Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 19:07
Le Hamas peut-il triompher, vingt-deux ans après sa création?
|


 

 

hamas.jpgDes dizaines de milliers de Palestiniens portant des bannières vertes, la couleur de l’islam, se sont rassemblés lundi dans les rues de Gaza pour célébrer le 22ème anniversaire de la création du Hamas.

 

« Depuis sa fondation, le Hamas a été en mesure de réaliser une grande partie de ses objectifs et de surmonter toutes les épreuves : la prison, l’exil, les assassinats et les élections », claironne l’un de ses chefs, Mahmoud Zahar. Mais le mouvement islamiste peut-il réellement afficher un bilan aussi positif ?


Un an après la guerre que lui mena l’armée israélienne, la plupart des maisons et des bâtiments détruits n’ont toujours pas été reconstruits dans la bande de Gaza. Certes, l’asphyxie promise par la communauté internationale n’a pas eu lieu : les intégristes ont de l’argent et des armes. Mais leur popularité n’est sans doute pas aussi importante que ses dirigeants l’assurent.

 

« Le Hamas perd un peu de son soutien », estime au contraire un des rares diplomates européens à rencontrer les responsables intégristes. Selon lui, « les islamistes n’ont pas engrangé de dynamique. Ils n’ont pas obtenu grand-chose ces derniers mois ».

 

D’où leur souci de conclure le « deal » sur Gilad Shalit, ce soldat israélien qui pourrait être libéré au cours des semaines prochaines en échange de l’élargissement de centaines de détenus palestiniens, emprisonnés en Israël. « Le Hamas a besoin d’afficher un succès auprès de la population », selon leur interlocuteur.

 

Les Gazaouis, dans leur ensemble, n’ignorent pas que c’est l’argent de la communauté internationale offert à l’Autorité palestinienne qui permet de payer les salaires de plusieurs dizaines de milliers de fonctionnaires à Gaza, où le Hamas règne pourtant en maître depuis trois ans.

En interne, des divisions pèsent sur le Mouvement de la résistance islamique. Tout d’abord entre certains responsables de la branche militaire et des politiques. « Notre approche de la résistance (…) n’est pas limitée à la lutte armée », plaide Mahmoud Zahar. « Les brigades al-Qassam ont construit leurs armes à main nues, y compris les roquettes Qassam qui terrifient l’ennemi sioniste », semble lui répondre Abou Obeida, le porte-parole de la branche militaire.

 

Pour le diplomate européen, « il y a une discussion interne entre ceux qui veulent faire de la politique et ceux qui ne veulent pas. Et ce conflit, n’est pas résolu. Les militaires veulent faire la guerre. Ils ont des armes. Et leur appareil a été restructuré après l’offensive de Tsahal au printemps », poursuit-il.

Sur ses flancs, le Hamas est également confronté à la menace salafiste. Des ultras de sa branche armée, qui dénoncent la dérive politique du Mouvement, succombent aux sirènes du djihadisme.

 

Pour de nombreux observateurs, « la tuerie de Rafah l'été dernier devait montrer les limites à ne pas dépasser pour les salafistes, mais c’était aussi un avertissement lancé à la branche armée » du Mouvement. En août, le Hamas avait écrasé dans le sang une révolte de militants salafistes retranchés dans une mosquée de Khan Younès au sud de la bande de Gaza.

 

Enfin politiquement, le Hamas n’a pas réussi à briser l’isolement imposé par la communauté internationale à l’encontre d’une organisation toujours considérée comme terroriste par l’Union européenne et les Etats-Unis. « Ils mettent toujours le blâme sur Israël », regrette leur interlocuteur européen.

 

Pour l’heure, le Hamas a choisi de rester inflexible, alors qu’en Occident de plus en plus de voix dénoncent la quarantaine qui lui est imposée. Pensant certainement que le temps travaille pour les islamistes. A voir.

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 11:36
Steinitz : "Nous ne tendrons pas l'autre joue"
Par GIL HOFFMAN
14.12.09

link

 

Le ministre des Finances, Youval Steinitz, qui avait voté en faveur du moratoire en Judée-Samarie le 25 novembre dernier, a déclaré dans la nuit de dimanche qu'il demanderait bientôt un second vote si l'Autorité palestinienne continuait à rejeter les négociations.

