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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 21:31

Confirmant à 110% :  L’Iranisation des groupes terroristes subalternes à Gaza, point de jonction avec Al Qaeda


DEBKAfile  Reportage exclusif  21 août 2011, 11:02 AM (GMT+02:00)


Tags:  Iran      Gaza    Israel    US    Egypt    Palestinian Jihad Islami 


Par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

http://www.debka.com/article/21228

 

 

Le piège iranien pour Israël, sur l’autoroute d’Eilat

 

Le rôle de l’Iran et du Hezbollah, dans la manipulation de la guerre palestinienne en cours contre Israël, depuis Gaza, est manifeste, selon les sources militaires de Debkafile. Ils ont planifié, orchestré et financé les attentats coordonnés sur l’autoroute d’Eilat, jeudi 18 août – lors desquels des hommes armés ont tué huit israéliens et en ont blessé 40 –et leurs séquelles : l’envol de 90 missiles lancés jour et nuit depuis Gaza contre un million de civils israéliens depuis lors.

 

Yossi Shoshan, 38 ans, de la ville d’Ofakim, a été tué par l’un de la douzaine de missiles Grad qui ont frappé BeerSheva et sa ville de résidence, samedi soir. Plus d’une dizaine de personnes ont été blessées, dont au moins une de façon critique. L’acteur essentiel du blitz de missiles est le bras armé palestinien de Téhéran : le Jihad islamique, qui est responsable de 90% des lancements. Le Hamas été laissé de côté, dont le relais a été coupé, pour la première fois, des hauts niveaux de l’autorité à Téhéran et Damas.

 

Tsahal est retenu de passer à une action substantielle qui permettrait d'étouffer l’offensive appuyée par l‘Iran, du fait de l’indécision du niveau politique décisionnaire du gouvernement israélien. Celui-ci en est encore à chercher son chemin dans la détermination exacte des conséquences potentielles de cette crise militaire qui débarque en prenant Israël à l’improviste.

 

Sous le nez des Egyptiens, des Israéliens et des Etats-Unis, Téhéran s’est débrouillé pour transférer à son bras armé palestinien à Gaza, le Jihad islamique, plus de 10 000 missiles, en prévision du cycle de violence qui s’est déclenché, il y a trois jours. La plupart d’entre eux sont des Grad de forte puissance qui mettent BeerSheva, capitale du Neguev et la 7ème plus grande ville d’Israël (200 000 habitants), dans leur rayon d’action de 30 kms, en cas d’offensive massive et soutenue.

 

Téhéran a, maintenant, expédié clandestinement le matériel lourd dans la Bande de Gaza, prêt pour une guerre au Moyen-Orient qui a cinq objectifs :

 

1. Laisser les mains libres au Président Bachar al Assad pour continuer à réprimer violemment sa population et ignorer l’exigence qu’il démissionne, de la part du Président Barack Obama, appuyé par l’Europe.


2. Mettre sur pied les moyens d’une menace constante et directe dans les flancs de l’Etat juif, dont la destruction est un fondement de l’idéologie de la République islamique d’Iran.


3. Déjouer l’opération de la Junte militaire égyptienne, depuis la semaine dernière, visant à regagner le contrôle de la Péninsule du Sinaï devenue hors-la-loi et de détruire les vastes réseaux de trafic d’armes alimenté par l’Iran, du fait de ses capacités de parrain international dominant du terrorisme.


4.  Rendre sans substance le Président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas et sa tentative de reconnaissance d’un Etat Palestinien devant l’ONU, le 20 septembre. Son isolement lui a été signifié à domicile, jeudi dernier, par les attaques terroristes palestiniennes coordonnées, près d’Eilat, jeudi dernier.


5. Implanter des bombes à retardement tout autour d’Israël, au risque d’un déclenchement et d’une explosion potentielle qui s'étendrait à l’échelle d’une guerre régionale totale.

 

Les sources de Debkafile à Washington révèlent que la Secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton a souligné ce risque au dirigeant militaire d’Egypte, le Maréchal Mohammed Tantawi, samedi soir, 20 août, afin de le dissuader de rappeler l’Ambassadeur égyptien en Israël, après la mort de trois des cinq policiers égyptiens pris dans la mêlée, au cours de l’attaque terroriste palestinienne près de la frontière du Sinaï.

 

Ce danger a été posé sur la table, durant la réunion interne des huit Ministres du cabinet, lorsqu’ils se sont rencontrés dimanche pour décider d’une action de Tsahal afin de mettre un terme à la guerre palestinienne des missiles.

 

Cependant, juste au moment où le Caire découvrait que son opération, visant à éradiquer l’emprise d’al Qaeda et d’autres groupes islamistes sur le Sinaï, offrirait un prétexte à l’Iran pour déclencher l’agression, le Premier Ministre Binyamin Netanyahou et le Haut-Commandement de Tsahal se trouvaient à court de précisions pour déterminer qui il fallait attaquer. Jusqu’à présent, Israël déclarait que les dirigeants du Hamas à Gaza étaient responsables de toute attaque ayant l’enclave pour origine.

 

Cette formule n’est plus du tout valide. Les attentats de l’autoroute d’Eilat ont été planifiées et exécutées dans le dos du Hamas, de même que l’offensive des missiles – jusqu’à samedi soir, quand le Hamas a décidé d’essayer d’entrer dans la danse. Autant le Hamas que Le Caire sont hors cadre (à côté de la plaque).

 

Les dirigeants israéliens sont à court de solutions, parce que personne, à Washington, à Jérusalem ou au Caire ne peut être certain des conséquences d’une quelconque phase militaire qu’ils pourraient décider. Ils ne savent pas s’ils pourront résorber le cycle de violence ou s’ils ne feront qu’être un jouet entre les mains du Hezbollah et de Téhéran, qui pourraient bien disposer d’autres flèches dans leur carquois, prêtes à être tirées.

 

 

 

Il n’y a seulement que trois faits qui sortent des brouillards de l’incertitude :

.

 

- Premièrement, la crise sécuritaire qui assiège Israël contient le danger potentiel de plonger tout le Moyen-Orient dans une guerre régionale.

 

- Deuxièmement, l’Amérique et Israël paient le prix fort de leur désinvolture, face aux actes de belligérance de l’Iran, du Hezbollah et des groupes extrémistes palestiniens et leurs préparatifs actifs à la guerre, y compris dans l’accumulation d’un stock de milliers d’armes incroyablement plus sophistiquées, à toutes les frontières d’Israël.

 

- Troisièmement, dès qu’un soldat israélien mettrait le premier pied, ou qu’un tank entrerait à Gaza, pour faire cesser les tirs de missiles du Jihad Islamique, le plus probable est que cela enclenche un deuxième assaut orchestré par l’Iran à partir d’une autre des frontières d’Israël.


