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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 09:29
Affaire Guigue : MRAP, Le Pen, Benbassa, même combat ! Cl. Weill-Raynal
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31/03/08


Le blog "Vu de Jérusalem" reproduit "l’excellent billet de Clément Weill-Raynal sur RCJ, paru sur le site de l’
Association France-Israël.

Affaire Bruno Guigue : le Mrap, Le Front National et Esther Benbassa sur la même longueur d’onde…"

 

Diffusé sur RCJ le 31 mars 2008  


Le limogeage du sous-préfet Bruno Guigue qui avait publié un texte anti-israélien et, pour tout dire, anti-juif, a provoqué quelques réactions à l’extrême gauche [*] et à l’extrême droite.

Ainsi, le Mouvement contre le Racisme et pour l’amitié entre les Peuples (Mrap)  a  demandé la réintégration immédiate du sous-préfet, présenté comme

« un homme de courage et de conviction et qui ose dire des vérités qui dérangent ».

Dans son communiqué, le Mrap poursuit :

« La critique d’Israël demeure un tabou qu’il est dangereux de transgresser. On a le droit de critiquer n’importe quel pays mais il existe une exception inadmissible concernant Israël ».

Il est intéressant de noter que, pour une fois, l’organisation de Mouloud Aounit et le Front National sont exactement sur la même longueur d’onde. Le parti d’extrême droite a, lui aussi, protesté contre le renvoi du sous-préfet de Charente Maritime en utilisant la même argumentation:

« Un fonctionnaire a le droit de publier des analyses politiques sauf s’il critique la politique d’Israël… Les foudres ministérielles s’abattront alors sur lui. Le FN proteste contre la servilité du ministre Michèle Alliot Marie »,

indique en substance le parti de Jean-Marie le Pen.

Mais à l’égard de quel mystérieux groupe le ministre de l’intérieur aurait-il ainsi fait preuve de servilité ? Ni le Mrap ni le Front National n’ont poussé l’audace jusqu'à nommer ces mystérieux commanditaires.

Qui donc alors a obtenu la tête du sous-préfet ? L’historienne Esther Benbassa, elle, en a une petite idée : Dans une tribune  publiée sur le site internet « Rue 89 », Esther Benbassa a mis en cause

« l’influence croissante  de groupes de pression communautaires auprès du ministre qui ont fait limoger le sous préfet. ».

 

« Influence - groupe de pression communautaire….», en langage politiquement correct, cela veut dire « les juifs », « les sionistes ».

Quand des accusations aussi graves sont formulées, on aimerait quand même en savoir un peu plus. S’agit-il du Crif, du Bnai Brith, du Consistoire, ou peut-être des Sages de Sion… ? En tout cas, je mets solennellement au défi Mme Benbassa de nous dire qui précisément a fait pression sur le Ministre de l’intérieur, et de quelle façon.

Et qu’elle n’hésite surtout pas  à consulter ses acolytes du Mrap et du Front National afin de peaufiner son dossier et pour étayer ses accusations. 


Clément Weill-Raynal

 

[Texte aimablement signalé par Pierre, Israël.]

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 20:46

lundi 31 mars 2008

Les obsessions «antisionistes» du sous-préfet Guigue

Extrait de L’Arche n°599 (avril 2008)


Un sous-préfet a été démis de ses fonctions pour avoir publié un article violemment anti-israélien (chacun de ces deux qualificatifs, «violemment» et «anti-israélien», peut être considéré comme un euphémisme). Faut-il revenir sur tout cela, le fonctionnaire ayant été sanctionné par sa hiérarchie? On ne tire pas sur une ambulance, dit l’adage. Mais, outre que M. Guigue et ses amis de tous bords ne paraissent pas s’être résignés à la sanction qui le frappe, le véhicule symbolique qui les transporte ressemble moins à une ambulance qu’à une voiture piégée.

En présentant M. Guigue comme une innocente victime, en défendant ses thèses au nom de la liberté d’expression, ses amis – dont la liste va de l’extrême gauche à l’extrême droite – tentent de faire passer dans l’opinion publique une manière de critiquer Israël et les Juifs qui est dérogatoire, non seulement aux règles de l’administration française, mais aux principes républicains. C’est donc d’éthique qu’il s’agit; c’est une hygiène de la vie publique qui est en jeu. Certaines des phrases publiées par M. Guigue, dans l’article qui a causé sa sanction et dans des écrits antérieurs que nous rapportons ici, ne peuvent se lire sans un frisson.

