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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 17:32

Pensées pour nos familles



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Il y a quelques mois Europe-Israël écrivait aux 11 membres de la Commission du Dictionnaire de l’Académie Française afin de suggérer que le mot « Shoah » rentre enfin dans le dictionnaire. Nous avons déjà reçu 5 réponses positives dont celle de Mme Hélène CARRÈRE d’ENCAUSSE, Présidente de la Commission du Dictionnaire.

Notre lettre à l'Académie Française :


Europe Israël demande à l’Académie Française de faire rentrer

le mot Shoah dans le dictionnaire

 

En effet, contre toute attente le mot « Shoah » ne fait pas partie du Dictionnaire de l’Académie Française. Cela peut sembler aberrant mais c’est pourtant ainsi, l’un des évènements majeurs du XXème siècle n’est toujours pas entré officiellement dans le Dictionnaire.

Si notre demande auprès de l’Académie Française aboutie le mot « Shoah » pourrait rentrer dans la dixième édition du Dictionnaire de l’Académie Française.

Rappelons que le mot « Shoah »,  (שואה  ), est un nom commun qui signifie "anéantissement", mais aussi "cataclysme", "catastrophe", et qui a été pour la première fois employé en 1944 parle juriste Raphaël Lemkin afin de désigner l'extermination des Juifs d'Europe.

Claude Lanzmann qui cherchait un titre pour son film choisit de ne pas utiliser le terme couramment employé à l’époque pour désigner l’extermination des Juifs d’Europe, le terme « Holocauste », en raison de sa connotation religieuse et sacrificielle   impropre. Ne trouvant pas de titre approprié pour désigner ce qu’il appelait « la Chose », il décida d’utiliser le mot « Shoah » terme utilisé par des Rabbins après la guerre pour désigner cet évènement.

C’est ainsi que le mot « Shoah » commença à rentrer dans le langage usuel français mais aussi mondial. Il est désormais ancré profondément dans notre culture nationale à tel point qu’il existe à Paris un Mémorial de la Shoah. Même les correcteurs orthographiques des logiciels reconnaissent le mot « Shoah »…

Aujourd’hui, le mot « Shoah » fait partie intégrante de notre langage mais aussi de notre héritage historique. L’extermination systématique par l’Allemagne Nazie des trois quarts des Juifs de l’Europe occupée est un évènement majeur du XXème siècle qui a profondément marqué les générations successives.

Le terme « Holocauste » employé tout de suite après guerre a peu à peu été abandonné en raison de sa connotation religieuse et sacrificielle

Le terme « génocide » utilisé dans les manuels scolaires pour évoquer l’extermination des Juifs est aujourd’hui largement dévoyé de toutes parts. En effet, si vous tapez dans Google le mot génocide vous trouverez 15 700 000 pages de résultats.

Or en explorant les premières pages de résultats, aucune ne parle du génocide des Juifs d’Europe. Vous y trouverez le Rwanda, le génocide Arménien et bien d’autres mais ce n’est qu’en seconde page du premier moteur de recherche mondial que l’on trouve enfin une page liant le mot génocide et l’extermination des Juifs… Signe des temps.

Le mot génocide est par ailleurs employé largement pour qualifier toutes sortes d’exactions meurtrières ou morts de populations civiles, banalisant ainsi comme « un génocide de plus » l’extermination systématique des Juifs en Europe occupée.

C’est ainsi que l’on peut lire des défenseurs de la cause Palestinienne que le sort des Gazaouis est comparable au sort des Juifs dans les camps d’extermination.

Par ailleurs, si le mot « Shoah » rentre dans le Dictionnaire de l’Académie Française l’extermination des Juifs d’Europe ne pourra décemment plus disparaitre des manuels d’histoire et les professeurs ne pourront plus être accusés d’enseigner la « Shoah ».

Si le mot « Shoah » rentre dans le Dictionnaire ce serait ainsi un symbole fort de l’Académie afin de « sacraliser » historiquement par un terme particulier cet évènement majeur de notre histoire française et européenne.

Le mot « Shoah » reconnu enfin par tous « sanctuariserait » l’Extermination des Juifs d’Europe et empêcherait toute tentative révisionniste.

Nous espérons que le Mémorial de la Shoah, qui fait un travail admirable de mémoire, et le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France appuieront notre demande auprès de l’Académie Française afin qu’elle aboutisse.

Jean-Marc MOSKOWICZ
Président d’Europe Israël

Copies à Yad Vashem et United States Holocaust Memorial Museum

A mon grand-père mort à Auschwitz en mai 1942 et à mon père survivant de la Rafle du Vel d'Hiv.

Aux 6 millions de Juifs exterminés dont 1,5 millions d'enfants…

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10 juin 2011 5 10 /06 /juin /2011 11:57

 

 

La monstruosité du régime baathiste syrien (le même que celui de Saddam Hussein), capable de torturer et d'assassiner un gosse de 13 ans, capable d'assassiner des policiers de base (mutinés en réalité) pour faire croire à l'existence de groupes "terroristes", capable de tirer sur des funérailles (mais toujours guère critiquée par la gauche DSK et autres verts préférant s'en prendre à Israël)montre bien que le régime totalitaire baathiste a été et qu'il est sans doute encore, l'une des sources principales de l'instabilité dans la région, surtout après avoir été le dépositaire du pouvoir de nuisance de son frère de sang, le régime baathiste saddamiste, puisque celui a été jusqu'à lui confier ses armes de destruction massive.Pour preuve d'ailleurs la capacité du régime syrien à se doter peu après 2003 d'une centrale nucléaire détruite par Israël.