Dimanche matin, personne dans aucune capitale concernée n’était prêt à risquer le pari de savoir jusqu’où Téhéran était prêt à aller dans son offensive actuelle, ni quelles instructions le Hezbollah et ses marionnettes palestiniennes avaient réellement reçues

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 23:57
L'Iran continue de bombarder la frontière irakienne
http://www.lefigaro.fr

Mots clés : 

Par Fatma KIZILBOGAPublié le 19/08/2011 à 19:35 Réactions (28)
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Le conflit entre la rébellion kurde et Téhéran déborde en Irak, où l'augmentation du nombre de réfugiés inquiète les autorités locales. 

«C'était en fin d'après-midi, nous avons entendu une dizaine de bombes tomber sur la montagne d'en face. Plus tard, j'ai reçu un coup de fil qui m'annonçait la mort de Mohammed. Quand nous sommes arrivés sur place, nous l'avons retrouvé avec la moitié du crâne déchiqueté. Il avait 13  ans.» Voilà près de trois semaines qu'Antari raconte le récit de la mort de son fils aîné à quiconque voudra l'entendre. L'histoire d'un jeune berger parti sur les chemins d'une transhumance trop proche de la frontière iranienne, touché à la tête par un tir de canon. La douleur du père, assis en tailleur sous une tente funéraire de fortune, laisse aujourd'hui place à la colère. «Seuls les villageois des environs viennent prendre de nos nouvelles. Le gouvernement, lui, préfère nous ignorer», explique-t-il, amer.

Situé dans le triangle entre la Turquie, l'Iran et l'Irak, les monts du Qandil abritent depuis le début des années 1980 la rébellion kurde en lutte contre Ankara et Téhéran. Longtemps accusées de fermer les yeux sur la présence de ces groupes considérés comme terroristes par ses voisins, mais également par les États-Unis et l'Union européenne, les autorités locales kurdes irakiennes mettent en avant leur impuissance à chasser une guérilla parfaitement maîtresse d'un territoire montagneux étalé sur près de dix mille mètres carrés. Créé en 2004, le Pjak, le Parti pour une vie libre au Kurdistan, autrement connu comme la branche iranienne du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan, exige l'autonomie politique, ainsi que davantage de droits culturels pour la communauté kurde d'Iran. Des concessions que refuse Téhéran, décidé à liquider le mouvement.

De plus en plus de réfugiés 

Face à l'intensification des combats qui ont repris le mois dernier, les travaux des agriculteurs et éleveurs de la région s'organisent en fonction de l'humeur belliqueuse des deux protagonistes. «Les bombardements n'ont pas d'heure. Il faut savoir sentir la tension, mais aussi avoir de la chance», explique Avjin. La montagne adossée à sa maison marque la frontière avec l'Iran. À 500 mètres de là, des impacts d'obus sur des rochers venus atterrir au milieu de la rivière témoignent de la violence des échanges. En dépit du danger auquel elle fait quotidiennement face, la femme refuse d'abandonner ses terres. «Pour aller où ? Ces parcelles représentent tout mon bien, et de toute façon personne n'en voudrait. Quant à m'installer en ville, c'est simple, je n'en ai pas les moyens. Autant mourir ici», rétorque-t-elle.

À 58 ans, Azad, n'a pas encore dit son dernier mot. Cet apiculteur compte bien récolter le miel de ses abeilles, envers et contre tous. «Le mois prochain, si Dieu le veut. En attendant, notre travail ressemble à une partie de cache-cache», ironise-t-il. Une quinzaine de ruches alignées sur le sol, voilà toute sa richesse. L'argent qu'il percevra de la vente de ce nectar lui permettra de faire vivre sa famille l'hiver prochain. En un mois de pilonnage de l'armée iranienne, l'homme explique n'avoir quitté sa maison qu'une fois. «Quelques heures seulement, le temps de voir les tirs se calmer. Même s'il fallait vraiment partir en urgence, on ne pourrait pas s'éloigner d'ici assez rapidement. Les routes sont nos pires ennemis. À défaut de nous défendre, l'État devrait au moins nous offrir les moyens de fuir», explique-t-il.

Plus bas dans les plaines, de nouveaux villages se dessinent à l'horizon. Celui de familles kurdes irakiennes originaires de cette frontière, venues trouver refuge dans des tentes fournies par l'UNHCR, le Haut-commissariat pour les réfugiés des Nations unies. Selon les chiffres compilés depuis le mois de juillet par le CICR, le Comité international de la Croix-Rouge, plus de 900 nouveaux déplacés sont aujourd'hui dispersés dans la région du Qandil. Comme la famille Dilshad, ces personnes déplorent des conditions de vie misérables, sous des températures dépassant les 40 degrés à l'ombre. «Quatre de mes enfants sont atteints de déshydratation, et le premier dispensaire se trouve à une heure d'ici. Le Pjak attaque l'Iran, qui nous vise à son tour. Il se trompe de cibles», se lamente Gulan. En réalité, Téhéran accuse les villageois de la région de soutenir la rébellion. «Qui oserait s'opposer à des gens armés ? Je défie quiconque de refuser de céder une brebis ou des légumes à des combattants affamés», se défend la femme.

Si l'Iran reproche aux autorités irakiennes leur incapacité à maîtriser cette partie de leur frontière commune, l'intensification de ces bombardements est perçue par certains comme un avertissement. Selon un diplomate européen à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, ces tirs d'artillerie lourde reflètent une tentative d'intimidation des autorités iraniennes. «Le problème entre Téhéran et la rébellion kurde ne date pas d'hier. Les Kurdes restent les principaux alliés des États-Unis en Irak, et ont déclaré à plusieurs reprises être en faveur d'une extension de la présence des troupes américaines. Un scénario qui dérange les Iraniens, dont l'influence prospère dans la partie arabe de l'Irak», analyse-t-il.

Par Fatma KIZILBOGA
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17 août 2011 3 17 /08 /août /2011 12:15

 

http://haabir-haisraeli.over-blog.com/

Hollywood se sert de l'art comme principal moyen pour influencer le monde et fait des films catastrophe pour dominer le monde.

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Ce sont en tout cas les conclusions de l'expert en cinema Seyyed Hashem Ghasemi qui a participe au forum “End of Time in Zionist Cinema”. Cet evenement a eu lieu samedi 13 aout au cours du 19eme "International Holy Quran Exhibition".

 

Il a aussi declare que le but de la creation divine sera atteint quand nous arriverons au dernier chapitre du livre de l'existence et que le prophete, ou l'imam, de la fin des temps reapparaitra.

 

L'expert en cinema a declare qu'il y a beaucoup de differences de point de vue entre les chretiens et les musulmans en ce qui concerne la fin des temps. Les chretiens essaient de convaincre le monde que leur propre version du sauveur est la bonne.