Quoi que l’on pense de la personne de M. Guigue, quelque hypothèse que l’on formule quant à ses motivations profondes – et, là-dessus, nous laisserons le lecteur juger par lui-même –, il y a dans «l’affaire Guigue» tous les éléments d’une grave transgression que l’on ne saurait passer sous silence. Lisez ce travail réalisé par la rédaction de «L’Arche», et faites-vous une opinion quant à ce qu’il est aujourd’hui permis – ou non – d’écrire sur Israël et sur les Juifs.

 

Suite sur le blog de L'Arche

http://arche-infos.blogspot.com/2008/03/les-obsessions-antisionistes-du-sous.html

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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 14:52
Un sous-préfet Guigue de nouveau aux champs

L
e récent limogeage du sous-préfet de Saintes pour manquement au devoir de réserve a provoqué stupeur chez les uns, satisfaction chez les autres.
Chez Primo, un peu avant d’apprendre la nouvelle de son éviction, nous supposions que Monsieur Guigue ne pourrait pas invoquer le lobby pro-israélien (comprendre « le lobby juif ») s’il était sanctionné pour avoir poussé le bouchon si loin.
C’était compter sans les supporters inconditionnels des théories guiguieuses à base de complot juif et autres Protocoles des Sages de Sion qui font leurs délices.
Ainsi du site Oumma qui sous le titre : Silence dans les rangs !, écrit : “Notre ami Bruno Guigue, haut fonctionnaire de la République, énarque et normalien, signataire de nombreux articles dans notre site, vient d’être limogé de son poste de sous-préfet par sa ministre de tutelle, Madame Michèle Alliot-Marie.
A l’issue de la trêve pascale, les langues vont se déchaîner. Pour l’heure, place aux festivités, aux records du monde en piscine chlorée, aux médailles d’argent sur glace synthétique et aux bénédictions pluvieuses sur la place Saint Pierre. Mais comme elles sont Urbi et Orbi, elles ne craignent pas l’humidité.
La sanction, « tout à fait exceptionnelle » selon le Ministère, a pris immédiatement effet. Bruno Guigue est remplacé par un préfet intérimaire.
"M. Guigue s'est mis lui-même en dehors des conditions d'exercice de sa fonction", a estimé dimanche le préfet de Charente-Maritime, Jacques Reiller, lors d'un point de presse à La Rochelle.
"C'est le principe même du respect du devoir de réserve qui était enfreint. Toute la fonction publique repose sur un devoir de réserve, une obligation de neutralité", a-t-il rappelé. "Même s'il voulait publier un ouvrage sur les vases Ming, il devrait en référer, c'est la seule règle".(AFP, 23 mars 2008)
A ceci près que proposer une étude comparative sur les techniques de laquage dans les dynasties Ming et Han du Japon féodal n’a rien de commun avec une affirmation mensongère contre un pays ou un groupe ethnique. Elle n’a surtout pas les mêmes conséquences sur la paix sociale.
Déclarer de manière frauduleuse qu’Israël est le seul pays au monde à payer des snipers pour tuer des fillettes est une affirmation gratuite, infondée. Pire, cela pourrait déclencher des actions violentes contre des Juifs français à fins de vengeance.
C’est ce qui s’est passé lorsque les assassins d’Ilan Halimi le torturaient en faisant écouter ses cris de douleur à son père, le tout agrémenté de précisions imbéciles du même tonneau: “et ça, c’est pour venger les bébés palestiniens tués par vos frères”.
A ce compte là de rigueur scientifique, on pourrait tout aussi bien affirmer que les soldats israéliens tirent pendant 45 minutes sur un enfant avec un fusil qui tire à angle droit et finissent par le tuer. On n'imagine pas un journaliste digne de ce nom émettre de telles absurdités sans être sanctionné par sa hiérarchie. Si ? Ah bon !
(Petite incise : la BBC vient de s'excuser publiquement pour avoir diffusé un reportage frauduleux montrant une maison détruite comme étant celle du terroriste auteur de l'assassinat de 8 élèves début Mars. En réalité, comme nous l'avions dit sur Primo, la maison est encore debout. La télévision britannique s'est excusée. Sans commentaires !)
Il faudrait donc objecter au préfet de Charente, mais également au Ministère, que ce n’est pas seulement le devoir de réserve qui a été enfreint. Bruno Guigue a menti et durablement porté atteinte à l’image d’un Etat démocratique en mentant outrageusement. Il a fait oeuvre de propagande.
Il convient d’interpréter avec discernement le choix des mots utilisés par les représentants de la République qui l’ont limogé. Ces derniers ne pouvaient pas faire appel à une autre notion que le manquement au droit de réserve (1). Remarquons que Bruno Guigue en était à son vingtième article chargé de virulence anti-israélienne sur Oumma.com.
Ce n’est que parce que, cette fois-ci, il a franchi avec outrance la ligne jaune de la diffamation que la sanction a fini par tomber. La République avait fermé les yeux jusque-là devant ce qui était pourtant déjà une violation du devoir de réserve.
Mais il en est toujours ainsi avec le sentiment d’impunité. C’était déjà le cas avec Dieudonné. Il vous fait pousser des ailes et vous fait croire autorisé à aller toujours plus loin dans la diffamation. Jusqu’au jour où vous négociez mal un virage.
Il faut donc envisager que Monsieur Guigue a pu, dans son texte « porter atteinte à l'honneur ou à la réputation d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine, de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».
On est loin du manquement au devoir de réserve
Mais, la haute administration étant ce qu’elle est, Monsieur Bruno Guigue est reversé dans son corps d’origine en tant qu’administrateur civil. Il va concevoir, mettre en œuvre et évaluer les politiques publiques dans un quelconque ministère ou dans un établissement public administratif (détaillé des fonctions de ces travailleurs).
Il va animer des équipes, assurer la cohérence des actions et assurer des fonctions de représentation. Il ne va certes plus recevoir le salaire de sous-préfet, mais son échelon sera calculé au prorata de ses années passées au service de la République (sic site de la fonction publique). C'est à dire qu'il n'est pas dans la misère la plus noire.
Administrateur civil est le poste qui s’offre à tout élève sortant de l’ENA, les plus capables pouvant même choisir leur lieu et leur domaine d’affectation, en fonction de leur appétence ou de leur ambition.
Bruno Guigue va pouvoir méditer sereinement sur les pistes de travail qui s’offrent à lui maintenant. Il a le temps désormais de réfléchir sur la description de l’ENA concernant son poste :
Profil : goût pour le travail en équipe, capacité d’organisation et de coordination, esprit d’initiative, sens de la négociation, capacité de synthèse, compréhension des sujets techniques (sic site de l'ENA)
Ses amis de Oumma.com pourront témoigner que Bruno Guigue n’aime rien tant qu’à travailler en équipe.
Rien de tel qu’une saine émulation entre camarades de combat.
Pour la compréhension des sujets techniques, en revanche, c'est peu de dire que nous sommes fort dubitatifs.

