (citoyens libanais) soutiennent les services de sécurité syriens sous couvert de diplomatie (…) (Ces Libanais) accueillent à bras ouverts le mal syrien qui vient de Damas sous une nouvelle forme. Exploitant la présence d´adversaires du régime syrien au Liban, ils les calomnient par des accusations absurdes, partisanes et lâches, lesquelles sont une tâche dans l´histoire de la démocratie et de la liberté du Liban (…) Il est douloureux de constater que certains (Libanais) se considèrent comme les ambassadeurs du régime d´Assad à Beyrouth." (7)

 

[1] Al-Akhbar (Liban), 21 octobre 2008.

[2] Al-Safir (Liban), 17 octobre 2008.

[3] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 17 octobre 2008.

[4] www.rabeadamascus.com, 13 octobre 2008.

[5] Par exemple, un article du 15 octobre 2008 mis en ligne sur le site [6] La déclaration de Damas et Beyrouth, datant du 12 mai 2006 et signée par plusieurs centaines d´intellectuels de Syrie et du Liban, appelle à revoir les relations entre les deux pays en partant de la racine. Pour plus d´infos sur le sujet, voir : [7] www.thisissyria.net, 22 octobre 2008.

 

 

 

Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french.

 

Veuillez adresser vos emails à memri@memrieurope.org.

 

Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source.

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 22:14
8 soldiers wounded in mortar attack

Palestinians fire barrage of mortar shells on IDF base near Nahal Oz; two shells land within base, hitting officers' and soldiers' quarters


Photo: Ahiya RavedMortar shell  Photo: Ahiya Raved

Efrat Weiss

Latest Update:  11.28.08, 22:34 / Israel News
Eight IDF soldiers were injured Friday when a barrage of mortar shells was fired from Gaza towards an army base near the southern town of Nahal Oz. The troops were evacuated to receive medical treatment.

 

Two of the mortars landed inside the base. One fell on the officers' quarters and another fell on the female soldiers' quarters.

 

Two others landed in nearby open spaces, in Shaar Ha Negev Regional Council. Another two landed in the vicinity of Netiv Haasara, but no injuries or damage were reported.

 

The security coordinator in Nahal Oz, Benny Sela, told Ynet that the barrage could be heard throughout the area. "I immediately ordered the kibbutz members to take cover in their shelters," he said.

 

"We searched for fallen shells, but luckily for us they didn't fall in the kibbutz but rather in the nearby base. The army told us to stay near the bomb shelters."


Earlier Friday four Palestinians were injured in clashes with IDF soldiers east of Khan Younis in the southern Gaza Strip. The soldiers opened fire when they discovered the gunmen attempting to plant an explosive device near the border fence.

 

At first Palestinian sources reported that one of the gunmen had been killed, but it was later revealed that he had merely lain on the ground until the fire had subsided, and then returned to his home unharmed.

 

Ilana Curiel contributed to this report

 

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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 16:33

Leblogdrzz.over-blog.com

lundi 24 novembre 2008, sélectionné par Spyworld
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45 minutes d’Interview avec un ancien agent du Mossad :


- Partie 1
- Partie 2


Michael Ross est le pseudonyme d’un ancien agent du Mossad, le service de renseignement d’Israël, le Mossad.

Selon le quotidien israélien Haaretz , qui se fonde sur des sources à l’intérieur de l’Institut, Michael Ross travaillait sous le nom de code "Rick".

- 1988-1995 : service comme agent sous couverture ("Combattant", l’élite du service) au sein de la division CAESAREA, responsable des officiers opérant sans couverture diplomatique. Missions aux Etats-Unis et en Syrie, Azerbaïdjan, Iran et Afrique du Nord.