 

 

Youval Steinitz, le ministre des Finances.
Photo: Ariel Jerozolimski , JPost



S'exprimant lors d'un rassemblement de supporters à Or Yehouda, Steinitz a déclaré qu'il appuyait le gel des constructions dans les implantations parce qu'il désirait soutenir le Premier ministre Netanyahou et lui accorder une certaine flexibilité en ces temps mouvementés.

"Si les Palestiniens, au lieu d'accepter notre main tendue, continuent de nous tourner le dos et de nous attaquer sur la scène internationale, nous convoquerons à nouveau une réunion du cabinet de sécurité et reconsidèreront le gel" a déclaré Steinitz à la foule des 500 supporters venus le soutenir. "Nous ne tendrons pas l'autre joue à la froideur et au dénigrement".

Steinitz a également mis en avant le vote de dimanche en faveur d'un plan de zones prioritaires qui inclut certaines implantations isolées de Judée-Samarie. "Ce vote a dit aux habitants des implantations : Nous sommes avec vous, et vous bénéficierez de notre soutien de quelque façon que ce soit".

L'ancien président du Comité de la Défense et des Affaires étrangères de la Knesset a rejeté avec vigueur l'accord de défense signé entre l'Iran et la Syrie ce week-end. Il s'est prononcé en faveur de négociations avec la Syrie mais s'est fermement opposé à tout retrait du Golan.

Steinitz s'est enfin félicité de la vigueur de l'économie israélienne. Il a déclaré que des délégations du Fonds monétaire international et des pays du monde entier se rendraient en Israël pour apprendre des succès de l'économie nationale.

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 09:27
Hamas, 22 ans de terrorisme
Par David Bronner pour Guysen International News - Dimanche 13 décembre 2009

http://www.guysen.com/article_Hamas-22-ans-de-terrorisme_11414.html

AFP Mohammed Abed

Le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, a lancé vendredi 11 décembre les célébrations du 22ème  anniversaire de sa création avec des défilés et une grande peinture murale représentant des tirs de roquettes contre Israël. Un folklore macabre, qui vient célébrer 22 ans de terrorisme contre "l’entité sioniste", mais aussi contre les Palestiniens eux-mêmes, boucliers humains ou condamnés à subir une dictature aux accents islamistes, les gazaouïs souffrent d’un isolement dangereux. 
 

Cette année, ils n'étaient pas des milliers mais des centaines de partisans du Hamas en voitures, en motos, en carrioles ou à dos de chevaux à avoir pris part aux défilés organisés dans l'ensemble du territoire palestinien, avant de converger vers la maison du Premier ministre du gouvernement Hamas, Ismaïl Haniyeh, qui a pris part aux célébrations.

Ils étaient beaucoup plus nombreux, plusieurs milliers de manifestants, à avoir choisi de défiler à pied avec des fausses roquettes en carton et en plastique. A Jabaliya, une immense peinture rurale montrant des Palestiniens se battant contre l'armée israélienne avec des pierres, des fusils et des roquettes, a été dévoilée.

Les célébrations culmineront lundi 14 décembre, le jour anniversaire de la création du mouvement, avec un "rassemblement de masse" prévu à Gaza-ville. L’occasion pour le mouvement terroriste d’essayer de montrer sa popularité, et peut-être aussi de faire un certain nombre d’annonces.
 

Rumeur autour de la libération de Guilad Shalit

A Gaza, d'aucuns affirment que le Hamas pourrait profiter de l'occasion pour faire une annonce concernant le sort du soldat israélien Guilad Shalit enlevé en 2006 à la lisière de la bande de Gaza, un otage de 1267 jours.

Des informations contradictoires ont circulé ces dernières semaines sur l'imminence d'un accord pour sa libération en échange de près de 1 000 détenus palestiniens. 

Israël et le Hamas mènent des négociations indirectes parrainées par l'Egypte avec l'aide d'un intermédiaire allemand pour parvenir à opérer un tel échange. 
 

Une politique de la terreur
 
Acronyme en arabe de "Mouvement de la Résistance islamique", le Hamas a été créé le 14 décembre 1987, peu après le début de la première intifada palestinienne, par des militants islamistes se réclamant des Frères musulmans.
 
Il s'est imposé depuis sa victoire aux législatives de 2006 comme une force de la vie politique palestinienne qui a choisi la violence et fait de la destruction de l’Etat juif sa devise. Le Hamas contrôle Gaza depuis juin 2007 après en avoir tué et chassé les forces fidèles au président Mahmoud Abbas.
 