A ce propos, il conviendrait pour ce dernier pays de profiter de la situation en Syrie et dans les pays dominés par l'islamo-arabisme pour montrer qu'il sait gérer des mécontentements et des manipulations en envoyant plutôt des forces de police que l'armée lors d'émeutes. Certes, des centaines de fanatiques se sont rués sur la frontière du Golan, mais ne pouvait-on pas les arrêter par un dispositif policier comme dans les territoires contestés plutôt que de donner le flanc à toute une propagande qui s'active de plus en plus en France et ailleurs, avec à sa tête un Pascal Boniface qui vient d'adouber le Hamas comme force légitime dans son dernier livre ? N'est-il pas temps pour Israël de prendre au sérieux la communication de sa politique ? De faire des propositions à ses voisins comme l'Egypte, la Jordanie, mais aussi la Tunisie, le Maroc, non seulement des joint ventures conjoncturels via des sociétés écran, mais aussi des débats sur ce qui s'est "vraiment" passé en 1947-1948 ? Pourquoi Israël ne demande pas à l'UNESCO l'organisation d'une conférence mondiale avec retransmission en direct ? Et pourquoi ne pas l'organiser en cas en cas de refus vraisemblable ? Le combat se situe surtout là pour l'instant. Or, pour le moment, dans les livres d'Histoire pour écoliers on apprend en tout cas en France et ce de plus en plus la version officielle "palestinienne", omettant en plus l'expulsion des Juifs des pays dominés par l'islamo-arabisme alors qu'ils étaient là dans ces pays plusieurs siècles avant son invasion...chose que Obama a oublié de rappeler...

Nous sommes en France dans un climat délétère sur cette question, le vieil antisémitisme se transformant en effet en antisionisme par principe, rien de nouveau, tandis que les plus hypocrites font mine de renvoyer dos à dos les "propagandes" alors qu'il n'est pas possible d'agir ainsi, mettre en équivalence une propagande totalitaire et les faits historiques validés par une cohorte d'historiens sérieux, y compris par ceux d'entre-eux, israéliens, qui ont été un temps ébranlé par les pleureuses palestiniens, mais qui, devant les faits, sont revenus à plus d'objectivité (par exemple Benny Morris dans son 1948).

Ce climat délétère ne touche pas seulement Israël (alors que pas une manifestation s'organise devant l'ambassade syrienne) mais aussi tous ceux qui osent ne serait-ce qu'émettre des réserves sur l'état de décomposition avancée de la morale républicaine, de la morale tout court parmi certaines élites sûres d'elles et donc dominatrices (de telle sorte que le refus d'une femme de chambre, d'une journaliste, d'une employée de mairie, apparaît inconcevable)

Ferry paye justement le fait qu'il refuse l'Omerta, et il se fait attraper par ce chien de garde du nihilisme ambiant qu'est devenu le Canard Enchaîné parce qu'il a bousculé le conformisme de la feu contre-culture, en fait très fasciste (façon République de Salo filmé par Pasolini) qui fait du sexe débridé un enjeu politique, une nécessité absolue, la preuve que l'on fait de sa vie une oeuvre d'art qui frôle avec la vie des dieux façon romantisme germain, les dieux de l'état de nature que l'on critiquera bien sûr en économie mais que l'on encensera dans les moeurs pour montrer sa révolte son refus des institutions qui "enferment" et (a)dressent le corps : ce n'est pas un hasard d'ailleurs que les idéologues du "gender" (dont Eric Fassin qui racialise le débat sur la délinquance et l'immigration) fasse une apologie de Foucault qui révérait Sade, défendait la pédophilie lors de l'affaire Polanski ; or, pour certains, il faut devenir Médée, (pas étonnant que l'égérie ultra nihiliste Isabelle Huppert l'ait incarnée) il faut devenir Brutus disait Blanchot, il faut tuer Juliette, il faut devenir satyre, surtout dans son privé (et devant sa porte le Canard y est enchaîné et donc veille) tout en affichant en public un visage de marbre, dénonciateur des "inégalités" ; cette philosophie schizophrène, théorisée par Deleuze, ami et espoir de Foucault, fondement des idéologues du "gender", (ou du cuir au"queer") est aujourd'hui la face de craie de tous ces Dorian Gray qui assène avec violence "circulez il n'y a rien à voir") tout en montrant du doigt Marine Le Pen bien sûr : voulez-vous donc un ordre moral scrogneugneu ? Ne voyez-vous donc pas que par nos moeurs nous luttons contre le Système ? Pas de problèmes ! susurra le juge d'application des peines en libérant le violeur récidiviste qui s'avère être un combattant, mais oui, de la cause anti-libérale.

Nous marchons sur la tête (sans avoir même besoin de lire Hegel), à ce compte là Caligula, qui n'est pas le dernier jouisseur venu, avait raison de proposer son cheval comme consul. Je propose mon chat, Léonardo, qui me semble assez féru en économie (de croquettes). Mon pouce ne peut donc que désigner le sol. Fin de partie. Puisque Godot ne viendra pas (il a été kidnappé au Sofitel par l'Empire du Bien).


http://www.lapouledechainee.fr/?p=196

http://www.lucien-sa-oulahbib.info/article-a-propos-de-la-syrie-de-ferry-etc-76239301.html

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2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 08:18


La guerre des mots 

Par Nathalie Elgrably-Lévy

© 2011 www.aschkel.info

Il y a déjà plus de 2000 ans que le célèbre philosophe grec Platon écrivait que « La perversion de la cité commence par la fraude des mots ». Plus récemment, Albert Camus déclarait que « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ». À une époque où les hostilités entre la « gauche » et la « droite » ont été clairement déclenchées, cette citation est plus pertinente que jamais. Et si le mauvais usage des termes avait fait dérailler le débat?

La gauche, que l’on dit progressiste, réclame la redistribution des richesses, l’égalité sociale, la tolérance des différences et la solidarité. La droite, que l’on qualifie de conservatrice, est associée à la défense des intérêts économiques privés, à l’intolérance et aux respects des traditions. Par exemple, sur une question d’ordre social, comme le mariage gai ou l’avortement, la gauche demande que l’État intervienne pour les autoriser, tandis que la droite voudra une législation pour les interdire. Sur les questions d’ordre économique, comme la fiscalité ou les échanges internationaux, la gauche voudra des privilèges pour certains groupes. La droite… idem!

Les idéologies de gauche et de droite ne visent peut-être pas les mêmes objectifs, mais elles empruntent le même moyen, soit l’étatisme. L’une comme l’autre est convaincue de sa supériorité morale et veut utiliser le bras de l’État pour intervenir dans l’économie et dans la vie des individus afin d’imposer par la force sa vision du monde et son projet sociétal. 

Or, qu’il soit de gauche ou de droite, l’étatisme est toujours synonyme de coercition et de réduction des libertés. Dans certains cas, l’érosion des libertés a été graduelle et pacifique. Dans d’autres, elle a été rapide et meurtrière, comme dans le cas du communisme et du nazisme. 