- 1996-1998 : service comme agent de renseignement (Katsa) au sein de la division TEVEL, responsable des relations entre l’Institut et les agences de renseignement à l’étranger. A ce titre, il a travaillé comme officier de liaison du Mossad avec la CIA et le FBI. Michael Ross était également enquêteur lors des attentats d’ Al-Qaida contre les ambassades américaines de Nairobi (Kenya) et Dar es-Salaam (Tanzanie).

- 1998-2001 : agent de renseignement (Katsa) au sein de la division BITZUR, responsable de la sécurité et de l’immigration des communautés juives mondiales. En 2000, il a été félicité par le directeur-adjoint du Mossad, Ilan Mizrahi, pour avoir organisé la fuite des Juifs du Zimbabwe menacés par le régime de Robert Mugabe.

- En 2007, Michael Ross a publié un best-seller retraçant son parcours sous le titre "The Volunteer". Ses mémoires, en anglais, ont été diffusées en Angleterre, Australie Canada, Etats-Unis, et traduites en hébreu pour être publiées en Israël. Il est depuis apparu dans plusieurs journaux canadiens, dont le National Post et le Globe and Mail, et reste un correspondant régulier de la télévision canadienne CBC.

Michael Ross est aujourd’hui en contact avec des maisons d’édition en France. Il donne régulièrement des conférences à l’Université de Vancouver sur le thème du contre-terrorisme.


Mossad : un document exceptionnel sur DRZZ (info # 022411/8)
© Metula News Agency
Mossad (insigne)
© Metula News Agency












Le Mossad reste le service de renseignement le plus performant de la planète. Et de loin



 

Nos confrères de DRZZ ont réalisé l’exploit journalistique de recueillir l’interview de l’agent Rick, qui s’exprime sous le pseudo de Michael Ross.

 

Rick est un ancien agent combattant du Mossad, ayant effectué de nombreuses missions risquées au sein de ses unités d’élite, et qui parle de son service avec doigté, ouverture et intelligence.

 

Une entrevue qui sert à mieux connaître comment fonctionne le plus célèbre service de renseignement de la planète. Avec des points de vue de l’ex-agent qui éclairent sur l’agenda de l’Etat hébreu et son ordre de préoccupations.

 

Avant de suggérer à nos lecteurs de consulter cette entrevue, nous nous sommes assurés qu’elle était plausible, à la lumière de ce que nous connaissons et qu’elle ne portait pas atteinte à des intérêts vitaux d’Israël et de ses alliés.

 

Des questions pertinentes posées par DRZZ, qui permettent de pénétrer l’"Institution" (en hébreu, Mossad signifie institution) plus précisément que d’habitude, et qui dévoilent le profil exceptionnel de l’un de ses agents et ses analyses souvent équilibrées.

 

Ci-après, nous avons choisi, en guise d’apéritif, de vous confier quelques passages de l’interview.

 

 

La rédaction

 

 

 

Sur le Mossad en général

 

Les gens doivent comprendre que le Mossad travaille vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, et conduit des opérations tout le temps. Il réussit des millions de choses et connaît quelques ratés, mais ce sont ces échecs qui deviennent connus du public. (…)

 

Comprenez que nous avons été bien formés et dirigés pendant ces dernières années. Le Mossad reste le service de renseignement le plus performant de la planète. Et de loin.

 

 

Son mode opératoire

 

L’une des choses que j’ai toujours admirées dans le Mossad est qu’il fonctionne comme une organisation apolitique. Il ne vit pas sous la loupe d’une commission ; il ne répond qu’au Premier Ministre, à la limite aux membres supérieurs de son cabinet. C’est essentiellement une relation entre le directeur général et le Premier Ministre.

 

Le Mossad est une petite structure centralisée. Vous avez le directeur général et la pyramide au-dessous, mais une petite pyramide, rien à voir avec l’énorme bureaucratie insondable que vous retrouvez dans les autres agences de renseignement. Le système est très direct : si le directeur général prend une décision, celle-ci descend les échelons très rapidement.