Menant des actions terroristes contre Israël, le Hamas refuse de reconnaître le droit à l'existence de l'Etat hébreu. Il figure notamment sur la liste des organisations terroristes de l'Union européenne et des Etats-Unis.
 


Les "surprises" du Hamas
Par KHALED ABU TOAMEH 
11.12.09




Discours enflammés, chants patriotiques et des "surprises". Le Hamas a donné la couleur des célébrations de son 22e anniversaire qui auront lieu lundi prochain. L'annonce énigmatique a éveillé de nombreuses spéculations, dont la révélation d'un accord final d'échange de prisonniers avec Israël.

Des soldats patrouillent du côté palestinien de la barrière séparant Israël de la bande de Gaza. 
PHOTO: AP , JPOST


La manifestation devrait avoir lieu lundi après-midi sur la place Katiba où des centaines de supporters du mouvement islamique sont attendus. Mais cette année, le Hamas laisse planer le suspens alors que les négociations concernant la libération du soldat israélien, Guilad Shalit, semblent être parvenues à leur phase finale.


Il s'agira en tout cas de la première démonstration de force du Hamas depuis l'opération Plomb durci à Gaza.


Son objectif est clair : faire taire les rumeurs initiées par son frère ennemi, le Fatah, laissant entendre que la guerre a ébranlé la popularité du mouvement terroriste.

 

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 19:54
LA PROPORTIONNALITE DANS LES GUERRES MODERNES ASYMETRIQUES
10/12/2009
Amichai Cohen  |  Général

http://www.jcpa-lecape.org/ViewArticle.aspx?ArticleId=248

Les conflits asymétriques sont débattus entre un Etat qui respecte les lois des conflits armés ou le droit international humanitaire, et des organisations qui ne suivent presque jamais ces règles et ne souhaitent pas les appliquées.  En dépit des Conventions de Genève et de leurs protocoles qui ont été rédigés à une époque de conflits conventionnels, ces normes ne sont pas adaptées à la guerre d'aujourd'hui.

Dans la pratique, il existe deux approches très différentes à l’interprétation du principe de la proportionnalité : le modèle du droit humanitaire, donnant préférence aux intérêts de la population civile et le modèle contractuel, qui donne la priorité aux intérêts de l’Etat. Pourtant une troisième approche peut être plus appropriée : le modèle administratif, basé sur le respect de la discrétion professionnelle du commandant sur le terrain, avec les limites nécessaires.

La notion de la proportionnalité permet aux militaires de tuer des civils innocents – pourvu que les cibles visées pendant l’opération soient des forces ennemis et non des civils.

En octobre 1993, une unité des troupes américaines a été attaquée dans les rues de Mogadishu, Somalie. 18 soldats américains ont été tués dans les combats dont des femmes et des enfants  qui ont été utilisés comme boucliers humains. En Somalie, plus d’un millier de civils ont été tués par des tirs des forces américaines.

En 1999, lors de l'attaque aérienne de l’OTAN contre la Serbie, l'Alliance atlantique a adopté pour ses soldats une politique de risque zéro. Cela signifiait que les pilotes volaient à une altitude relativement haute ce qui a augmenté considérablement le risque des pertes civiles. On comptera sous les décombres plus de 500 civils tués.

En avril 2004, les forces américaines ont tenté de reprendre la ville de Falloujah, l’un des centres de l’insurrection irakienne. L’opération n'a pas été achevée  en raison du grand nombre de victimes civiles.

En Novembre 2004, les Etats-Unis avec l'appui des forces irakiennes ont lancé une nouvelle opération à Falloujah. Résultat: quelques centaines de tués et plusieurs milliers de blessés. Les tactiques utilisées par les forces américaines comprenaient entre autres, l’utilisation de phosphore blanc.

Tel le recours à la force en Somalie, au Kosovo ou en Irak, les armées occidentales sont très préoccupées par la protection de la vie de leurs propres soldats, et à cette fin, sont prêtes à risquer la vie de nombreux civils. Elles trouvent également acceptable l’idée que la vie des civils peut être confisquée en vue d’atteindre d’importants objectifs militaires.

L'utilisation de boucliers humains a été utilisée précisément par le Hamas et le Hezbollah. L’opération israélienne "Plomb durci" dans la bande de Gaza, montre clairement que l'état-major israélien a appliqué à la lettre les exigences du modèle administratif du principe de la proportionnalité.