© Primo, 23 mars 2008

(1) Une modification des termes précis tenus par Mme Alliot-Marie est parue ce matin, 24 mars: Michèle Alliot-Marie a pris un décret mettant fin aux fonctions du sous-préfet Bruno Guigue ayant tenu des « termes tout à fait inacceptables » et violé son « devoir de réserve ».
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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 22:19


Lorsque nous écrivions, vendredi 21, au sujet des oeuvres de ce triste sire, nous ignorions encore qu'il était "politiquement mort", depuis mercredi. La décision serait intervenue officiellement ce jour. Ce sera donc à titre posthume, la Patrie reconnaissante : les palmes diplomatiques. Et nos encouragements pour une nouvelle carrière d'éditorialiste à l'IRNA ou

dans un canard de la ligne officielle alaouite...


http://lessakele.over-blog.fr/article-17934692.html

 

PS : depuis, nous trouvons la mention suivante sur le site du forfait :

 

Site en travaux
Attention : un problème technique (serveur MySQL) empêche l'accès à cette partie du site. Merci de votre compréhension.


Un sous-préfet limogé pour une tribune violemment anti-israélienne

 

Le sous-préfet de Saintes a été révoqué par le ministère de l'Intérieur après la publication d'un texte sur Oumma.com

AFP

LIBERATION.FR : samedi 22 mars 2008

  

Le sous-préfet de Saintes (Charente-Maritime), Bruno Guigue, a été limogé après avoir publié une tribune "violemment anti-israélienne" sur le site internet "Oumma.com", a-t-on appris samedi auprès du ministère de l'Intérieur.

Dans une tribune publié le 13 mars, M. Guigue estime notamment qu'Israël est "le seul Etat au monde dont les +snipers+ abattent des fillettes à la sortie des écoles". Il ironise également sur les "geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on s'interrompt de torturer pendant Shabbat".

La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a "été mise au courant mercredi du contenu de cette tribune et a immédiatement décidé de mettre fin aux fonctions" de M. Guigue, a-t-on indiqué au ministère de l'Intérieur, sans fournir plus de précision.