 

Il n’est pas rare que le Premier Ministre en exercice s’implique personnellement dans notre travail. Le Premier Ministre Rabin, par exemple, aimait sincèrement le Mossad et savait exploiter son potentiel. Il participait à des briefings de « combattants » et du personnel avant les opérations importantes. Rabin montrait un véritable intérêt pour les agents qui travaillaient en-dessous de lui.

 

 

Sur l’Iran

 

Les Iraniens sont passés maître dans l’art de dissimuler leurs activités à la communauté internationale. Depuis des années maintenant, ils se jouent de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, des Nations Unies et des autres organes de surveillance, tout en accélérant leur entreprise nucléaire.

 

Ils restent donc déterminés à produire une bombe atomique – arme qu’ils comptent utiliser comme charge utile de leurs missiles balistiques Chahab-3.

 

Les estimations diffèrent sur l’avancée de leurs efforts. Les Américains pensent avoir le temps, les Israéliens voient l’urgence – et je partage l’avis des Israéliens : l’Iran pourra  obtenir une bombe atomique dans les douze à dix-huit mois. 

 

DRZZ : Doit-on ainsi s’attendre à une guerre entre Israël et l’Iran dans un futur proche ?

 

ROSS : Le message israélien ne souffre d’aucune ambiguïté, pour quiconque veut bien l’entendre : Israël ne peut pas autoriser un Iran nucléaire, et prendra toutes les mesures nécessaires pour que cela n’arrive jamais.

 

 

Avec un certain bon sens

 

Je dirais donc que ma grande leçon, comme agent de renseignement israélien, a été de comprendre que beaucoup de gens parlent aujourd’hui de menaces dont ils n’ont pas saisi la vraie signification.

 

 

 

Lundi 24 novembre [17:25:00 UTC]
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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 08:22
Barak : "Le Hezbollah peut atteindre Dimona"

israelinfos.net

mardi 25 novembre 2008

Le ministre de la Défense, Ehud Barak, a déclaré, lundi matin, que le Hezbollah possède désormais des missiles « capables d’atteindre Tel Aviv, Ashkélon, Beer Sheva et Dimona », autrement dit la quasi-totalité du pays. « Le parti de Dieu de Hassan Nassrallah a multiplié par trois, par rapport à la période qui a précédé la seconde guerre du Liban, en 2006, ses capacités militaires », a notamment indiqué le chef du parti Travailliste, « et il détient aujourd’hui quarante deux mille missiles, alors qu’avant la dernière confrontation avec Israël, il n’en possédait que quatorze mille ».

Barak a également mis en garde les autorités du pays du Cèdre, à propos des dernières manœuvres entreprises par les milices chiites pro-iraniennes : « Nous constatons que la résolution 1701 de l’ONU n’est pas respectée sur le terrain, et le Hezbollah continue à mettre en péril la stabilité du Liban, et ses infrastructures, qui pourraient devenir des objectifs pour nous si nous sommes attaqués ».

Selon Barak, qui a encouragé la poursuite des négociations israélo-syriennes, « la République islamique d’Iran continue à narguer le monde entier, tout en oeuvrant au développement de son programme nucléaire ».

Il a précisé que « pour Israël, toutes les options demeurent ouvertes », avant d’ajouter que « toute précision supplémentaire » sur la question ne « ferait que causer du tort à nos services de sécurité ».

Il a par ailleurs indiqué que « la situation, dans la bande de Gaza, tend à se stabiliser, après deux semaines et demi de violation de la trêve par les groupes armés palestiniens ».

« J’accorde une grande importance à chaque jour qui se passe dans le calme ; durant la période qui a précédé l’accord de cessez-le-feu signé avec le Hamas, nous enregistrions une moyenne de cinq cents incidents mensuels ; depuis le début de l’accalmie, nous en avons enregistré moins de dix par mois », a-t-il enfin souligné.