Tsahal a exigé des commandants de prendre en compte le droit humanitaire dans les phases de planification de l’opération. En outre, des conseillers juridiques étaient sur place et ont fourni des conseils concernant des cibles spécifiques. Les bonnes questions ont été posées, des vérifications ont été effectuées, et les dommages collatéraux aux civils étaient relativement très limités.

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 20:18
Prostitution forcée dans les Territoires ?

http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1260447409642&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
I

 

 

D'après un rapport publié mercredi, de plus en plus de femmes se voient obligées de se livrer à la prostitution dans la bande de Gaza et les territoires palestiniens de Judée-Samarie.

Illustration.
Photo: JPost

Intitulé "Trafic et prostitution forcée des femmes et jeunes filles palestiniennes : formes d'esclavage des temps modernes", le rapport est soutenu par le Fonds de développement des Nations unies pour la femme (UNIFEM). Les recherches ont été menées par l'ONG palestinienne SAWA-AII au premier semestre 2008. "La situation économique, la pauvreté et la violence domestique les y conduisent", explique Jalal Khadr, représentant de SAWA-AII, à Media Line. "Cette question touche les droits de l'Homme et doit faire partie des négociations entre les Palestiniens et Israël (…). Il est important de créer une coopération entre les ONG et l'Autorité palestinienne (AP) pour combattre ce phénomène."

Le rapport a été publié dans le cadre de la campagne mondiale destinée à combattre la violence envers les femmes. A partir de témoignages de propriétaires d'hôtels, de policiers, de chauffeurs de taxi, d'avocats et des victimes elles-mêmes, il constitue un document rare sur le trafic de femmes et la prostitution forcée dans les territoires palestiniens. Il évoque même un trafic possible entre Israël, la Judée-Samarie et la bande de Gaza. "Quatorze femmes et jeunes filles, âgées de 14 à 28 ans, ont été amenées de force dans les Territoires", affirme le rapport. "Elles mendient le jour et se prostituent la nuit."

La plupart de ces femmes ont subi des sévices sexuels par les membres de leur famille, par leurs pères en particulier, d'après le rapport. Elles expliquent avoir recours à la prostitution pour échapper à la violence et aux abus sexuels. Si elles retournent chez elles, elles sont la plupart du temps obligées de cacher leurs activités à leurs familles pour ne pas être frappées d'ostracisme. Le rapport révèle plusieurs cas précis où le trafic de femmes a été utilisé pour faire face aux difficultés économiques.

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 09:22
Comment interpréter ceci, sinon que l'Iran est inlassablement prêt à sacrifier n'importe quelle population du Moyen-Orient à ses ambitions de super-puissance nucléaire, avec l'aide de ses idiots utiles des "Indigènes de la République" et autres promoteurs des "droits de l'homme à disposer de la bombe et à proliférer en rond"... (?)
Le Hamas prêt à une offensive


Par YAAKOV KATZ
10.12.09
I



 

 

 

Des armes iraniennes de pointe, des missiles à longue portée, des silos de missiles, des dizaines de kilomètres de tunnels souterrains. Voilà, à peu près, ce à quoi sera confronté Israël en cas de conflit avec le Hamas dans la bande de Gaza.

 

 

Un enfant se tient à l'entrée d'un tunnel de contrebande, creusé à Rafiah, dans le sud de la bande de Gaza.
Photo: AP , JPost

Un véritable arsenal

Depuis la fin de l'opération Plomb durci, il y a près d'un an, l'organisation terroriste a développé sa contrebande d'arme et exploite aujourd'hui des centaines de tunnels le long du couloir de Philadelphie. Elle s'est clandestinement dotée de dizaines de roquettes longue portée qui peuvent atteindre Tel-Aviv et de missiles antiaériens. Le Hamas est considéré comme ayant un nombre important de missiles anti-char et "Konkurs 9M113", qui ont une portée de quatre kilomètres et sont capables de percer les armures lourdes.

En outre, le Hamas semble avoir aujourd'hui quelques milliers de roquettes, dont plusieurs centaines d'une portée de 40 kilomètres et plusieurs dizaines avec une fourchette comprise entre 60 et 80 km. Les évaluations du renseignement que le Hamas entrepose cet arsenal dans les tunnels de la bande de Gaza, éventuellement en plusieurs composants.L'Iran fournit déjà le Hamas en roquettes Katioucha que les ingénieurs du Hamas assemblent.