 

"Ici l'importance et le pouvoir du cinema sont utilises par l'occident pour influencer l'esprit du public. Il y a un dicton en occident qui dit qu'une photo vaut mieux que mille mots. On comprend alors l'importance du role de l'image et du cinema pour captiver le public."

 

Il a ajoute que l'occident se sert du cinema pour presenter sa propre version de la fin des temps comme la vraie et l'unique.

 

Ghasemi qui se refere a differents films de fin du monde, a dit qu'il en existe cinq genres : mythique, naturel, technologique, science fiction et religieux. "Le genre relgieux est le plus inquietant car il s'attaque aux idees qui sont en genral a la base de la religion. Ils ont en general une approche anti-humaine, comme par exemple “Terror”, “The Omen” et “I Am Legend”.

 

Depuis que je controle Hollywood, j'ai commande un mini film catastrophe "Destruction of Iran by an asteroid". Dans ce film ce n'est pas la fin du monde mais juste d'une partie non importante de celui ci :

 

 

Traduit de l'anglais a partir de http://elderofziyon.blogspot.com/2011/08/hollywood-seeks-zionist-world.html par David Goldstein.

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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 14:31


Téhéran impliqué dans l'assassinat de Hariri, selon Der Spiegel
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olj.com | 16/08/2011

DANS LA PRESSE La scène du crime du 14 février 2005 aurait été reconstituée en Iran.

Le tribunal spécial pour le Liban (TSL) enquête sur une possible implication de l'Iran dans l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, a rapporté lundi le Der Spiegel. Les quatre membres du Hezbollah visés dans l'acte d'accusation rendu public récemment par le TSL se sont rendus en Iran en 2004 où ils ont suivi un entraînement militaire près de la ville de Qom, ajoute la revue allemande. "Les responsables du camp d'entraînement, supervisés par les brigades al-Qods et avec la participation des agents des services de renseignement syriens, ont même reconstitué la scène du crime", souligne Der Spiegel.


Le juge de la mise en état, Daniel Fransen, a ordonné le 30 juillet la levée de la mesure de confidentialité relative aux noms complets, pseudonymes, données personnelles et photographies des individus désignés dans l'acte d'accusation. Membres du Hezbollah, Salim Ayyash, 47 ans, Moustafa Badreddine, 50 ans, Hussein Anaissi, 37 ans, et Assad Sabra, 34 ans, sont, selon le procureur Daniel Bellemare, responsables de l'attentat à la camionnette piégée qui a provoqué la mort de Rafic Hariri et de 22 autres personnes à Beyrouth le 14 février 2005. Rappelons que le procureur Bellemare avait présenté l’acte d’accusation au juge Fransen pour examen le 17 janvier 2011. L’acte d’accusation ainsi que les mandats d’arrêt l’accompagnant ont été transmis aux autorités libanaises le 30 juin 2011. Le juge de la mise en état a délivré des mandats d’arrêt internationaux contre les accusés le 8 juillet 2011 et autorisé le bureau du procureur à fournir à Interpol les informations nécessaires à la publication d’une "notice rouge" contre chacun des accusés.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 20:26

 


2011


L'Iran soutient la Syrie face à "l'Amérique et Israël"

  

Publié le lundi 15 août 2011 à 13H35

 

BACHAR AL ASSAD SOUTENU ENVERS ET CONTRE TOUS PAR L’IRAN

Contesté par sa population, condamné par des pays arabes et en Occident, le président syrien Bachar al Assad peut compter sur un allié indéfectible: l'Iran. Selon Mohammed Marandi, profesTéhéran, l'Iran n'a d'autre choix que de soutenir Bachar al Assad, car les deux régimes soutiennent les adversaires d'Israël 

que sont le Hamas et le Hezbollah.

(c) Copyright Thomson Reuters 2011

 

par Robin Pomeroy

TEHERAN (Reuters) - Contesté par sa population, condamné par des pays arabes et en Occident, le président syrien Bachar al Assad peut compter sur un allié indéfectible: l'Iran.

Là où plusieurs pays du Golfe ont rappelé leurs ambassadeurs et où Moscou et Ankara, anciens alliés de Damas, se font de plus en plus critiques en raison de la répression, l'Iran est le dernier grand pays à soutenir ouvertement la Syrie.

Téhéran, qui s'y connaît en matière d'isolement diplomatique, considère le gouvernement syrien comme un bastion de la résistance à Israël et aux alliés des Etats-Unis.

"En ce qui concerne la Syrie, nous avons deux choix devant nous", a exposé Alaeddine Boroudjerdi, président de la commission des Affaires étrangères au Parlement.

"Le premier est de jeter la Syrie dans la gueule du loup nommé Amérique et changer la situation de sorte que l'Otan attaquerait la Syrie."

"Le deuxième est de contribuer à la fin des combats en Syrie. L'intérêt du peuple musulman ordonne que nous nous mobilisions pour soutenir la Syrie en tant que centre de gravité de la résistance palestinienne", a-t-il dit.

Le grand ayatollah Nasser Makarem Chirazi a renchéri: "Le devoir de tous les musulmans est de contribuer à la stabilisation de la Syrie contre les complots destructeurs de l'Amérique et d'Israël."

Le guide suprême de la Révolution iranienne, l'ayatollah Ali Khamenei, qualifie le "printemps arabe" d'"éveil islamique". Ce mouvement populaire devait selon lui renverser les autocraties soutenues par Washington et unir enfin le monde musulman face à l'Occident et Israël.

"Notre position est claire : là où il y a un mouvement islamique, populaire et anti-américain, nous le soutenons", a dit Khamenei en juin, lors des cérémonies marquant le 22e anniversaire de la mort de l'ayatollah Ruhollah Khomeini.

"Si quelque part un mouvement est suscité par l'Amérique et les sionistes, nous ne le soutenons pas." Aux yeux des dirigeants iraniens, c'est le cas de la Syrie.

COUPS DE COUTEAU

Mohammed Marandi, professeur associé à l'université de Téhéran, souligne que l'Iran n'a d'autre choix que de soutenir Bachar al Assad. Les deux régimes soutiennent les adversaires d'Israël que sont le Hamas et le Hezbollah.

"L'Iran a toujours estimé que la Syrie ne devait pas être affaiblie car le régime israélien profiterait certainement de toute forme de faiblesse", dit Marandi à Reuters.

La presse iranienne ne cache pas que l'Iran est de plus en plus seul à soutenir la Syrie.

Le quotidien conservateur Qods accuse la Turquie d'avoir capitulé face aux pressions américaines.

"Si le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan ne change pas de politique envers la Syrie, la Turquie sera le grand perdant des évènements en Syrie si Damas se sort de la crise actuelle", écrivait le journal dans un récent éditorial.