Enarque, normalien, M. Guigue a publié plusieurs ouvrages, dont "Proche-Orient: la guerre des mots", et tribunes sur la situation proche-orientale.

 

 

http://www.liberation.fr/actualite/societe/317154.FR.php

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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 10:37

 

Nicolas Sarkozy est-il à la hauteur? Des Français en doutent. À commencer par ceux qui ont voté pour lui il y a dix mois et qui se sont abstenus, dimanche. Les sept millions d’électeurs restés chez eux ont favorisé la victoire de l’opposition aux municipales. C’est moins l’hystérie anti-Sarkozy de la gauche que la désillusion muette de la droite qui est préoccupante. Une défiance s’est installée chez les déçus. Il ne faudrait pas qu’ils se persuadent d’avoir été bernés.

Ceux-là se moquent que le président ait renoncé, paraît-il, à porter Rolex et Ray-Ban, cette victoire brandie par la gauche-comme-il-faut. Ces faux sujets, qui passionnent nos vigies, sont consternants de platitude. Alors que le pays est confronté à des désastres économiques et culturels inédits, la majorité ne saurait, elle aussi, détourner les regards vers ces artifices. Devant une gauche fuyant les faits, la droite doit être lucide pour deux.

Pour le PS, tout est simple: il suffirait de revaloriser les petites retraites et d’anticiper l’augmentation du smic pour, hop!, répondre au mécontentement des gens. Cependant, entendre l’UMP, par son secrétaire général Patrick Devedjian puis sa porte-parole Nadine Morano, soutenir dès lundi cette même analyse réduite à "la France du pouvoir d’achat" fait craindre un penchant pour le confort du discours prémâché. Pressentiment confirmé quand Jean-Pierre Raffarin déclare: "L’UMP est trop à droite et doit s’ouvrir au centre." C’est contre ce complexe que le candidat Sarkozy disait vouloir lutter. Devenu président, il aura immédiatement cherché dans l’ouverture la caution de la gauche. Résultat: une majorité délaissée par sa base; des réformes en demi-teinte. "Des réformettes, des quarts de réforme, des bouts de réformes" pour l’ancien ministre Renaud Dutreil.

L’ancrage à droite du nouveau gouvernement est une première clarification. Mais Sarkozy ne retrouvera son électorat que s’il accepte de résoudre "les sujets qui fâchent"(1), pour reprendre le titre d’un livre qui fait converser sans tabous Alexandre Adler et Gilles-William Goldnadel (Éditions Gaswsewitch) sur des thèmes occultés. Ainsi du communautarisme, qui met en péril l’unité de la nation. C’est tout ce que la gauche aimerait dissimuler (la faillite de l’État-providence, la crise identitaire) qui devrait être pris à bras-le-corps.


Questions inabordables

La France est pauvre, l’État sans le sou, la croissance en berne. La modernisation de l’économie, lancée hier, ne se contentera pas de la mise en concurrence des grandes surfaces. Il est anormal que les prélèvements sociaux ponctionnent autant les salariés, que les impositions prennent le peu qui reste, que les plus entreprenants émigrent. Il est devenu vital d’alléger la machine publique, de réduire le périmètre des solidarités, de redonner de l’air aux créateurs d’emplois. Une étude de Jean-Paul Gourévitch, publiée hier par
Contribuables associés, assure que "l’immigration serait responsable des trois quarts du déficit public de la France". À quand l’audit officiel?

Sarkozy répugne à brusquer les Français. Mais a-t-il le choix? La crise financière qui ébranle les États-Unis n’épargnera pas l’Europe dont l’industrie de pointe, notamment en France, devient déjà de moins en moins compétitive face à un dollar toujours davantage sous-évalué. Une crise similaire à celle de 1929 est avancée par certains. Or un État en faillite ne pourrait résister à une récession impliquant son éventuelle intervention. La rigueur doit s’appliquer à lui-même, dès à présent.

Quant à l’inabordable crise identitaire, qui suscite des commentaires passionnés sur mon blog : elle désespère ceux qui observent la France se laisser bousculer par un peuplement nouveau se réclamant de ses propres origines. Le malaise ne peut se satisfaire de l’ode présidentielle à la "diversité", cet encouragement au multiculturalisme qui fragmente le pays et déboussole l’école. Les immigrationnistes, qui soutiennent cette solution, se gardent d’ailleurs d’exiger la réciprocité : les chrétiens d’Algérie subissent des discriminations qui n’émeuvent personne. Alors que l’immigration familiale a continué à croître en 2006 (+ 4,8 %), ne serait-il pas temps de s’interroger sérieusement sur ses conséquences?