Comme il existe des étatistes de gauche aussi bien que de droite, cette dichotomie est maintenant anachronique, stérile et vide de sens. Il importe donc de redéfinir le débat pour ce qu’il est réellement, soit une antinomie entre l’étatisme et le respect des libertés individuelles, ou le libertarianisme. À défaut d’utiliser les termes appropriés, les efforts déployés pour y voir plus clair resteront vains.

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 07:35


 

Un énorme gros merci à chalom-jerusalem pour l'envoi de ces deux vidéos, les lecteurs apprécieront !!!

 

Merci GUY

 

Pour ma cop Danièle qui n'a pas pu assisté à la conf car COMPLET !!!

 

Lire aussi > Émeute à Jérusalem pour la conférence de Guy Millière Par Gisèle NINIO-GRYNBERG

 

 

 

 


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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 13:42


www.israel7.com

Le célèbre présentateur de la « Fox TV » américaine veut organiser à Jérusalem cet été ce qu’il avait fait à Washington en août dernier, où il avait réuni des dizaines de milliers de personnes devant le Mémorial Lincoln sous la bannière de « Restaurer l’honneur » (américain). Cette fois-ci, ce républicain qui ne cache pas son soutien inconditionnel à Israël, a fait part de son immense inquiétude quant aux événements qui s’annoncent dans les mois qui viennent concernant les Juifs et Israël. Il mobilise maintenant ses auditeurs, téléspectateurs et internautes pour se rendre au mois d’août en Israël et organiser un méga-rassemblement qui fera le tour des murailles de Jérusalem afin de soutenir Israël face aux manœuvres qui visent à l’abattre. Il a appelé ce projet « Restaurer le courage ». « Je veux que nous montrions au monde entier ce que veut dire vivre une vie de foi et de courage », déclare Beck, et prenant l’exemple des années qui ont précédé la Shoah, la passivité et la lâcheté des nations face à ce qui se préparait méthodiquement, il prévient : « Je ne veux pas que l’on puisse un jour nous reprocher de n’avoir une fois de plus rien fait pour défendre les Juifs et Israël ». Le charismatique animateur se dit persuadé « que le plan de créer deux Etats et de diviser Jérusalem est destiné à remplacer les balles et les fusils pour détruire Israël et voler Jérusalem, qui est le centre des fois juive et chrétienne ».
« Et même si je suis seul, je serai-là, debout », rajoute-t-il.

Pour regarder son émouvant appel qui fait chaud au coeur en cette période trouble:

 

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 21:51

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Kotel ou Kaaba ? La guerre spirituelle…

 

 

©François Celier, Pasteur et écrivain


François Célier se fait reporter en direct du front

de la guerre spirituelle qui fait rage

 libertyvox.com 


Merci de prêter attention à cette guerre spirituelle qui se déroule sous nos yeux et que je tente d’analyser et de communiquer à ceux qui l’ignorent ou la sous-estiment car de fait, elle n’est pas du tout prise en compte par les politiques et leurs médias, polarisés qu’ils sont par la pensée unique.

 

            Sur un plan, disons métaphysique, deux visions du ciel et de la terre me paraissent totalement antagonistes : Kotel ou Kaaba ? Yéroushalaïm ou la Mecque ?

Ha’Shem ou Allah ? Moïse et Jésus ou Mahomet et Mahdi ? Coran et hadîts ou Thora et Evangile ? Droits de l’homme ou glaive de la Charria ? Démocratie et liberté ou Communauté et mosquée ?

 

           Pour les adorateurs de la Kaaba (1), haut lieu sacré d’Allah le Miséricordieux, anéantir le Kotel (2), haut lieu de la spiritualité des juifs enHa’Shem d’où émane son amour et la vérité, constituerait le préliminaire religieux et géopolitique le plus extraordinaire de tous les temps, seul scoop susceptible d’entrainer la mobilisation de centaines de millions de musulmans au grand jihad planétaire.

            Dans cette perspective d’irrationalité ultime, quoique, Ahmadinejad ne déclare-t-il pas expressément qu’il va atomiser Israël et Jérusalem ? 

            Se pourrait-il que la tragédie occidentale du 11 septembre 2001 ne fut qu’un essai expérimental grandeur nature, permettant aux stratèges de l’idéologie islamiste d’analyser les réactions des leaders politiques et de leurs médias, de même que l’impact d’effroi psychologique exercé sur les citoyens des nations occidentales ?

 

            Les islamistes n’ignorent pas que la troisième guerre mondiale -qu’ils ont la possibilité de déclencher-, sera non seulement totalitaire, mais surtout d’envergure eschatologique, autrement dit politico-religieuse. Aussi préparent-ils avec zèle la voie royale du douzième Mahdi messianique et son Califat planétaire (3).

            Par ailleurs, 25 ans après Tchernobyl, nous voyons sur nos écrans les dégâts dévastateurs d’un accident nucléaire japonais s’échappant de trois réacteurs quasiment incontrôlables. Et dans le monde entier, des images montrent le drame d’un  tsunami conjugué au péril de prolifération nucléaire, qui étreignent les cœurs et les esprits. Bouleversés, tous les peuples se sentent interpellés au plus profond d’eux-mêmes.

 

            La troisième guerre mondiale qui s’ordonnance sous nos yeux, à la fois religieuse, géopolitique et économique, impliquera l’usage d’armes atomiques. C’est pourquoi pour beaucoup de penseurs, elle relèvera d’un ordre métaphysique. Un millénaire avant notre ère des prophètes hébreux nous en avertissait déjà :

             «  Or, voici de quelle plaie l’Eternel frappera tous les peuples qui auront fait campagne contre Jérusalem : leur chair se décomposera, eux étant encore sur pied, leurs yeux s’useront dans leur orbite, et leur langue pourrira dans leur bouche. En ce jour, règnera parmi eux une grande perturbation de par l‘Eternel ; l’un saisira la main de l’autre , et la main de celui-ci s’élèvera contre la main de l’autre ». Zacharie 14 :12-13 

 

            Stupéfiante prédiction des effets de la radioactivité sur les hommes d’aujourd’hui qui, depuis soixante sept ans, étaient parvenus à instaurer une période d’équilibre de la terreur, empêchant ainsi le déclenchement d’un conflit atomique.