L'une des principales leçons tirée de l'opération Plomb durci est la nécessité de renforcer les défenses d'Israël, et en conséquence, d'investir davantage dans l'édification de tunnels reliant champs ouverts, lieux stratégiques et centres de commandements. Le but : permettre une plus grande liberté de mouvements lors des opérations menées sur différents fronts. L'une des difficultés rencontrées lors de l'offensive terrestre à Gaza en janvier dernier.

Le Hamas a en outre développé ses infrastructures civiles, notamment les mosquées. que le groupe terroriste a déjà largement utilisées pour stocker, voire lancer, des roquettes sur Israël. On soupçonne que 80 % des lieux de prières sont d'ores et déjà sous le contrôle du Hamas.

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 09:01
Les futurs gouvernements ne pourront pas passer arbitrairement, sur le dos du peuple, des concessions exponentielles aux exigences d'un ennemi qui peut tout recevoir sans rien donner. Comme le fait remarquer Méridor, la mesure ne serait pas sans risque, puisqu'aucune décision ne sera arrêtée sans consultation. Mais ne passera que ce qui est parfaitement mûr et éprouvé au quotidien, à savoir que lorsqu'on envisage une forme de cohabitation, celle-ci ne peut se faire au couteau, à l'explosif et à coups de checks-points obligatoires pour y arriver. Au terrorisme et à l'irresponsabilité diplomatique des concessions à tout prix, même de sa vie,  et advienne que pourra, Israël oppose le contrepoids de la sagesse populaire, antidote au despotisme ou au bureaucratisme made in Brussels. Assad et Abbas vont devoir se faire aimer du bon peuple d'Israël... Bon, ça ne va pas être facile, mais qui sait, avec le temps?...  
Plateau du Golan : Le peuple décidera / Maya Bengal, Arik Bender et Adi Hashmonaï – Maariv

 

 

Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël

jeudi 10 décembre 2009

 


Alors même qu’en Israël on se dit prêt à reprendre les négociations avec la Syrie et que les deux pays s’échangent des messages, le gouvernement décide de soutenir une proposition de loi selon laquelle tout retrait du plateau du Golan ou de Jérusalem-est devra être soumis à un référendum.

Cette proposition de loi, qui sera soumise dès aujourd’hui à la Knesset, est un signe négatif adressé à la Syrie, qui se rapproche en hésitant de la table de négociation, car cela signifie que le gouvernement israélien aura du mal à renoncer à des territoires, même dans le cadre d’un accord.

Le comité ministériel de législation a rejeté hier l’appel du ministre Dan Meridor contre l’adoption de la proposition de loi. Seul Benny Begin a soutenu la position de Meridor. De fait, cette proposition de loi affaiblit le gouvernement en prévoyant que tout retrait d’un territoire sous pleine souveraineté israélienne devra être soumis à la Knesset puis à référendum sous 180 jours. Un référendum ne sera pas nécessaire si 80 députés vote en faveur du retrait.

Il y a un mois et demi, M. Meridor était parvenu à la dernière minute à empêcher le vote de cette loi, affirmant que celle-ci sera « un poids préjudiciable et inutile pour Israël, qui sera perçu comme faisant obstacle à la signature d’un éventuel accord de paix ». Hier, le comité ministériel a rejeté cette position et ce sera maintenant à la Knesset de se prononcer.

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 16:52
Ce serait une insulte à l'intelligence de certain(e)s de nos interlocuteurs(-trices) de leur demander s'ils sont prêt(e)s pour un énième round...
La menace s'étend
Par YAACOV KATZ
09.12.09



http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1260181026248&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull

 

Tsahal sur le pied de guerre. Le commandement central de l'administration civile se prépare à d'éventuelles attaques de missiles d'une portée de 80 kilomètres depuis la bande de Gaza.


Illustration.
Photo: AP , JPost

Les préparatifs sont mis en œuvre à différents niveaux de l'armée. La priorité étant d'abord de sensibiliser les responsables des conseils régionaux et des municipalités susceptibles d'être les cibles de ces futures attaques - dont notamment Tel-Aviv et Ramat Gan. Pendant l'opération Plomb durci, le Hamas a tiré des roquettes d'une portée maximale de 40 km, capables d'atteindre Ashdod et Yavné. En septembre dernier, la première roquette d'une portée de 60 km a été tirée dans la mer Méditerranée.