Pour un boycott des JO

Tous les peuples sont attachés à leur histoire et à leur mode de vie. Pourquoi serait-il honteux de défendre une identité française, qui mériterait néanmoins d’être préalablement définie? Il est potentiellement explosif de vouloir jouer avec un métissage culturel qui peut être vécu comme une spoliation, voire une violence. Ce que rappelle ces jours-ci, cinq mois avant les Jeux olympiques de Pékin, l’insurrection des jeunes moines tibétains. Ils reprochent aux Chinois de favoriser une immigration de substitution aboutissant à un "génocide culturel". "La langue, les coutumes, les traditions du Tibet sont en train de disparaître", se plaint le dalaï-lama (
Le Figaro, 19 mars). Le prix Nobel de la paix s’est toujours tenu à la non-violence. Comment ne pas l’aider dans son combat contre un totalitarisme qui a entrepris de nier l’existence d’un peuple ? Le boycott de cette grande foire aux dopés que sont devenus les JO reste un moyen.

Soutenir les chrétiens d’Irak

La persécution des chrétiens en terre d’islam ne date pas de la guerre en Irak, lancée il y a cinq ans. Mais il est vrai que les catholiques d’Irak ont payé depuis un lourd tribut. Aussi est-ce l’honneur de la France, après l’assassinat de l’archevêque chaldéen de Mossoul, d’avoir accepté d’accueillir près de 500 réfugiés de cette vieille communauté d’Orient.

(1) "Conversation sur les sujets qui fâchent", en collaboration avec Clément Weill-Raynal.


Ivan Rioufol pour Le Figaro le 21 mars 2008
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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 09:38


undefinedL’échec de l’ouverture à gauche se confirme, à l’issue du second tour des municipales. Loin d’avoir affaibli le parti socialiste, la stratégie de Nicolas Sarkozy a renforcé l’opposition et démobilisé la majorité. Le PS et ses alliés recueillent 49% des suffrages, contre 47,5% à l’UMP et ses alliés. L’abstention est de 38%. Il ne s’agit certes pas d’un tsunami, mais l’avertissement est sévère. Alors que le Chef de l’Etat se disait décidé à poursuivre l’ouverture (notamment en appelant Claude Allègre), les Français viennent de plébisciter le bipartisme. François Bayrou en fait les frais. Il perd à Pau (de 342 voix) et à Paris. Le MoDem ne représente pas 2% des suffrages.

La gauche voit dans sa victoire la sanction de la politique "de régression" (Ségolène Royal, hier soir) du gouvernement. En réalité, c’est l'abstention de la droite qui permet à l’opposition de s’installer localement en contre-pouvoir. Une partie de l’électorat de Nicolas Sarkozy, en n'allant pas voter, a fait connaître sa déception devant des promesses non tenues du candidat à la présidentielle. Toutefois, 18 des 22 ministres qui se présentaient ont été élus ou réélus, ce qui témoigne d’une confiance peu altérée. Il a manqué 113 voix à Xavier Darcos, ministre de l’Education,  pour se maintenir à Périgueux, commune dont les électeurs ont choisi un maire à plein temps. Cette disponibilité des candidats a souvent été un critère déterminant.

La gauche estime que seul le pouvoir d’achat  obsède les électeurs. Dimanche soir, les représentants socialistes ont répété en boucle, devant les caméras, cette unique lecture des résultats. La paupérisation de la société est évidemment dans tous les esprits et les réformes libérales sont encore trop timides. Mais lire, par exemple, les commentaires sur ce blog, ouvert à tous, permet de mesurer l’importance des questions liées à l’identité nationale, à l’immigration, à la place de l’islam, à la cohabitation des cultures, à l’avenir de la France. Autant de sujets généralement occultés alors qu’ils sont, au delà de ce lieu de débats, au cœur des interrogations de bien des gens. Qu’attend la droite pour écouter ces inquiétudes? Elles expliquent pour beaucoup le découragement des Français.