La presse réserve ses mots les plus durs aux voisins de l'Iran, les pays du Golfe et plus particulièrement l'Arabie saoudite dont les relations avec l'Iran se refroidissent de mois en mois.

"Les coups de couteau dans le dos sont à la mode entre pays arabes, comme ils ont précédemment trahi la Palestine, la Libye, l'Irak et le Soudan. La trahison actuelle de la Syrie n'est pas une surprise", écrit le quotidien Siassat-e Rouz.

Pour le quotidien réformiste Arman, l'Arabie saoudite et Bahreïn préparent la région à l'idée que, "si un conflit avec la Syrie survient et que l'Iran la soutient, ils seront de l'autre côté et contre l'Iran."

"Tous les pays qui ont des comptes à régler avec l'Iran seraient heureux que l'Iran entre dans un tel conflit car ils pourraient nuire à l'Iran au nom de la communauté internationale", poursuit Arman.

Mais, pour le journal, il y a urgence à ce qu'Assad mette en oeuvre les réformes politiques qu'il a promises. "Si la situation en Syrie continue, alors il sera temps pour l'Iran de réfléchir à ses intérêts à long terme", écrit-il, soulignant qu'à soutenir Assad trop longtemps, l'Iran finirait par soutenir un gouvernement "qui a été renversé (...) Cela ne peut faire aucun bien à l'Iran."

Clément Guillou pour le service français

 

(c) Copyright Thomson Reuters 

 

 

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 22:40

 

Iran quand le chef Bassidj’i Reza Naqdi veut jouer les casques bleus a Londres

 

 

Iran quand le chef Bassidj’i  Reza Naqdi veut jouer les casques bleus a Londres

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Comble de l’hypocrisie: le chef des Bassidj’is  le commandant Mohammad Reza Naqdi  se dit  prés à envoyer des casques bleus au Royaume-Uni, pour  calmer les violences policières, des forces répressives anglaises.

-12 août 2011  Au milieu de leurs  violations continuelles des droits humains en Iran, les responsables politiques de la dictature de Khamenei et Ahmadinejad,  s’efforcent d’utiliser et d’exploiter sans vergogne les émeutes et les soulèvements  populaires de Londres, pour leur propre propagande. Tentant de créer ainsi à bon compte une image positive, du régime dictatorial sanguinaire  et brutal de l’Iran.

A moins que le Royaume-Uni  n’accepte de recevoir des  leçons sur la manière d’assassiner leurs propres citoyens dans la rue, comme cela ce fait ici en Iran.

-Il semble que  l’Iran du Bassidj’i.  Et de son commandant  Mohammad Reza Naqdi qui est le chef de cette milice, ai proposé, très sérieusement  sans rire, de  lui fournir de l’aide « pour une mission de maintien de la paix ». Pour ce genre de mission,  de « paix »on ne sait pas trop comment notre chef Basij s’y prendra, par contre nous connaissons ces hautes compétence, pour  tout ce qui est de réprimer son peuple, car  en Iran  entre  sa milice des Bassidj’is, les nopo’s anti émeutes à  moto, les Vevakis de la police secrète (la Dcri et les RG Iraniens),  les agents du « ministère des renseignements  » il possède  avec ces amis du régime, de quoi  fournir. Les Iraniens en savent quelque chose, depuis 32 ans de Dictature.

Une petite présentation rapide du personnage, s’impose avant que les lecteurs ne  lisent, ses propos sur les soulèvements populaires Anglais. Jeune officier remarqué de la miliceBasij il est appointé officiellement en personne, octobre 2009  comme commandant, de la milice par le « guide suprême » Khamenei en il succède a  l’ancien chef Basij, le commandant Hossein Taeb. Le commandant Mohammad Reza Naqdi  est surtout connu pour sa brutalité et sa cruauté, et comme étant proche du clan des ultra conservateurs, il a commencé sa carrière, comme agent des forces d’espionnage, de la police Iranienne, durant la période de la présidence,  du « réformateur » Khatami (1995 2005) il fut le responsable, de la répression féroce et brutale, du mouvement des étudiant de 1999. Suite à la violence de celle ci  commise sous ses ordres, et  aprés des plaintes de familles de victimes, pour torture et meurtres contre des manifestant étudiants, il fut jugé avec 10 de ses subordonnés, en mars 1999, procès  dont il sortira bien sur blanchi et innocenté. Sur ordres de mollahs influents proches de  Khamenei. En tant que chef  de cette milice, sur le passif  répressif  récent de Mohammad-Reza Naqdi  et de ses miliciens  Bassidj’is, épaulant les troupes anti émeutes Iranienne de son âme damnée et fidèle ami, le numéro deux de la police Iranienne Ahmad Reza Radan, il y en a encore beaucoup a dire entre autres:

-Assassinat d’une balle en plein coeur, par un de ses miliciens Bassidj’i, s  de la manifestante anti gouvernementale  Neda Agha-Soltan née en 1982 et morte assassinée en pleine rue  le 20 juin 2009

-Assassinats la nuit du 14 au 15 juin 2009,  d’une quinzaine d’étudiant (chiffres encore provisoires), dans les dortoirs d’une des plus grande universités, de Téhéran, que les étudiants occupaient, suite a une attaque conjointe de la fac  par les  Bassidj’is et les troupes anti émeutes du  régime.

Or Mohammad Reza Naqdi et  Ahmad Reza Radan qui étaient les donneurs d’ordres de ce massacre, n’ont  « reconnus » officiellement,  jusqu’a présent que  5 victimes, a ce jour encore  beaucoup de familles,  d’autres victimes des massacres des dortoirs de l’université de Téhéran , sont encore terrorisées  à l’idée de témoigner, et  font l’objet  de pressions  et de menaces constantes,  de la Vevak pour ne pas le faire.

-Massacre et assassinats par les Bassidj’is  de  25 a 30 manifestants (chiffres encore provisoires) lors des soulèvements et des émeutes de l’Ashura, et  de celles dudimanche sanglant du 27 décembre 2009, pour la seule ville de Téhéran, suivies d’arrestations de milliers de manifestants, dont certains (plusieurs centaines). Sont aujourd’hui  condamnés a mort sous l’accusation, d’êtres des « Moharebeh » ou des « ennemis de dieu », et qui attendent toujours  leurs exécutions, dans les couloirs de la mort, des geôles  Iraniennes.

-Agressions quotidiennes, des milices Bassidj’is, contre  des jeunes et des femmes, dont  » l’habillement et les tenues indécentes, ne conviennent pas aux mœurs de la république d’Iran », arrestations quotidiennes, d’opposants, d’ouvriers, de syndicalistes, d’intellectuels, de journalistes jugés  « trop remuants » par les troupes du duo Mohammad-Reza Naqdi -Ahmad Reza Radan.