Tsahal prépare également des kits d'information qui seront distribués dans les zones sensibles. De source militaire, le Hamas est désormais en possession de missiles Fajr de fabrication iranienne - soit le Fajr 3 ou le Fajr 5. Le Fajr 3 est un missile de cinq mètres de long capable de porter une ogive de 45 kg. Afin d'augmenter la portée de cette arme, le Hamas peut éventuellement diminuer le poids de l'ogive - à 25 ou 30 kg - ce qui lui permettrait de frapper le centre de Tel-Aviv. Ce missile est également entre les mains du Hezbollah, au Liban.

Le Fajr 5 fait 10 mètres de long. Sa portée peut atteindre 75 km - soit Tel-Aviv et quelques communautés côtières plus au nord. Ces armes auraient été importées illégalement dans la bande de Gaza, via des tunnels de contrebande. L'Iran a déjà fourni au Hamas son stock de roquettes Katiousha 122 mm, importées en pièces détachées puis assemblées par des ingénieurs du Hamas sur place.

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 11:39



MEMRI    Middle East Media Research Institute

Enquête et analyse n° 565

 

Les Forces du 14 mars après la formation du nouveau gouvernement libanais : De la victoire électorale à la défaite politique et la désintégration en cinq mois


Par: H. Varulkar *
 
Introduction

Le 7 Juin 2009, les Forces du 14 mars remportaient les élections législatives libanaises. Cinq mois plus tard, le 9 novembre 2009, l´opposition réussissait à renverser sa défaite électorale, avec l´approbation par le président libanais Michel Suleiman d´un gouvernement représentant une victoire pour l´opposition. En outre, avec le nouveau gouvernement, la Syrie reprenait les rennes du Liban, cette fois dans le cadre d´un arrangement entre l´Arabie saoudite et la Syrie. Nicolas Nassif, chroniqueur du quotidien libanais d´opposition Al-Akhbar, commente : "Il est dorénavant clair pour toute la communauté internationale que la clé de la stabilité du Liban et de son régime ... se trouve entre les mains de son voisin [la Syrie]." [1]

Ci-dessous une analyse des raisons de ce revirement, au vu des concessions faites par les Forces du 14 mars.

Comment les Forces du 14 mars sont passées de la victoire électorale à la défaite politique et à la désintégration

1. Beyrouth tombe aux mains du Hezbollah en mai 2008
< SPAN style="FONT-SIZE: 18pt; mso-bookmark: OLE_LINK3">
La prise de Beyrouth et d´autres régions du Liban par le Hezbollah, le 7 mai 2008, ont eu et continuent d´avoir un impact profond sur la population libanaise, en particulier sur les leaders des Forces du 14 mars. Le fait que le Hezbollah ait retourné ses armes contre ses rivaux au sein du pays, et l´Accord de Doha du 21 mai 2008, conclu avec la médiation de pays arabes, qui a résolu la crise à l´avantage du Hezbollah, ont poussé les Forces du 14 mars à éviter toute nouvelle confrontation directe avec le Hezbollah - même au niveau politiqu e - de peur qu´il ne recoure une fois de plus à la force. Les menaces voilées ou explicites des dirigeants du Hezbollah de répéter les événements du 7 mai n´ont fait que confirmer ces craintes. [2] Le refus du Hezbollah de rendre les armes, et sa volonté de les utiliser contre ses adversaires politiques, ont contraint les Forces du 14 mars à des concessions considérables. [3]

2. L´Accord entre l´Arabie et la Syrie pour que l e Liban ait un gouvernement d´union nationale, quel que soit le résultat des élections


Après les élections de juin 2009, la Syrie et l´Arabie saoudite auraient convenu à l´avance qu´un gouvernement d´unité nationale, plutôt qu´un gouvernement de la partie gagnante, serait établi au Liban. [4] Le président libanais Michel Suleiman a ajouté à cette pression en affirmant à plusieurs reprises qu´il n´approuverait aucun autre type de gouvernement. [5]

3. Le retrait de Walid Joumblatt de la coalition des Forces 14 mars

< /SPAN>
Depuis mai 2008, et suite à la prise (par les armes) de Beyrouth et d´autres régions du Liban par le Hezbollah – laquelle a entraîné de violents affrontements entre druzes et chiites au Mont-Liban,  Joumblatt a pris la décision stratégique de céder face à la puissance dominante au Liban –  les chiites –  et de rejoindre l´opposition. Il a annoncé ce volte-face lors d´une réunion à huis clos tenue en la présence de loyaux cheiks druzes, auxquels il a expliqué que face à la montée en puissance des chiites, les druzes n´a vaient d´autre choix que d´accepter la coexistence –  s´ils voulaient assurer leur propre survie. [6] Ce rapprochement a donné lieu à des entretiens entre Joumblatt et ses hommes d´une part, Hassan Nasrallah et d´autres dirigeants du Hezbollah de l´autre. Les récentes déclarations faites par le leader druze en faveur de la résistance et de son droit à porter les armes indiquent clairement la réalité de ce rapprochement.