Ivan Rioufol pour blog.lefigaro.fr/rioufol
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 17:19
Comment se sortir des coups bas de l'adversité? Si le morveux P.Klugman pouvait apprendre à se taire...

dès le 19 février, nous nous tenions à l'écart de ces basses manoeuvres orchestrées par le fils spirituel de Théo Klein, les dents acérées rayant le parquet, pointant d'un doigt vengeur, ces "salauds de droite" naturellement "antisémites", pour faire porter la responsabilité de ses propos au seul Stefanovitch :

Comment P.Klugman a instrumentalisé les associations contre l'antisémitisme à des fins de basse politique politicienne.



http://lessakele.over-blog.fr/article-16802448.html


Jean-Marie Cavada déclare publiquement qu’il a un fils et un petit-fils juifs
 

28/02/08

Selon une dépêche de l’AFP, accusé par ses adversaires politiques d'avoir écouté sans réagir les propos de l'auteur d'un livre sur la gestion de la capitale qui dénonçait les subventions municipales accordées à des associations juives pour s'attirer le «vote juif» Jean-Marie Cavada, candidat soutenu par l'UMP dans le XIIe arrondissement, a déclaré, lors d'une réunion publique au gymnase Japy, organisée à l'occasion des 60 ans de la création d'Israël :

« Je ne suis pas juif, mais l'histoire, d'une part, et mon fils qui lui, est juif, d'autre part, m'ont appris à me soigner », a lancé M. Cavada

«Le jour où mon petit-fils est né, c'était le samedi 4 novembre 1995, il est né à 9 heures du matin. Le même jour, à 18h 30, M. (Yitzhak) Rabin périssait sous des balles (...) barbares, et en tout cas fanatiques. Mon petit-fils s'appelle donc Robin. »

Et Cavada d’ajouter :

« Je n'aurais pas fait cette confession devant vous si quelques spadassins mal inspirés n'avaient essayé de mêler le climat électoral à des suspicions intolérables. »

……………………………………..

(On peut lire l’intégralité de l’article sur le site du Parisien, sous le titre : "«Vote juif» : Cavada dénonce des «spadassins mal inspirés»".)
© Le Parisien
Mis en ligne le 28 février 2008, par M. Macina, sur le site upjf.org
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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 09:10
Le BNVCA salue et soutient la decision de Nicolas SARKOZY de faire parrainer par les eleves,les noms des enfants juifs victmes de la Shoa
 Depuis Jerusalem ou son president participe au Forum International de lutte contre l'Antisemitisme organise au Ministere israelien des affaires etrangeres par mme Tsipi LIVNI et Mr Isaac HERZOG ministre israelien de la diaspora, Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisemtisme salue la decision du President de la Republique Francaise Nicolas SARKOZY de faire parrainer par des eleves francais,les noms des enfants juifs morts ,victimes de la Shoah.
Nous considerons que cette mesure est courageuse et genereuse.La polemique qu'elle suscite indigne et injuste prouve que le president Sarkozy a eu raison de s'adresser aux enfants plutot qu' aux adultes pour porter ce projet .
Au dela de sa mission pedagogique,au dela du fait que les innocents auront une vie posthume,cette decision est de nature a faire de ces enfants parrains,des hommes et des femmes courageux,qui oseront defier toutes les discriminations  , sauront resister aux  ideologies racistes ,et sauront pourquoi il faut prevenir et combattre les crimes contre l'humanite ,et leurs instigateurs.
Le BNVCA   soutient cette louable action  qui honore notre pays.Il veillera a l 'accompagner des que le Ministre de l'Education Nationale la mettra en application
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25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 15:18
Encore bravo à l'Empereur du Pipole parisien pour son sens de l'équité! Avec le Socialisme, justice assurée!


15:41 
Jack-Yves Bohbot, conseiller de Paris (UMP), déplore que le 24 février, sur Radio J, Bertrand Delanoë, maire de Paris et candidat à cette fonction, ait qualifié de

''minable la polémique sur l'absence de portrait du soldat
franco-israélien [et otage] Gilad Shalit, sur le parvis de
l'Hôtel-de-Ville''
. (Guysen.International.News)


Il avait demandé, avec Martine Weill-Raynal et Françoise de Panafieu, que cette photo''soit apposée au côté de celle d'Ingrid Betancourt, sur ce parvis. Placée dans un endroit isolé du 12e arr. de Paris, [cette photo] subit régulièrement les outrages de mouvements antisionistes ou de nostalgiques de la dernière guerre''. M. Bohbot évoque aussi les ''problèmes liés à la remise en cause des carrés juifs à Paris, ce qui interdit à la communauté juive d'inhumer ses morts dans le respect de ses lois religieuses, et les refus d'aider en juin 2007 les enfants de Sderot, ville qui a reçu 6 000 roquettes en sept ans, et de mettre en œuvre le pacte de coopération entre Paris et Jérusalem voté par le Conseil de Paris à l'initiative de Claude Goasguen''.

lundi 25 février 2008, 13:47:41

Communiqué de presse.

 
lundi 25 février 2008, 13:49:02 | Jack-Yves Bohbot
 
Hier, sur l’antenne de Radio-J, le candidat à la Mairie de Paris, Bertrand Delanoë a cru bon traiter de « minable », la polémique sur l’absence de portrait du soldat franco-israélien Gilad Shalit, sur le parvis de l’Hôtel-de-Ville.
 