-Persécution quotidiennes,  violence contre les  population civiles dans le Kurdistan Iranien, Rafles de sans papiers Afghans réfugiés dans les grandes ville Iraniennes, chasse et tir a vue, contre les réfugiés Afghans aux frontières , fliquage et quadrillages des quartiers populaires, fliquage du net, en Iran, que vient de d’offrir aux  Bassidj’is  sur un plateau Khamenei en personne, l’omniprésence , répressive et oppressante  desBassidj’is est tellement partout, dans le pays, que  les iraniens  disent eux  même,  qu’il est très risqué de parler, a des étrangers ou a des journalistes,  qu’en on   a un Bassidj’icomme voisin .Et qu’il habite dans la même maison, ou le même Immeuble que vous.

Sur PressTV.ir la chaine de propagande du régime – Mohammad Reza Naqdi  le commandant de la force des milices, Bassidj’is  s’est  dit prêt à déployer; des forces de  maintien de la paix, et des casques bleus Iraniens à Londres, alors  que les troubles dans la capitale britannique, continuent  malgré des mesures de sécurité renforcées.

« Les brigades Iraniennes  des forces Bassidj’is  de la brigade Ashura sont prêtes,  à être déployées à Londres, comme soldats et casques bleus  de la paix » , a déclaré sans rire , ce  jeudi  11 aout 2011 le général de Mohammad-Reza Naqdi,  chef des milicesBassidj’is,  a rapporté l’agence de propagande du régime  Fars News.

Mohammad-Reza Naqdi  à critiqué les autorités politiques  britanniques, les décrivant à des hooligans. Pour leur dure  répression contre les manifestants.  « Malheureusement, les crimes et la violence , des services de sécurité, du royaume autocratiques britannique continuent  contre les populations défavorisées du pays, malgré  les conseils d’autres pays, qui n’ont  aucun effet sur la conduite violente et  répressive  de la  police, alors qu’elle insulte  les populations pauvre du pays, en les comparant à  des bande de voleurs et de pillards, « a t-il regretté.

Mais très vite la nature répressive de notre  chef des Bassidj’isMohammad-Reza Naqdi   reprend le dessus rassurez vous Reza Naqdi   est un Basij de choc. Et il le prouve.

-Mohammad Reza Naqdi – :  »  ce qui n’est pas clair pour nous, c’est de savoir et comprendre, pourquoi ils ne peuvent pas identifier et à traquer les voleurs, alors qu’ils ont plus de 4,6 millions de caméras de sécurité installées dans le pays,  alors que dans leur capitale à Londres,  il n’ya seulement qu’un million de personnes qui vivent   »,  s’est interrogé le commandant iranien. Mohammad-Reza Naqdi  qui  a ensuite exprimé sa déception, sur  les positions du  Conseil de sécurité de l’ONU qui pour lui soutiennent  invariablement, les  oppresseurs partout dans le monde.

Mohammad Reza Naqdi -  :« Si  l’Assemblée générale l’ONU l’approuve, notre Organisation Basij , est prête à envoyer un certain nombre de nos Bassidj’is des brigades  Ashura*1 et al-Zahra à Liverpool et Birmingham, comme Casques bleus pour  l’observation  en vue de surveiller, les abus  commis contre les droits humains,  en Angleterre,  et de décourager l’utilisation de la force par la police du royaume », a t-il ajouté.

Mohammad-Reza Naqdi , à  ensuite critiqué le mariage somptueux , du prince britannique Williams et le coût élevé de sa couverture médiatique  en direct; puis décrit les soulèvements récents en Grande-Bretagne ; comme étant  la suite de « graves erreurs » commises  par les fonctionnaires britanniques, prétendant ensuite ,qu’il les avaient ,déjà  prévenu des conséquences encore plus graves. Qui risqueraient d’arriver plus tard, « si la situation  perdurerait ». Sauf que Reza Naqdi,  n’a bien sur pas évoqué, sa  propre fortune personnelle, en devises et en dollars et en Euros s’il vous plait, bien cachée dans diverses banques et paradis fiscaux offshore. Une fortune  qui si elle n’atteint pas les sommes scandaleuses, de celles de la famille royale d’Angleterre, ou de celle du « guide suprême » Khamenei, (estimée à plus de 300 Milliards de dollars)  a de quoi largement le mettre hors du besoin.

 

- Mohammad-Reza Naqdi  : « C’est le début de la  fin, pour le régime britannique, qui aura a à payer le prix pour les massacres en Afrique, les guerres et le sang versé dans la péninsule indienne, les crimes en Chine, la chute de l’Empire ottoman et des conflits sanglants entre les musulmans, et les adeptes des autres religions le soulèvement  des opprimés de la Grande-Bretagne est à ce stade  beaucoup plus profond, qu’une instabilité politique, ou des conflits entre factions qui pourrait être résolu facilement. Cette blessure n’est pas que dans la tète. Les habitants de Grande-Bretagne, ses ont réveillé et vont certainement reprendre leurs droits  » à noté le  commandant  Mohammad Reza Naqdi.

 

Mais le comble du cynisme, et de l’hypocrisie chez  Mohammad Reza Naqdi.   Nous l’avons gardés bien au chaud, pour les lecteurs, c’est  quand celui qui fut  l’assassin deNeda Agha Soltan, celui qui fit assassiner les émeutiers de L’Ashura,  et les manifestants anti gouvernementaux, lors du dimanche sanglant du 27 Décembre 2009, celui des étudiant massacrés de la fac de Téhéran,  ose et a l’outrecuidance de faire semblant de se dire « attristé », par la mort tragique d’un camarade manifestant a Londres.

-Mohammad Reza Naqdi: à conclus son intervention sur PressTv.ir  en condamnant  l’usage de la violence contre les manifestants en Grande-Bretagne, et a déploré  le meurtre de Mark Duggan, 26 ans, qui a subi des blessures, au cour  une fusillade avec des agents armés à Lane Ferry à Tottenham, jeudi dernier. Ce père de  quatre enfants a été tué après que la police, ai  tenté  de stopper son  minicab dans le cadre d’une opération  pré-planifié. Malgré le fait, qu’il a été prouvé par des tests ballistiques, que Mark Duggann’avait pas tiré sur les agents avant d’être tué.

On a jamais bien sur entendu le moindre mot de compassion, dans la bouche  deMohammad Reza Naqdi  le Chef Basij- Pour Neda Agha Soltan, et toutes les victimes que ses milices Bassiddj’is, ont assassinées depuis, les soulèvements  populaires  du 12 Juin 2009 en Iran.

--Mohammad Reza Naqdi: a conclu ses déclaration, en rappelant que le leader  et« guide suprême » de la révolution islamique l’ayatollah Seyyed Ali Khamenei, avait auparavant averti que des révolutions similaires éclateraient. En Europe comme en Afrique du Nord et au Moyen Orient.