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 22:22
PolicyWatch #1432
Syria's Reactor: Can the IAEA Act Effectively?
By Patrick Clawson and David Schenker
November 21, 2008

High on the agenda of the November 27-28 meeting of the International Atomic Energy Agency (IAEA) Board of Governors (BOG) will be the November 19 report from Director General Mohammed ElBaradei about Syria. How the IAEA responds to the Syrian challenge may determine whether future urgent proliferation concerns are taken to the IAEA and UN Security Council or resolved through military force, such as Israel's airstrike last year on Syria's Dayr al-Zor site.

Background

On September 6, 2007, Israeli warplanes bombed a site at al-Kibar near Dayr al-Zor (referred to as Dair Alzour in the IAEA report) in northeastern Syria. Days later, Syria demolished the remaining portions of the damaged facility, bulldozed the site, and erected a new building atop the buried rubble. On April 24, 2008, senior U.S. intelligence officials briefed Congress and the press about the Dayr al-Zor site, saying that the United States had "detailed information showing that the al Kibar facility was a nuclear reactor."

Following the briefing, Syria granted IAEA inspectors access to Dayr al-Zor (but denied them access to three other sites), where they took environmental samples on June 23, 2008. After the visit, Syria suspended cooperation with the IAEA, saying it was awaiting the results of the samples. Despite all that Damascus had done to scrub the site, IAEA soil samples revealed "a significant number of natural uranium particles" that were "anthropogenic," that is, produced by human action rather than being already present in the environment.

Since then, Syria has refused to respond to IAEA requests for additional information. In its defense, Syria told the IAEA that particles found at the site "were contained in the missiles that were dropped from the Israeli planes onto the buildings." These claims have been widely dismissed, however, as no country is known to have ever used natural uranium in a bomb or a missile.

The IAEA and Syria

Syria's safeguards agreement with the IAEA requires notification to the agency in advance of construction of any nuclear facility, regardless of the presence of nuclear material. So, if indeed Syria was building a reactor, it would have violated its IAEA obligations. Not surprisingly, Syria has claimed that the site was not a reactor, but Damascus has not made much of a case on its own behalf. As the IAEA report notes, "Syria has not yet acceded to the Agency's request to provide any documentation relevant to the destroyed building, or any of the other buildings, to support its statements." Damascus also said that the site could not have been a reactor because of "the unreliable and insufficient electricity supplies [and] the unavailability of large quantities of treated water." Yet, according to the IAEA report, the water "pumping capacity is adequate for a reactor of the size referred to" and the site had "sufficient electrical capacity to operate the pumping system."

While the very construction of a reactor without notification violates Syria's international treaty obligations, evidence of nuclear material at the site significantly raises the level of concern. The natural uranium found by the IAEA is the type of fuel that would be fed into a reactor to produce plutonium, which after extraction in a reprocessing facility, could fuel a nuclear bomb. At a minimum, the presence of the natural uranium particles suggests that fuel for the reactor may have been on site when the facility was bombed.

Violations of International Commitments

The Bashar al-Asad regime's apparent violations of Syria's nuclear nonproliferation treaty commitments are only the latest in a series of broken agreements. In his eight years as president, al-Asad has established an impressive history of broken pledges to Washington. Two examples provide illustration:

In June 2001, then Secretary of State Colin Powell traveled to Damascus with the express goal of securing a Syrian commitment to end the smuggling of oil from Saddam Hussein's Iraq in contravention of the UN Oil for Food program. Powell hoped to close the Kirkuk-Banyas pipeline that supplied Damascus with 150,000 barrels per day of Iraqi crude and Saddam with hundreds of millions of dollars. According to Powell, al-Asad agreed to close the pipeline but reneged on this promise, and the pipeline remained open until 2003, when U.S. forces in Iraq closed the spigot. Secretary Powell again traveled to Damascus, in April 2003, this time to gain a Syrian commitment on terrorism. In an interview following his return, Powell relayed that " al-Asad said that he was taking action to close down these [Damascus-based Palestinian terrorist] offices, and that he would restrict their ability to communicate." Nevertheless, these offices continued to operate; five months later, in August 2003, a Palestinian Islamic Jihad suicide bomber killed twenty-three in Jerusalem.