Le 15 juillet 2007, avec Martine Weill-Raynal et Françoise de Panafieu, nous présentions un vœu  au Conseil de Paris demandant que la photo de Gilad Shalit, jeune soldat franco-israélien de vingt ans, enlevé en territoire israélien le 25 juin 2006 par un commando du Hamas, soit apposée au côté de celui d’Ingrid Betancourt, sur le parvis de l’Hôtel-de-Ville.
 
Cette demande nous a été refusée, au motif que le parvis de l’Hôtel « n’était pas sécurisé ».
 
Il a été placé dans un endroit isolé du 12e où il subit régulièrement les outrages de mouvements antisionistes ou de nostalgiques de la dernière guerre.
 
Si une action doit être qualifiée de « minable », c’est bien celle menée par le Maire de Paris et ses amis durant cette mandature à l’égard de la communauté juive parisienne qui a connu d’incroyables problèmes liés à la remise en cause des carrés juifs à Paris.
 
La Mairie de Paris a appliqué la loi dans toute sa rigueur faisant fi d’une tradition ancienne qui permettait l’existence de carrés confessionnels dans les cimetières parisiens.
 
L’émotion et la colère ont été grandes dans la communauté juive qui se voyait tout d’un coup interdite de pouvoir inhumer ses morts dans le respect de ses lois religieuses !
 
A cela s’ajoute le refus d’aider en juin dernier les enfants de Sderot, ville frontalière de la bande de Gaza qui a reçu 6.000 roquettes en sept ans, ainsi que le refus de mettre en œuvre le pacte de coopération entre Paris et Jérusalem voté par le Conseil de Paris à l’initiative de Claude Goasguen.
 
Je salue le courage de Françoise de Panafieu qui a appuyé et soutenu toutes ces demandes. Je m’inquiète en revanche de la réélection d’un Maire qui entretiendra cette solidarité à plusieurs vitesses au détriment d’une réponse appropriée et pragmatique aux besoins des parisiens.
 

Jack-Yves Bohbot
 
Conseiller de Paris - vice-président du groupe UMP au Conseil de Paris
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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 22:48
http://www.rebelles.info/
 

undefinedRésumons: Nicolas Sarkozy serait fou et la République en danger. Le lynchage, attisé il y a dix mois, atteint l’hystérie. Elle est cautionnée, cette semaine, par des opposants dont l’audace est encore loin de faire un programme. Quand Dominique de Villepin, Ségolène Royal et François Bayrou signent un appel "Pour une vigilance républicaine", rédigé par Jean-François Kahn et publié par Marianne, c’est la pensée conforme qui se pousse du col. Non, merci.

Rien n’est moins intrépide que de s’en prendre au chef de l’État. Or, les tirs à vue ne justifient pas ces accusations sur la démocratie menacée, mais aussi la laïcité, la liberté d’expression, l’indépendance nationale. Prophétiser ces menaces, sans les démontrer autrement qu’en assurant qu’elles sont dans l’air, fait douter de la lucidité de ces pétitionnaires, adversaires malheureux de la présidentielle. La rancœur se lit dans leurs philippiques.

Les donneurs de leçons, reprenant Libération, dénoncent une monarchie élective, alors que cela fait plus de trente ans que Maurice Duverger a analysé la dérive présidentielle dans "La Monarchie républicaine". Ils assurent que l’indépendance et le pluralisme de l’information seraient menacés, mais ils n’ont jamais rien dit du mimétisme médiatique qui flatte la gauche et alourdit les débats. La mise en garde contre l’atlantisme est, elle, l’incontournable du prêt-à-penser. "Banalité totale", a dit François Hollande, se désolidarisant du pu-putsch. En effet.

Reste ce martèlement : Sarkozy mettrait la laïcité en danger parce qu’il parle de spiritualité. Mais n’est-ce pas ce qu’attend une opinion déculturée, en quête de repères, de valeurs, de sens ? L’intégrisme laïc, qui sort ses gousses d’ail au nom de Dieu et veut brûler le moindre gourou, a produit un vide qu’il n’est pas interdit de vouloir combler. Oui, il serait dangereux de remettre en cause la loi de 1905. Mais la morale religieuse s’accommode de la séparation de l’Église et de l’État.