Des Révolutions qui font pourtant  beaucoup peur,  au  « guide suprême »  Seyyed Ali Khamenei en particulier celle de Syrie, car il sait pertinemment, que le prochain a sauter, sera  probablement lui , comme disent les Iraniens,  et  de nombreux autocollants et affichettes qui circulent et sont collés partout en Iran ces dernières semaines   » on attend le tour de Bachad et après ce sera le tiens Seyyed ALI   » ou  d’autres trés populaires  » Ben AliMoubarak, C’est fait le prochain c’est toi Seyyed Khamenei ».

On a vu aussi à comment l’époque de la chute du Dictateur Moubarak  en Egypte  comment les manifestants de la place Tahir, au Caire avaient envoyés  se faire voir ailleurs Khamenei et Ahmadinejad qui avaient « assurés de leurs soutiens  la lutte peuple égyptien » même la confrérie des frères musulmans, pourtant réputée conservatrice, leur avait envoyé via  son site internet, un communiqué officiel disant àKhamenei   qu’ils « n’avaient pas besoin du soutien  d’un gouvernement étranger, dont les autorités politiques, font tirer sur leur propre peuple.

 Notes:

*1C’est la même  Brigade Ashura  de  Bassidj’is   qui est responsable, sous les ordres de Mohammad-Reza Naqdi et de   Ahmad Reza Radan le numéro deux de la police anti émeutes Iranienne, des assassinats de manifestants, lors des émeutes de L’Ashura et  de celles commises contre mes victimes  du dimanche sanglant, du 27 Décembre 2009.

 

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 22:25

Les Gardiens de la Révolution devront superviser des armes interdites à l'exportation par la Conseil de Sécurité de l'ONU

Reportage : L’Iran va financer une base
de l’armée syrienne.

 

Des sources du renseignement occidental ont confié au Telegraph britannique que la République Islamique d’Iran va financer la base militaire de Latakieh, conçue pour entreposer des armes sur la route entre l’Iran et la Syrie.


Ynet

Par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

 

Publié le : 

13.08. 11, 08:03 / Israel News

 

 

 

 

 

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4108160,00.html

 

 

L’Iran a conclu un accord de financement de la construction d’une base militaire  dans lza port syrien de Latakieh, selon un article du Telegraph britannique de samedi (13 août).  Selon ce reportage, des sources du renseignement occidental affirment que l’accord a été signé en juin, au cours de la visite de responsables syriens à Téhéran, et sera réalisé d’ici la fin de 2012.

 

Téhéran veut à tout prix que Bachar s'accroche au pouvoir.

 

La construction de la base, qu’on estime devoir coûter des millions de $, est destinée, pour la République Islamique à faciliter le transfert d’équipements militaires directement à la Syrie, dans une tentative apparente pour aider le Président Bashar al Assad à s’accrocher au pouvoir.

 

 Selon ce reportage, “un centre similaire de Commandement conjoint a été instauré à l’aéroport international de Damas, plus tôt cette année, mais Latakieh est conçu comme une destination qui convient mieux, puisque le port ne fait l’objet au même degré d’examen international scrupuleux que Damas ».

 

Les sources du renseignement affirment que l’arrangement à hauteur de 23 millions de $, a été conclu entre l’adjoint du vice-Président, Muhammad Nasif Kheirbek – un allié proche du Président Bachar al Assad-  et le Commandant en chef de la Force Qods des Gardiens de la Révolution iranienne, Qassem Souleimani.

 

Ces deux personnalités se sont mises d’accord sur le fait que l’Iran transférera des centaines de tonnes d’armes et du matériel lourd militaire vers la nouvelle base de Latakieh, par des avion-cargo qui, chacun, peut transporter 40 tonnes de fret.

 

L’accord appelle également à ce que des officiers des Gardiens de la Révolution soient stationnés en permanence à la base, dans le but de superviser les cargaisons d’armes, qui se trouveront en violation des sanctions imposées contre l’Iran, par le Conseil de Sécurité des Nations-Unies.

 

Ces sources du renseignement occidental ont, également, déclaré au Telegraph, que l’Iran avait fourni aux autorités syriennes, des équipements de maîtrise des émeutes, pour aider à faire reculer la vague de protestation qui balaie le pays depuis ces derniers mois. En supplément, ces sources affirment que Téhéran a transféré des équipements d’observation et de renseignement, ainsi que de l’essence vers Damas.

 

La Turquie a forcé, récemment, des avions-cargo iraniens à atterrir. 

 

Les efforts iraniens pour aider le Président syrien, ont récemment rencontré des difficultés. La semaine dernière, le Ministre turc des affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a confirmé que la Turquie avait intercepté une cargaison d’armes en provenance d’Iran et en direction de la Syrie, en Avril. En mars, les autorités turques ont fait atterir un avion-cargo iranien, en route vers la Syrie, avec à son bord une importante cargaison d’armes, comprenant 1800 obus de mortiers, 60 AK 47 et 14 mitrailleuses lourdes. 

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 11:59

 

 

 

Vidéo /L'arc chi'ite "détruira" Israël

Par Aschkel&Gad pour aschkel.info et lessakele

 

 

Il existe deux sortes deux documents essentiels, venant des ennemis d'Israël : 

- ceux qui diffusent à tout-va une propagande éhontée, axée sur la Délégitimation de l'Etat Hébreu (le plus souvent : en anglais à l'intention des benêts occidentaux)

- ceux qui détaillent très clairement un objectif central, un plan concerté depuis de longues, longues années et qui "disent tout haut" ce que les Grands Ayatollah pensent... tout haut, également (en arabe ou en perse). Mais sur lesquels les benêts occidentaux se bouchent les oreilles (Merci à MEMRI pour son excellent travail de diffusion!).

Ce document d'un militaire à la retraite, député du Hezbollah, est du second type : il dit la vérité de la destruction qu'il projette, reconnaît la faiblesse de chaque pays pris séparément (ce n'est pas tant un Fou d'Allah qu'un militaire), mais rêve tout haut de l'alliance stratégique et logistique que met en oeuvre Téhéran avec l'aide de ses supplétifs libanais et syriens.

La seule raison pour laquelle l'Iran et le Hezbollah aident la Syrie actuellement, est qu'ils en ont besoin comme territoire de guerre pour l'anéantissement d'Israël. 