            Or, la dimension irrationnelle de la mystique islamiste implique cette éventualité suicidaire, au nom d’Allah. Elle peut passer outre sans craindre qui que ce soit car les conséquences en pertes humaines sont pour elle théologiquement dédouanée par le Saint Coran, pour la cause d’Allah.

            De nos jours, le grand ébranlement qui secoue le monde arabe et le regain de l’islam -demeuré inamovible et toujours médiévaliste dans ses dogmes-, déconcerte l’Occident.

            Actuellement, sans concertation préalable, comme allant de soi, des populations de nombreux pays musulmans fourbissent leurs armes pour des engagements révolutionnaires, pacifiques dans un premier temps, puis à balles réelles. Ces contagion ressemblent à une réaction en chaine. Serait-elle commandées par une puissance cachée ?

 

            Des peuples mahométans se révoltent dans plusieurs pays du Moyen-Orient.

Ils s’ébrouent, hurlent et se défont d’une trop lourde charge de peurs programmées et orchestrées par leurs potentats présidents. Seraient-ils poussées –subconsciemment- d’en découdre uniquement avec leurs guides et pères ? Envers le monde occidental, objet de frustrations insupportables et de convoitises ? Envers les américains déclinant de leur prééminence ? Et enfin, in fine, envers le minuscule et toujours présent Etat d’Israël, l’adversaire séculaire ? Ou bien, une curiosité légitime de découvrir l’odeur et la couleur du mot liberté ? Crainte aussi d’un déclin énergétique qui priverait leurs enfants de goûter aux fruits des pétro-dollarifères et du consumérisme ? Serait-ce une sorte de baroud d’honneur millénariste conjuratoire, à la « à dieu va ? »

 

            Quel est en fait le moteur qui gronde pour donner force à cet irrépressible chambardement ? Débouchant sur quoi au juste ? Un concept de démocratie islamique ?

Improbable et illusoire car sera dans l’impossibilité de dissocier le Sacré du Politique, le Coran de la Charia. Telle l’aiguille aimantée d’une boussole religieuse indiquant le magnétisme spirituel de Jérusalem, les musulmans tournent leurs faces vers ce haut lieu spirituel, comme le fit jadis leur guide Mahomet, avant que les juifs ne refusassent de le reconnaître Prophète et que, par dépit, ce dernier se tourna vers la Mecque ?

            Que d’étrangetés ontologiques sur lesquelles s’interroger et méditer pour les intelligents que nous devrions être…

             

            Ce vivace, coriace et irréductible petit pays israélien est toujours planté comme une écharde ulcérant dans l’immense corps des terre arabespatiemment conquises en quatorze siècles de razzias, d’esclavagisme et de duplicité.

            Israël demeure depuis toujours la cible et l’enjeu stratégique majeur, non seulement pour continuer la conquête du monde des infidèles, mais plus encore, parvenir s’il se peut à détruire le cœur de Jérusalem et son Kotel, présence etprunelle de l’Eternel posée en Sion.

             Autrement dit, les islamistes se doivent de posséder la bombe atomique pour conquérir Al Qod, ou disparaître de l’Histoire.

            Contrairement à l’évolution séculaire des nations occidentales, le monde de l’islam ne peut perdurer que par son dogme d’expansion territoriale, un espace vital qui doit se développer incessamment, contraint qu’il est par l’exigence des exhortations coraniques à croître spatialement et temporellement.

            Cette politique expansionniste diffère en cela de celles des peuples fidèles aux codes éthiques et spirituels de la Torah et de la Bible judéo-chrétienne.

 

            Autre particularité de l’islam, la haine viscérale -innée - qui l’habitat dès sa naissance en 632, puis sa peur mystique congénitale, réactivée par la renaissance d’Israël en 1948. Cette  stupéfiante parturition étatique, reconnue à contrecœurs par les nations onusiennes (la providence y veillait), explique la raison de leur désaveu actuel.         L’existence d’Israël au XXIème siècle risque de mettre en question la croissance de l’Oumma, édifiée par manigances et guérillas de conquêtes, entrecoupées de longues périodes d’attentisme patient.

            Jusqu’alors sans péril ni alarme, voici que l’islam du XXème siècle se trouve confronté à une menace existentielle inattendue : la critique scientifique et historique de ses sources, le dévoilement des inexactitudes de son exégèse et l’adjuration de ses dogmes meurtriers engendrant un terrorisme aveugle irrecevable.

 

            D’autre part, la peur d’apostasier et de contrevenir aux absolus du  jihaddans lequel les fidèles doivent bon gré, mal gré s’engager ; les découvertes d’historiens islamologues honnêtes sur les falsifications coraniques (plusieurs fois réaménagés aux deux premiers siècles), les contre-vérités historiques, les fabulations rajoutées, les plagiats bibliques, l’inversion des valeurs humanistes et enfin, l’astucieuse  musulmanisation des prophètes hébreux de la Thora, de Jésus le juif, de sa parenté et de ses disciples, tous juifs.     

            Ce nouvel éclairage et ses remises en question dorénavant possibles amènent leurs fidèles à refuser tout aggiornamento et à éprouver divers effets nocifs d’une sorte de schizophrénie collective à caractère religieux.

 

            Les juifs fidèles (certains ne le sont pas) depuis près de quatre millénaires et les judéo-chrétiens fidèles (de moins en moins nombreux) depuis deux millénaires, partagent une même conviction, celle de croire que la restauration de l’état d’Israël n’est pas uniquement le fait d’une tragédie politique génocidaire fomentée par un national-socialisme qui engendra l’égarement d’une partie de l’Europe civilisée jusqu’à la faire complice de la Shoa, degré zéro de l’inhumanité, mais aussi par l’évidente preuve de la fidélité de Dieu à Sa Parole et aux Promesses qu’il fit à Abraham et à la postérité d’Isaac et de Jacob.

            « Cette alliance , établie entre moi et entre toi et ta postérité dernière , je l’érigerai en alliance perpétuelle, étant pour toi un Dieu comme pour ta postérité après toi.

            Et je donnerai à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaam, comme possession indéfinie ; et je serais pour eux un Dieu tutélaire ». Genèse 17 : 7-8

 

            Pour les judéo-chrétiens du 1er siècle, le jugement des nations était prophétisé en prévision d’une époque semblable à la nôtre, impliquant une guerre mystique totalitaire, des pays entiers criblés de foyers insurrectionnels, d’anarchie généralisée, de terrorisme aveugle, d’effondrement monétaire et économique, d’accélération de catastrophes naturelles, tremblements de terre, éruptions volcaniques, dislocations des fonds sous-marins, pénuries énergétiques et céréalières provoquant des famines effrayantes et des maladies inconnues qui ravageront des peuples entiers.