En fait, ce concert d’aigris appuyé par la meute en vient à rehausser la stature présidentielle. Tandis que la gauche reproche une multiplication d’initiatives et de réformes, les Français attendent d’elle le début d’un projet qui justifierait ses prétentions. Celles-ci se réduiraient-elles à la seule gestion localière ? Cette modestie mal assumée expliquerait sa propension à brasser de l’air.

La gauche rombière

Un tsunami électoral de l’opposition est prédit en mars par les augures. Attendons. À Paris, l’assurance du PS est telle que Bertrand Delanoë a jugé inopportun de débattre, hier soir sur RTL, avec Françoise de Panafieu (UMP). Lundi soir, c’est avec foie gras et caviar que le maire sortant a présenté son très "pipole" comité de soutien, dans le cadre d’une soirée "triée sur le volet" (Le Parisien, mardi). Ici et là, une gauche aux allures de rombière s’offusque du côté "parfois vulgaire" du président et de sa "manière d’être" (Pierre Moscovici). Les veilles dames de Faizant se pinçaient pareillement le nez. Le PS deviendrait-il vieux jeu ?

L’invraisemblable superficialité des critiques, qui gloussent sur la montre, le bracelet, les lunettes du président "bling-bling", surprennent par leur décalage avec les dossiers ouverts. Cette semaine : refondation de l’école primaire, relance de l’audiovisuel public, réforme de la justice. Même l’opération de police déclenchée, lundi matin, contre les émeutiers de Villiers-le-Bel qui avaient blessé par balles des policiers, a agacé ces messieurs-dames à cause de sa médiatisation. Faudrait-il en plus que le pouvoir fasse profil bas ?

Quant à la décision maladroite de Sarkozy de proposer à chaque élève de CM2 de s’intéresser à l’un des 11 000 enfants juifs morts en déportation, elle ne valait pas, franchement, ce déchaînement d’indignations, au prétexte que l’initiative risquerait de traumatiser des enfants et de raviver une guerre des mémoires et des communautés. "Un lycéen sur deux ignore ce qu’est la Shoah", a fait remarquer Xavier Darcos. Derrière de sincères et compréhensibles critiques s’est aussi levée une brise sournoise, laissant porter un antisémitisme décomplexé.

Kosovo: "Un grand succès"?

"Indépendance, le joli mot", écrit Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, mardi dans
Le Figaro, en approuvant la liberté prise unilatéralement, dimanche par le Kosovo musulman, jusqu’alors province de la Serbie orthodoxe. Mais qu’est devenu, dans cette issue, le métissage prôné par l’Union européenne, qui faisait dire à Alain Richard, ministre de la Défense, en 1999: "Nous avons vocation partout en Europe à avoir des états multiethniques qui tolèrent les minorités" ? Après avoir éreinté le nationalisme serbe, l’Europe des belles âmes vient d’adouber le nationalisme kosovar et le rêve d’une grande Albanie, en donnant son aval à un séparatisme qui inquiète légitimement les nations confrontées à des minorités (à commencer par Chypre et la Macédoine). Est-ce à dire que les pays musulmans seraient exemptés, eux, du multiculturalisme qui s’invite jusqu’en Grèce ? Hier, Alexandre Soljenitsyne a dénoncé cette "sécession inique". La boîte de Pandore est ouverte. À lire à ce sujet les nombreux commentaires sur mon récent blog (lefigaro.fr).

Exemple danois

Depuis le 10 février, Copenhague et d’autres villes danoises connaissent chaque nuit des émeutes de jeunes issus de l’immigration. Si nombre d’entre eux ont un emploi, ils brûlent néanmoins des voitures, des écoles, des crèches. Cette semaine, le premier ministre, Anders Fogh Rasmussen, a déclaré : "Il faut arrêter de croire que c’est de la faute de la société. Il en va de la responsabilité des jeunes et de leurs parents". Le gouvernement envisage de faire payer la casse par les voyous ou leurs familles. Envisageable en France ?

Ivan Rioufol pour Le Figaro le 22 février 2008

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  • : Lessakele : déjouer les pièges de l'actualité Lessakele, verbe hébraïque qui signifie "déjouer" est un blog de commentaire libre d'une actualité disparate, visant à taquiner l'indépendance et l'esprit critique du lecteur et à lui prêter quelques clés de décrytage personnalisées.
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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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