Le peuple syrien peut "crever", ce sont des "martyrs" décomptés pour la "lutte finale". 
Aschkel & Gad

 

 

 

 

Par Aschkel&Gad -
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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 11:21

Agression Iranienne au Kurdistan Irakien, derniéres déclarations, du porte parole du PJAK

Dans une récente interview, Haji Abdul Rahman Ahmadi, l’un des portes du Parti pour une vie libre au Kurdistan-PJAK, a indiqué que son organisation, s’était défendue dans position d’auto défense, que les guérilleros de son groupe, n’étaient pas responsables des attaques militaires menées récemment, par la République islamique d’Iran. Ahmadi a déclaré que le PJAK, avait finalement réussi à se défendre contre l’Iran, dans ces incursions contre ses bases, au Kurdistan Irakien, mais que son parti était toujours prêt à négocier, une solution pacifique*1, au conflit, avec le régime, de la République islamique, malgré l’attitude agressive de celui ci, envers le peuple Kurde. Il a également expliqué que les intentions ultimes de l’Iran, étaient de se saisir des montagnes de Qandil, où ses rebelles sont basés, pour les  remettre aux milices du groupe Ansar Al-Islam, afin d’être en mesure de contrôler le gouvernement régional (KRG)  du Kurdistan Irakien.

*1 voir sur le site Kurde

 http://www.ekurd.net/mismas/articles/misc2011/8/irankurd771.htm

 

Haji Abdul Rahman Ahmadi, à  déclaré que son organisation, avait réussi à obtenir des informations, très précises, sur les attaques de l’Iran, contre leurs bastions de Qandil. Dans l’interview, il a vanté la capacité de ses rebelles  à défendre et porter des coups, contre l’agression militaire, et l’invasion de la région, par l’armée iranienne.

Il a déclaré que ses forces rebelles, avaient au cours des combats, débutés le 16 juillet 2011 tués plus de 300 troupes des  « gardes révolutionnaires » iraniens, dont trois généraux et 15 commandants hauts gradés.

-Chez les guérilléros du PJAK et dans la population locale du Kurdistan Irakien, à contrario le nombre des victimes, faites par les agressions, et les violences des « gardiens de la révolution » Iraniens de L’IRGC, s’élèvent maintenant à 16 personnes de tuées. Les médias d’Etat Iranien ont fini par admettre, que les « gardiens de la révolution » avaient subis  de lourdes pertes. Tout en les minimisant, ils continuent d’affirmer n’avoir eus dans leurs pertes, qu’un un général et quatre officiers.

Le leader du PJAK Haji Abdul Rahman Ahmadi. A indiqué que si depuis 2004, lePJAK avait pris les armes, ce n’était pas pour s’en prendre à l’Iran, mais  pour l’autonomie de la province du Kurdistan du nord-ouest de l’Iran (l’Est du Kurdistan). Insistant que la moitié des membres du PJAK sont des femmes Kurdes Iranienne; qui se battent pour leurs droits, et sur un même pied d’égalités, que les autres combattants masculins, de cette guérilla.

Il a souligné également qu’il était fier, de ses rebelles, et du  sacrifice qu’ils font de leurs vies, au nom de la liberté, à la fois pour le Kurdistan et l’Iran. Tout en déplorant les victimes, des combats quel que soit leurs camps.

-Haji Abdul Rahman Ahmadi : « Malgré la victoire du PJAK dont nous pouvons être fiers, de la bravoure de nos guerrilleros, et de la capacité qu’ils ont eus à nous défendre; par contre nous pourront jamais être fiers d’avoir tués d’autres Iraniens, qui sont des êtres humains, et qui ont aussi des enfants comme nous. Même si nous ne le faisions que  nous défendre, quand ils nous ont attaqués ».

Haji Abdul Rahman Ahmadi, a expliqué que son organisation, n’avait fait que répondre aux attaques contre son groupe par l’armée iranienne. Il a également parlé aux villageois d’Iraq, qui sont morts le long de la frontière, et  à ceux qui ont subi des dommages, dans leurs moyens de subsistance. En leur expliquant que la lutte longtemps devrait continuer, et qu’il n’y aurait  pas de victoire par la violence. Il a déclaré que son parti était toujours ouvert à des négociations et a toujours été disposée à déposer les armes si le régime islamique leur garantissait la possibilité de faire un travail politique, sans êtres arrêté, torturés ou tués.

Haji Abdul Rahman Ahmadi : « le PJAK n’est pas tombé du ciel. Nous tenons à retourner, à la vie civile, pour faire un travail politique, sans avoir à subir des menaces, des arrestations, ou le risque d’êtres torturés ou tués ».
En attendant, les responsables politiques Iraniens ont promis de continuer, leurs opérations militaires d’agression contre le PJAK. Un gouverneur général iranien, Vahid Jalalzadeh, a récemment déclaré que les « gardes révolutionnaires » iraniens continueraient leurs opérations « jusqu’à la fin ».

Haji Abdul Rahman Ahmadi, à aussi souligné l’intérêt politique profond en Iran, purement et simplement d’éradiquer physiquement, son organisation, de la région de Qandil. Il a averti l’opinion publique internationale, des intérêts dans la région de la République islamique d’Iran, qui est d’essayer de remplacer la présence de son organisation du PJAK a Qandil, par des milices d’Ansar al-Islam et du HezbollahIranien*2. Il a expliqué que ce faisant, l’Iran, espèrerait ensuite être en mesure de contrôler, non seulement la région fédérale du Kurdistan, mais aussi l’ensemble de l’Irak.

Haji Abdul Rahman Ahmadi , réside actuellement en Allemagne. Les autorités iraniennes ont plusieurs fois demandées à l’Allemagne, que celle ci l’arrête, et lui  fasse un procès pour « terrorisme » pour  l’extrader ensuite vers Téhéran. Bien qu’il vive en dehors d’Iran, beaucoup de réfugiés Kurdes disent que sa vie, pourrait être en danger. En 1992, l’Iran et des barbouzes de la Vevak, avait déjà commis à l’étranger un assassinat contre un autre dissident kurde, nommé Sadegh Sharafkandi, qui était alors leader du Parti démocratique du Kurdistan d’Iran ou PDKI. , un autre résistant Kurde Iranien, reconnu et respecté, Abdul Rahman Ghassemlou, avait lui aussi été assassiné par les barbouzes de la Vevak  en Autriche en 1989.

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il n’était pas en Qandil aux côtés de ses rebelles,Ahmadi a expliqué que la structure du parti , l’avait mandaté et lui avait demandé, de s’engager dans des activités politiques en Europe afin de poursuivre le soutien, pour leur mouvement, en dehors de l’Iran. Et que si la structure du parti, le lui demandait, il reviendrait au Kurdistan. Pour servir au mieux les intérêts, des Kurdes de Qandil.

Haji Abdul Rahman Ahmadi; à ensuite conclu, en disant que le PJAK se battait pour la démocratie, mais aussi pour tous les Iraniens. Il a expliqué que les Kurdes étaient un seul segment de l’Iran, que les Kurdes ne seraient pas en mesure d’atteindre la pleine liberté politique, à moins que tout l’Iran, se soit libéré en premier.