Joumblatt a � �galement changé de position vis-à-vis de la Syrie. Le leader druze, qui jusqu´alors était considéré comme un fervent adversaire de la Syrie au Liban, ne cesse a présent de répéter que "la Syrie est la profondeur [stratégique] naturelle du Liban" et que les relations avec elle doivent être excellentes. [7] Au cours de l´année écoulée, M. Joumblatt a échangé des messages avec les dirigeants syriens, et il prépare actuellement un voyage à Damas dans le but de renouer avec les dirigeants syriens. [8]

Le volte-face de Joumblatt a eu un impact très important sur la scène politique libanaise, en particulier au lendemain des élections parlementaires de juin 2009. Aujourd´hui, Joumblatt se déclare non affilié aux Forces du 14 mars, mais en même temps, il soutient Saad Al-Hariri, leader de faction Mustaqbal, et affirme faire partie du bloc de la majorité parlementaire. Ces déclarations n´ont toutefois aucun poids, puisque Joumblatt, compte tenu de sa nouvelle alliance et de la priorité accordée à la survie de la communauté druze, est susceptible d´adopter le point de vue du Hezbollah et de l´opposition parlementaire lors de futurs scrutins. En effet, ces derniers mois, M. Joumblatt semble s´être encore davantage rapproché de l´opposition, et en pa rticulier du Hezbollah, soutenant les positions et les exigences du mouvement chiite. Par conséquent, le volte-face politique de Joumblatt a complètement neutralisé les Forces du 14 mars en tant que majorité parlementaire, rendant vaine leur victoire aux élections.

4. L´abandon par l´Arabie saoudite des Forces du 14 Mars au profit de la Syrie

En
janvier 2009, lors du sommet économique arabe qui s´est tenu au Koweït, le roi d´Arabie saoudite Abdallah bin ´Abd Al-Aziz, s´efforçant d´écarter la Syrie du camp iranien, a lancé une initiative de réconciliation entre l´Arabie saoudite et la Syrie, après des années de tension et de désaccords entre les deux pays. L´initiativesaoudienne tentait de parvenir à un accord sur plusieurs questions régionales, dont celle du Liban. Le dialogue en tre les deux pays a pris la forme d´une succession de réunions entre le président syrien Bachar Al-Assad et le roi Abdallah, et à Damas entre Assad et des émissaires du roi d´Arabie Saoudite, notamment le fils du roi, le prince ´Abd Al-Aziz ben ´Abdallah.

Avant déjà les élections libanaises, la Syrie et l´Arabie saoudite s´étaient entendues pour créer un gouvernement d´union nationale au Liban. Depuis les élections de juin 2 009, la Syrie et l´Arabie saoudite sont intervenues directement pour influer sur les efforts de Saad Al-Hariri visant à créer un nouveau gouvernement, et se sont entretenues à plusieurs reprises pour parvenir à un arrangement.


Au début, il était évident que l´Arabie saoudite défendait les intérêts de ses alliés au Liban et s´efforçait de préserver leur victoire aux élections. En effet, les exigences de l´Arabie saoudite, telles que formulées dans le cadre du dialogue saoudo-syrien, coïncidaient avec celles des Forces du 14 mars. Celles-ci incluaient notamment la délimitation de la frontière syro-libanaise et l´abolition du Conseil suprême syro-libanais. La Syrie, pour sa part, a refusé d´acquiescer à ces demandes. [9] Il semble toutefois que les développements régionaux au Moyen-Orient - la puissance grandissante de l´Iran, la menace chiite yéménite contre l´Arabie saoudite, soutenue par l´Iran, les efforts du président américain Obama pour parvenir à un accord avec l´Iran, marginalisant ce faisant l´Arabie saoudite et le camp arabe sunnite, et la consolidation du régime chiite en Irak - tous ces éléments ont conduit l´Arabie saoudite à la conclusion de la nécessité d´encourager le dialogue et le rapprochement avec la Syrie. En conséquence, elle a exercé des pressions sur les Forces du 14 mars pour que celles-ci fassent des concessions en vue d´un accord qui placerait à nouveau le Liban sous tutelle syrienne.