The al-Asad regime's pattern of broken bilateral agreements with Washington -- and now, of international treaty obligations to the IAEA -- raises doubts about whether Syria can be trusted to implement the terms of a peace treaty with Israel. At a minimum, these experiences should inform Washington's policy should the next administration decide to actively mediate in Syrian-Israeli peace negotiations. Based on the al-Asad regime's record of keeping commitments, Washington cannot effectively guarantee Syrian treaty obligations to Israel. As such, within the context of any U.S.-brokered deal, Washington should ensure that tangible and irreversible Syrian concessions coincide with -- if not precede -- Israeli territorial withdrawals.

Judging the IAEA Meeting

The November 19 IAEA report is the latest evidence of the superb technical capabilities of the IAEA staff. Regrettably, however, this work has at times been undercut by IAEA director general ElBaradei, who has a tendency to emphasize benign interpretations of ambiguous findings while ignoring mechanisms available for suspected proliferators to provide evidence to the contrary. The real shortcoming with the international law approach, however, has been the failure of will by the governments that sit on the IAEA BOG and the Security Council.

Next week's meeting will answer longstanding questions regarding the utility of the IAEA for resolving nuclear problems. If Syrian stonewalling continues, how will the IAEA proceed? Will the BOG recommend sanctions if the investigation yields derogatory conclusions or if Syria continues to put forth implausible explanations unsupported by evidence?

A serious response by the IAEA BOG would be to warn Syria that failure to resolve the outstanding issues on a timely basis would constitute a violation of Syria's obligations, which the IAEA would have to report to the Security Council for action by that body. At a minimum, the BOG should demand documentation of Syria's claims about the destroyed building and follow-up inspections of Dayr al-Zor and access to the three facilities to which Syria denied the IAEA. The unfortunate reality is that the IAEA/Security Council approach has, to date, not dealt effectively with several proliferation threats. In contrast, Israeli military action resulted in the complete destruction of the reactor site and evidently to an indefinite postponement if not abandonment of Syria's nuclear ambitions. Moreover, the Israeli action was tacitly accepted by the international community: no Arab country (other than Syria) and no European government complained about the Israeli raid. Even the Arab League statement was mild.

International reaction to Israel's al-Kibar strike stands in stark contrast to its 1981 raid on the Iraqi Osiraq reactor, which was nearly universally condemned. One way to understand the difference between 1981 and 2007 is that the world today is less optimistic that reliance on the IAEA can stop proliferation. The IAEA can change this perception by acting decisively on Syria during its next meeting. And in the process, it just might generate enough credibility regarding IAEA effectiveness to forestall an airstrike -- Israeli or American -- against Tehran's nuclear facilities.

Hovering in the background is Syria's tentative reopening of peace talks with Israel. The November 20 Financial Times nicely summed up the situation, describing these talks as "a get-out-of-jail-free card [when] Syria has not changed its regional behavior. [French president] Sarkozy, nonetheless, invited [Assad] to a summit in Paris. . . . The message this sends to the Middle East is disastrous."

Patrick Clawson is deputy director for research at the Washington Institute; David Schenker is a senior fellow and director of the Program on Arab Politics at the Institute.
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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 12:48
Je suis Guilad - I am Guilad

 

http://www.road90.com/watch.php?id=bKWp3yA1RW



2 votes
From: GuiladShalit
Added: November 21, 2008
Duration: 00:56
Views: 522 views
Category: People
Elie Chouraqui a realise ce court métrage pour sensibiliser les français au sort de Guilad Shalit, otage franco israéien, enlevé en Juin 2006 et détenu en contradiction avec la convention de geneve et a lencontre des plus élémentaires considerations humanitaires.
Pour tout savoir sur Guilad Shalit : www.guiladshalit.com