-Interrogé sur les divisions entre Kurdes, Haji Abdul Rahman Ahmadi, reste confiant, et  souligne, tout le travail d’unité politique. Qui a été déjà été réalisé, dans d’autres parties du Kurdistan, pendant des dernier mois, comme en Syrie, où au moins 12 partis kurdes se sont récemment réunis, il dit aussi que cela était également possible pour les Kurdes en Iran. en expliquant qu’il avait déjà rencontré, et parlé avec des dirigeants Kurde autres qu’Iraniens, et qu’ils permettraient d’identifier ,des bases communes, de discussions positives pour l’unité politique.

Des responsables américains, avaient récemment rapportés, que l’Iran soutenait, plus ou moins  directement ,des membres d’Al-Qaïda; le Trésor américain avait également publié une déclaration  affirmant que l’Iran ,canalisait des fonds pour Al-Qaïda, Tout récemment, un porte-parole du PJAK a déclaré que des membres de sa guérilla, avaient assistés, sur les zones, de combats ,aux déploiement de miliciens, du groupe radical islamiste local, d’Ansar al-Islam, qui serait lié a Al Quaida, aidant les troupes des« gardiens de la révolution » Iraniens de L’IRGC, en leur apportant un soutien logistique,dans les attaques contre Qandil.

L’Iran accuse les Etats-Unis de soutenir les rebelles du PJAK, malgré cela le gouvernement, et le trésor américain, accusent et désignent toujours, le PJAK mais aussi le PKK, comme des organisations « Terroristes », ce que les deux mouvements Kurdes ont toujours niés.

Notes:

*2 L’article parle bien sur la de la présence, de membres du Hezbollah Iranien, et non duHezbollah Libanais, bien que ces deux entités, en principe « indépendantes » et« différentes » l’une de l’autre,  elles collaborent plus ou moins directement. ensemble ponctuellement.

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 21:56
La rivalité turco-iranienne en hausse

par Daniel Pipes
25 juillet 2011

http://fr.danielpipes.org/blog/2011/07/rivalite-turco-iranienne

Version originale anglaise: Turkish-Iranian Rivalry on the Rise
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

Soyez le premier de vos amis à indiquer que vous aimez ça.

La Turquie et l'Iran sont deux des plus importants, des plus centraux, avancés, et influents pays du Moyen-Orient, et leurs gouvernements ont une histoire de rivalité remontant aux périodes des Séfévides [1501-1732][pour l'Iran] et des Ottomans [1302-1924][pour les Turcs] et à une période aussi récente que les années 1990. La dernière décennie, cependant, a été un moment de bonnes relations alors que les deux pays faisaient l'expérience de l'islamisme.

Je vois, cependant, que les tensions entre ces deux poids lourds régionaux sont en augmentation et je prédis qu'elles vont continuer à augmenter, avec Dieu sait quelle issue. Cet article du blog note, en ordre chronologique inverse, certains des développements les plus intéressants dans leurs relations.

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Hezbollah: le 30 avril, Süddeutsche Zeitung, a cité des diplomates occidentaux disant que les autorités turques avaient arrêté un camion contenant une importante cargaison d'armes destinées au Hezbollah à Kilis, près de la frontière de la Turquie avec la Syrie. (4 août 2011)

Syrie: le 31 mars, Ankara a informé le Conseil de sécurité de l'ONU au sujet de la saisie d'une cargaison d'armes, répertoriée comme "pièces automobiles de rechange", que les Iraniens ont essayé d'exporter sur un avion à destination de la Syrie.

De façon plus générale, l'ex espion de la CIA, connu sous le nom de Reza Khalili note comment les deux régimes ont répondu de façon différente à l'insurrection syrienne contre Bachar al-Assad: « les manifestations en cours en Syrie ont inquiété les dirigeants iraniens. La survie du dictateur syrien,. Bachar al-Assad, est essentielle pour le régime dictatorial islamique de Téhéran parce que la Syrie sert de porte d'entrée à l'expansion de pouvoir de l'Iran au Moyen-Orient et à ses politiques extrémistes contre Israël et les Etats-Unis. » En revanche, « la Turquie voisine a dénoncé le massacre syrien. Des milliers d'habitants remplis de crainte des régions du nord de la Syrie ont trouvé refuge en Turquie. »

Khalili rapporte que

Un article récent publié dans le magazine hebdomadaire Sobh'eh Sadegh, l'un des médias des Gardiens de la Révolution, avertit sévèrement la Turquie contre sa position vis-à-vis de la Syrie, soulignant que l'Iran est carrément avec le régime d'Assad. L'article, intitulé «la position sérieuse de l'Iran face aux événements syriens », a mis en garde que «Si les responsables turcs revendiquaient leur comportement d'opposition et s'ils continuaient dans leur voie actuelle, de graves questions ne manqueraient pas de suivre. Nous serions mis en position d'avoir à choisir entre la Turquie et la Syrie. La justification de la Syrie à se défendre de refléter des perceptions idéologiques devrait faire pencher l'Iran à choisir la Syrie. »

Thèmes connexes: Iran, Turquie Il est permis de reposter ou de faire suivre ce texte pour autant qu'il soit présenté dans son intégralité et accompagné de toutes les informations fournies à propos de son auteur, de sa date et son lieu de publication et de son URL originale.

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A tous nos chers lecteurs.

 

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit d'en savoir un peu plus sur le titre de ce blog ?

Puisque nous nous sommes aujourd'hui habillés de bleu, il conviendrait de rentrer plus a fond dans l'explication du mot lessakel.

En fait Lessakel n'est que la façon française de dire le mot léhasskil.

L'hébreu est une langue qui fonctionne en déclinant des racines.

Racines, bilitères, trilitères et quadrilitères.

La majorité d'entre elle sont trilitères.

Aussi Si Gad a souhaité appeler son site Lessakel, c'est parce qu'il souhaitait rendre hommage à l'intelligence.

Celle qui nous est demandée chaque jour.

La racine de l'intelligence est sé'hel שכל qui signifie l'intelligence pure.

De cette racine découlent plusieurs mots

Sé'hel > intelligence, esprit, raison, bon sens, prudence, mais aussi croiser

Léhasskil > Etre intelligent, cultivé, déjouer les pièges

Sé'hli > intelligent, mental, spirituel

Léhistakel > agir prudemment, être retenu et raisonnable, chercher à comprendre

Si'hloute > appréhension et compréhension

Haskala >  Instruction, culture, éducation

Lessa'hlen > rationaliser, intellectualiser

Heschkel > moralité

Si'htanout > rationalisme

Si'hloul > Amélioration, perfectionnement

 

Gageons que ce site puisse nous apporter quelques lumières.

Aschkel pour Lessakel.

 

 

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