 

            Matthieu, un des rédacteurs hébreux évangélique écrivit la réponse de Jésus à la question qui lui fut posée sur la fin des temps :

            « Prenez garde que personne ne vous séduisent, car plusieurs viendront sous mon nom, disant : c’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens.

            Vous entendrez parler de guerres : gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tous cela ne sera que le commencement des douleurs.

            Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont , et il se trahiront, se haïront les uns les autres.

            Plusieurs faux-prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens.

Et parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira.

Mais celui qui persévèrera jusqu’à la fin sera sauvé. Matth 24 : 2-13 

 

            C’est pourquoi, juifs et chrétiens en bonne connaissance de la Loi et de la Foi qui les habitent continueront à soutenir Israël, à son droit d’exister, de jouir de la terre que Dieu donna au peuple hébreu en possession éternelle, de proclamer que Jérusalem, la cité de David, est et restera à jamais la capitale éternelle et indivisible du peuple juif.

            Ce contrat divin demeure un absolu qui ne peut qu’exaspérer le monde arabe, issu de la postérité des fils d’Ismaël, pour lesquels d’autres promessesfurent prononcées.

 

            Pour son quatrième millénaire, Israël entre dans une période existentielle cruciale de son mandat terrestre. Bien que cerné de toutes parts, avec la menace grandissante d’une guerre totale avec le monde arabe, associé à une coalition de dizaines de nations onusiennes, la population juive doit demeurer d’autant plus ferme et déterminée à tenir bon. Ses seuls amis véritables seront des chrétiens évangéliques éprouvés et des hommes justes parmi les nations.

            En regard des grandes et puissantes métropoles du monde, la modeste capitale de l’état hébreu, décriée et convoitée, se retrouve à nouveau au cœur d’un conflit majeur qui ne concerne qu’incidemment le pseudo problème Palestinien, artificiellement créé pour servir de prétexte récurrent et accommodant pour des pays, tant arabes qu’occidentaux, par tactique politique, nécessité économique et militaro-énergétique.

 

            Maintenu dans une cécité-surdité-mutité, un très grand nombre de citoyens occidentaux méconnaissent les enjeux d’ordre géopolitique et métaphysique. Méthodiquement endoctrinés sur ce qu’ils perçoivent des mobiles des nations antagonistes, éperdument déboussolées par une pensée unique pernicieuse, s’empresseront d’agréer à l’inique désappropriation de la terre ancestrale des juifs, de leur capitale bien-aimée, réunifiée, épicentre de leur vie spirituelle et prunelle de l’Eternel.

            Par méconnaissance, ils semblent tout-à-fait inconscients des conséquences que cette animosité de propagandes intenses, représentera pour leur propre vie. Quant aux autorités dirigeantes, ayant dédaigné les textes thoraciques et bibliques, ils ignorent tout des avertissements du prophète Zacharie qui prédisait à quel point la colère de Dieu allait s’abattre sur les nations qui monteront contre Jérusalem.

             « Jérusalem sera foulée aux pieds des nations, jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli. Sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire au bruit de la mer et des flots car les puissances des cieux seront ébranlées. »

 

            Pour clore cette réflexion générale qui certes dramatise l’état du monde, je dirais qu’il y a une issue de secours. Que vous soyez musulman, israélite, judéo-chrétien ou croyant en d’autres religions, étant personnellement convaincu de la bonté et de la justice de l’Eternel dont le nom immémorial est JE SUIS, je vous adresse les paroles du poème d’un berger qui devint roi :

            « Dieu est pour nous un abri, une force, un appui dans les tourments, facilement accessible. Aussi, ne craignons rien, dût la terre bouger de sa place, et les montagnes s’abîmer au sein de l’Océan ; dussent ses flots gronder et bouillonner, et les montagnes trembler quand il entre en fureur ! L’Eternel-Cebaot est avec nous, le Dieu de Jacob est une citadelle pour nous ». Ps46 :2-3 / 8

            Quant aux agnostiques sourcilleux et vigilants, aux humanistes affectés de voir tant de détresses humaines et aux personnes foncièrement athées ou l’étant devenues (ce que je fus jadis), osez en votre for intérieur vous adresser à « l’hypothèse » qui se nomme JE SUIS, tels que :« Puisque vous dites ETRE, veuillez éclairer mon entendement sur l’irrationalité qui sous-tend la réalité, le sens de ma vie, et les événements qui défraient ce monde qui se délite sous mes yeux ».


François Celier,

francelier@sfr.fr


 (1)A la Mecque, la Kaaba se présente comme un cube posé au sein de la mosquée sacrée (masjid al-Haram). Tous les ans, un culte spiritoïde de grandes foules musulmanes s’y déroule. Il consiste en une circumambulation autour de la Pierre noire, dans laquelle les anciennes représentations de 360 divinités résidèrent, dont Vénus Uranie, Alita, Saturne, Hubbal, al-Uzza et Manat puis, par le choix de Mahomet, Allah qui les remplaça. Ce nouveau Panthéon religieux fut consacré à sa seule gloire.

 

(2)Le Kotel, ou Mur occidental (HaKotel HaMa'aravi), est un mur de soutènement de l'esplanade du Temple à Jérusalem, datant du premier siècle avant notre ère. Son pan visible mesure 57 mètres et n'est qu'une partie de la muraille occidentale qui mesurait 497 mètres. Selon la religion juive, il est le lieu le plus saint d’Israël par sa proximité archéologique et spirituelle du Kodesh Ha' Kodashim (Saint des Saints), salle dans laquelle seul le Cohen Gadol, (grand prêtre) pouvait accéder une fois par an.

 

(3)Al-Mahdi, le Messie Shiite en particulier, devrait apparaître dans notre temps, because la bombe atomique, seule force apte à réunifier la nation islamique divisée, pour l’établissement du Califat mondial. Muhammad al-Mahdi, aurait disparut pour devenir l'imam caché qui doit redescendre sur la terre et instaurer la justice et la paix. Ahmadinejad semble convaincu que son rôle est de hâter son retour en précipitant le monde dans l’apocalypse. Lorsqu’il était Maire de Téhéran, il fit même construire une autoroute reliant la mosquée Jamkaran (où le Mahdi devrait réapparaître) à Téhéran.