Répondez a lappel de Jean-Christophe Fromantin, maire de neuilly, et Elie Chouraqui, réalisateur, venez « courir en blanc pour Guilad Shalit et pour la Liberté » Dimanche 23 Novembre 2008 a 11h00 départ devant la Mairie de Neuilly Sur Seine.
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 17:51

Condamnation en Syrie pour la participation du roi saoudien à la Conférence de dialogue œcuménique

[Source : Al-Watan, Syrie ; champress.net, 16 novembre 2008]


Dans sa chronique du quotidien syrien Al-Watan, Suheir Muhammad attaque le monarque saoudien Abdallah bin Abd Al-Aziz, l´accusant d´avoir dîné à la même table que « l’assassin criminel » Shimon Pérès, président d’Israël, qui « affame un million et demi de Palestiniens dans la bande de Gaza et leur coupe l’électricité. »

Le site Champress.net, proche des autorités syriennes, a mis en ligne une photo du roi d´Arabie saoudite et du président américain Bush trinquant à la conférence, et se demande si le roi boit du vin, ce qui est interdit par l’islam.

Lire : http://www.thememriblog.org/blog_personal/en/11432.htm

* * * * * * *

Pour plus d´infos : http://www.thememriblog.org/.

MEMRI BLOG

Ligue arabe : une conférence arabe pour enquêter sur le réseau terroriste de Damas

[Source : Okaz, Arabie saoudite, 16 novembre 2008]

Le quotidien saoudien Okaz rapporte que la Ligue arabe proposerait à la Syrie la création d´un comité arabe d´enquête sur le réseau terroriste Fatah Al-Islam à Damas.

Le journal ajoute que l’établissement d’un tel comité dépend de l’approbation de la Syrie. Des sources de la Ligue arabe au Liban ont estimé que les accusations réciproques que la Syrie et les forces du 14 mars s´envoient sur les origines du réseau requerraient l’intervention d’une tierce partie chargée d´établir qui est juridiquement et politiquement responsable de ses actions.

Lire : http://www.thememriblog.org/blog_personal/en/11448.htm

 

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 17:33


















Hezbollah, an Imminent Danger
By OLIVIER GUITTA (Middle East Times)

Published: November 17, 2008
ROOTS OF HEZBOLLAH -- Members of the Basij volunteer militia established by Iranian revolutionary leader Ayatollah Khomeini wave Hezbollah and Iran's national flags as they attend a rally on al-Quds day (Jerusalem Day) in Tehran on Sept. 27. Jerusalem Day, an annual day of protest decreed in 1979 by Khomeini saw people across the Middle East demand that the holy city be returned to Palestinian control. (UPI)
http://www.metimes.com/International/2008/11/17/hezbollah_an_imminent_danger/5433/


































CIA Director  Michael Hayden said last week that al-Qaida was still the largest threat to the United States. He added, "If there is a major strike on this country, it will bear the fingerprints of al-Qaida."

But some analysts say that the focus should not go entirely on al-Qaida, stressing that the capabilities of the Shiite organization Hezbollah should not be underestimated.

Pre Sept. 11, 2001, Hezbollah was the organization believed to be responsible for the deaths of the largest number of Americans killed in terrorist attacks. Former Deputy Secretary of State Richard Armitage called Hezbollah "the A-team of terrorists, while al-Qaida may actually be the B-team."

Today in a context of major tension with Iran regarding its nuclear program, Iraq and Lebanon, just to mention a few, intelligence analysts warn that the Hezbollah threat against the West should not be taken off the radar.

Hezbollah is believed to maintain a vast network of operatives across the world; from Europe to Africa to the Middle East, to Latin America and even North America.