Dans un article du 14 novembre 2009, le chroniqueur Nicolas Nassif révèle qu´au cours du sommet des 7 et 8 octobre 2009 entre le président syrien Bachar Al-Assad et le roi Abdallah, ce dernier a exprimé le souhait que la Syrie reprenne son ancien rôle au Liban. Selon Nassif, après ce sommet, Assad aurait exercé des pressions sur ses alliés de l´opposition libanaise et accéléré la création d´un gouvernement au Liban. [10]

En outre, Ibrahim Al-Amin, président du conseil d´administration d´Al-Akhbar, a récemment publié un article où il affirme que suite au sommet d´octobre, le roi Abdallah avait clairement fait savoir à Saad Hariri qu´il souhaitait accélérer la mise en place du gouvernement et que des concessions étaient nécessaires, alors qu´Assad avait fait comprendre à ses alliés qu´il n´attendait aucune concession de leur part. [11] Le 6 novembre 2009, Al-Safir et Al-Akhbar rapportaient que le président Assa d avait demandé au roi Abdallah de convaincre Hariri de confier à Michel Aoun le portefeuille de l´Energie. [12] Le 7 novembre 2009, Ibrahim Al-Amin écrivait que c´était le fils du roi d´Arabie saoudite, le prince ´Abd Al-Aziz ben Abdallah, qui avait fait pression sur Saad Al-Hariri pour qu´il confie à Michel Aoun les portefeuilles des Télécommunications et de l´Energie. [13]

Un article publié par le rédacteur en chef du quotidien gouvernemental saoudien Al-Riyadh, Turki Al-Sudairi, le 13 octob re 2009, a ajouté aux pressions de l´Arabie saoudite sur Saad Al-Hariri, lequel campait sur ses positions et refusait de céder aux exigences de l´opposition. L´article suggère que l´instabilité chronique dont souffre le Liban pourrait être atténuée par la restauration du Liban à la Syrie, dont il a été séparé en vertu de l´accord Picot-Sykes des empires colonialistes. [14]

 

Lire le rapport intégral en anglais :  http://www.memri.org/report/en/0/0/0/0/0/0/3804.htm.



 

Pour adresser un email au MEMRI ou faire une donation, écrire à : memri@memrieurope.org.

 

Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french.

 

Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source.

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 08:37

Assad prêt à renoncer au Golan ?

 

 

[Lundi 07/12/2009 22:10]

 

 

 

Certes le président syrien n’est pas prêt de faire une telle concession dans un avenir proche, surtout avec tout ce qu’il est possible d’obtenir d’Israël lorsqu’on sait suffisamment insister. Mais, à en croire le Premier ministre, Assad aurait réduit ses exigences et ouvrirait la porte à un éventuel dialogue avec Israël.

Binyamin Netanyahou a en effet déclaré lundi qu’il avait compris de la part du président français Nicolas Sarkozy que la Syrie était prête à renoncer à la condition préliminaire qu’elle imposait à toutes négociations avec Israël, à savoir le retrait du Golan.

« J’ai fait savoir aux Syriens que nous étions prêts à reprendre les pourparlers sans conditions préliminaires », a rappelé le leader du Likoud au cours d’un débat à la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense. « Ils ont répondu qu’ils étaient d’accord, à condition que nous nous engagions à nous retirer du Golan. Sarkozy m’a ensuite prévenu qu’ils avaient fini par retirer cette condition préliminaire, mais qu’ils ne voulaient pas négocier directement avec nous. Ils veulent un médiateur. Je lui ai répondu que nous préférions des pourparlers directs, mais que si médiateur il doit y avoir, alors autant que ce soit lui [Sarkozy]. »

Et d’ajouter : « Sarkozy m’a de nouveau contacté au bout de quelques jours et il a déclaré qu’Assad préférait pour sa part que la Turquie assure la médiation. Je lui ai répondu que nous préférions négocier directement, mais que s’il fallait un médiateur, nous en voulions un impartial, alors que la Turquie n’a pas vraiment fait ses preuves dans ce domaine, depuis l’opération Plomb durci… Je ne veux pas que les négociations se passent sur le même modèle qu’avant avec la Turquie. »

par Yael Ancri
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Gad
  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
  • Contact

Traducteur

English German Spanish Portuguese Italian Dutch
Russian Polish Hebrew Czech Greek Hindi

Recherche

Magie de la langue hébraïque


A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

Les news de blogs amis