 

 

Ps. Si quelques lecteurs souhaitent connaître d’autres de mes articles, je dispose d’un site internet :

www.francois-celier.com

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 08:24
La peste et le choléra
par Alain Legaret



C’est l’histoire d’un pays où la population souffrait du choléra. Quand les habitants prévenaient les pouvoirs publics, ces derniers répondaient qu’il n’y avait pas de choléra.

Et pourtant, les gens souffraient. 

Et la souffrance allait en grandissant, tandis que les autorités continuaient à ignorer la douleur et à nier le mal.

Sur ces faits, arrive une femme médecin atteinte de la peste. Elle fait savoir qu’il est intolérable que la population du pays souffre et que les pouvoirs publics ne fassent rien.

Elle se propose d’enrayer l’épidémie de choléra.

Immédiatement, les autorités préviennent du danger : « faites attention malheureux ! Ne la sollicitez pas, elle a la peste ! ».


La population est prévenue. Mais que doit-elle faire face au dilemme cornélien: attraper la peste, ou crever du choléra ? 

Les pouvoirs publics successifs, par leur aveuglement volontaire, sont responsables de cet état de fait. 

Ils ont laissé se répandre le mal sans réagir, par calcul politique à court terme, qui devient trahison à plus longue échéance.

Ignorer les symptômes est criminel, que l’on soit médecin ou homme politique.

Car enfin, identifier et juguler à temps ces épidémies dévastatrices est vraiment simple: 

depuis la nuit des temps, elles sont toujours accompagnées d’une montée de fièvre antisémite, grossièrement maquillée, rapidement obsessionnelle, et qui présente les Juifs comme le mal suprême.
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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 12:45

Guetteur, qu’en est-il de l’humanité ?

Un jeu de massacre…

 

IMG 3742

©François Celier, Pasteur et écrivain

 

        

« Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel (Luc, 21, 10-11) ».

 

         « Loï ! Loï ! Pourrait dire le guetteur Isaïe… Des peuples entiers sont plongés dans les alarmes et les larmes. Un même sang rouge irrigue les corps de toutes couleurs de peau. Des tsunamis ravageurs déferlent sur les côtes lointaines. Des radioactivités mortelles sont les fruits aventureux de la science. Ulcérés et cruels, des Rois et Chefs d’Etats sombrent mentalement entre confusion du mal et du haut mal. Egarés qu’ils sont dans les ombres de la vallée de la mort, ils entraînant avec eux dans les affres de la folie qui les habite un grand nombre de leurs sujets. Par cycles imprévisibles se révèlent des signes métaphysiques annonciateurs…

 

         Quand l’ange de la mort fauche des moissons de vivants dans ses terres orientales, européennes, asiatiques, africaines ou américaines, on peut s’interroger sur la raison de ces soubresauts à l’aube du troisième millénaire ; sur la dérive des civilisations humaines les plus avancées, face à la résurgence des barbaries anciennes. Préludes au jugement de l’orgueil des nations ? A l’arrogance des puissants, souriants aux clameurs de haine, sourds aux cris des désespérés ?

 

         Personne n’est à même de se lever pour guider des dirigeants égarés. Dans les temps de dérélictions qui s’ouvrent devant nous, quel prophète élèvera la voix avec des paroles qui éclairent ou alertent des périls à venir ? Quel visionnaire tracera une voie de salut dans l’épaisseur des ténèbres ? Quel génie humaniste ou homme de foi expliquera pourquoi les mots sont menteurs sur les maux qui s’abattent continûment ? Quel homme de dimension spirituelle formulera une projet salvateur ?

 

         Quand la plus abusive des ruses du Diable suborne l’esprit des intelligents et des innocents sur sa non-existence, alors qu’il est plus que jamais présent ; on mesure à quel point les hommes d’aujourd’hui occultent sciemment l’Eternel de leur cœur ; combien ils relativisent leur conscience du bien et du mal, au point de l’inverser à 180°. Grande est leur soif de se vouloir autonome, d’être  je suis par eux-mêmes, de s’affranchir des carcans cultuels et culturels surannés, alors qu’ils s’intoxiquent de mensonges quotidiens, de connaissances dénuées d’éthique, de cupidité et de cynisme, tout en déifiant leurs jeux de modus vivendi futiles ou mortifères.

 

            Qui perçoit le risque de ce que les lumières de la civilisation ne s’éteignent sur l’Europe, matrice vieillissante des sociétés avancées ? Et quand est-il du devoir citoyen d’instruire et de proclamer autour de lui que la violence est inhérente à la théologie de l’islam notamment, à ses dures Lois de la charia ? Violence congénitale endémique dans l’esprit et la lettre de ces fondements médinois exhortant leurs fidèles aux barbaries médiévales pour réactiver la cruauté des razzias, des burqas geôliennes, des crimes d’honneur horribilis, des lapidations, mutilations et décapitations décrétées au nom d’un Akbar miséricordieux ?

 

         Mais en fait, quelle est la dimension numérique de la menace ? Un milliard trois cent millions de musulmans, soit un cinquième de la population mondiale dont la très grande majorité ne sont pas des islamistes. Entre séculiers, agnostiques, athées et membres de croyances diverses, 5 milliards de non mahométans sont assez puissants pour tenir en respect le noyau dur des idéologues et mollahs hégémonistes qui gangrénent le cœur du coran et de l’Oumma. A condition d’être informés, enseignés, organisés et déterminés, quelques centaines d’ex-islamistes rescapés, quelques milliers de musulmans réformateurs et quelques dizaines de milliers de non musulmans éclairés peuvent détruire ces nodules cancérigènes. Il est grand temps de créer un réarmement moral des peuples occidentaux, conscients des rapports de puissances antagonistes, convaincus de la force de nos valeurs historiques démocratiques et du souffle de liberté qui nous meut. 

         Dans le capharnaüm d’un nouveau monde oriental arabe qui cherche à se défaire des tyrannies ancestrales, en quête de nouveaux repères, l’apparition du concept de démocraties islamiques apparaît bien improbable, voire fallacieux, étant miné par une charria sous-jacente, inhérente au coran fédérateur, coercitive et contraignante en regard des valeurs d’indépendances entrevues… en trompe-l’œil. Ces sociétés arabes qui aspirent légitimement à se relooker en habits de libertés s’engendrent dans des révoltes sanglantes, exaltées par des incantations Allahriques. Elles risquent fort de se découvrir des lendemains corsetés de nouvelles frustrations en flash-back.