In Africa, and in particular in the predominantly Sunni Maghreb, extremist Shiites are making inroads. The threat of potential Shiite terrorism is something Morocco knows something about, having dismantled earlier this year a large terrorist cell known as the Belliraj network. Members of this cell included a correspondent of the Hezbollah-run Al-Manar TV. According to intelligence sources they were planning terror attacks in Morocco.

Hezbollah has long had a presence in Latin America. It is believed to maintain a large base of operations in the tri-border area where Paraguay, Brazil and Argentina converge.

Following the assassination by Israel of its leader Abbas Moussawi, Hezbollah launched in 1992 and 1994 two terror attacks in Buenos Aires against the Israeli embassy, killing 29 people and the Jewish community center, killing 85.

Intelligence sources say that Hezbollah's activities in Latin America have expanded into Venezuela and other countries. In October 2006 homemade bombs were left in front of the U.S. embassy in Caracas. Police subsequently arrested a student in possession of Hezbollah material in Spanish.

Europe presents other possible targets. Counterterrorism officials, especially in Europe, are sometimes privately more concerned by Hezbollah than al-Qaida. Intelligence officials say that infiltrating the movement is almost impossible, mostly because of the lack of a large Shiite population on the continent, and when compared to Intel on Sunni terrorist groups, European law enforcement officials say they are almost blind.

Hezbollah has an impressive network in Europe with, according to intelligence officials, operatives in Belgium, Bosnia, Britain, Bulgaria, Croatia, Cyprus, Denmark, France, Germany, Greece, Italy, Lithuania, Norway, Romania, Russia, Slovenia, Spain, Sweden, Switzerland, Turkey and Ukraine.

Germany is thought to have about 900 Hezbollah members and authorities fear it could become a target. A recent report issued by Germany's security services, says Hezbollah could launch damaging terrorist attacks in Germany, the UK and elsewhere in Europe. British authorities confirmed recently that Hezbollah sleeping cells disseminated throughout the UK are threatening to strike in case of attacks against Iran.

The Middle East remains the region where Hezbollah can inflict the most damage to the West. Being clearly in command in Lebanon, UNIFlL forces in southern Lebanon remains vulnerable to attacks.

Hezbollah's arsenal is impressive and includes some 40,000 rockets that have been supplied by Iran, Syria and Eastern European countries. These weapons could also end up in the hands of the insurgents in Iraq.

Finally, Hezbollah could also be a threat to the U.S. homeland. In February 2004, then-CIA Director George Tenet stated that Hezbollah had cultivated an extensive network of operatives on American soil and an "ongoing capability to launch terrorist attacks within the United States."

After its most successful operative, Imad Mughnieh, was assassinated in Damascus in February, the FBI and Department of Homeland Security warned state and local law enforcement agencies of a potential risk of Hezbollah's revenge against targets in the United States.

Hezbollah's activity in the United States has so far been limited to major fund raising through business ventures, criminal activity (such as cigarette smuggling) and donations from supporters. Some experts think that Hezbollah would never dare attack the United States on its soil because it would endanger its huge fundraising operations. This, say others, might be wishful thinking. A confrontation with Iran could well change that.

--

Olivier Guitta, an adjunct fellow at the Foundation for the Defense of Democracies and a foreign affairs and counterterrorism consultant, is the founder of the newsletter The Croissant (www.thecroissant.com).

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 16:14
Les chars israéliens dans Gaza

AP

mardi 18 novembre 2008

Les chars israéliens sont entrés dans le sud de la Bande de Gaza entraînant la riposte des terroristes palestiniens du Hamas à coups d’obus de mortier et de roquettes, venant sans doute compromettre définitivement le fragile cessez-le-feu qui tenait depuis le 19 juin. Il s’agit de la première incursion terrestre d’envergure depuis une semaine.

Après près de cinq mois d’un calme relatif, Israël et les terroristes du Mouvement de la résistance islamique échangent régulièrement des tirs depuis deux semaines. La trêve du 19 juin expire le mois prochain et les deux parties pourraient tenter d’obtenir davantage dans les négociations en vue de la reconduction du cessez-le-feu.