         Le christianisme est à nouveau la religion la plus persécutée au monde. Des chrétiens qu’on égorge çà et là, des communautés religieuses persécutées en Chine, au Bangladesh, en Inde, au Vietnam, en Indonésie, en Corée du Nord. Bref, là où les chrétiens sont minoritaires, là s’y déclenchent les haines meurtrières, surtout en pays musulmans. Sur les lieux même où le christianisme prit naissance, rayonnant  jadis sur tout le Moyen-Orient, d’ancestrales manières se perpétuent : attentats, crimes, viols et tortures. En Arabie Saoudite, le culte chrétien est puni de mort. En Turquie, les anciennes communautés chrétiennes, antérieures à l’islam, sont amenées à disparaitre (histoire, culture, corps et âmes). En Egypte, les coptes ; au Liban, les maronites, forcés d’émigrer en Occident. En Irak, harcèlement incessant des communautés chrétiennes jusqu’à ce leurs disparition. Partout et en tous lieux, églises attaquées et brûlées, prêtres assassinés... 

               

         Qui d’autres seront les grands perdants des chambardements actuels ? Les Etats-Unis, par fautes et trahisons Husseiniennes de leur Président-fossoyeur, qui les font décliner sur de nombreux plans ; l’Europe, économiquement affaiblie, submergée d’une masse migratoire colonisatrice et la perte de ses valeurs humanistes par la déchristianisation mortelle de son âme ; le Japon en souffrance, qui pense ses plaies et devra lutter jour et nuit pour redresser son pays-Titanic avant de regagner son niveau de croisière techno-économique ; et enfin le sempiternel bouc-émissaire israélien, traqué par la haine irrationnelle d’Amalek, un des innombrables archétypes incarnés du Malin. Au cœur du dilemme métaphysique, une Jérusalem harcelée, pressurée par l’hostilité des nations coalisées. Yéroushalaïm, cœur spirituel d’Eretz Israël, qui ne devra son salut qu’aux défenses sacrificielles de ses armées.  

 

          Quant à l’interrogation sur le sens de l’avenir de la vie ? Les pertes sont désastreuses, spécialement celles du sentiment de liberté de parler et de penser par soi-même ; l’impossibilité d’agir en secours solidaires ; la défection du courage des élites, et la cupidité mercantiles généralisées : grèves en cascades, blocages économiques, paupérisation exponentielle. Plus d’échappatoire. Impossibilité de croire et d’espérer en la providence, qui fut supplantée par un concept d’Etats providences fictifs et trompeur. Le rideau rouge d’une fin de partie de nos sociétés civilisées est en train de descendre sur le spectacle affligeant de notre monde qui délire et se désagrège.

 

         A mes yeux, ce naufrage de l’humanité sans Dieu, qui se manifesta en pointillés tout au cours de l’Histoire, se trouve actuellement symbolisé par le massacre de la famille Fogel, dans la ville d’Itamar en Samarie, terre israélienne depuis trois millénaires. Ehud un père pionnier valeureux, Ruth, une mère courage, Yoav, un enfant de onze ans, Elad, un autre de 3 ans et Hadas, un bébé de 3 mois, poignardés ou égorgés, massacrés parce que juifs israéliens sur la terre de leurs ancêtres… par des assassins palestiniens, fruits maudits d’un  palestinisme idéologique, aveuglément encensé par un monde insensé, avec la complicité active des politico-média-stases du mensonge. Cependant que çà et là, des populations arabo-palestiniennes endoctrinées, viscéralement hostiles aux juifs depuis le temps des Philistins, fêtaient cette abomination avec des cris de joie, des chants et des gâteaux dans leur univers de barbarie. Des malédictions s’abattirent jadis sur les Philistins. Il en sera de même sur les palestiniens qui pratiquent la barbarie criminelle, ainsi que leurs alliés politiciens et médiasticiens qui se déshonorent à jamais en les soutenant.

 

         « Qu’en est-il de l’humanité ? Un jeu de massacre… répondent mon cœur affligé, ma gorge serrée et mes yeux pleins de larmes dans le Parvis des Gentils (1).Depuis la nuit des temps, l’équité et l’éthique de la valeur de la vie n’ont pas changé d’un iota. Que l’Eternel nous viennent en aide par l’avènement du Messie.

 

François Celier

        

(1) Partie du Temple de Jérusalem où les non juifs avaient le droit de s’approcher de Ha’shem.

 

http://www.libertyvox.com/article.php?id=458

 

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 16:20

 

 

HAPPY DAY : LE JOURNAL L'ARCHE VA REVIVRE. LE PRÉSIDENT DU FSJU, PIERRE BESNAINOU A FAIT SAVOIR À MÉIR WAINTRATER QU’IL DÉSIRAIT « SORTIR PAR LE HAUT » DE CETTE CRISE.

MAR 201117

Par Sabine Roitman (Paris)
Rubrique: Média
Publié le 17 mars 2011

 

L'Arche de mars 2011

http://www.israelvalley.com

L’Arche ne coulera pas ! Fin février, la Direction du FSJU a fait savoir, à la stupeur de tous que le mensuel de la communauté Juive, « L’Arche » qu’il avait lui-même crée en 1957 cesserait d’exister sous sa forme papier pour devenir un site Internet. Son numéro de mars serait le dernier.

Grâce au stoïcisme de son capitaine, Méir Waintrater, de son assistante Myriam Rudniewski et à l’équipage de la Revue qui est resté soudé et combattif, le FSJU a dû battre en retraite devant l’ampleur des protestations des intellectuels. Une pétition de plus de 500 signatures, circule encore. La presse nationale s’est emparée de l’Affaire. L’Arche va donc continuer à exister mais ne sera plus un mensuel.

Le Président du FSJU, Pierre Besnainou a fait savoir à Méir Waintrater qu’il désirait « sortir par le haut » de cette crise. Une commission chargée de mettre au point d’ici l’été la nouvelle formule de l’Arche papier et son articulation avec un site internet va être mise en place avec diverses personnalités parmi lesquelles Alain Finkielkraut, bien sûr Méir Waintrater et deux collaborateurs du journal.

Cette crise a au moins montré avec clarté que l’Arche est considérée par tous ses lecteurs comme une institution culturelle essentielle au judaisme français. Lue dans le monde entier, même si ses abonnés sont trop peu nombreux, trois mille environ, la Revue a éclairé ces dernières dizaines années, la culture juive et la vie en France et en Israël, d’un regard jamais partial et jamais partiel.

Cet éclairage essentiel, toujours empreint du temps de la réflexion, a offert ses pages en toute indépendance. Sa voix polyphonique a su informer ses lecteurs sur l’affaire Al Dura, mais aussi sur la flotille de Gaza ou sur le boycott avec des dossiers exhaustifs et un vrai travail journalistique.

ISRAELVALLEY
Notre journal en ligne est en train de réfléchir actuellement pour faire une proposition (en partenariat avce d’autres médias) au FSJU et son Président Pierre Besnainou sur la partie “Journal Internet”. Ayant une large expérience des médias sur le net notre équipe avait déjà eu des discussions avec Méir Waintrater. Signé / Dr Daniel Rouach

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 15:00

Eh oui c'est un scoop !

Scoop - Un média français honnête sur le conflit israélo-palestinien cela existe t'-il ? J'en ai trouvé un....

 

André Gérôme Gallego


Directeur de la Publication du Journal Toulousain

 © 2011 www.aschkel.info

J'aimerais remercier l'équipe du Journal Toulousain, et notamment son directeur de publication, André Gérôme Gallego pour avoir parler du massacre d'Itamar en Israel.

Dans leur édition, en première page un résumé d'article renvoie à la page correspondante.

Il reste des journalistes scrupuleux et attachés à leur métier - le devoir d'informer.

Merci

Aschkel

>Attentat d'Itamar : ce que pensent les médias occidentaux

>Les Vampires et leurs salauds de complices, par Claude Salomon LAGRANGE

>Lettre ouverte à Monsieur Daniel Directeur-fondateur du Nouvel Observateur Par Charles-Etienne Nephtali

>Assassinat d’une famille juive: les médias français n’en disent pas un mot ! Photos du massacre autorisées à la publication par la famille

Journal-toulousain.jpg Journal-toulousain-1.jpg
Journal-toulousain2.jpg

Conflit israélo-palestinien

 

La barbarie n’a pas de visage…


Non, la barbarie n’a pas de visage, de frontière, ni de religion. On peut la rencontrer à Toulouse quartier Saint-Michel ou au cœur de Montpellier avec l’assassinat, ici et là, de deux gamins à qui la vie souriait. Deux gamins sans histoires, des modèles même pour les autres adolescents de leurs âges, victime de crapules, de lâches sans aucune âme.


Au Moyen-Orient, aussi, où le conflit Israélo-palestinien, n’est pas seulement fait d’actes de guerre avec d’un côté les méchants juifs et de l’autre, des victimes innocentes, sans défense. Des hommes et des femmes palestiniens à qui l’Etat Hébreux aurait spolié leur terre. Ceux-là même qui, ici comme ailleurs, oublient que la terre appartient d’abord à celui qui a su la rendre meilleure.


Sauf qu’ici, l’actualité c’est aussi, tous les jours et depuis plus d’un siècle, des victimes juives comme chrétiennes victimes de la barbarie d’extrémistes musulmans. Victimes de personnages sans foi, ni loi pour qui enlever la vie ne vaut pas plus qu’un paquet de cigarettes. Des crapules nourries par la haine et qui, sous le prétexte de servir une cause, n’ont d’autres motivations que la guerre contre Israël, car c’est en fait leur seul fond de commerce. La paix les ruinerait, la défaite ferait tomber les masques, les montrerait aux yeux de tous nus et ridicules…


Comme toujours, ils vont prétendre combattre pour une Terre de Palestine, dont ils oublient qu’ils ont moins de légitimité à la posséder que d’autres qui étaient là des millénaires avant eux. Une terre rendue vivante et fertile par la seule volonté, la folie et la foi d’une poignée de «Fous». Des femmes et des hommes juifs qui en Europe ont déjà connu les pires horreurs et n’ont pu résister à toutes ces atrocités que parce qu’au fond de leurs âmes, une petite lumière, une promesse à Dieu, les éclairait en permanence : «demain sur la Terre promise nous serons tous réunis».


Ils étaient de ceux-là, ils étaient de nos convictions, des innocents qui ont payé au prix fort la promesse faite… Une famille de chez nous qui a cru un jour que son destin était là-bas en terre d’Israël, plutôt qu’ici en terre de France où elle n’avait plus ses repères. Mais cette nuit du 11 mars 2011 l’inacceptable s’est produit : Udi et Ruth, 36 et 35 ans et leurs quatre enfants Yoav 11 ans, Elad 4 ans et leur bébé de trois mois Hadas, ont été poignardés à mort par des fous sanguinaires.


Les médias français n’en n’ont pas fait leur «Une». C’est bien connu, en France comme ailleurs, on ne montre pas les victimes juives de la barbarie des extrémistes, ce n’est pas vendeur.


Et puis, pour la presse franchouillarde et bien pensante, les Fogel comme d’autres juifs, sont facilement et péjorativement étiquetés comme des colons. Pourtant sait-on que pour ces familles, le seul tort est d’avoir acheté légalement, à des Palestiniens, des logements ou des terrains dans une région qui fut et demeure, on l’oublie trop souvent, le berceau de la civilisation juive. Ainsi, la localité d’Itamar en Samarie, celle qu’avaient choisie pour vivre en famille et en paix, Udi et Ruth, n’a pas été construite à la place d’un quelconque village arabe, mais bien à côté. En fait, hier comme aujourd’hui, leur faute aura été d’être juifs et de vouloir vivre en Paix sur la terre de leurs ancêtres et en conformité avec leur Foi. Une folle injustice d’autant si l’on sait que dans le même temps plus de 22% de la population israélienne est constituée de musulmans qui étudient dans les meilleures universités du Proche-Orient, travaillent, votent et sont même élus à la Knesset etc…


Il est temps que les âmes bien-pensantes de ce monde commencent à prendre ici comme ailleurs leurs responsabilités. Sinon demain…

André Gérôme Gallego

Directeur de la Publica

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  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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