Les chars de Tsahal appuyés par un bulldozer et une Jeep militaire ont pénétré environ 250m à l’intérieur de l’étroite bande côtière palestinienne, selon des habitants et des responsables de la sécurité palestinienne à Gaza. Selon d’autres habitants, les soldats ont nivelé le terrain le long de la frontière à l’est de la ville de Rafah. Les chars n’ont pas répondu aux tirs palestiniens.

Au nord de la Bande, dans le quartier de Al-Boura à Beit Hanoun, plus tard dans la matinée les forces israéliennes ont ouvert le feu sur de membres des Brigades Abou Ali Moustafa, l’aile armée du FPLP.

Tsahal a décrit l’opération comme "une opération de routine destinée à découvrir des dispositifs explosifs près de la bordure sud de la Bande de Gaza".

Des responsables des forces de sécurité de Gaza ont annoncé que l’armée israélienne s’était retirée de la zone en début d’après-midi.

Selon un décompte de l’armée israélienne, les Palestiniens ont tiré plus de 140 roquettes et d’obus de mortier sur le territoire de l’Etat hébreu depuis deux semaines. Dans le même temps, au moins 17 palestiniens ont été tués et Israël a imposé un blocus des marchandises en direction de la Bande de Gaza contrôlée par le Hamas à la suite d’un coup de force en juin 2007.

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 07:52
Façon de démontrer que, contrairement à Abbas, c'est le Hamas qui influence le plus le choix des Israéliens.
Hamas to maintain missile blitz up to Ashdod – until Israel’s February poll

DEBKAfile Exclusive Report

November 17, 2008, 11:07 AM (GMT+02:00)

Hamas flexes muscles in Gaza

Hamas flexes muscles in Gaza

DEBKAfile’s military sources report that Israeli government leaders have misread the motives behind Hamas’two-week missile-rocket-mortar assault on Israel as jockeying for better terms when the six-month truce comes up for renewal next month. Their decision to mute Israel’s military response to the ongoing violence stems from their misplaced expectation that the attacks will stop once the truce is in the bag.

Israeli intelligence circles challenge this perception. They estimate that Hamas will continue escalating the violence at least up until Israel’s general election on Feb. 10, 2009, forcing more than a quarter of a million suffering citizens to live on a never-ending knife edge.

The Hamas rationale falls into three parts:

1. The 25-kilometer range Grad multiple-launch rockets, which the radical terrorists have vowed to continue firing against the Mediterranean port-town of Ashkelon, will also be directed further north to Ashdod, Israel’s most important port after Haifa. This will keep Hamas at center stage of Israel’s election campaign and demonstrate who really influences the Israeli voter. This maneuver, learned from the Palestinian master terrorist, who used to step up the violence before Israeli elections, will put rival Fatah leader Mahmoud Abbas, whose “peace talks” with Israel came to naught, in the shade.

2. Hamas is not scared by the prospect of the Olmert government being driven to a major military operation in Gaza. Its leaders calculate that it will be so costly in casualties for the Palestinian population and Israeli troops alike that an international outcry will force the IDF to cut the campaign short without achieving its goals.

3. Forcing the Israeli army to withdraw without a victory will enhance Hamas’ standing in Gaza and the West Bank – just like Hizballah after the 2006 Lebanon war.

In Hamas’ view, the compromise proposals put forward by Egyptian intelligence minister Omar Suleiman in his bid to broker a Palestinian power-sharing deal was biased in favor of Abbas and his Fatah. This left the Hamas free to walk away and instead build up its violent assaults on Israeli towns and villages.

Despite the ongoing missile attacks, Israel decided Sunday, Nov. 17, to allow 30 trucks of humanitarian aid through to Gaza. However, fuel consignments have been stopped until further notice.

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  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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